Forums galactiques > Assemblée Galactique : diplomatie officielle > Ari, un Ami qui Lui veut du Bien......
Goron Respect diplomatique : 1306 25/01 ETU 14:21 | Score : 4 Détails Wyatt, surpris, se dirigea vers le médecin et lui demanda.
"Vous avez foutu quoi dans votre seringue doc ?.... Elle a l'air.... défoncé la Rosa..." "Ne vous inquiètez pas monsieur, c'est savant mélange de différent produit pour ce genre de situations. Elle sera gaie pendant quelsques heures et délirera... Mais ne vous inquiètez pas...Elle sera plus calme de cette manière..." "Mais vous êtes con ! Je vous ai dit de l'endormir pas de la shooter ! Et y'a quoi dans votre savant mélange de dégénéré héroïnomane ?!" "Hum...Hé ! Hé ! Hé !...Calmez-vous, voyons, rien de plus qu'un peu de morphine, de THC modifié et divers autres produits..Hé ! Hé ! Hé !..." "Mais il est vraiment pas fini ce doc ! Oh ! Docteur Mengele ! Tu t'es fait combien de ray avant de venir bosser ?! T'écoutes un peu ce qu'on te dit de temps en temps ?! Bordel ! Aller !! Giclez avant que je vous foute ma main en travers de la gueule !!" Le médecin quitta en courant la chambre, effrayé, Wyatt prit une chaise et s'assit à côté du lit. "Heu...Je suis pas dans la merde là... Rosa ? La clope et le champagne ce n'est pas bon dans ton état ma tante ?...Tu m'entends ?" | ||
Rosa L. Respect diplomatique : 1595 25/01 ETU 14:34 | Score : 4 Détails Rosa vit partir Wyatt.
Elle était contente car, pour une fois, le petit gars lui avait obéi au doigt et à l’œil. "Et du bon, s’il te plait ! Moi, j’aime les bonnes choses ! C’est sans doute pour ça que j’aime Aristippe ! Oui, il a bon goût lui !" Quand Wyatt revint, il avait les mains vides. Rosa était stupéfaite et d’entendre ses paroles la laissa dubitative. "Quoi, il a quoi mon état ? Je me sens bien. Tu l’as dit Bouffi. Je suis zen moi, là. Vous êtes tous des agités ici ou quoi ? Vous n’aimez pas le champagne ? Et ma clope ? Non mais sérieux, faut que je le demande comment mon frère ?" Elle veut descendre de son lit pour trouver elle-même ce qu’elle a commandé. On n’est jamais si bien servi que par soi-même. Seulement voilà, Wyatt l’en empêchait. "Mais allez quoi…laisse moi passer. Un petit plaisir de temps en temps, c’est pas drama !" | ||
Goron Respect diplomatique : 1306 25/01 ETU 14:46 | Score : 3 Détails Wyatt tentait de maintenir Rosa allongée, mais celle-ci n'en découdait. Elle voulait toujours son champ' et sa clope...
"Aller Rosa, restes allonger. T'es dans un hosto ici pas dans un resto, ok ? Alors tu vas être bien gentille et rester couché..." Une idée passa par la tête de Wyatt et il décida de l'appliquer. Vu son état ça ne pouvait que marcher... "Rosa ! Je suis un hypnotiseur ! Tu es sous mon controle ! Tu es une petite fille ! Une petite fille qui a besoin de dormir à 3 !...1 ...2...3... Dors !!" | ||
Rosa L. Respect diplomatique : 1595 25/01 ETU 14:58 | Score : 3 Détails "Ooh ! Mais t’as pas fini, mon frère, avec ces conneries ?
1..2..3…..SOLEIL ! C’est ça tu veux jouer avec moi ? Ben mon pote fallait le dire tout de suite ! Alors, tu sais quoi, je vais m’en aller chercher mon matos et à mon retour, on jouera." Wyatt la plaqua plus fermement sur le lit. Il paraissait de plus en plus agacé par le comportement de Rosa. Elle, une si belle Dame, sa pseudo tantine, venait de retomber en enfance. Voyant la résistance de Wyatt, Rosa lui mordit la main droite et réussi à s'échapper. "Tiens, tiens, tu vois ! Rien ne me résiste ! On joue au loup ? Lui balance-t-elle en pleine figure ! Wyatt, vert de colère, s’approcha d’elle. Rosa prit peur et couru dans les couloirs. "Idiot va! Arrête moi si tu peux...." | ||
Goron Respect diplomatique : 1306 25/01 ETU 15:04 | Score : 4 Détails Wyatt Partit à la suite de Rosa, en colère, il fit signe à ses hommes qui encerclèrent à nouveau Rosa et la ceinturèrent pour la ramener dans sa chambre...
Elle se débattait en hurlant, au voleur, au viol, à l'assassin.... Jetée sur le lit, les gardes la maintenirent. Wyatt se rapprocha et s'exprima. "Tu parles ! Efficace son produit de drogué à l'autre couillon !" Il empoigna la gorge de Rosa et dans l'instant lui retourna un coup de poing en pleine machoire, la mettant K.O. Puis tout fier, il blémit et se rappela d'une chose essentielle. "Oups !...J'avais oublié que j'avais récupéré mes pouvoirs psioniques...ça aurait été plus simple et moins douloureux pour elle....Hum...gardes, sortons...Et merde!" | ||
Rosa L. Respect diplomatique : 1595 25/01 ETU 15:10 | Score : 3 Détails Pas le temps de réagir, juste le temps de baragouiner.
