Forums galactiques > Assemblée Galactique : diplomatie officielle > Ari, un Ami qui Lui veut du Bien......
Rosa L. Respect diplomatique : 1595 16/01 ETU 07:13 | Score : 12 Détails RP avec Aristippe et sur invitation.
Rosa quitte la maternité en premier, chassée par une Félinia exténuée, pour retourner dans sa chambre.(la chambre est sur la planète-Mère d’Ari, visite à la suite de son divorce.) Elle n’oublie pas son rendez-vous avec Ari. Elle retire la tenue qu’elle traînait depuis deux jours et se dirige vers la salle de bain. Elle ouvre le robinet, règle la température, vide le flacon de bain moussant et se glisse dans l’eau. Un moment de détente ne lui ferait que du bien. Elle aimerai bien prendre un bain avec Ari. Pendant un court instant, elle songea aux derniers événements passés. Les fiançailles des deux tourtereaux, Sara et Siegfried. Les farces d’Hétag. Ses frasques avec Aristippe, L’explosion du vaisseau d’Arthérius. La naissance des jumeaux Arthérius Junior et Anko. Elle pense à Félinia, seule dans sa chambre avec les enfants…. J’espère que Wyatt lui a rendu visite. Rosa s’était assoupie et une heure s’était écoulée quand soudain, quelqu’un tambourina à sa porte. Elle sort délicatement de la baignoire, s’enveloppe d’un peignoir et s’approche de l’entrée. "Qui est-ce ? C’est déjà toi?" "Oui très chère….tu me manques !" Dit-il en rigolant. "Je ne suis pas prête !. Attends dehors !" "Pourquoi ? Tu n’es pas habillée ?" "En peignoir !" "Euh…Rosa….je te rappelle que je t’ai vu moins vêtu que ça !" Rosa ouvre instantanément la porte. "Non mais tu es cinglé ! Quelqu’un pourrait t’entendre !" Elle le tire par la cravate….vite fait, bien fait. "Au secours la discrétion !" Ari se mit à rire. "Alors mon amie, on fait quoi ce soir ?" Elle hausse les épaules et retourne dans la salle de bain. Un court instant plus tard, elle en ressorti avec un rasoir à la main. "Ce soir, je te coupe la moustache…..comme ça, tu boiras pour oublier !" | ||
Aristippe Respect diplomatique : 906 16/01 ETU 09:51 | Score : 11 Détails Aristippe était bien décidé à en découdre avec son Egérie qui ne tarderait pas à devenir la vilaine espiègle !!!
Rosa dévisageait Ari avec un grand sourire et rasoir en main lançait des « couic-couic »... « Un petit bisous, lança-t-elle - Non, pas tout de suite... Au fur et à mesure qu'ils parlaient, ils se déplaçaient vers le salon de la suite et arrivèrent au niveau de la table... Chacun en gardait une extrémité et Rosa, peignoir mal ajusté, voyait bien où les yeux d'Ari portaient... - Bah alors, approche mon grand...je vais pas te mordre... - Bah tiens, rétorqua Ari La lutte allait commencer...transportés qu'ils étaient par la fougue, ils en oublièrent qui ils étaient, ils en oublièrent où ils étaient, et dans un jeu amoureux, telle une parade, c'était elle qui courrait après lui et lui qui tentait d'échapper au dangereux rasoir qu'elle avait dans les mains ! - T'y tiens vraiment, lâcha-t-elle entre un souffle dû à la course et un rire dû à la situation de jeu... - Là, maintenant, plus que jamais ! S'amusait Ari, laissant le jeu l'emporter sur les priorités... Il était hors de question pour lui de ne pas jouer, sans gagner un prix ! Le jeu en valait-il la chandelle...Pas une seconde il s'interrogea sur la volonté de son Egérie et prit entièrement la part de jeu qui lui était dédié ! Le jeu tournait à la bataille, pour empêcher Ari de tourner correctement autour de la table, Rosa renversait les chaises et Ari, croyant lui échapper plus vite, se précipita par dessus la table et la renversa en hurlant un : - tu ne m'auras pas comme ça ! »... Arrivé devant l'entrée de la salle de bain, le jeu fût suspendu par un bruit lourd sur la porte de la suite... ari avait oublié les gardes du couloir, service mis à disposition des invités de marque fort nombreux en ce moment sur Cyrène ! Il reconnut la voix d'Antisthène: « Gouverneur, tout va bien ??? - ouvrez moi ça, déclama-t-il péremptoirement. Ari, entrevit le ridicule de la situation et, chemise « débraillée » et vêtements dans tous les sens, que penseraient les soldats de cette scène... Il ne vit qu'une seule solution... | ||
Rosa L. Respect diplomatique : 1595 16/01 ETU 10:16 | Score : 9 Détails Ari était caché sous l’eau, en apnée.
