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Forums galactiques > Assemblée Galactique : diplomatie officielle > Fin de règne ...? (Rp)
| Goron Respect diplomatique : 1306  19/02 ETU 19:41  | Score : 8 Détails Les effets des ondes psioniques, s'étant dissipée, Hadrian se releva, la haine commençait à faire parler les dons des navigateurs du Cartel...Il n'avait pas apprécié cette attaque venue de dos, en traitre....
En lui, les forces psioniques commencèrent à ébranler les objets qui tremblaient dans la pièce. Il se tourna vers Denior, concentrant son regard dans le sien, celui-ci commençant à afficher une peur attroce. Hadrian disant tout bas, "Comme mon frère, tu subiras les horreurs de l'Empire Cardassian.", puis il se tourna vers Alcor, laissant Denior prostré au sol. Il tendit la main en sa direction, Alcor se souleva et fut projetté au travers du couloir, frappant violemment le mur, tombant au sol inconscient. Enfin, il se retourna vers LIor et d'une voix d'outre-tombe, masculine et féminine à la fois, une vois métallique et enragée, lui dit. "Pour toi...Je te réserve le meilleur...La mort de tes jumeaux directement en toi...Ainsi tu porteras deux cadavres pourrissants...Souffres de ne plus sentir leur vie en toi !" LIor sentit une douleur attroce dans son abdomen. Puis, Hadrian tendit la main dans sa direction et d'une force invisible violente, il la projetta contre le plafond et la laissa retomber au sol, sonnée... Puis, il quitta la pièce devant les yeux ébahis des personnes présentes, les quelsques fleurs présentes, se fanèrent à proximité de son passage, il reprit avec la même voix. "J'ai une guerre à mener, rappelez-moi quand mon père ira mieux." Il se dirigea, au travers du couloir, les lumières, l'éclairant, éclataient sur le passage d'Hadrian, les tableaux se brisant, projettés contre les murs.... Derrière lui, il restait un couloir dévasté.... | ||
| Rosa L. Respect diplomatique : 1595  19/02 ETU 19:45 | Score : 8 Détails Rosa n’en croyait ses yeux !
Llor était revenue et avait, une fois de plus, utilisé ses pouvoirs. Elle ne put s’empêcher de lui dire : "Comment osez-vous interpréter les sentiments de Cesco ? Vous n’étiez pas là ! Vos pouvoirs ne sont que manipulation ! D’ailleurs, vous avez fui à la moindre escarmouche entre Cesco et Denior ! Vous ne transcrivez en rien les sentiments de Cesco ! Vous ne faîtes que les interpréter ! Je suis de plus en plus outrée par votre attitude protectionniste. Vous ne le connaissez pas, vous ne l’avez jamais connu ! Et sachez une chose Llor, Le pouvoir, le bon sens, la confiance se méritent. En aucun cas on ne peut en hériter !" Il est intolérable de bafouer l'Empereur de la sorte, lui qui n'avait jamais fait de différence. Oui Hadrian, ta tante te comprends mieux... Si seulement Cesco pouvait lui dire directement…..si seulement Dame Jessica pouvait être présente…. | ||
| Général_Louis Respect diplomatique : 1323  19/02 ETU 19:49 | Score : 6 Détails Le Général_Louis étant resté dehors car il sentait la colère monter voyant Wyatt sortir dégaina son blaster et dit:
"Il se passe quoi ici? -Dégage morveux! -Hé là me parles pas sur ce ton, je ne t'ai pas agressé, je veux savoir ce qu'il se passe vu le grabuge qu'il y a eu. -Ah mais tu ne veux pas me lâcher? Hé bien tu vas le regretter!" Wyatt sur un ordre du doigt envoya valser le Général_Louis sur la lourde porte de la chambre de Cesco Imperator. Le Général_Louis étant rentré dans la chambre comme ça en atterissant sur le carrelage bien dur dit: "Quelqu'un peut-il me dire ce qu'il vient de se passer? Il m'a insulté et envoyé valser dans la porte. Oh il est en colère là! Il s'est passé quoi au juste?" | ||
| Cesco Imperator Respect diplomatique : 3122  19/02 ETU 20:39 | Score : 8 Détails Le CNE Hadrian fulminait, la situation devenait incontrôlable, et Cesco, qui s’était endormi sous l’effet des opiacées, se réveilla au milieu des bruits et des cris. Complètement vaseux, anesthésié, il se releva d’un coup, et vit la scène apocalyptique tout autour de lui. Hadrian se retourne vers lui, voit son Empereur, hagard, qui se tient soudainement le ventre, et pousse un hurlement qui fait taire tout le monde.
« AHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHH » « CESCO !!!! » Hadrian se précipite sur l’Empereur, qui se tort de douleur sur son lit, alors qu’autour du lit, plus personne ne comprend ce qui se passe. L’Aide de Camp tente de toucher son ami, mais Cesco bouge, sans cesser de hurler, et il s’arrête, désemparé, jettant un regard inquiet vers les amis de l’Empereur, qui eux-mêmes, ébahis, ne savent quoi lui répondre. « DOCTEUR !!!! » « Il ne servira à rien…c’est de la faute de son fils…le meurtre des enfants…Llor avait crée un lien entre Cesco et eux…il partage leur destin… » murmure Alcor, mais dans le silence de plomb qui entoure deux cris de Cesco, ses paroles retentissent comme les chants du Requiem dans une cathédrale. « AHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHH » Rosa est là, tétanisée par les hurlements, s’agrippant à la main d’Aristippe, Louis vient de passer la porte, bousculé par le fils fratricide de l’Empereur. Llor est au sol, soutenue par Ka’Zer qui s’est précipité alors qu’elle pisse le sang entre ses jambes. Quirinus est quant à lui complètement halluciné par le déroulement, et ne sait plus quoi faire. Quant à Revan, comme tout bon droïde, il garde son calme, ses musiciens à ses côtés... « Alcor…on fait quoi, par Jupiter ? » « Il n’y a …rien...à faire… » « AHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHH » « AHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHH » La voix de Llor se mêle maintenant à celle de Cesco dans une douleur colossale. Et soudain, l’Empereur retombe sur son lit, dans un sifflement aigu d’appareillage, au moment où les médecins entrent dans la chambre. A peine un regard vers la catastrophe, et ils se tournent vers l’Empereur qui gît dans son lit, immobile. « On le perd ! il fait un AVC ! il se passe quoi ici, merde ! » | ||
| Général_Louis Respect diplomatique : 1323 19/02 ETU 20:51 | Score : 7 Détails "Heu dîtes là, c'est moi qui lui ai fait piquer un AVC? Car il faut le dire parce que Wyatt m'aurait fait passer par le mur peut-être pour éviter de le choquer."
Disant n'importe quoi sous le choc une douleure se réveilla et le fit hurler: "OUILLE! J'AI MAL AU BRAS! FAITES APPELLER UN MEDECIN SUR LE CHAMP! VITE...!" Il se tue car Denior utilisa un pouvoir psychique lui faisant perdre le sens de la douleur le temps que des mèdecins arrivent. "Lousi arrête de crier, tu n'as plus mal maintenant n'est-ce pas? -Oui mais regarde je peux faire tourner mon bras à 360 Degrés ce n'est pas normal. Denior dis moi la vérité! -Et bien, tu sais Louis, des infirmiers vont bien s'occuper de toi. Enfin tu devrais être vite réparer. -Il y a interet, vu que j'organise quelque chose pour vous tous, vous avez tous reçus les X-com c'est retardé d'une semaine. -Loui pour l'instant tu sais il faudrait que Cesco aille mieux tu ne crois pas? -Toujours pareil quand j'invite. Bon je verai bien." | ||
| Le Clan Yzocras Respect diplomatique : 969  19/02 ETU 21:07 | Score : 7 Détails Alcor qui venait de prendre un terrible coup par son "ami", se leva étourdit, aveugle par le sang qui pissait de son front. Revan lui demanda ce qu'ils devaient faire. Alcor était tétanisé, il ne savait que faire entre tenter d'arreter Hadrian, aider sa famille souffrant ou aider son ami Cesco. Il se rapprocha de Denior qui semblait aller relativement bien. Ils se parlerent mentalement pendant quelques secondes, puis Denior pris la direction de Cesco quand Alcor se rapprocha de sa soeur, Llor.
Sa soeur était au sol inconsciente, elle ne respirait plus, elle était, scientifiquement, morte. Néanmoins Alcor ressentait toujours son esprit psionique. Alcor l'allongea sur le sol, lui ouvrit la veste, retira son soutien gorge et mis sa main etre les deux seins de Llor. Alcor ne savait que faire, ses capacités psioniques étaient nettement moins puissante que ceux des autres membres de sa famille. Il ne savait que faire mais il ressentait le besoin de mettre son visage au centre de la poitrine de sa soeur et d'y faire un baiser. Au moment meme ou les levres d'Alcor toucherent l'entresein de sa soeur une brillante lumiere apparu. Quelques secondes plus tard, Llor commenca a tousser et a respirer de nouveau et quand elle releva la tete elle vit son frere, presque sans vie sur le sol a coté d'elle. Elle cria a l'aide et Quirinius vint, mis rapidement Alcor sur son epaule et accourut vers son vaisseau pour l'apporter dans le seul endroit ou des medecins pouvaient le sauver, le systeme Yzocras. | ||
| Sayyadina Corp. Respect diplomatique : 22  19/02 ETU 21:14 | Score : 12 Détails *** Planète SandrineLand, Bastion et Fierté de l’Empire Sayyadinesque. Palais IX de la Capital FeminiaPowa. Chambre De Jessica.