"Même pas mal !" Rosa alla ensuite rejoindre les bras de Morphée. | ||
Rendillion Respect diplomatique : 675 25/01 ETU 15:27 | Score : 4 Détails Rendillion arriva à l'hôpital où Aristippe avait été accueilli.
Un sourire béat sur son visage particulièement éclairé et joyeux, il était habillé d'un pantalon orange très large avec une chemise ouverte jusqu'au nombril. Croisant un mèdecin passant par là, il lui demanda: "Salut, mon frère! Dis moi, tu sais où vous avez casé la tigresse? Le médecin, incrédule, ne comprenant pas, Rendi reformula : "Ah excuse, j'avais oublié qu'il n'y avait que moi qui l'appelait comme ça, la nuit.. J'te cause de Rosa." Le médecin géné par une fumée bleutée à l'odeur connue de tous, esquissa un geste en direction d'une porte non loin "Peace!"dit Rendillion,l'index et le majeur levés. Entrant par la porte dans la chambre et s'apercevant de l'état de son ex femme, il lui dit: "B'jour Rosa, Je ne savais pas que tu étais adepte des interdits. Si j'avais pu m'en douter, je t'aurais emmenée dans le petit bosquet derrière chez moi, on y aurait certainement eu du bon temps... Sinon, besoin d'un remontant? Ah non visiblement, les effets secondaires sont déjà là..." | ||
Goron Respect diplomatique : 1306 25/01 ETU 15:31 | Score : 5 Détails Wyatt s'assit un instant et lança un X-com privé à sa femme, annonçant qu'il passerait rapidement à la maison pour la voir et voir les jumeaux avant de repartir pour l'espace Cardassian, puis se leva et se dirigea vers la sortie. Il vit Rendillion et le salua rapidement.
Un garde s'approcha de lui et s'exprima. "Empereur ! Nouvelle alarmante du système EC-OMICRON-1.006, les vaisseaux de l'"Ordo Oméga Imperialis" viennent d'engager l'ennemi, la bataille fait rage, vous êtes demandés par le Warlord Riga à bord du "Cardassia Imperatori" afin que nous prenions la route en direction du champ de bataille... Le 4° Ordre Cardassian va être obligé de battre en retraite...Parait-il que ça se passerait mal là-bas..." "Bien... partons... Mais avant nous allons faire route vers la planète natale de ma femme. Je souhaiterai voir ma Feli et les jumeaux avant que nous y allions." Wyatt quitta l'hôpital, remonta dans sa navette, rejoingant le navire amiral et ordonna au titan de faire mouvement vers l'espace elféïde. | ||
Général_Louis Respect diplomatique : 1323 25/01 ETU 18:12 | Score : 3 Détails Le Général_Louis s'étant trompé vint à l'hôpital dans la chambre d'Ari. Il vit un homem dont l'état de santé était grâve avec pas mal de personnes dans la chambre.
"Bonjour. -Bonjour. -Hem je vois que notre bon vieil Aristippe n'est pas en forme on dirait. Ari, mon vieux, je n'aurai jamais cru un jour que celà puisse t'arriver. Mon vieux frère d'arme, camarade aussi de diplomatie, bon vieux commercien, sâche que je suis là. Si tu meurs, rejoins Galen et les autres, tu le mérites amplement. Ce que je voudrais et que sans doûte voudrions tous c'est que tu vives..." Il s'assit dans un coin en regardant l'état de Aristippe. Il faudrait un miracle sans doûte pour que celui-ci vive. | ||
Aristippe Respect diplomatique : 906 25/01 ETU 21:43 | Score : 7 Détails Antisthène dans le croiseur amiral en route pour Cyrène fulminait.
