Forums galactiques > Taverne galactique : lieu de discussion informel > A vos plumes!
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black bird Réputation à la taverne : 772 10/03 ETU 00:18 | Score : 10 Détails Commandants, commandantes, bonsoir....
un concour vient d'être mis en oeuvre..... le but de ce concours et de développer vos talents d'écrivain.... je vous explique.... Environ une fois par moi, un théme sera lancé et une histoire pourra être écrite par chaque commandant désireux de montrer son habilité avec la plume.... Le vainqueur de ce concour recevra: 3 000ma et un systéme! Le second ; 2 000ma Chaque participant gagne une somme de 500ma pour leur participation , pour récompenser leur effort.... le premier théme abordé sera l'écriture fantastique! Chers écrivains et écrivaines, votre histoire devra obligatoirement se munir de fantastique, d'histoire invraisemblable et surnaturel! A vos plumes! et n'oubliez pas, faites vous plaisir et faites nous plaisir! le concour se finit mercredi à 18h! hrp//chaque participant devra poster son histoire ici, le gagnant sera désigné par le nombre de points récoltés ou par un vote... jeunes commandants,ceci est une bonne façon de vous faire remarquer!!! pour que le concour se déroule, il nous faut la présence d'au moins 5 cmdts...//hrp | ||
Hycaros Réputation à la taverne : 131 10/03 ETU 11:37 | Score : 11 Détails Une forme sombre déambulait dans les rues pavées, Une cape rouge sombre, un bandeau de la même couleur enfoui dans une crinière de cheveux fin, noirs. Des yeux glacials, des traits graves, une démarche fluide.
La silhouette se faufilait dans les ruelles sinistres, changeant de direction continuellement, on aurait dit une proie fuyant son prédateur. Et ce n’était pas si loin de la vérité. Cinq personne de hautes tailles, tous habillés d’une combinaison et d’un cagoule noire, surgirent devant l’homme traqué pour lui barrer le passage, quelques secondes plus tard, cinq autres personnes coupèrent toute retraite a celui-ci. Le combat commença, et se termina en à rien de temps, dix cadavres jonchaient le sol d’une ruelle derrière une taverne, et une silhouette furtive courrait toujours dans les rues désertes de Migliore. L’homme, car s’en était un semblait flotter, on ne pouvait voir ses pieds fouler le sol. Aucun bruit ne se faisait entendre tandis qu’il s’approchait de son but. Mais les ennemis savait qu’il était là… Des guerriers tout de blanc vêtus surgirent aux quatre chemin d’un carrefour, bloquant toutes les issues par leur nombre, il rigolaient…Leurs armes était scintillantes, pures, leur sabres affûtés, leurs arcs équilibrés…la garde royales avait fait son entrée dans la bataille. Altamïr ne fit aucun mouvement, aucune peur ne se reconnaissait dans son regard gris, froid. Les hommes attaquèrent tous ensembles, parfaitement coordonnés dans leur mouvements, complémentaires dans leur gestes…il ne formait qu’une seul machine de guerre, n’ayant jamais manqué une cible. Sans aucune prise d’appuis visible, Altamïr bondit vers le haut, jusqu’à atteindre une hauteur de plusieurs dizaine de mètre. « Gale, le vent du sud. » Après deux mouvement de bras, d’une vitesse surhumaine, vers ses adversaires, deux grandes lames de vents roses fendirent l’air pour venir s’écraser au milieu des rang ennemis étonnés. L’attaque fendit plusieurs crânes, coupa plusieurs jambes et déchiqueta plusieurs torses…vingt-deux gardes royaux s’effondrèrent. Encore vingt-huit. Une volée de flèche se précipita vers l’homme vulnérable qui n’était plus qu’à une dizaine de mètres du sol. « Jierda » Les traits s’immobilisèrent en plein vol et tombèrent comme des pierres, abbatant quelques soldats imprudents. Altamïr posa enfin le pied au sol. Les guerriers blancs chargèrent. « Le tigre d’ambre du dragon céleste » Avant que les gardes eussent puis esquisser un geste, l’homme obscur poussa un grand rugissement en donnant un coup, un seul, un coup de poing surpuissant. Une dizaine de ninjas blancs s’envolèrent sous le coup, allant s’écraser quelques mètres plus loin, morts. Les guerriers qui n’avait pas montrer signe de peur jusque là hésitèrent, puis reculèrent. « Take Over, l’épée absorbante.” Une épée entièrement rouge sang, de la garde au pommeau, jusqu'à la lame effilée, apparut entre les main ferme d'Altamïr. Il chargea à son tour. Cinquante cadavres gisaient sur le sol autour d'un homme, la peau tachée de sang, éssouflé. L'épée couleur rubis scintilla, et sembla se désagréger. Elle devint gaz, et integra le corps de son propriétaire. La sueur qui perlait sur son visage grave disparut, sa respiration redevint régulière, ses forces lui revinrent. Il continua sa route. Le palais était devant lui, plus que quelques pas et il aurait réussi. Sur le chemin il avait croisé plusieurs autres massacres, semblables à celui qu'il avait lui même provoqué. Quatre silhouettes attendaient sur la pas de l'immense porte de la demeure royale, une montage de cadavres à