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| black bird Réputation à la taverne : 772  05/01 ETU 22:43 | Score : 1 Détails Tombe bien, qui tombera le dernier...
La pluie tombe doucement sur cette nuit Pour marquer la fin de cette vie Pour marquer la fin de ce jour Ces pleurs pour toujours Je marche lentement dans le cimetière J'ai mon désespoir comme seule lumière Je me laisse guider par le souvenir De chemin, que je traverse et qui me fait soufrir La lune, en croissant, semble pleurer les gouttes qui narrete de tomber Elle semble connaître mon histoire Celle qui se fini ce soir J’arrive enfin a destination Ta tombe, comme seule raison, je regarde lontemps la pierre Pour oublier mon enfer Je pose une rose noir, Sur ta derniere demeure, mais ce soir Elle deviendra la derniere hote de ma souffrance Dernier témoin de mon silence Lentement poser,je pense Je m'appréte à agir Attendant ma sentence Qui ariva,je me vis mourrir ... | ||
| capitaine Bleuteun Réputation à la taverne : -16  06/01 ETU 04:02  | Score : 0 Détails Bleu
J'ai voyagé à travers le monde, ses mers et ses océans de bonheur et de déceptions... Du haut des nuages, je me fondais dans la perfection infinie d'un ciel bleu d'azur, là où aucune limite n'existe... Comme suspendue dans le ciel. Sur la mer, je me fondais dans l'horizon d'une extase spontanée, là où le ciel et l'eau se confondent dans le même bleu.. Combien riche et pleine alors je me sentais, sans limites, seul le Bonheur d'Être m'habitait... Simplement, calme dans la tempête, harmonie d'un coeur aimant et aimé... le mien. Dans cette infinie beauté, le temps et l'espace n'existaient plus, les besoins se trouvaient tous comblés, comme par magie. La contemplation du bleu subitement faisait disparaître une réalité illusoire pour me faire entrer dans une réalité vraie... l'Ici et Maintenant. Tout en douceur, les flocons de neige tombent, comme des flocons d'ouate. Le soleil se lève et se couche sans soubresauts, L'eau de la rivière coule sans jamais savoir où elle va, heureuse, elle chante entre les cailloux. La lune veille sur nous chaque nuit, bienveillante. Aujourd'hui, je voyage entre le ciel et la mer de mon coeur et j'oublie encore parfois de contempler la beauté et la douceur de cette vie d'infinie beauté si précieuse qui m'a été donnée... Je ne vois parfois que les cailloux qui sondent le fond de ma rivière, plutôt que son eau limpide et bleue qui coule sans s'arrêter vers un océan de bonheur... Cet océan, nous le désirons tous. Il est là, simplement, se confondant à l'horizon avec le bleu du ciel. Cet océan vers lequel nous allons tous, parfois seul, parfois main dans la main avec l'être aimé qui partage ce devenir... Toujours ensemble, éternellement séparés. | ||
| capitaine Bleuteun Réputation à la taverne : -16 06/01 ETU 04:03 | Score : 0 Détails
Où est cet amour... qui nous reliait si fort que, même à distance, nous nous sentions à travers nos âmes. Où est cet amour qui enflammait nos courriels chacun à un bout de la terre ou tu m'envoyais des "Je t'aime!" Où est cet amour qui, encore aujourd'hui, nous relie chaque jour transperçant notre mur sans jamais le briser pour ne pas aimer et se laisser aimer. Voisins, associés et amis la vie nous a séparés mais toujours reliés encore et encore à distance des corps près de nos âmes. Où est cet amour que, seul dans l'alcool tu laisses vivre nous laissant nous aimer le temps d'une nuit le temps d'une brosse. Où est cet amour qui, le lendemain, n'existe plus que dans nos coeurs à nouveau refermés pour ne pas aimer et se laisser aimer... Il est pourtant là tout près mais nous n'osons nous y brûler encore... au risque d'être heureux. | ||
| Blackstar Réputation à la taverne : 350  06/01 ETU 10:31 | Score : 2 Détails ...
L'embrun nacré de cette chaude soirée d'été m'enveloppait avec douceur.Le soleil allait bientôt se coucher.Un rouge horizon se formait déjà, au loin, tandis que la lune apparaissait, et que les étoiles survenaient une par une, dans ce bleu ciel oragé. On pouvait voir à l'horizon, de nombreux éclairs fendre les nuages comme du marbre, tandis que le vent commençait à souffler.Les arbres et les prairies commencèrent alors une danse frénétique avec le vent, s'associant magiquement avec les éléments. C'est fou ce que l'on peut voir lorsque l'on est seul, seul au monde, seul au sommet de cette verte colline, sans personne pour nous aider à contempler cette nature si rayonnante... Je m'allongeait alors dans l'herbe humide, sentant la douceur des perles d'eau sur ma peau.Le ciel semblait s'assombrir... Je m'endormais... Début d'un p'tit livre que je vais écrire sur Apo. Là c'est le prélude. |
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