La petite pièce dans laquelle, avec deux des gardes du Gouverneur, il surveillait Jean, était dans la pénombre. Les renseignements concernant ce jeune homme était troublants. Descendants d'aristocrates qui s'étaient rangés à la démocratie, ce dernier justifiait son geste en disant qu'il lavait l'ignominie de ses ancêtres qui avaient salis leur cause en soutenant la Plèbe face aux vraies valeurs de la monarchie de droit divin. Lui et ses compagnons étaient des élus, il savait sa cause juste ! « Vous n'obtiendrez rien de moi, je suis prêt à mourir pour la cause ! » déclama-t-il à la face d'Antisthène. Ce dernier dévisageait le jeune noble avec une haine non dissimulée, cette dernière était palpable. Grande était l'envie du général, ami intime d'Aristippe, de se débarrasser lentement de ce jeune prétentieux. Antisthène était inquiet, il n'avait aucune nouvelle d'Aristippe...ce qui ne faisait qu renforcer sa haine. « Eh bien vas-y, général, insistait-il d'un ton moqueur, je suis prêt à endurer la torture, qu'attends-tu, crois-tu que c'est en me faisant attendre que tu m'inquiéteras ? Il rit, sûr de lui et de sa mission, en partie accomplie... - Je ne dirai rien ! Le visage d'Antisthène se tordait sous la douleur et l'envie de meurtre qui le submergeait. Entra dans la pièce un lieutenant de la garde cyrénaïque... « Mon général, IL est arrivé, son vaisseau vient d'apponter » « Merci, sourit le général... Il avait retrouvé le sourire, ce dernier était joyeux, plein d'un sentiment tellement différent, que le regard de Jean changea...en peur, qu'il voulait ne pas montrer... - Tu peux trembler, assassin...La confédération a fait beaucoup de progrès, depuis que vous avez choisi l'exil, toi et ta bande de fanatique... - Je ne crains pas la torture, hurla Jean Antisthène jubilait, la peur de jean, malgré sa grande conviction, était palpable. - Mais, qui te parle de torture, il n'y a bien que cela que vous sachiez faire, bande d'inhumain. Jamais vous n'avez favorisé la voie diplomatique...Non, les progrès acquis sont autres. Depuis, nous avons réussi à ouvrir nos systèmes, non seulement à d'autres systèmes, mais aussi à d'autres civilisations, d'autres aux habitudes proches des nôtres, et d'autres, tellement différents, aux moeurs si étranges que nos sociologues n'ont même pas ne serait ce qu'aperçut la fin du recensement des peuples mais aussi des êtres vivants différents de cette galaxie... Le ton d'Antisthène était des plus étranges... - tu vas être surpris, lui adressa-t-il avec un ton de défi... Des pas résonnaient dans le couloir. Antisthène se fit des plus cérémonial... - Votre Grandeur, je vous en prie, entrez ! Une forme humanoïde entra dans la pièce, parée d'une robe de bure, on ne distinguait pas, dans l'ombre de la capuche, le visage de celui ou celle qui venait d'entrer... - C'est lui, déclama la voix pleine de froideur en désignant Jean d'un signe de la tête... - Que l'on nous laisse, alors... Sans autre mot ou ordre, tous sortent...Jean est seul avec « la chose » et déjà, au fond de lui même, la peur est là, plus grande que ce qu'il avait imaginé... - Tu PEUX, avoir peur, mon jeune enfant...lui déclama doucement l'être... Jean, a soudain mal à la tête. Il sent que la chose le regarde. Oui. Elle se fraye un chemin brûlant au tréfonds de son âme. Jean a l'impression que son corps est entrain de bouillir, qu'il est plongé dans un bain d'acide, ses mains sont crispées et il est entièrement recouvert de sueur. Il sent littéralement son corps, son sang s'échauffer se rapprochant d'un point d'ébullition. Il se retient, ne veut pas hurler mais voudrait, là, de suite pouvoir fuir. Il sent ses chairs fondre et de douleur, poussent des hurlements atroces, qui sont entendues bien plus loin que l'on n'aurait pu le croire.... un à un ses os se brisent sous l'effet d'une inexplicable pression...La douleur est atroce. Puis tout à coup l'angoisse, il n'entend plus, n'entend plus sa propre voix et réalise que ses tympans ont explosé et qu'il est sourd. L'équilibre lui manque et il pense tomber bientôt de sa chaise où pourtant il est littéralement enchaîné. La pression est tel qu'il sent les os du crâne se frotter. Dans un ultime effort de son corps, Jean régurgite, sans un coup porté, du sang de sa bouche. Et là, maintenant, la lumière, la Mort, la Libération...Il n'a pas parlé... Puis soudainement, le retour, on lui arrache des maux de la tête, le retour est brutal. Toujours la même salle, la même silhouette. Elle frappe à la porte. Antisthène entre dans la pièce et sourit à jean. - Déjà, lui demande la général. Jean sourit, vainqueur. La silhouette abaisse sa capuche apparaît, à la surprise de Jean, un être humain des plus banal quand il s'attendait à la vu d'un monstre... - Je sais tout, dit l'Homme, tout ce qu'il y a à savoir. Le système, la planète et tousles contacts qu'il a eu. Jean est des plus surpris. Il pouffe. - je vous fais conduire de suite au debriefing, seigneur, votre collaboration est des plus précieuse. - Je le fais pour Ari ! Répond- il rapidement, et pour Rosa. L'Homme mystérieux sort de la pièce qui se referme et s'entrouvre soudainement. - Ne le tuez pas maintenant, peut-être d'autres dirigeants voudront lui adresser des hommages sincères. Moi j'en ai fini. Regardant le prévenu, Antisthène ne put s'empêcher de lui décocher un coup de poing... - Je vais t'expliquer pourquoi vous avez échoué et pourquoi c'était votre dernier attentat. - L'homme que tu viens de voir est un prince, un prince d'une galaxie lointaine... Antisthène sortait de sa poche une petite boîte métallique d'où il sortit une seringue, emplit d'un liquide rosâtre. - Les habitants de sa Planète sont nommés les Euphoriens... Mais vous êtes tellement ancrés dans vos habitus que vous ne vous êtes jamais renseignés des possibilités étranges de nos peuples voisins... jean était inquiet alors qu'Antisthène tapotait la seringue de son index. - Son peuple, fait étrange je te l'accorde, a la possibilité, ...il ménagea sa sortie et plantait son aiguille dans les veines de l'assassin. - ...de lire dans les pensées...étrange non ? Jean n'en croyait pas un mot. Là, il est en debriefing, je vais les rejoindre. Nous allons positionner nos vaisseaux dans deux heures. Oui, nous avons des Amis, Ari me pardonne, qui vont avoir forcément un peu d'avance sur nous... Jean ne semblait pas comprendre. Je serais « peut-être » traduit par le parlement pour ça, mais toi et tes maudits opposants terroristes vous en avez terminés avec la^politique cyrénaïque. Si ton Dieu t'en prête le temps, tu vas bientôt pouvoir les rejoindre. Ceux qui vont nous aider àvous « appréhender » sont moins cléments et plus expéditifs que notre bien aimé gouverneur ! Non, murmurait Jean - au fait, il te reste douze heures ! Antisthène avait fini l'injection, rangeait son matériel. Le debrieffing fût des plus courts et Denior des plus précis. Positions du système et contact sur la planète étaient donnés. Il allait prendre un repos mérité, l'exercice mental auquel il s'était adonné était des plus difficiles. Au même instant, les flottes néo romaines, avec l'autorisation conjointe de Cesco et d'Anaximandre, recevaient, deux heures plus tôt, les coordonnées du repaire des têtes pensantes du réseau néo monarchiste... | ||
Rosa L. Respect diplomatique : 1595 26/01 ETU 09:44 | Score : 4 Détails Emilio était resté en retrait, préférant laisser le sale boulot à Antisthène et Denior.