Jessica se sentait délaisser depuis quelques temps. Outre les X-Com de ses alliés et néanmoins amis, elle ne recevait aucune nouvelle de son amant. Elle savait qu’il était alité et au plus mal, mais, elle ne pouvait le voir, tels étaient ses «ordres ». Elle avait décidé de lui obéir, non pas par soumission, mais parce qu’elle savait que la situation pour lui était des plus délicates et que sa santé ne lui permettait pas de subir des chocs émotionnels important. Elle avait dépêché ses plus grands médecins au chevet de l’homme qui serait, si il résistait au mal qui le rongeait, son homme. Enfin, si il le désirait vraiment… Jessica se tenait donc informer de l’état de Cesco, qui empirait de jour en jour. Afin de se tenir là lorsqu’il irait au plus mal, elle avait fait construire un téléporteur qui faisait la liaison entre sa chambre et l’hôpital, c’est d’ailleurs pour cela qu’elle avait sacrifier la quasi totalité de son Empire…pour être prêt de Cesco, de l’être qu’elle aimait secrètement. Secrètement…Elle avait promis à Cesco de tenir leur liaison au secret, cependant, que pouvait bien faire une femme attendant que son amant se laisse dépérir ?! Elle avait craqué, elle avait, la nuit passée, pris son X-Com est avait tout raconté, d’une traite, son aventure avec l’Homme sans qui Espérance ne serait pas ce qu’elle est. La conversation avec Rosa L. avait duré toute la nuit, l’a mettant au courant de leur relation, simplement épistolaire au début, puis de plus en plus passionée…Elle s’était éprise d’une amitié sans faille avec la Sublime Rosa, elle qui l’a comprenait si bien et qui était très proche de son Amour. Cesco, qui avait sans doute anticipé avait déjà prévenu Rosa que Jessica voudrait à tout prix venir à son chevet, mais elle ne le devait pas pour une raison tenu secrète. Du moins, jusqu’au moment venu. Jessica pensait qu’une des raisons majeures de cet éloignement était que l’Empereur ne voulait pas qu’elle le voit dans un état aussi désastreux. En faisant cela, il voulait sans doute la protéger, ou du moins, qu’elle n’est pas à voir les traces de la mort sur ses traits si doux… Et ce le moment ou Cesco était au plus mal, où sa vie était sous le point de le quitter était venu. Chambre de Cesco Imperator : Après que les médecins aient emmené l’Empereur en soin intensif pour tenter de le sauver, Rosa L. se tint en retrait le temps d’envoyez un message déjà enregistrer à son amie. Chambre de Jessica : Une voix fait sursauter Jessica en proie à des sanglots silencieux. Elle a un nouveau message de la part de sa confidente. Elle doit utiliser le téléporteur pour venir prêt de Cesco qui risque de ne pas passer la nuit. Elle prend un mouchoir, d’un pas précipité, elle traverse le téléporteur. A quelques mètres de la Chambre où se trouve les proches de Cesco : Un bruit assourdissant. Un éclair. Dame Jessica se trouve dans les couloirs de l’Hôpital. Elle est nue, ses vêtements n’ont pas été rematérialisé. Une infirmière lui tend un peignoir rose. Elle se dirige vers la chambre de son amant en courrant, les larmes aux yeux. Les sentiments qu’elle éprouve en ce moment ne peuvent pas être décrit. Elle craint de n’être arrivée trop tard. Elle n’entend aucun son. Elle est maintenant là où se tenait le lit de Cesco. Toutes les personnes présentes l’entourent. Plus un son. La dernière image qu’elle voit est le visage de Rosa L. qui tente de lui expliquer ce qui vient de se dérouler. Puis, plus rien. Dame Jessica, avant même de prononcer un seul mot et tomber insconciente sur les genoux de Rosa. *** | ||
| Mystèrax Respect diplomatique : 1216  19/02 ETU 21:15 | Score : 11 Détails Le "Totemis" arrive enfin dans l'atmosphère néo-romaine, avec presque uen heure de retard sur l'horaire prévu.
Des pirates les ayant pris en chasse, le "Totemis" avait dû se réfugier dans l'orbite d'une planète Mystèrienne, pour faire abattre la flotte ennemie par les bunkers SPAT. Lorsque Sophie posa le pied sur le sol néo-romain après s'être téléportée depuis le vaisseau, elle sût aussitôt que quelque chose n'allait pas. Les rues étaient étrangement calme, aucuns son, pas de mouvements. Elle accélera l'allure, suivt de près par Noelia, et quelques membres de sa garde personnelle, en armure rutilante, prêt à dégainer au moindre signe suspect. Arrivée en vue de l'hôpital, elle vit un important groupe de sinistres oiseux noirs tournoyer loin au-dessus de l'imposant édifice. Elle rentra dans l'hôpital, et se dirigea là où elle sentait qu'elle devait aller. Et c'est alors qu'ele le vît! Hadrian, dans son armure de combat, marchant à grandes enjambées en direction de la sortie. Il ne lui adressa pas un regard, passant à côté d'elle comme si le couloir était désert. Quelque chose clochait, un réel problème. Elle se mit alors à courir, alertée par les cris de damés poussés par une personne, puis deux, un peu plus avant. En quelques minutes, elle arriva en vue d'un couloir dévasté, et s'arrêta devant la porte ovuerte sur la chambre de Cesco. La plupart des personnes présentes étaient figées, tétannisées... Cesco gisait sur son lit, les yeux dans le vague, tendit qu'une mare de sang se répandait sur le carrelage. Elle tourna la tête, et apperçut Llor, gisante au sol, du sang tout autour d'elle. Avant qu'elle n'ai pu réagir, Sophie vit Alcor et Quirinnus soulever Llor, et l'emmener hors de la chambre. Sophie se décida à entrer, et ne fit que quelques pas avant de glisser dans une mare de sang. Elle se rattrapa de justesse à Louis qui déblattait tout un tas de phrase qui semblaient sans rapport avec la scène. Elle s'appuya contre le mur, et ferma les yeux, essayant de faire le vide dans son esprit, tandis que Cesco est emmené en soins intensifs. | ||
| Yul Harkonnen Respect diplomatique : 499  19/02 ETU 23:44 | Score : 11 Détails Ce n'est que très tardivement que le baron se présenta au chevet d'un Cesco moribond. Il venait aussi tard car il savait qu'il pourrait être quelques instants seul avec lui. Et il savait qu'il avait encore des choses à terminer avant de se laisser aller.