Rosa, allongée sur lui, dans la baignoire, Seule, sa tête dépasse. Mais, il fallait faire très vite car son peignoir commençait à gonfler et à remonter à la surface. Quand le Général Antisthène, un fidèle ami et intime d’Aristippe, entra dans la chambre, il devait se rendre à l’évidence. "Un ouragan est passé par là Madame ?" Rosa fît mine d’être surprise. "Mais que dîtes-vous ? Je ne vous entends pas" Ari, qui voulait reprendre sa respiration, remonte à la surface. "Tu es mignon avec toute cette mousse sur la tête !" Ils s’apprêtent à s’embrasser quand Antisthène s’approche de la salle de bain. Elle lui donne un coup sur la tête. "Madame, c’est moi, Antisthène ! Je rentre !" "Bonjour, j’ai eu une journée très difficile aujourd’hui !" "Je m’en doute ! Vous n’avez pas vu Aristippe ?" "Euh, non. pourquoi serait-il avec moi, hein ?" "J’ai cru entendre sa voix, voilà tout Quelle pagaille ici !" Il cherche partout dans la pièce, persuadé qu’il avait raison. "Je vous ai dit qu’il n’était pas là !" "Je vois, je vois !" Il doit sans doute se cacher ! "Bon, vous ne voyez pas que je prends un bain ? Vous pouvez sortir maintenant !" "Bon d’accord…Trouvant un prétexte pour rester. Vous désirez boire quelque chose ? "Ah non ! Pas de boisson ! Salut ! Allez allez !" Antisthène tourne les talons et stoppe son mouvement dans le chambranle de la porte. "Vous êtes certaine ? Même pas de champagne ?" "Pour la dernière fois, je vous ai dit non ! Sortez ! Sortez !" "Très bien ! Ca va !" Il quitta la pièce pour de bon, cette fois, et Ari en profite pour reprendre, une nouvelle fois, sa respiration. "Ca va ? Je suis désolée mais ton général-je-m’incruste ne voulait pas partir. Il a demandé si je voulais du champagne." "Du champagne ? Je boirai bien un double-whisky moi !" "Hé, général !" Ari retourne sous l’eau lorsque le général revint. "Oui, en fait, je vais prendre une bouteille de champagne, avec deux coupes et un double-whisky avec glace." Rosa sursaute lorsque Ari lui pince la cuisse. "Non, sans glace !" Le général Antisthène acquiesce d’un signe de tête et cligne de l’œil. "J’en peux plus ! De l’air !" C’est à ce moment précis que Rosa s’empare du rasoir, posé sur le rebord de la baignoire. Elle bloqua la tête de son ami entre ses cuisses et d’un coup sec mais prudent, lui ôta la moitié de sa moustache. "Me voilà bien maintenant ! J’ai une notoriété à tenir moi !" Rosa avait gagné mais elle allait s’en doute le payer très cher. | ||
Aristippe Respect diplomatique : 906 16/01 ETU 16:20 | Score : 8 Détails Ari était posté devant la glace de la salle de bain et ne décollait pas les yeux de cette moitié de moustache...
Le silence commençait à peser et le rire de Rosa à la vue de la demi-moustache d'Ari s'estompait...Elle commençait à craindre qu'il ne se soit véxé... Rosa fît mine d’être triste...puis s'inquiéta vraiment ne voyant pas de réaction "Mais ça va ??? - Oui... Il marqua une pause sans tourner le visage du miroir...posa sa main gauche sur sa lèvre supérieure... - Donne moi des ciseaux, je te prie... Rosa s'exécuta et les tendit à Ari...Qui en s'en emparant, fixait la chevelure de Rosa...Elle eu un mouvement de recul.. - Ne t'inquiètes pas, sourit-il, je ne suis pas rancunier, ni même déçu...Les ciseaux, c'est pour couper le reste... Il coupa ce qui restait...avec un grand sourire en direction de sa Douce...qui était rassurée par ce ton et ce sourire ! Ari n'était pas de ces hommes pour qui l'apparance comptait. Elle ne comptait que dans la mesure ou cela pouvait gêner son rôle de représentaant du Peuple. Là, une moustache n'était rien. Il se sentait à un tournant de sa vie et tout revirement amène un changement. Ce petit changement dans son apparence mpouvait être le départ - Malgré tout, tu devras me « payer » cette moustache, un jour ou l'autre...Elle aura son prix, en temps et en heure, un jour, il faut t'y préparer ! Il eut un grand sourire...il savait déjà, mais attendrait, avant de demander ! Ayant terminé le rasage, Ari paraissait d'un coup plus jeune, ce qui eut l'air de ravir encore plus Rosa...Outre le jeu commencé, ils étaient enchantés par leur échange visuel... Ils entendirent sonner à la porte de la suite... - Oui ! s'exclama Rosa... - c'est le service de restauration, Madame ! - Entrez je vous en prie, posez ça...où vous pouvez ! - Le général Antisthène me fait vous dire qu'il a choisit le whisky préféré de votre compagnon...la voix semblait gênée...Il a dit que vous, enfin tous les deux, vous comprendriez...Dois-je ajouter quelque chose ? - non, répondit Rosa Ils s'étaient maintenant rapprochés. Aristippe enlaçait Rosa et ses mains sur ses hanches rapprochaient les deux corps jusqu'au contact. Leurs yeux pétillaient. Le regard était profond et le temps semblait infini. C'est Rosa qui interrompit le silence: - Nous pouvons boire, là... - C'est comme si nous avions bu, l' alcool est dans l'autre pièce...rétorqua Ari, d'une voix douce. Il passait la main dans les cheveux de sa douce Egérie qui appuyait sa tête dans le creux de sa main. Il attira son visage près du sien et l'embrassa, d'abord doucement puis de plus en plus langoureusement... Il s'arrêta, la prit dans ses bras, elle se blottit dans son cou et ils rejoignirent la chambre de Rosa... La bouteille était restée avec les verres dans le salon...Aucune folie ne passait dans cette passion naissante... Antisthène intercédait auprès du chargé des renseignements pour que les communications vers le x-com d'Ari, son ami d'enfance et celui de Rosa, soient interceptées et envoyées dans deux heures seulement...S'il y avait de vraies urgences, il serait toujours temps de les chercher, puis de les déranger... | ||
Rosa L. Respect diplomatique : 1595 16/01 ETU 20:17 | Score : 6 Détails Aucune folie ne passait effectivement dans cette passion grandissante.