Mais, à la fin du débriefing, il ordonna la mobilisation de ses flottes en direction des systèmes et des planètes concernées. Ils fallait les éradiquer....ces monarchistes qui avaient plongé Aristippe dans le coma ….et rendu Rosa hystérique! "Il est à toi si tu veux ! Plus que 22 minutes...Dépêche-toi" Emilio entra dans la pièce où était détenu Jean. Le terroriste était bien mal en point, il ne lui restait plus beaucoup de temps. "Pourriture ! Ignominie de la nature ! Je ne vais pas d’aider à mourir, je vais simplement admirer le spectacle." "Je ne n’ai pas peur de la mort…tant que le Gouverneur ne se relève pas !" Dit-il d’une voix faiblarde. "Tais-toi Vermine ! Garde ton dernier souffle pour l’annonce que je vais te faire." Emilio le regarda froidement, les bras croisé. Sur son visage, on pouvait voir un rictus de satisfaction. "Plus que 13 minutes !" Soudain le x-com d’Emilio vibra. C’était le Général-Louis. Il se trouvait dans la chambre d’Aristippe, à l’hôpital. Les nouvelles sont encourageantes. Les médecins viennent d’annoncer que le Gouverneur s’en sortira. Il aura besoin de beaucoup de repos mais il va s’en sortir. A ce moment là, Antisthène et Denior, venant de recevoir le même message, entèrent dans la salle de spectacle. "Nous te rejoignons pour admirer la scène et surtout sa tête !" "Vous êtes ici chez vous ! Plus que 5 minutes !" Tous avaient déclenché le compte à rebours. Et dans la derrière seconde, Antisthène balanca à la face du terroriste : "Au fait Jean, le Gouverneur va s’en sortir ! Quelle sacrée bonne nouvelle pour toi ! Mourir pour rien !" Le délai de 12 heures était passé. Jean se mit à trembler. La salive lui sortait de la bouche, ses oreilles saignaient. Aucunes paroles supplémentaires, juste un regard de déception. "Va en Enfer !" | ||
Rosa L. Respect diplomatique : 1595 26/01 ETU 16:08 | Score : 4 Détails Avec un mal de tête épouvantable, Rosa s’éveilla.
Seule dans sa chambre. Bizarre….elle pensait pourtant que Wyatt serait encore là….étrange de la part de celui qui se réclame être son pseudo neveu ! Elle ne comprenait pas son absence. A moins que….à moins qu’Aristippe soit sauvé ! Elle se précipita hors du lit, se passa un coup d’eau sur le visage…..son visage douloureux….. Elle se regarda dans la glace. Horreur ! Malheur ! Défigurée, Rosa devait se rendre à l’évidence, elle était affreuse ! Un gros bleu sur une mâchoire enflée ! Le choc fut rude à encaisser….puis elle se souvint....Wyatt....sa crise de paranoïa....la piqûre....l’hystérie....puis le trou noir. Ce maudit garnement m’a collé une mandale ! Il va me le payer ! Je lui réserve une belle surprise pour son mariage… Encore faut-il pouvoir y aller…..Ari, mon trésor, comment vas-tu ? Elle quitta sa chambre, pas rassurée de son aspect physique, pour se rendre dans le box 4. Elle frappa à la porte, discrètement, et reconnu la voix de Louis l’invitant à entrer. "Tiens Rosa, c’est toi ! Comment te sens-tu, j’ai eu vent de ton histoire." "N’en parlons plus veux-tu ? Je n’en suis pas fière, tu vois. Comment va-t-il ?" "Il vient de reprendre conscience. J’ai prévenu Antisthène, Denior, Emilio et les autres aussi" "Merci à toi Louis ! Je suis une moins que rien ! Je n’ai pas été à la hauteur ! J’ai honte" Rosa s’approcha doucement du lit de son Amour, et se pencha délicatement pour lui déposer un doux baiser sur le front. Ari ouvrit les yeux, soulagé de la voir. Et d’une voix tremblante, il lui dit : "Egérie, tu as vu ta tête," "Idiot va ! C’est tout ce que tu trouves à me dire" | ||
Rosa L. Respect diplomatique : 1595 29/01 ETU 14:00 | Score : 3 Détails Franchement, mais alors franchement, je suis désolée pour le triple post mais il y a eu erreur de salle de la part de mon cher et tendre amour.^^
Ils avaient quitté l’hôpital en catimini pour se rendre au mariage de Félinia et Wyatt. En effet, les médecins avaient formellement interdit au Gouverneur de quitter sa chambre mais celui-ci, têtu comme une mule, avait fui discrètement avec sa Belle. "Quand nous serons arrivés sur Cyrène, j'irai m'allonger. Viendras-tu avec moi ou as-tu des affaires à régler ?" Ils venaient d’arriver sur Cyrène et plus particulièrement, dans la chambre de Rosa. Ari souffrait le martyr mais ne semblait pas vouloir retourner à l’hôpital. "Fais ce que tu veux Amour ! De toutes façons, je n’y peux rien. Quand tu as une chose en tête." Et justement, il avait quelque chose en tête. Le message qu’il avait reçu de la part de Anthisthène semblait l’inquiéter et le rassurer à la fois. Rosa, par souci de le ménager, ne souhaita pas l’interroger sur l’avancement des actions. "Alors, tu restes avec moi ?" "Tu es épuisé ! Je ne veux pas te déranger plus longtemps. Car, si je reste, ton mal de dos risque de s’accentuer" En prononçant ses mots, Rosa repartit en direction de la porte. "Profite bien de ta petite sieste!" | ||