Les suspenseurs du baron sont à leur puissance minimale afin de réduire le vrombissement. Les pieds du baron touchent presque le sol. Il s'avance dans la chambre vide, éclairée par le néon jaunâtre du couloir, où un faible mais régulier "tit... tit... tit... " signale qu'il est toujours vivant dans un état stationnaire bien que critique. Le baron reste à regarder son ami pendant près d'une demi-heure, restant à son chevet comme il sait que Cesco l'aurait fait pour lui. On le croirait presque assoupi si ses doigts potelés ne s'agittaient pas nerveusement. C'est alors que, sans que rien ne l'ait laissé présager, Cesco entrouve les yeux et dirige son regard vers le Baron. Très faiblement, il demande à son vieil ami : "Alors, quoi de neuf ?" Le baron esquisse un sourire avant de lui glisser quelques mots à mi-voix. Cesco, mon ami. Mon frère. Je sais ce que tu ressens pour l'avoir ressenti. Je ne peux m'empêcher de me sentir coupable de te trouver là. Non, ne parle pas, garde tes forces. Je sais que tu veux me dire que ce n'est pas ma faute. Cesco acquiesse d'un léger signe de tête. Je sais que tout ce que je pourrai dire ne te feras pas te battre d'avantage. Tétu jusqu'au bout, sacré tête de mule !! Par contre, j'ai quelque chose à te faire voir qui va t'intriguer. Avec un peu de chance même, t'interresser. Et dans ce cas, te sauver. Vladimir sort d'un de ses poches un projecteur holo miniaturisé comme Cesco n'en avait jamais vu. Il montre à Cesco une courte séquence, destinée à ses yeux seuls. Cesco équarquille les yeux pour mieux distinguer les formes et les couleurs. Il reste ainsi parfaitement immobile avec Vladimir pendant près de cinq minutes, regardant la projection holo. Puis la lueur s'éteint et le néon du couloir redevient seule source de lumière de la pièce, et, alors que Cesco se rendort paisiblement, Vladimir aperçoit un mince sourire sur ses lèvres lorsqu'une raie de lumière rebondit sur ses suspenseurs. Avant de quitter la pièce, il passe une main fraternelle sur son front et ajoute quelques mots pour Cesco, déjà assoupi. Il reste cette ultime bataille à gagner. Et tu la gagneras encore. Dors bien mon ami. | ||
| Booster Respect diplomatique : 1494  20/02 ETU 00:54 | Score : 10 Détails Evidemment, qui n'avait été mis au courant ? Il avait sans doute suffit d'une simple fuite pour que tout le monde soit informé et que les quotidiens du soir en fassent leur une.
« Cesco Imperator mourant ! Tout sur les dernières heures du célèbre diplomate. » Voilà ce qu'on pouvait lire dans la presse people. Cela avait donné envie de vomir à Booster. En lisant cela, on se disait que l'espèce humaine ne valait finalement pas grand chose... Plus tard dans la journée il avait acheté sa place dans un astronef touristique à destination de la Nouvelle Rome, décidé à voyager incognito. Une fois arrivé sur place, vêtu d'un ample manteau, d'un chapeau et de lunettes de soleil, il prit le chemin de l'hôpital où il avait appris que Cesco était interné. Fort heureusement, le secret de ce lieu ne semblait pas être parvenu jusqu'aux paparazzis, et c'était là une très bonne chose. Cependant, Booster remarqua le dispositif de sécurité renforcé. Dans le hall de l'hôpital, il eut la surprise d'entendre le bruit familier des suspenseurs du Baron, et fit de son mieux pour se dissimuler aux regards... Car s'il y avait bien une chose à laquelle Booster ne tenait pas, c'est que l'on apprenne sa visite. Arrivé devant le seuil de la chambre de Cesco, il ne put trouver le courage de le franchir. Il se contenta d'ôter ses lunettes et de regarder de loin la silouhette étendue de l'empereur moribond, inconscient... Leurs chemins avaient divergé, et malgré tout, Booster gardait de leurs mésententes passées une blessure qui était d'autant plus vive au jour d'aujourd'hui... Une larme coula sur sa joue... « Tu ne peux partir... C'est impossible... Sans toi, Espérance ne méritera plus jamais son nom... » murmura-t-il, sans obtenir d'autre réponse que le bip régulier de l'oscilloscope. « J'aurais tant voulu... pouvoir parler avec toi... Une dernière fois... Pour toutes celles où je n'ai trouvé le courage de le faire... » Nouveau silence... Un silence lourd, pesant... Que Booster ne put supporter plus longtemps. Il revivait l'angoisse qu'il avait déjà connue tant de fois... Tant d'amis qu'il avait vu ainsi partir sous ses yeux, en demeurant impuissant ! Et là, c'était encore la même histoire, une nouvelle fois. « Je te dis au revoir, car quoi qu'il advienne... Nous nous reverrons... » bredouilla-t-il dans un nouveau murmure à peine audible... Il remit ses lunettes, et repartit à vive allure vers la sortie. Durant le voyage de retour, seule une bonne dose de somnifères lui permirent de trouver un peu de sommeil... | ||
| Albert Simon Respect diplomatique : 1777 20/02 ETU 05:59 | Score : 13 Détails Albert activa son hologramme, celui qu'il affectionnait, ou il etait vetu d'un sobre complet gris. Les traits burinés et les cheveux blanchis completaient cette image dans laquelle il se reconnaissait, lui qui n'avait jamais eu aucune apparence.