Elle le dévergonde, comme elle aime à lui dire. Elle apprécie ce petit jeu ….. Bien que chacun d’eux ne l’admette, leurs sentiments se renforcent et nul ne pouvait désormais nier leur complicité…..amicale. Ce qui se passa dans la chambre restera confidentiel. Soudain, Ari reçu un X-com. "J’espère que c’est important ! Il ne devait pas me déranger" C’était Antisthène. Aristippe lut le message et d’un sourire moqueur, il dit à Rosa. "Mon amie, il faut que je te laisse !" "La belle affaire ! Ben voyons ! Profite de moi, je te dirai rien !" A peine avait-elle eu le temps de lui répondre qu’Ari avait claqué la porte de sa chambre. Vraiment tous les mêmes ! Pour se consoler, elle retourne dans le salon, débouche une bouteille de champagne et avale cul sec une coupe ! A ce moment là, quelqu’un frappa à sa porte. "Non mais c’est pas vrai ! Tu as des remords Ari ?" "Dame Rosa, ce n’est pas Aristippe mais l’un de ses courtiers." Intriguée, Rosa regarda par le judas, et aperçu ce soi-disant courtier, les bras remplis de roses rouges. Elle ouvrit la porte précipitamment. "Dame Rosa, une livraison pour vous." "Ah bon ? Pour moi ? Vous en êtes sûr ?" "Oui Dame Rosa." Le courtier déposa l’énorme bouquet de roses et un paquet sur le sofa avant de repartir d’où il venait. Quelle ne fut pas sa surprise quand elle lut le message ! Ma tendre amie, Je souhaite que tu m’accompagnes au bal auquel Denior m’a convié. Voici une belle tenue de soirée, qui te mettra en valeur. Je passe te prendre dans une demi-heure. Ari, un ami qui Te veut du bien. Quelle froideur dans ces paroles ! Rosa se demandait si Ari avait un peu de sentiments envers elle. "D’accord, tu veux jouer ! Et bien continuons !" Elle déballa le paquet pour en sortir une magnifique robe longue. Elle l’enfila, et, elle ne pouvait nier qu’elle la mettait en valeur. Elle s’occupa des roses rouges après avoir fait un « ravalement de façade » Toc, toc, toc. "Qui est-là?" "La souris!" "Idiot va!" Ils quittèrent ensemble la planète mère d’Aristippe. | ||
Aristippe Respect diplomatique : 906 19/01 ETU 13:01 | Score : 6 Détails Les deux amants avaient rejoint le croiseur amiral de la confédération suivis de près par les agents du bureau personnel d'Ari.
Installés dans le bureau privé d'Ari, Rosa, inquiète s'enquit de ce qui se tramait derrière cet attentat. "Qui sont-ils, Ari ? Que veulent-ils, pourquoi Toi... - Ce sont des monarchistes...des fanatiques politiques.. La confédération démocratiques des planètes était une monarchie de droit divin, avant que le démocratie ne s'installe par une Révolution qui vit l'abdiquation de la royauté face au peuple... Ce fut une Révolution sanglante, le peuple vivait sous le joug des nobles et des privilégiés ! Les choses sont plus compliquées, mais pour résumer, nous nous sommes libérés ! Le Roi a été traduit devant le peuple, et jugé coupable... Ne voulant en aucun cas affirmer la paix, il s'était allié à des puissances étrangères et a trahi la Nation en nous livrant à ces derniers. Il fut exécuté, un 21 janvier, il y a maintenant 216 ans... Ceux qui m'ont attaqué, ce soir, sont des assassins engagés par ses descendants... Ils ne veulent qu'une chose, tuer le représentant de la confédération, tous les ans, le gouverneur doit redoubler de vigilance face à des attaques qui vont de ce que tu as vu à l'attentat à la bombe... C'est pourquoi des agents nous suivent continuellement... Rosa ne connaissait, comme beaucoup, pas les détails de cette partie de l'Histoire de Cyrène... L'x-com du bureau s'alluma et sur l'écran parut Antisthène, général de l'armée de la confédération et responsable de la sécurité du gouverneur : - Ari, je suis désolé, nous avons failli, si la garde euphorienne n'avait pas été là, je ne sais... Aristippe coupa son général, qui doublait ses fonctions de commandeur avec celle de meilleur ami du gouverneur.. - Ne t'en fais pas ami, nous ne sommes pas infaillibles et personne n'échappe à cette règle. Nous n'avons pas été moins vigilant, ils ont été malins et ont profité d'une faille...sois tranquille, nous sommes en sécurité maintenant et nous rentrons... je te vois au debriefing en arrivant... L'écran s'éteint par commande d'Aristippe... - Tu ne dois pas t'en faire, nous Gouverneur de Cyrène sommes entraînés et préparés...Je n'ai pas eu peur pour moi mais pour Toi, pour ce que tu représentes à mon coeur, pour ce qu'ils peuvent te faire... Ils se rapprochèrent et s'étreignirent... - Je t'aime Rosa... - Moi aussi, Ari, je t'aime... Ils s'embrassèrent sur le canapé du bureau, puis dans les bras l'un de l'autre restèrent un moment ç savourer le délice de leur proximité et de leur intimité... | ||
Rosa L. Respect diplomatique : 1595 19/01 ETU 15:24 | Score : 6 Détails Rosa avait écouté attentivement le récit d’Aristippe.
Elle ne se doutait pas un instant qu’avant, la Confédération Démocratique n’existait pas et qu’un régime monarchique oppressait le peuple de Cyrène. Elle voulait savoir si, à cette époque, le roi n’avait pas voulu tenter des réformes économiques ou institutionnelles comme l’égalité de tous devant l’impôt. Si ce dernier n’avait pas voulu aider le peuple mais que c’était plutôt les commandants de Haut Rang qui l’avait bloqué. Bref, elle le questionna et Aristippe, heureux qu’elle s’intéresse à son histoire, répondit à chacune de ces interrogations. "Et ensuite guillotine ! Couic! Zigouiller le roi !" "Tout à fait ma belle !" "Alors, si je comprends bien, je dois souhaiter un joyeux anniversaire à ton peuple ?" "C’est pas possible ! Toujours prête à faire la fête ! Je t’aime Toi, tu sais !" Elle fit mine d’être rassurée mais il n’en demeure pas moins que ce soir, elle avait prit conscience qu’on pouvait lui enlever Ari à tout instant. Et, elle comprit qu’en ayant officialisé leur couple, elle court un grand danger…. Toucher le cœur de l’Homme est parfois bien plus blessant que de le tuer. "J’ai eu si peur." "Je sais mon ange, n’en parlons plus." En un geste délicat et tendre, il l’allonge sur le sofa. Sa belle robe de soirée était désormais à ses pieds et Ari ne portait plus qu’une chemise complètement déboutonnée. Ils se caressent, se dévisagent. Ils s’aiment passionnément. Le voyage sera long et ils ont tout le temps pour se prouver leur amour. La fusion. La symbiose. | ||
Aristippe Respect diplomatique : 906 21/01 ETU 17:59 | Score : 5 Détails Cela faisait quelques jours que les deux amants passaient leur temps cloîtrés dans la suite de Rosa.