Aristippe Respect diplomatique : 906 02/02 ETU 09:56 | Score : 4 Détails Il venait de rentrer de l'Assemblée...
Il avait fait préparer leur appartement pendant ce temps... Les volets étaient clos, il n'y avait aucune lumière si ce n'était celle des quelques bougies qui ornaient l'appartement... L'on sentait en entrant, le délicieux fumet d'un doux repas. tout était parfait...à l'exception des petites douleurs dans le dos... Elle avait ramené des pilules rouges du Sansualis...Elle avait dit que c'était l'équivalent de bonbons à la fraise... Renseignements prit, ce n'tait pas tout à fait ça... Il passa un peignoir de satin noir en l'attendant, dans l'âtre, un feu magnifique. Il passa de la musique en fond (Requiem, K.626 - Mozart par Walter)... Un signal sur son X-com. Elle arrivait ! Il se précipita dans l'entrée, du vestibule, elle ne pouvait rien voir. Ils commencèrent par s'embrasser. "Tu es léger vêtu dis-donc, lui dit-elle, passant les mains sous celui-ci, elle s’aperçut avec surprise qu’il ne portait rien… Souriant, Il sortit de la poche de son peignoir un foulard, opaque…Qu’il portait à ses yeux pour qu’elle ne puisse plus voir… L’idée l’amusa, elle souriait… Maintenant aveugle, elle appréhendait le déplacement dans l’appartement qu’elle connaissait bien maintenant mais Lui fit confiance. Elle sentit se laisser diriger vers le salon, la musique était discrète et vibrante, forte de l’émotion des chœurs ! Il l’amenait vers le canapé. Il commença par l’embrasser de nouveau, effleurant d’abord à peine ses lèvres… Puis de ses mains parfumées, il caressa son visage, d’abord du bout des doigts, puis il prit son visage de ses deux mains et près de ses oreilles susurra un je t’aime et embrassa délicatement le lobe de son oreille qu’il saisit un instant dans sa bouche… Elle était toute excitée de cette inattendue expérience, ce qu’Il pouvait être surprenant, parfois, son Philosophe… Il porta la main à ses vêtements. Il les enlevait, doucement, les laissant glisser sur sa superbe peau… Les gestes étaient lents, les caresses douces et l’on eut dit qu’Il voulait reconnaître de ses mains chaque centimètre carré de son corps. Elle était maintenant en sous-vêtement, les corps étaient en émoi, n’y tenant plus elle s’était emparé de Lui l’enlaçant pour mieux apprécier le fougueux baiser qu’ils échangeaient. Lui, fou de désir, laissait ses mains parcourir ce corps fabuleux, recherche de mille trésors insoupçonnés. Il la bloqua sur le canapé, elle avait les deux mains prises au-dessus de sa tête il l’embrassa dans le cou et lui souffla un « attends… » Elle était allongée, quasiment nu, foulard sur les yeux, cette vision était une merveille, son corps était incomparable, le désir était grand. Il se laissa la contempler sans la toucher, les deux corps réclamaient leur tribut… Il saisit une rose qui était sur la table, la passa dans son cou. La douceur délicate du pétale La fit frissonner de plaisir. Délicatement, il parcourait son corps à l’aide de cette fleur qui était aussi son doux prénom… Les deux désirs étaient à leur paroxysme, Il commença par embrasser doucement ses pieds puis remonta le long de son corps, la couvrant de baiser, comme s’il voulut, de sa bouche et de sa langue, goûter chaque centimètre carré de son corps… Ils étaient maintenant nus, tous les deux. Assis l’un en face de l’autre, le désir à son comble, Il retira son foulard et elle ne fût pas agressée par la lumière qui était hautement tamisée. Elle lui sourit, se mordant la lèvre inférieure. Il lui sourit. Ils savaient ce moment d’intense désir indéfinissable et ils se regardèrent, longtemps, ne sachant lequel des deux lâcheraient les vannes de la passion pour se ruer sur l’autre. Tout était dans le regard, ce n’était pas un combat, c’était l’Amour. Ils se décidèrent au même moment. La nuit fût longue, torride mais surtout pleine d’un Amour alors inconnu des deux amants… | ||
Rosa L. Respect diplomatique : 1595 02/02 ETU 14:50 | Score : 4 Détails L’attente et les retrouvailles avaient été à la hauteur de ses espérances.