Il avait decidé de venir, brutalement, et apres les 36 h de voyage reglementaires, il etait sur place au pied du Croiseur qui l'avait amené. C'etait le millieu de la nuit, il avancait seul dans les couloir deserts. Les soldats charges de la securité, s'effacaient doucement pour le laisser passer. Il venait voir Cesco, il venait joindre ses force a celles defaillantes de son ami. Il penetra sans bruit dans la chambre, seul un tres leger souffle l'accompagnait, Cesco reposait endormi sur son lit, son visage emacié se devinait dans la penombre. Debout un moment sans bouger devant le lit de Cesco, l'hologramme ferma doucement les yeux, Albert Simon meditait, il tentait de transmettre son energie a son ami humain malade. Il se sentait fatigué, c'etait logique, il revenait tout doucement a la triste realité. Son retour achevé, il envelopa Cesco d'un long regard triste. Albert deposa sur le chevet de Cesco une enveloppe sur laquelle etait incrite en caractere manuscrits « Pour Cesco Imperator ». Il aimait cette coutume desuete terrienne qui consistait a ecrire soi meme, il avait redigé soigneusement ces quelques mots pour indiquer son passage et sa fidelité a son ami. Assis dans son fauteuil derriere son bureau, dans le Croiseur que l'emmenait, Albert caressait son chien terrien Wouli. Celui ci sentant la tristesse de son maitre, multipliait les quemandages de caresses. Tout en le caressant Albert songeait. | ||
| Lia Respect diplomatique : 2740  20/02 ETU 07:07 | Score : 13 Détails Calmement, la marionette de Lia entra dans la pièce. Le regard vide, ne prêtant attention a aucun autre visiteur, il se dirigea vers le lit. Un peu trop vite au gout d'une infirmière, qui se mis en travers de son chemin.
Le temps de réponse devait etre insuffisant, car lorsqu'il s'arrêta, l'infirmière était déjà tombée sur son derrière, abasourdie. "Moi pas dangereux. Apporter message de Lia. Cesco parler directement avec elle. " Et, avant que l'infirmière ait pu saisir quoi que ce soit d'autre, le jeune homme déposa une pastille dans les cheveux du malade. Avec un claquement sinistre une petite aiquille ancra la chose sur le crane. "Cesco être dans la tête de Lia maintenant. Lui voir des choses que je jamais connaitre. Si il voit où sont mes enfants, qu'il m'aide! ... Merci. au revoir. L'homme sortit alors, en jettant un regard appuyé au dernier visiteur. Son pas était plus pressé, et moins sûr, qu'à son arrivée. | ||
| Denior Respect diplomatique : 3266  20/02 ETU 10:16 | Score : 9 Détails Denior n'avait pas quitté Cesco un instant, soit assis à coté de son lit mais le plus souvent dans un coin de la chambre dans l'ombre. Lui l'admirateur de Louis XIV se faisait l'image de l'agonie du grand Roi et d'être pour un fois la vieille Maintenon. Il ne le quitterai pas, pas avant l'issue, cele que l'espirt de Cesco déciderait de prendre.
Denior avait reçu un message psionnique de Dav Vasselina, Alcor était sauvé et en pleine forme sur Ysocras; Llor venait de se réveiller et les examens gyunécologiques étaient excellents. Décidément cet idiot d'Hadrian ne maitrisait nullement ses pouvoirs cardassians et surtout pas dans cette galaxie. Il venait juste d'accélerer la naissance des jumeaux et Llor allait accoucher dans quelques heures. Denior rentra en communication mentale avec Cesco "Mon ami, mon frère de sang. Que la joie que t'a procuré le dialogue avec tes enfants, Auguste et Livie se développe encore, car ils seront là dans quelques heures et à tes cotés, et seulement à tes cotés, vous apporterez la Paix à la galaxie, dans le respect de la Démocratie et de l'Humanisme. Aussi, tu dois te battre pour vivre. Si tu meures, Hadrian, dont tu sais fort bien que je l'aime, atteindra rapidement ses limites et au règen de Cesco succèdera Commode et la décadence. Bats toi pour la vie et pour esperance | ||
| Llor Respect diplomatique : 599  20/02 ETU 13:13 | Score : 9 Détails Llor avait rejoins Versailnisia épuisée mais plus déterminée que jamais. Un rapide mais profond examen médical avait assuré la princesse de la viabilité de ses enfants. Soudain le médecin, Thom Mourer lui indiqua
"Ils vont bien, très bien même. Ils seront là dans quelques heures, à peine...." Llor prévint Denior et Alcor de la nouvelle. Denior refusa de quitter Cesco mais Alcor à peine remis la rejoint sur Euphor, dans ce palais des merveilles que la vie semblait avaoir déserté. Anthinéa revint elle aussi très vite et bientot Llor ressenti les premières contractions. La poche des eaux se brisa sans faille et Llor baignait au sens propre comme figuré dans un ocean de béatitude. Déjà, la communication avec les enfants étaient effectives et son esprit était rempli de joie. Pourtant, une douleur assez forte émergea de son ventre. Elle ne put repousser un cri et Alcor très flegmatique (isn't it!) lui dit: C'est la passage de la tête. Dans la famile, elle est souvent grosse, voir gonflée. L'hilarité devint générale et Livie poussa bientot son premier cri. Auguste lui emboita le pas et il surprit déjà son entourage par ses dimensions exceptionnelles et la force de son rugissement. Les deux enfants mesuraient plus de 60 cms et pesaient respectivement 4,1 et 4,5 kgs. Déjà Llor les aimaient plus que tout au monde. Livie semblaient porter les traits de Denior avec ses yeux vairons et sage. Auguste lui ressemblait à Cesco au port altier et aux yeux noirs. Les deux enfants tétaient avec frénésie et les seins de Llor et de 4 nourrices y suffisaient à peine. Alcor : "Quand je pense qu'ils devaient pourrir dans ton ventre ! visiblement ils ont décider d'attendre" Llor: "Denior avait prévu cette réaction d'Hadrian. Nous avons bien fait d'être prudents. Mais désormais ils nous faut l'être doublement...." | ||