Cette dernière, curieuse de connaître au mieux celui qui était l'homme qui s'était emparé de son cœur, lui demanda, juste après le déjeuner, qu'ils avaient pris tardivement... "Ari, nous sommes sur ta planète et pourtant nous passons tout le temps dans la suite que tu m'as gentiment accordée...N'as-tu pas un chez toi, que je pourrais visiter ? des lieux particuliers que nous nous plairions à voir, que tu me ferais découvrir ? Ari fût amusé par la demande. Sombre cynique, Ari vivait dans le confort relatif qu'il estimait nécessaire. Nul faste ne lui était nécessaire. C'est aussi ce qui avait plu au Peuple de Cyrène, qui l'avait élu. Il avait divisé le budget des dépenses de l'Etat par trois, en ce qui concernait ce qu'il nommait, "les frivolités". Non pas que les différents Ambassadeurs ne soient pas reçus dans le confort, il n'envisageait pas qu'il puisse vivre dans le confort absolu, sachant qu'il pouvait exister, dans la confédération dont on lui avait confié la responsabilité, des gens qui soient nécessiteux. La responsabilité de sa fonction inspirait donc le respect envers tous les citoyens et cela, pour Aristippe, commençait par faire preuve de modestie. La règle de son administration était celle qu'il avait imposée. Il fallait recouvrir les besoins stricts et nécessaires. Ni plus, ni moins. Toute dépense ne pouvait être superflue quand un surplus pouvait être dégagé pour être redistribué ! - Je ne vis que dans une modeste demeure, sur Cyrène...Mes bureaux sur Ambassade sont plus confortables…Je ne vis qu’avec le nécessaire… - Et tu crois que cela m’indispose ? Je suis trop bien ou je fais petite princesse, c’est ça ! Lui rétorqua-t-elle sur un ton moqueur. Emmène moi, c’est tout, simplement, comme tu la fais jusqu’à maintenant. - Commençons par les vieux quartiers, nous avons aussi de jolis musées… Ensuite, à 17h00, nous devrons aller au Parlement, pour fêter le jour de notre indépendance. Ils se préparèrent à la sortie. Les gardes républicains qui encadraient le lieu du séjour de Rosa s’organisèrent en prévision de cette sortie. Ils passèrent la journée à flâner de monuments en monuments. Nul ne reconnaissait encore le Gouverneur de Cyrène depuis que ce dernier avait, avec l’aide de Rosa, rasé sa moustache… Les agents étaient discrets autour d’eux et la journée fût un délice fait de rires et découverte de ce qu’appréciait le plus Ari… - C’est superbe, lui dit Rosa, j’aime ta planète et ta capitale, gouverneur, respire la Liberté. -Merci, c’est un beau compliment, qui plairait beaucoup à tous les Cyrénaïques ! Allons nous préparer pour la fête…Elle est simple, ne t’inquiètes pas, elle consiste à lever un verre avec le Parlement pour fêter et se souvenir du courage de nos représentants du peuple de l’époque qui ont su nous délivrer du joug monarchique. - Bah oui, parce qu’après, nous sommes de mariage, mon chéri, notre premier…et peut-être pas le dernier ! Ils s’en retournèrent vers la suite de Rosa, où Ari avait fait livrer de quoi se vêtir pour la soirée. Costume élégant pour le gouverneur, robe de soirée pour Dame Rosa Ils avaient échoué tant de fois…Tous les ans, ce même salut ridicule à la Plèbe, pour la Plèbe en l’honneur de la Plèbe…Il les détestait ! Encore plus cet Aristippe, Républicain entre les Républicains, légaliste qui l’avait, comme ses prédécesseurs, poussé à l’exil…Mais bientôt, cela se terminerait, la Plèbe adorait la République et son Gouverneur. A défaut de pouvoir changer le régime, Il les forcerait à changer de représentant… | ||
Rosa L. Respect diplomatique : 1595 21/01 ETU 19:28 | Score : 5 Détails Rosa était émerveillée par tant de beauté, tant de simplicité.
Les Cyrénaïques vivaient un peu comme les Passionnés. Mais leur différence résidait dans le fait que Rosa souhaitait que son peuple profite de petits bonheurs de la vie, aussi futiles fussent-ils. C’est pourquoi, outre les divertissements présents sur Passionaria, son peuple jouissait d’une rente plus que confortable. Non, il ne s’agit pas de luxe mais simplement d’un nivellement par le haut. "Après tout Ari, il n’y a pas de mal à se faire du bien !" Telle était la philosophie de Rosa. "Pourquoi n’en suis-je pas étonné ?" Lui lance t-il amusé. "Sans doute parce que tu passes un peu trop de temps en ma compagnie Gouverneur !" "Tu es incorrigible, vraiment !" A la suite de cette douce journée, ils rentrèrent ensemble afin de s’apprêter pour la cérémonie du Parlement. Elle enfila une robe longue, rouge, laissant apparaître son dos jusqu’à sa chute de rein. Ce genre de robe lui sied à merveille, et cela plaisait à Aristippe qui n’avait de cesse de la reluquer de façon "alléchée". "J’ai des yeux derrière la tête tu sais. Je sais que tu me regardes ! Alors, au lieu de me dévorer des yeux Gouverneur, habilles toi ! Chacun son tour n’est-ce pas ?" Ari s’exécuta et Rosa aussi ! Elle s’assit directement sur le sofa, croisa les bras, et le