Une fois encore, Aristippe ne l’avait pas déçue. Seul Lui détenait le secret pour l’étonner, Seul Lui pouvait la surprendre. Elle aimait cet homme du plus profond de son être. Quand ils se réveillèrent, en position fœtale, les effluves de parfum embaumaient encore leurs deux corps nus. Elle se blottit si fort contre Ari, comme pour lui transmettre tout son Amour, comme pour tenter d’entrer dans son corps et dans son esprit: Les pilules rouges avaient eues l’effet escompté….il était si mal en point qu’elle avait préféré lui offrir des ‘bonbons à la fraise’….histoire qu’il ne manque pas de sucre ! Puis, elle se tourna vers, pour l’admirer, pour le sentir, pour l’embrasser… "Je t’aime Gouverneur…n’en doute jamais" Lui susurra-t-elle à son oreille. S’écartant doucement de lui, son regard en disait long….cette nuit, ils venaient de passer une étape importante dans leur existence. Posant un dernier baiser sur le front de son Amour, elle quitta le lit. "J’ai adoré ton petit jeu d’hier. Tu recommences quand tu veux ! Mais avant cela, il faut nous trouver un Chez Nous !" Elle ne voulait respirer que pour lui, elle ne voulait vivre que pour Lui. | ||
Rosa L. Respect diplomatique : 1595 04/02 ETU 17:05 | Score : 6 Détails Pendant un long moment, Rosa resta assise, pensive sur le sofa.
Elle réfléchissait, elle s’interrogeait, elle s’inquiétait. Quand Aristippe vint la rejoindre, il était surpris de son regard, noir, méchant, déterminé et machiavélique. "Que t’arrive-t-il Amour ? Pourquoi une telle haine dans tes yeux ? Je ne te connaissais pas ainsi, tu me fais peur." "Ne t’inquiète pas surtout. Ce n’est pas à cause de toi mais les dernières nouvelles d’Emilio sont surprenantes ! Il a vendu massivement toutes nos flottes ! Quel intelligent !" "Il a eu raison, crois-moi, nous avons tous fait la même chose. Nous ne voulons pas combattre, c’était le meilleur moyen Rosa." Il avait bien entendu raison…comme souvent d’ailleurs. Elle l’aimait tant, elle était prête à sacrifier sa vie pour Lui. Elle était même incontrôlable. Dés qu’Ari s’approche d’elle, elle se sent partir vers d’autres horizons...bonheur intense...plaisirs exquis. Elle devenait dépendante de lui et lui, dépendant d’elle. A la vie, à la mort….. "Et si nous partions ? Là maintenant, ensemble ? Juste pour quelques temps, pour un endroit meilleur qu’ici ? Me suivrais-tu ?" Il la regarda, éberlué par sa demande, plus qu’alléchante. Elle sentait bien son hésitation mais espérait quand même….pour quelques jours ou pour toute la vie, s’enfuir pour une escapade amoureuse, loin de tout se remue ménage qui l’agace. "Chiche ? Va chercher ta brosse à dents !" | ||
Aristippe Respect diplomatique : 906 13/02 ETU 08:44 | Score : 5 Détails Ari se préparait à rentrer à l'appartement...
Il savait avoir deux jours de retard sur le rdv prévu. Il savait aussi que Rosa pouvait être colère...surtout qu'ils avaient ce rdv dont Ari n'avait pas pu tenir l'engagement... Le bouquet de fleur et le parfum feraient-ils leur office ? Il arriva à la porte de l'appartement et déjà le ton était donné. "Ne dérangez pas" Avait été rajouté au crayon sous la pancarte: "tu es gouverneur ou représentant d'Ambassade, tu peux entrer mais re-sortiras-tu ?" Il ne manquait que le "vivant" après la phrase... Non, se dit Ari, Elle n'est pas comme ça, mon Egérie... Se préparant à tout, il ouvrit la porte et commença d'entrée à se méfier...Y avait-il un seau au dessus de la porte...Des choses au sol... Pour l'instant, entrer en territoire potentiellement "hostile" se faisait sans encombre... Rosa dormait, sur le sofa, elle s'était endormie, attendant son Amour... Il devait être très occupé ! Mais tout de même, un X-com en deux jours, Il devrait payer, Elle toute prête à l'accueillir ! Un léger souffle d'air la réveilla ! Il entrait, vite, une rasade de champagne, histoire de se donner le coup de fouet nécessaire, réajuster la robe de chambre... Il était là, il ne repartirait pas ! Il devait du temps et Elle savait qu'Elle était en droit de le réclamer ! Ari aperçut Rosa qui se passait la main dans les cheveux... "Mon Egérie..." lui dit-il... "Mon Loulouverneur…"lui répondit-elle, plus acerbe... Elle était en petite chemise de nuit de soie et ne semblait pas vêtu pour le sommeil... "Dis donc, ton x-com ne marche plus..." "Mais pas du tout, tu sais la politique..." Elle le coupa d'un geste ! « Non ! Pas un mot, je me moque de tes excuses, je sais à quel point et comment ton emploi du temps va déborder..." D'un geste elle fit tomber sa robe de soie et Ari eu les yeux grands ouverts dévisageant son Egérie comme s'il la voyait pour la première fois... Elle portait une élégante lingerie de dentelles noires très suggestive et regardait le gouverneur d'un regard très coquin... "Peu importe l'heure, Loulouverneur, c'est Moi, ou la Politique, là maintenant, tout de suite..." Sûre de son effet, heureuse de son action et sachant que le but était atteint, Rosa se retourna et s'engagea vers le couloir de la chambre... Ari ne quittait plus sa compagne des yeux, envouté par ses charmes… Il déposa bouquet et parfum et poursuivit son Egérie dans le couloir... | ||
Rosa L. Respect diplomatique : 1595 13/02 ETU 17:55 | Score : 5 Détails Encore une fois, Rosa allait passer pour la délurée de service, assoiffée de plaisir et de bonheur…et d’extase !