| Aristippe Respect diplomatique : 906  20/02 ETU 13:43 | Score : 8 Détails Ari n’avait cessé de regarder Cesco dans les yeux tout le temps où il avait été conscient…
IL avait constaté la douleur de son Ami… Il ne la supportait pas… La supercherie de Llor le travaillait au corps… Wyatt n’était plus le même… Ari se sentait en colère, fortement en colère… Les démonstrations de violence n’étaient pas son fort. Ari s’éclipsa de la chambre et se dirigea vers les bureaux du staff médical Dans le couloir, devant les bureaux des médecins en réunion, stationnait la garde prétorienne, comme dans tout le centre médical… Voyant arriver le Gouverneur, les gardes saluèrent mais ne s’écartèrent pas de la porte « Soldats, je n’ai nul doute sur le sens de vos missions. La garde prétorienne fait honneur à son peuple et à son dirigeant, je connais l’ampleur de votre dévouement à l’Empereur, mais je ne connais pas celui des médecins qui semblent pouvoir décider du sort de votre empereur, de votre empire et de la continuité de la vie de mon Ami ! Je désire passer et m’entretenir avec Eux… Pas pour Moi, pour Cesco ! » Les gardes se regardèrent, et d’un seul homme, s’effacèrent devant la porte. Ari entra dans la pièce surchauffée où étaient assemblés les médecins de l’hôpital en charge de Cesco. L’étonnement se lisait sur les visages à l’entrée du Gouverneur d’Ambassade « Monsieur, vous n’êtes, même de par votre rang, aucunement autorisé à pénétrer dans une réunion médicale qui a un caractère secret ! »le toisa celui qui devait être le chef de service « Je dois donc m’adresser à celui qui dirige, ici. Je viens à double titre, messieurs. J’ai entièrement confiance en vos compétences et ne me ferais pas médecin à votre place. C’est un champ de connaissance qui m’est inconnu. Loin de moi l’idée d’y amener un quelconque conseil », reprenant son souffle, le médecin l’interrompit. « Alors faites la seule chose que vous avez à faire, sortez ! »Imperceptible fût la réaction de celui qui devait ce jour, faire se prononcer la galaxie sur les règles qui allaient régir l’Assemblée galactique… Je vais être concis et tenter de prendre sur moi, la colère que vous faîtes naître… », Le gouverneur de Cyrène se rapprochait de la table. Instinctivement, le chef de service reculait face à l’Homme qui s’avançait et dont tout le charisme de chef politique comme militaire, était grandit par la colère soudaine qui l’avait quittée à la sortie de la chambre. Je veux tout comme vous qu’Il vive… Et je suis prêt à beaucoup pour cela, même au prix de sacrifice inenvisageable, comme votre poste, par exemple. Je vous informe, je ne vous demande pas. Si tel était le cas, ma demande serait injonctive et en aucun cas elle ne pourrait être interprétée autrement que comme un ordre. Pas d’outrecuidance de connaissances médicales ni de secret avec moi. Des croiseurs amiraux de ma flotte et des flottes gouvernementales vont par delà la Galaxie pour ramener les plus grands experts médicaux. Je veux les dossiers concernant Cesco. Je ne veux aucune protestation. Aucun secret. Notre but doit être le même, la survie de ce dirigeant, non ? Si tel n’était pas le cas, je serai fâché, très fâché. Ne comptez pas vos heures, vous avez environ 10 minutes pour prévenir vos familles que vous ne rentrez qu’après une période indéterminée.» Les sourires étaient figés et le chef de service semblait pouvoir se contenir et se taire mais n’en fit rien. « Les gardes derrière cette porte ont pour ordre de nous protéger, de gens comme vous, notamment ! »Il fît donc appeler la garde, et d’un grand sourire, demanda la sortie du gouverneur… Les deux gardes se regardèrent, incrédules. Vous seriez militaire, docteur, vous seriez déjà aux arrêts. Je n’aime guère votre ton, plus prompt à la confrontation adolescente qu’à la réelle envie de rechercher le but de ma visite, la guérison de l’empereur. Veillez, soldats, à ce que cet homme rassemble tous les dossiers de Cesco en vu qu’ils puissent être consultés par tous les médecins désireux de rendre service à Espérance en apportant leur aide à Cesco. Votre secrétaire, va nous être particulièrement utile. Ensuite, qu’ils soient mis en quarantaine jusqu’à la guérison de Cesco. Si je ne trouve qu’une seule faille dans vos protocoles ou une liaison quelconque avec une aggravation de la santé de Cesco, vous ferez face à des accusations dont vous n’avez pas l’ampleur !» « Gouverneur, vous n’y pensez pas, loin de moi l’idée d’aller contre l’Empereur… »Le médecin paniquait et paraissait plus en clin à la cohésion vers le but ultime de cette impromptue réunion. Je veux être informé heure par heure de vos progrès, négatifs ou positifs. Les médecins commencent à arriver dans l’heure. Ne perdez aucun temps. Vous avez dix minutes pour vos familles.» Le temps serait long, Ari rejoignait Rosa. Il fallait encore contacter Hadrian pour voir si les aides de Cesco seraient suffisantes. Cesco avait aidé la confédération démocratique quand il était lui-même contraint au repos. Il était redevable. A plu d’un titre. Rosa l’attendait dans le couloir, devant les soins intensifs. Elle lui sourit à son approche. | ||
| Rosa L. Respect diplomatique : 1595 20/02 ETU 15:20 | Score : 8 Détails En voyant approcher Aristippe, son cœur se noua.