scruta en train de se vêtir. "Allez, défilé de mode !" Elle aimait son corps, doux et viril à la fois. Mais par-dessus tout, elle aimait sa stature, sa prestance et son costume trois pièces ! "Tu en as bien profité ? Et bien maintenant, allons-y." Quand Rosa avait proposé de célébrer l’anniversaire de son peuple, elle ne pensait pas un seul instant qu’elle serait conviée à la petite sauterie parlementaire. Elle n’était pas dans son assiette, soudain. Elle paniquait à l’idée de rencontrer les éminents membres du parlement de Cyrène. Elle percevait cela comme une présentation officielle, un peu comme si elle devenait la première Dame… mais sans être mariée. Le chemin fut court entre leur "garçonnière" et l’entrée de l’hémicycle. Aristippe, sous bonne garde (comme Rosa), pousse la porte à doubles battants et se dirige vers le perchoir. Rosa se trouva une petite place, dans un coin, et resta discrète. Aristippe lui, était en plein discours…le même discours que ses prédécesseurs lisaient il y a 216 ans déjà………..le même discours que son successeur lirait. Pendant ce temps, les agents chargés du protocole se dépêchaient de distribuer à chacun des membres présents un verre rempli d’un liquide inconnu. Rosa eu également droit au sien….elle le renifla, intriguée qu’elle était à ne pas reconnaître un alcool ! "Et comme chaque année, chers amis parlementaires, Levons TOUS notre verre en mémoire du courage de nos anciens représentants !" Tous portèrent leur verre au dessus de leur tête tout en inclinant celle-ci. Rosa mima. Puis, ils vidèrent d’un seul coup le liquide. Rosa savait faire ça ! Aristippe se plia aux formalités obligatoires, dignes d’un chef d’état qu’il était, tout en présentant Rosa à ses amis les plus proches. S’isolant un peu, il déposa un baiser sur ses lèvres. "Tu vois ma belle, La torture est terminée !" "Dis moi, cette boisson, tu ne te serais pas servi chez Quaideluz ? Ca ressemble à de l’alcool de bulles !" Murmura-t-elle à son oreille. Inutile de préciser que Rosa avait tenté de dissimuler sa crainte à la suite de l’attentat perpétré contre son Amour. Elle avait été aux aguets pendant toute leur balade, sans relâche sous tension. Aristippe n’était pas dupe non plus. Ils s’inquiètent mutuellement pour la vie de l’autre. | ||
Aristippe Respect diplomatique : 906 23/01 ETU 16:15 | Score : 6 Détails Le Tyran était aigri.
Cet « anniversaire » de la mort de son ancêtre était encore passée par une sordide cérémonie qui faisait passer les milliers d'années ou sa famille avait régné pour de sombres années ou la plèbe avait souffert... Ce n'était que mensonge ! Propagande ! Si la Plèbe avait souffert, c'était d'abord de son incompétence et c'est que Dieu, dans son infinie miséricorde, en avait décidé ainsi ! De plus, elle avait mérité son sort, l'ingrate, avait assassiné son Roi ! Le verrait-il, ce jour béni ou Aristippe de Cyrène pendrait au bout d'une corde ! IL serait l'exemple, il voulait la gloire de la Démocratie, ce petit philosophe non avare de discours abscons... L'Armée Royale secrète basée sur ******* était de mieux en mieux organisée. Avec le temps, les grands aristocrates avaient réussi à placer dans différentes maisons, des complices à la vertu sans faille qui étaient prêts à mourir pour leur noble cause. C'était le cas de Jean... Issu d'une confrérie nobiliaire, il était le fils d'un noble déchu qui avait préféré rejoindre la cause du peuple Cyrénaïque... Ce dernier était une honte pour toute sa famille. Jean comptait bien laver l'honneur de ses ancêtres et de ses futurs descendants... dans son sang ! Depuis plusieurs semaines, le plan se resserrait... depuis quelques semaines, des failles dans la garde du gouverneur apparaissait... Les agents n'étaient pas maladroits, seulement les mouvements du gouverneur, de plus en plus nombreux et aux itinéraires de moins en moins préparés pouvaient donner une chance à Jean d'approcher le gouverneur et de lui porter un coup fatal. Ce n'était qu'un début mais ce serait le début du souffle monarchique renaissant. S'il fallait revenir dans la terreur, alors cela en valait le prix ! Ce peuple devait être reprit en main, par une main forte, une poigne de fer, une aristocratie à même de redonner au peuple l'espoir du retour d'un monarque fort, d'une politique expansionniste qui verrait l'avènement d'un empire galactique revenant, le moment où cette démocratie sans force, sans réelle motivation que celle de vivre verrait sa fin... Aristippe était heureux, ce soir, il voulait faire une surprise à son Egérie. Il avait trouvé un petit restaurant, le Cercle des Anges, que lui avait indiqué Cesco... De folie ou d'Amour, Ari avait réservé le restaurant, fait préparer la salle et prévu le menu. Cette soirée promettait d'être inoubliable, oui, inoubliable... | ||
Rosa L. Respect diplomatique : 1595 23/01 ETU 18:16 | Score : 10 Détails Aristippe semblait de plus en plus inquiet.