C’est pas faux…..certes, mais bon, un peu d’intimité de la dérangerait pas ! Toujours est-il qu’elle n’appréciait pas le lapin que le Gouverneur lui avait imposé. Et, pendant l’attente, elle avait tout manigancé. Elle l’aime, c’est certain ! Mais, de là à l’attendre, à renoncer à ses excuses et à agir comme une épouse-non-mariée bien docile, il y avait des limites…….franchies hier par Aristippe ! "Je suis heureuse de te voir, quand même. Tu viens rechercher du réconfort ? Tu es au bon endroit mon Amour !" Rosa dirigeait maintenant Ari vers la salle de bain. Il la regardait, bouche béante. Des bougies illuminaient la pièce et une odeur d’eucalyptus se répandait grâce à la vapeur du bain chaud qu’elle venait de préparer pour lui. "Egérie, je savais que je pouvais compter sur toi ! Je t’aime tellement" S’approchant de lui, elle entreprit de le dévêtir. "Détends toi mon ange. Profite donc de ce rare moment." A ce moment là, le gouverneur se laissa faire….. Et, à peine avait-il eu le temps de tremper son pied gauche dans la baignoire : "Ah ! Ah ! Tu veux ma mort ?!!! Quelle mouche t’a piqué ? Tu es folle !!!!" "Pas folle la mouche ! Non pas du tout ! Frustrée ! Simplement ! Tu crois que tu peux faire comme tu veux avec moi ? Décider quand et où tu peux me voir ? Et que moi, comme un toutou, je vais accepter sans mots dire ? Tu te mets le doigt dans l’œil Loulouverneur !" Inutile de préciser que l’eau du bain était glaciale……juste pour l’aider à remettre ses idées en place ! Ari, frigorifié, se couvrit avec une longue serviette et partit en courant vers la chambre. Rosa le suivit et, quand elle rentra dans la pièce, il était emmitouflé dans l’édredon. "Tu ne m’aimes plus ? C’est ça ?" "Idiot va ! Bien sur que si ! Ce que je n’aime pas : ATTENDRE ! J’espère que tu as désormais compris que je ne suis pas du genre à poirauter ! Et si tu es déçu, change de femme !" Après sa petite blague rafraîchissante et sa mise au point, elle s’approcha du lit et le chevaucha. Ses lèvres touchèrent les siennes puis, elle descendit dans son cou. Les frissons apparaissant, la confiance était revenue…..elle en profita pour lui faire un gros suçon ! "Mais arrêtes enfin !" "Jamais !" Elle se pencha ensuite vers le tiroir de la table de chevet pour y prendre deux foulards en soie. Elle attacha la main droite…puis la main gauche du Gouverneur sur la tête de lit. "Tu vois Gouverneur, je t’aime mais moi aussi j’ai des affaires urgentes à régler ! Tu vas savoir ce que c’est que d’attendre ! Ne m’en veux pas mais il faut que j’y aille !" Elle déposa un baiser sur son front et quitta la chambre comme une furie. "Non ! Tu ne peux pas faire ça ! Reviens ! Reviens !" Trop tard, il entendit la porte claquer. "Je me suis laissé berner ! ROSA ! ROSA ! ROSA" | ||
Aristippe Respect diplomatique : 906 16/02 ETU 09:30 | Score : 7 Détails Il y a quelques jours...