En effet, Rosa ne connaissait pas l’opinion de son Amour concernant Llor mais, force était de constater que de plus en plus de commandants commençaient à ouvrir les yeux sur elle. Même Ari ! Preuve en était faite, Alcor et les jumeaux étaient morts depuis hier soir…..dans l’indifférence totale du clan euphorien qui n’en tenait pas compte….qui considérait qu’Hadrian était un incapable…… Seul Orion pouvait jouer avec les dons d’Hadrian ! Puis, elle posa son regard sur Jessica qui était inconsciente, sur ses genoux. Malgré des petites gifles répétées, il n’y avait rien à faire, elle se laissait aller, elle aussi. Sans doute le résultat du lien indescriptible qu’elle possédait avec Cesco…Oui, ce lien était bien au-dessus de tous les autres pouvoirs….presque semblable avec celui de An…. Et c’est pour cela qu’elle avait dissimulé leur relation…. "Ari, donne moi donc ce petit spray mentholé et le sucre que tu gardes toujours sur toi au cas où je fasse une crise d’hypoglycémie s’il te plait." "Bien sur mon Trésor." Aristippe s’exécuta et déposa le remède entre les lèvres de Jessica. Quelques instants plus tard, Jessica commença à reprendre connaissance. "Comment te sens-tu ma Belle ?" Jessica était encore toute groggy mais elle ne cessait de répéter : "Où est-il ? Comment va-t-il ? Cesco, Cesco, mon Amour…" "Je ne vais pas te mentir, il est encore en soins intensifs, les médecins ont pu le récupérer. Son état reste très fragile mais stationnaire. Il est dans le coma…avec les risques que cela comporte." A l’écoute de ses paroles, Jessica éclata en sanglots. "Jessica voyons, la situation est grave mais pas désespérée ! Il a besoin de vous, de votre soutien et de votre amour. Je vous tiendrez informée heure par heure." Ils conduirent Jessica vers une chaise du couloir des soins intensifs. Elle s’assit en tentant de reprendre ses esprits. Ari fit un signe de tête à Rosa…elle comprit vite. "Egérie ! il va falloir que tu m’expliques le fin mot de cette histoire !" Elle l’embrassa en lui glissant tout bas qu’elle était prête à tout lui raconter…mais en privé. Merci à la C.H.O.A.M pour son autorisation de le citer. | ||
| Angely Respect diplomatique : 380  20/02 ETU 16:51 | Score : 5 Détails Ash donna une lettre à remettre à Cesco lorsque celui irait mieux.
Regarde donc ce que tu as causé à ton fils, La pression de te ressembler... Et il l'a fait. Il t'a ressemblé un instant, pendant quelques fractions de secondes il était sur le point de mourrir. Mais plus jamais il ne te ressemblera. | ||
| Lia Respect diplomatique : 2740 20/02 ETU 19:37 | Score : 13 Détails - Cesco, il faut que tu voies certaines choses.