Rosa le sentait, le voyait et elle s’en voulait de lui faire prendre des risques inutiles. Cependant, elle ne pouvait pas refuser son invitation, de peur de le vexer. Mais plus l’heure tournait, plus la tension entre le couple était palpable et ce qui se tramait dans leur dos n’était pas de bonne augure. Aristippe et Rosa quittèrent Cyrène. Elle emporta avec elle les 1000 roses rouges que Ari lui avait offert. Car, avant de se rendre au Cercle des Anges, elle voulait rentrer chez elle. En arrivant sur Pasionaria, Ils croisèrent, malencontreusement, Emilio. "Bonsoir Rosa, comment vas-tu ? Gouverneur, enchanté de vous rencontrer." L’air gêné, ils saluèrent le bras droit de Rosa. Bien décidé à en savoir plus sur la présence du Gouverneur de la Confédération Démocratique, Emilio continua. "Alors Aristippe, vous avez entendu parlé du petit ami secret de Rosa ?" "Euh, Oui. ! C’est fort possible !" "Alors, Rosa, quand vas-tu me le présenter?" "Il est timide tu sais. Je crois qu’il va mettre un peu de temps avant de vouloir te rencontrer." "Je ne suis pas certain qu’il le veuille, en effet." "Rosa, je souhaiterais rencontrer cet homme, pour la sauvegarde des biens des camarades.. Et puis, il y a des rumeurs qui courent…." Si vous voyez ce que je veux dire ! Aristippe se sentait à la fois très heureux et très mal à l’aise. "Vraiment ? Et que disent-elles ces rumeurs ?" Tu le sais toi Rosa ? "C’est possible, je dois avouer que niveau discrétion, y a du travail !" Ari se mit à rire. "Qu’est qu’il y a de si drôle ?" "C’est juste que je suis heureux pour lui ! Quant à toi, tu en as de la chance !" Elle haussa les épaules comme pour marquer son dédain. "Emilio, fais préparer une chambre pour Monsieur le Gouverneur je te prie. Il restera avec nous pour quelques jours." "Très bien Rosa." Emilio les abandonne en pensant que peut-être, la chambre devrait être proche de celle de Rosa……voir même….communiquante ! Il était loin d’être stupide et avait pertinemment remarqué l’absence de Rosa depuis une semaine. Toujours le dernier informé ! Maugréa-t-il ! Sur ces mots, Rosa place sa main dans celle d’Aristippe et lui dit. "Allez viens, je te montre ta chambre." Elle lui indiqua une chambre, proche de la sienne. Aristippe en reste baba ! Il ne l’aurait jamais cru capable de faire chambre à part ! "Puisque tu le prends comme ça !" Il tourne les talons et lui ferme la porte au nez. Celle là…..alors….! Rosa savait qu’elle prenait un risque mais après tout, elle voulait en avoir le coeur net… Elle entra dans sa chambre et attendit, tranquillement, que le Gouverneur daigne montrer le bout de son nez. Elle posa ses fleurs dans tous les vases qu’elle put trouver. Après trois heures d’attente, elle trépigne, tourne en rond autour de son fauteuil tout en se rongeant les ongles. Quelqu’un sonne. "Salut" "Salut" "Ecoute, je suis désolé de t’avoir claqué la porte au nez. J’ai juste était surpris, c’est tout. Alors, je ne te considère pas comme ma propriété mais j’aime partager ton lit et surtout, être dans la même pièce que toi….toujours." "C’est bon Gouverneur, moi aussi je suis désolée. Mais je voulais voir combien de temps tu tenais sans moi !" Lui dit-elle en ricanant. "C’est vrai ?" "Bien sûr !" "Oh et bien 3h ? Ca te suffit ?"Dit-il agacé. "Ecoute, je voulais juste voir si tu ne voulais pas….enfin…tu sais quoi. Si tu ne voulais pas qu’on fasse quelque chose ensemble…du genre….colocation….. Vive Ensemble !" "C’est une superbe idée ! Comme ça, on serait toujours ensemble !" "Exactement ! Mais avant, il faut réorganiser chez moi et chez toi !" "On n’a pas besoin d’en parler maintenant, tu ne crois pas ?" "Bon d’accord !" "Rosa, pourquoi ne pas faire des changements dans ton salon ? Bouger quelques meubles…comme ça, je pourrais mettre mon fauteuil !" "Et pourquoi ne pas repeindre les murs de ta maison ? Et pourquoi ne pas refaire ta cuisine ? Et pourquoi ne pas changer ton lit ? Et pourquoi ne pas changer les rideaux ? Tu en as d’autre comme ça, Ari ?" Aristippe embrassa Rosa, une fois encore, amusé de sa réaction. "Tu as un problème ? Tu veux qu’on vive ensemble et tu ne veux pas faire d’efforts ! Je le prends comment moi ?" "Oui Gouverneur, tu sais quoi ? Tu m’emmènes rien ici ! Je n’emmène rien chez toi !" "Et comme ça, le matin, j’enfile tes robes pour aller au parlement ?" "Mais c’est quand même pas de ma faute si ton fauteuil est LAID !" "C’est ça, tu as raison ! Je ne voudrai surtout pas dénaturer ton intérieur !" "Merci !" Emilio, entendant la dispute, frappa à la porte. "Entre donc !" "Pourquoi vous vous disputez ? C’est stupide ! Et puis, je sais très bien que c’est Lui ton amoureux ! Alors, je ne peux pas vous laisser continuer ainsi !" "Dans ce cas, dîtes lui d’arrêter d’être stupide !" "Je sais que depuis que vous êtes ensemble, on ne vous a jamais vu aussi heureux. Vous voulez tout gâcher ? Pour un fauteuil ? C’est quoi le plus important pour vous ? Le fauteuil ou votre Amour ?" "J’ai un faible pour mon fauteuil mais je préfère mon Amour." "Aucun faible pour son fauteuil !" "Très bien ! Maintenant vous voulez vivre ensemble ? C’est bien ça ?" Ils acquiescent. "Alors faîtes vous un contrat moral, irrévocable ! A peine avez-vous décidé de franchir le pas que vous vous disputez ! C’est ridicule ! Alors, si vous n’êtes pas prêts, ne vous pressez pas !" "Mais bien sur que nous sommes prêts !" Emilio quitta la pièce, les laissant méditer sur ses paroles. "Tu veux toujours vivre avec moi ?" Lui demanda-t-elle, honteuse. "Bien sur Egérie !" "Emilio m’a dissuadé de me disputer avec toi ! Et si tu veux, je suis d’accord pour ton fauteuil ! A condition que de repeindre les murs chez toi !" "Oh Nom de Galen! Non !" Elle le frappe de toutes ses forces. "Aïe ! Mais arrête ! Je plaisante ! D’accord avec tout ce que tu voudras !" "Dans ce cas, comme tu es d’accord, ce sera du Rose ! Aïe ! Je plaisante !" "Arrête de te moquer bon sang ! Va plutôt te préparer, vilaine ! Je t’invite au Cercle….tu as oublié ?" Conscient de leur stupidité et de leurs enfantillages, ils s’embrassent et se promettent de ne plus jamais être "stupides", promesse vaine, sans aucun doute ! Inconscients que le pire restait à venir…. | ||
Rosa L. Respect diplomatique : 1595 25/01 ETU 09:44 | Score : 9 Détails Et le pire était arrivé....