Rosa venait de sortir, vêtue pour aller rejoindre l’AG… Elle avait prit le temps de se vêtir devant Aristippe qui était entre colère et rire. D’un geste délicat, elle déposa un baiser sur le front du « Loulouverneur » et à l’aide d’un bâton de rouge à lèvres, écrivit l’heure et la date. Ari était rouge de colère et ne desserraient pas les dents. Rosa quitta la chambre en un clin d’œil amusé… "Je me suis laissé berner ! ROSA ! ROSA ! ROSA" Ce n’est que 10 minutes après avoir entendu la porte qu’il sentit que pour lui, la blague de Rosa tournait au vinaigre ! « Quel sale caractère !!! »hurla-t-il sur le moment. Son x-com vibra. Une fois. Deux fois. Trois fois. Loin sur une chaise de la chambre, dans sa veste… Quelques instants plus tard, l’on entendait frapper à la porte de l’appartement… Antisthène et deux gardes républicain Cyrènaïques pénétrait dans l’appartement du couple. « Gouverneur » lançaient les trois hommes, pénétrant en armes pour repérer les lieux. Antisthène, général en chef des armées Cyrénaïques, ami d’enfance intime du gouverneur, avait vu Rosa sortir et prendre une navette seule. Il était l’auteur des x-com reçus plus tôt et les non réponses l’avaient alerté. Connaissant les manies du couple pour le jeu, il pénétra dans la chambre…et sourit à la vue d’Ari qui rougit et ferma les yeux en voyant son Ami… « Soldats vous pouvez sortir de l’appartement, Notre Gouverneur se porte bien ! » Les soldats s’exécutèrent aux ordres de l’officier général. Antisthène souriait. « Vous m’aurez tout fait tous les deux. Bien, faisons rapide ! » «Oui détache moi, qu’on en finisse, je suis colère ». « Bon, je te fais un résumé des interventions à L’Ag, avec un hologramme je pourrai te faire intervenir par télécommunication, bien alors voilkà qui est intervenu…» «Mais détache moi !!! ». « Et risquer la colère de Rosa…t’es fou, mon Ami !!! Si elle apprend que c’est moi qui t’es détaché, qu’est ce qu’elle va faire…elle nous fait peur, tu sais !» Antisthène souriait. Il été au bord des larmes. « Et Ca me rappelle notre jeunesse, à la fac !!! Ce que t’as l’air con. Sérieusement, je vais doubler la garde, et prendre une photo, rien que pour moi ! !» «Antisthène », non pas toi ! ». Photo fut faite, Antisthène amusé et Aristippe encore plus en colère. Ari devait bien reconnaître, avec mal, que cette affaire relevait du domaine privé et qu’Antisthène n’y entrait pas, ou presque pas. Les détails des réponses du gouverneur étaient données, cela ne l’empêchait donc pas d’intervenir maintenant. Force était de constater la puissance de l’esprit capable de se mobiliser en toute circonstance. La punition était là mais Ari ne la digérait pas. Rosa devrait payer ! De nouveau seul, Ari devint bovin. Il ruminait ! | ||
Rosa L. Respect diplomatique : 1595 18/02 ETU 11:21 | Score : 3 Détails Non contente d’avoir dupé le gouverneur de ses rêves, Rosa avait eu l’audace de menacer "gentiment" Antisthène.
"Je n’aime pas quand il m’oublie, que ce soit volontaire ou pas, cela me rend triste et nerveuse." "Très bien Rosa, je ferai comme ça. Soyez en certaine. " "A charge de revanche, mon ami !" Antisthène jouait le jeu mais, il n’en demeurait pas moins dubitatif quant aux mœurs du couple. De retour sur Cyrène, Rosa croisa le général en chef des armées de sa patrie d’adoption. "Le plan a fonctionné à merveille, Rosa. Je crois d’ailleurs qu’il va m’en vouloir à vie !" "Mais non voyons ! Il n’est pas rancunier sauf en ce qui me concerne ! Je crains le pire. Avez-vous la photographie ?" "Elle est splendide !" Antisthène fit un clin d’œil à Rosa avant de tourner les talons. Elle inséra la carte magnétique dans la serrure de la porte et pénétra dans la suite, d’un pas félin. Un silence de mort régnait à l’intérieur de la suite. Elle s’allongea quelques minutes sur le sofa comme pour évacuer son stress…regrettait-elle son geste ?...non, elle assumerait jusqu’au bout. Soudain, elle aperçu un bouquet de roses rouges et un paquet magnifiquement emballé. "Serait-ce pour moi ?" Elle ôta délicatement le papier et découvrit un flacon de parfum. Curieuse, elle s’en aspergea, odeur subtile, douce et chaude à la fois...elle voulait le remercier et se dirigea vers la chambre. Aristippe semblait dormir profondément mais son visage était loin d’être détendu. Rosa pouvait y lire toute sa colère ! Elle détacha ses deux mains de la tête du lit… puis, se lova contre lui… aucuns mouvements du Gouverneur…elle s’endormit. "Tu vas me le payer mon Egérie !" Marmonna-t-il entre ses dents. A ce moment là, il lui donna un grand coup de pied ! Bim, Bam, Boum ! En deux temps trois mouvements, Rosa se trouva éjecter du lit, assise par terre, éberluée ! "Et ce n’est que le début ma Belle !" Lui balança-t-il fièrement. "Je m’en doute Loulou, mais en attendant, je vais encore avoir un gros bleu !" "Et ? Personne ne le verra à part moi !" Tout en haussant les épaules pour marquer son dédain, Rosa alla dans la salle de bain et revint avec un grand seau d’eau froide.. "Dans ce cas, chéri bibi, les prochains jours risquent d’être très mouvementés !" Elle vida l’eau sur Aristippe et partit en courant vers le salon, pour se cacher ! |
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