- ... Le dispositif placé par la marionette de Lia s'était activé. Cesco était directement en communication avec l'esprit de Lia. Ce qui suit ne pris d'ailleurs qu'une seconde. Une intense seconde. - Ne réponds pas si tu veux. mais je sais que tu entends. je sais que tu vois mes souvenirs. Et je sais que tu partages une partie de ma douleur. Comme tu as déjà plus que ta part, je serais brève. La vie n'a pas de récompense. Regarde moi. Vois mon état. Vois le maigre souvenir que j'ai laissé. Pourtant, tout comme toi, j'ai donné. Notre sang a coulé pour cette galaxie, Cesco. Et qui se souviendra de nous? Meme pas nos enfants. Lorsque je respirais , je te considérais un peu comme mon fils. Un peu trop vieux, peut être. Mais maintenant, tu me rattrappes.. et tu as toi même des enfants. Et bien qu'ils ignorent tout de moi, et beaucoup de ce que tu as enduré, ces enfants sont notre récompense. J'ai eu des enfants, Cesco. Tu ne l'as jamais su. Personne ne l'a jamais su, pour notre protection. Ils ont maintenant.. disparu. Pour les préserver de la folie, tout simplement. Une image passe dans l'esprit de Cesco. Deux bébés, encore couverts de sang, dorment dans les bras pleins de sueurs d'une mère. Mais cessons de parler de ces "enfantillages". Espérance est également ton enfant. Notre enfant. Je te l'ai confiée jadis, c'était mon héritage. Et tu l'as menée vers l'avant. A ta manière, avec tes erreurs. Mais tu as porté le fardeau. Et nous savons tout les deux son poids. Et son gout de sang qui pénètre par la bouche et va jusqu'à l'esprit.. Je suppose que tu sens autour de toi tes visiteurs, plus mièvres les uns que les autres, mais qu'aucun ne partage ta douleur, aucun ne comprend ton mal. Il y a une solution pour effacer cette douleur de ton coeur mais également de celui des enfants. De tous les enfants. Et, tant que ce monde ne me rejettera pas définitivement, comme il aurait du le faire à ma naissance, j'agirais dans ce sens. Quoi qu'il en coute, et je sais déjà qu'il y aura encore de la douleur. Tu sais maintenant pourquoi je m'adresse à toi. Tu fais partie des seuls commandants, encore en vie, à m'avoir croisée vivante... et à être capable de faire quelque chose d'efficace. Lorsque j'ai appris que tu étais mourant, j'ai su qu'il fallait que je m'adresse à toi une dernière fois, pour que tes choix et tes alliances soient récompensés. Des images défilent. (hrp)en MP, rien que pour Cesco :) Tu vas maintenant voir ce qu'Espérance va vivre. Ce que nos enfants vont vivre. Quoi, tu ne les as pas prévenus? Je le ferai, alors... Dans la chambre, la pastille plantée dans le crâne de Cesco cesse d'émettre. Sur Espoir, des gouttes de pluies balayent le cristal de la Morte. | ||
| Llor Respect diplomatique : 599 21/02 ETU 10:11 | Score : 4 Détails Le Général Astynax, chef de la garde noire, rentra rapidement en contact avec le chef de la garde néo romaine assurant la surveillance de la chambre de Cesco. L'échange fut bref mais intense et à la surprise générale, le néo romain s'inclina devant Llor comme devant son impératrice.
Jusqu'au bout, cette dernière avait craint que cette confrontation ne tourne au drame et que la garde noire dusse croiser le fer contre la garde prétorienne. Alcor a ses cotés lui dit: "C'est de bonne augure, en particulier chez les romains (lol).... Astynax a vraiment de grands talents de diplomate. Si nous pouvons étendre ce soutien à l'ensemble de la garde prétorienne, c'est gagner. Je n'ai pas la connaissance de la préhistoire romaine de Denior mais je crois qu'il m'a expliqué qu'alors le pouvoir revenait à celui des héritiers de l'Empereur qui pouvait satisfaire aux exigences de la garde prétorienne et de l'armée. L'argent n'est pas un problème non... Llor: "Mais ne songes tu qu'aux planètes et au pouvoir. Un homme, celui que j'aime, est dans cette pièce entre la vie et la mort. ses enfants sont ici pour le sauver et toi tu ne songes qu'au pouvoir... | ||
| Llor Respect diplomatique : 599 21/02 ETU 12:26 | Score : 4 Détails Alcor resta sans voie face à la détermination de sa soeur et sur son absence de matérialité. Ne voyait elle pas que son accession au trône impériale serait la garantie de la sécurité d’Euphor. Ne se souvenait elle pas la mort de leurs parents, la mutation temporaire qu’elle avait du subir dans le corps d’un dragon doré, les attaques de Kyle Emagan sur le système natal, celles de Zébra sur les possessions Actariennes ? Non, elle ne pouvait être à ce point une femme amoureuse et une mère attentionnée sans penser à l’avenir politique des siens. Leur sécurité était en jeu
Mais pour l’instant, mieux valait ne pas la brusquer et la laisser voir Cesco et partager un moment de sérénité familial. Alcor attendrait dehors. Mais au fait où pouvait donc être Denior. Impossible de la localiser psionniquement ? Il m’énerve aussi celui là parfois, avec ses grands principes et son amitié absolue pour Cesco. Mais que je l’admire, réussir à masquer son aura à son propre frère, il est vraiment très fort et puis, c’est mon grand frère... Bon aller, trêve de sentimentalisme, regardons ce qui peut être fait avec les prétoriens, juste comme ça pour voir.... Llor pénétra dans la chambre portant chacun de ses enfants. Leurs poids n’étaient nullement un obstacle. Une suivante apporta deux petits lits ou les enfants furent déposés et disparue aussitôt. Llor s’assit elle aux cotés de Cesco toujours dans le coma. Elle ressentie aussitôt les passages d’Albert et de Lia. La bienveillance du premier, le trouble de l’autre, mais elle sentait également une autre présence, apaisante certes mais qu’elle ne pouvait identifier, quoique... En tous les cas, elle ne décelait aucun risque de sa part, pour Cesco, ses enfants ou elle même. Elle pouvait, elle voulait se laisser aller. Elle posa sa tête sur le torse de Cesco, laissant couler ses larmes et sa peine. Mon dieu, qu’elle l’aimait. Pourquoi fallait il qu’il en douta, pourquoi fallait il qu’il y ait la politique. Il devait vivre pour poursuivre leur amour, pour élever leurs enfants, leur assurer leur avenir et la Paix. Oui, elle devait le faire. Elle en connaissait les risques mais elle devait le faire... Elle place un berceau de chaque coté du lit plaçant un doigts de Cesco dans une main de chaque enfant, elle souleva le masque respiratoire de Cesco et elle l’embrassa.. Bientôt la famille fut environnée d’un halo doré. Denior, invisible, assistait impassible à cette tentative de la dernière chance.... |
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