Sirènes hurlantes, le croiseur ambulance de la Confédération Démocratique arrive sur Cyrène. Priorité lui avait été réservée…..la vie du Gouverneur en dépendait… Les brancardiers menèrent Ari vers les urgences où l’équipe du Dr Ben Thone était prête à le recevoir. "Je vous en prie docteur, Sauvez le ! S’il vous plait, Faîtes quelques chose." L’équipe médicale écoutait attentivement le résumé de la situation et les constantes d’Aristippe. "Son pouls est faible ! Des difficultés à respirer ! Il faut l’intuber !" Aristippe fut conduit dans le box 4. Rosa du rester à l’extérieur, bouffie de larmes et morte d’inquiétude. Elle recommence à se ronger les ongles, à tournoyer sur elle-même puis, décide de prendre un café….comme si c’était la meilleure chose à faire dans son état. Dans la salle d’attente des urgences, une musique était diffusée sur les ondes comme pour enfoncer Rosa dans son désespoir….. Did I disappoint you or let you down? Should I be feeling guilty or let the judges frown? 'Cause I saw the end before we'd begun, Yes I saw you were blinded and I knew I had won. So I took what's mine by eternal right. Took your soul out into the night. It may be over but it won't stop there, I am here for you if you'd only care. You touched my heart you touched my soul. You changed my life and all my goals. And love is blind and that I knew when, My heart was blinded by you. I've kissed your lips and held your head. Shared your dreams and shared your bed. I know you well, I know your smell. I've been addicted to you. Goodbye my lover. Goodbye my friend. You have been the one. You have been the one for me. Elle tente de chasser ses idées noires, en vain….elle espérait simplement que leurs amis viendraient la rejoindre au plus vite. | ||
Goron Respect diplomatique : 1306 25/01 ETU 12:13 | Score : 5 Détails Cyrène, capitale et planète natale de la Fédération Démocratique de Cyrène, fondée par un grand homme, Aristippe.
L'espace, l'entourant, sous une surveillance drastique, depuis l'attentat contre son gouverneur. Une distortion se forma, un vortex énorme, les vaisseaux en surveillance autour de la planète afin d'attrapper les terroristes, eurent leurs systèmes senseurs saturés et pour la plus part des capitaines de navires, une peur bleue. A ce mmoment, un navire de plusieurs kilomètres de long, sans aucune escorte, sortit de la singularité quantique...Arborant sur son flanc, l'emblème de l'Empire Cardassian et de la maison Imperator... Son nom "Cardassia Imperatori"...Le titan impérial. "Ici, le Warlord Riga ! Commandant de l'Ordre Cardassian Impérial. Nous demandons l'accés du cuirassé impériale "Cardassia Imperatori" à Cyrène afin que l'Empereur puisse rejoindre son oncle à l'hôpital et voir comment celui-ci se porte." "Ici, station de contrôle de l'espace de Cyrène, demande acceptée. Veuillez positionner votre navire au point de coordonnée indiquée. Ouverture d'une fenêtre d'engagement vers Cyrène pour la navette de votre empereur. Bienvenue dans l'espace de Cyrène." Le cuirassé titanesque se positionna comme prévu. Les énormes soutes à navires du colosse s'ouvrirent. Quelsques croiseurs lourds et plusieurs frégates s'en échappèrent pour se positionner autour du puissant géant. Une navette, de la taille d'une petite frégate, sortit d'une autre zone d'appontage, accompagnée de plusieurs chasseurs lourds, et se dirigea vers la planète. Arrivée sur place, l'empereur descendit de celle-ci, accompagné d'une garde doublée, et se dirigea d'un pas décidé vers l'hôpital. Il entra dans celui-ci et vit Rosa L., il se dirigea vers elle et comprit son desarroi en la remarquant prostrée et pensive, perdue dans ses pensées sombres. Il se mit devant elle, fit signe à ses hommes d'attendre plus loin, s'accroupit et la prit dans ses bras. Rosa L. relacha toute cette pression en faisant de même et éclatant en sanglot. Wyatt faisant son possible pour la calmer. "Chuuuttt...Calmes-toi Rosa, tout va bien se passer...Chuuuttt...Les médecins de Cyrène sont trés efficaces, ils ont réussi à sauver mon père et à me sauver, ils sauveront mon oncle..." | ||
Rosa L. Respect diplomatique : 1595 25/01 ETU 12:42 | Score : 4 Détails "Chuuuttt...Calmes-toi Rosa, tout va bien se passer...Chuuuttt...Les médecins de Cyrène sont très efficaces, ils ont réussi à sauver mon père et à me sauver, ils sauveront mon oncle..."
Le regardant dans les yeux, elle se sentait soulagée par sa présence. "Je sais Wyatt, je sais mais je n’arrive pas à m’en convaincre. Il n’est vraiment pas beau à voir, tu sais. Puis-je espérer un miracle ?" Rosa était partagée entre l’espoir et l’envie de mourir. Si jamais Aristippe meurt, elle partirait avec lui….elle venait de le décider. "Merci d’être présent Wyatt. Merci pour Lui. Cela fait déjà quelques heures que je suis là, à attendre. Personne ne me dit rien ! Ils me mentent, TOUS." Elle devenait de plus en plus hystérique, irraisonnée. Sa paranoïa la rongeait, petit à petit. Soudain, elle lui lance. "Tu es venu en fanfare toi ! Pourquoi tout cette machinerie ? Tu as prévenu les autres ? Et Félinia ? Les enfants ? Où sont-ils ? Le mariage….le témoin….comment allez-vous faire ?" Rosa passait du coq à l’âne, visiblement incohérente. | ||
Goron Respect diplomatique : 1306 25/01 ETU 13:01 | Score : 5 Détails "Tu es venu en fanfare toi ! Pourquoi tout cette machinerie ? Tu as prévenu les autres ? Et Félinia ? Les enfants ? Où sont-ils ? Le mariage….le témoin….comment allez-vous faire ?"
Wyatt regarda Rosa, il avait omi de la prévenir de ce qui se passait en ce moment dans l'espace cardassian, mais pour ne pas l'inquièter, il essaya de lui trouver une vérité moins affolante afin de ne point en rajouter à son malheur. "Humm...Oui...Ma tante... la suprèmatie Imperator selon ton neveu... En ce moment j'ai quelsques petites problèmes dans l'espace de mon Empire... Une petite révolte sans importance... Dans quelsques jours, celle-ci sera matée... Je n'ai pas eu le temps de prévenir Felinia et les autres... Pour l'instant, je pense que nous allons repousser le mariage, le temps que mon témoin se remmette de ses blessures..." A ce moment, un garde se rapprocha de l'Empereur et lui dit à voix basse. "Empereur... la 26°colonne du 4° Ordre, qui était en éclaireur dans le système EC-OMICRON-1.006, vient d'engager le combat avec la majorité de la flotte du 8° Ordre Cardassian, le 4° Ordre Cardassian réclame des renforts, ils ont été pris à revers par les restes du 7° Ordre. Qu'elles sont vos ordres Empereur ?" Sur le même timbre de voix, Wyatt répondit en gardant un oeil sur Rosa, espérant qu'elle n'entendait pas. "Transmettez au Warlord Riga qu'il donne l'ordre à l'Ordre "Omega Imperialis" de faire mouvement vers ce système et que les vaisseaux en renfort, de mon Ordre, se placent sous le commandement du Warlord Everkard. Nous les rejoindrons plus tard avec le cuirassé impérial." Le garde acquiesça d'un signe de tête et s'éloigna. Wyatt se tourna vers Rosa, avec un petit sourire léger, s'assit à ses côtés et prit sa main la plus proche. "Ne t'inquiètes pas, Rosa, ils ne devraient pas tarder, mon garde vient de me signaler l'arrivée de plusieurs vaisseaux... Ce sont surement eux." | ||
Rosa L. Respect diplomatique : 1595 25/01 ETU 13:18 | Score : 4 Détails Pour l'instant, je pense que nous allons repousser le mariage, le temps que mon témoin se remette de ses blessures..."
"Encore faut-il que ce bougre de Ari arrête de faire le mort ! De toutes façons, tout le monde se fou de sa vie ! C’est honteux ! Vous êtes tous pitoyables !" Elle cogne les murs de toutes ses forces. Un défouloir, ses poings étaient en sang. Puis, c’est au tour de sa tête….elle la frappe contre les murs….sans arrêt….elle est devenue folle. "Vous me mentez TOUS. Je ne peux pas avoir confiance en vous ! C’est fini ! Vous ne m’aurez plus ! C’EST FINI !" Elle avait bien vu les messes basses de Wyatt avec le garde. Ses yeux étaient noirs de haine ! "Tu as été envoyé par Jean ! C’est ça ? Avoue !" Incrédule, Wyatt alla chercher un médecin. Vous me mentez tous ! | ||
Goron Respect diplomatique : 1306 25/01 ETU 13:30 | Score : 3 Détails Incrédule, Wyatt alla chercher un médecin.
Vous me mentez tous ! Aprés avoir prévenu le médecin, Wyatt revint attrappa, Rosa par une main, lui retourna une gifle et lui dit. "FERMES-LA ! Et arrêtes de te plaindre comme une gamine !! Personne ne te ment, chacun fait son possible pour toi et pour Ari, dans cet hosto, ok ?!! Alors arrêtes ton caprice !! Et aies le courage d'affronter ton destin en face !! ai-je été assez clair Rosa ?!!! Et c'est qui ce Jean ?!" Rosa restait sans rien dire, surprise par la force de caractère de Wyatt...Et sachant au fond d'elle qu'il n'avait pas tort.... | ||
Rosa L. Respect diplomatique : 1595 25/01 ETU 13:47 | Score : 3 Détails Le coup de gueule de Wyatt avait eu le mérite d’ameuter tout le monde dans la salle d’attente.
La gifle de Wyatt avait, elle, eu le mérite de lui remettre les idées en place...enfin le pensait-elle. "De quel droit tu me frappes ? Qui es-tu pour cela ? Tu ne me respectes pas !" Puis, résignée, elle le scruta méchamment et alla bouder dans son coin. "Après tout, tu as raison Wyatt ! Je ne suis qu’une sale égoïste matérialiste qui ne regarde que son nombril. Je ne mérite pas de vivre ! Je ne le mérite pas Lui ! Elle recommençait à s’agiter, à tortiller ses mains et à taper du pied dés qu’elle pensait à Jean, le terroriste, celui qui venait de faire de sa vie un ENFER. | ||
Goron Respect diplomatique : 1306 25/01 ETU 13:54 | Score : 4 Détails Le médecin rejoignit Wyatt, une seringue à la main. L'empereur fit un signe à ses gardes qui se tenaient non loin de lui prêt à intervenir.
Ceux-ci se dirigèrent vers Rosa et la ceinturèrent, pour l'immobiliser. Celle-ci hurlait au meurte, au viol, à l'assassin...se débattant, malgré le poids des soldats, en armure, la maintenant. Puis Wyatt croisa les bras et dit au médecin. "Elle est à vous doc." "Merci monsieur." Le médecin se dirigea vers Rosa et lui injecta le contenu de la seringue. Au bout de quelsques minutes, Rosa se calma et sombra. Elle fut menée dans une chambre, Wyatt l'y rejoignant. | ||
Rosa L. Respect diplomatique : 1595 25/01 ETU 14:10 | Score : 3 Détails Elle ouvrit l’œil gauche,
Puis l’œil droit. Visiblement, il s’était passé des choses….. Avec beaucoup de mal, elle distingua la silhouette de Wyatt. Toujours là, à veiller sur elle. A sa vision, elle referme les yeux…..il est trop laid, se dit-elle. Elle ne comprenait rien de la situation. Où était-elle ? Ari, comment va-t-il ? Il faut dire qu’elle ne savait même pas ce qu’elle faisait ici et depuis combien de temps elle se vautrait lamentablement dans ce lit d’hôpital. Elle se gratte la tête et puis, d’une voix groggy interpella Wyatt. "T’aurais pas une clope ? Et du champagne aussi ?" |
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