leur pieds, leur regards étaient fixés sur le métal travaillé de l'ouvertures haute de plusieurs mètres et épaisse comme deux hommes. Altamïr vint se placer entre eux, aucun ne pivota la tête, tous étaient concentrés sur leur but. Dans un mouvement commun , il donnèrent un coup de pieds simultané dans la grande plaque de fer forgée, celle ci s'effondra vers l'intérieur. Une armée de guerriers en armes attendaient de l'autre coté, il chargèrent comme un seul homme, énorme vague de haches d'épées et de boucliers qui n'ont qu'un seul but: tuer les intrus. Les cinq silhouettes disparurent. Chacun savait ce qu'il avait à faire. La bataille ne dura pas longtemps, un dicton dit que l'épée la mieux aiguisée se prosternera aux pieds du magicien aguerri... Laissant derrière eux des couloirs remplis de membres déchiquetés, et de gardes morts, les cinq personne monstrueusement puissantes fendaient l'air en direction de la salle du trône. Fluide comme l'eau, rapide comme le vent. Ils touchèrent enfin au but, défonçant la porte qui menait au roi, il entrèrent dans la pièce luxueuse. Le monarque, surnommé king, grand homme gras, possédant une moustache et des cheveux grisonnant les regarda stupéfait du sofa de velour dans lequel il était enfoncé. "- Moi Altamïr Darowïn, chef des quatre empereur des cieux te somme de te rendre immonde crapule. -Mais qu..que... -Cela fait trop longtemps que tu règnes sur ce monde mauvais homme, avoir profité de notre absence pour prendre le pouvoir et ainsi mettre en place ton tyrannisme n'était pas une mauvaise idée pour un être uni-neuronale comme toi, il fallait cependant compter sur notre retour. Je te le redemande être répugnant, rends toi où c'est la mort qui t'attend." Le roi devint livide, cette salle personne égoïste n'avait pas prévu que cela se finirait ainsi...tenant à sa vie plus que tout autre, il accepta les conditions des mages qui le tenait en otage. Plusieurs jours plus tard " Peuple de Migliore, tu es enfin libre. La foule hurla de joie, les millier de citoyens rassemblés sur la grande avenue devant le palais était en liesse. " Ton oppresseur s'est rendu grand et fier peuple, à présent...la vie continue | ||
Felmo Réputation à la taverne : 1 10/03 ETU 13:36 | Score : 2 Détails Un homme sombre entra dans la Taverne et dit :
Salut a tous je voudrai m'inscrire au concours et vois-y mon histoire. Un jour alors que Joris était dans sa maison construite dans un bidon ville il fit une lueur au long. Il commença a paniqué et sortit. Dehors devant sa cabane se tenait une personne très sombre. Joris lui dit d'une voix inquiète : Qui ait vous ? ATTENTION je vais appeler la police galactique. L'homme étrange le regarda et lui dit : taispaspeurjesuisTaern. Joris ne comprit pas se qu'il lui dit et répliqua : Je suis Joris L'homme lui dit : Jem'appelleTaern. Joris courue dans sa cabane et fermât la porte. La il fit signe a son voisin qui téléphona a la Police Galactique. 2 heures plus tard La P.G arrivât sur les lieux et dit : Bonjour que se passe t-il ? Joris répondant : Il y a un homme étrange. La P.G répondit : Arrêté vaut sornette. La l'homme sauta sur le capitaine de la P.G et lui mords la jambe d'une telle force que le capitaine tombât. L'équipe se mit a tiré sur l'homme mais l'homme tellement rapide ne prenait aucune balle. Alors il tua les soldats 1 par 1. La Joris parti avec la moto volante du capitaine. Et parti sur la route menant à Uri la ville enchanté. La l’homme parti a la poursuite de Joris. Ils roulaient tous les deux a plus de 150 km sur la national 580. La Joris prit un virage et l’homme continua tous droit dans un arbre. Alors Joris parti a aéroport et pris la vole pour Ohre la planète lunaire. La, une armé entière l’attendais devant l’aéroport. Alors il eu une idée il pris les commandes de l’avion et la toute l’armé le suivit. Il s’arrête devant le soleil et quand ses poursuivants arrivas il se décala et vus toutes une armé brûlé. | ||
général glou Réputation à la taverne : 16 10/03 ETU 19:36 | Score : 8 Détails Un homme entra dans la salle et s'inscrit.
Il metta sa feuille sur la table et lit dans sa tête le texte: Un enfant ,petit, rentra de l'école et dit à sa mère qu'il était entré. Son père rentra vers 19heure et murmura à sa femme qu'il avait eu une augmentation. Il les invita à aller diner dans un restaurant très chic. Sur la route,en retournant chez eux la mère ètait tellement bourré qu'elle renversa une femme et un bébé. Elle cria et son mari se réveilla etlui dit: _Pourquoi tu cris comme ça? Tu vas réveiller tout le pâté de maison. Sa femme répondit: _J'ai...Euh comment dire?.... Ecrasé quelquechose. Son mari sostit de la voiture et regarda devant la voiture. Il n'y avait rien à part du sang!!! _Tu as tué quelqu'un!!! _Non enfin oui mais je ne l'ais pas fait exprès. _Il me faut une lampe torche. Passe moi celle qui est dans le vide poche. Sa femme la lui donna et demanda pourquoi il la voulait. _Juste pour voir si il y a quelqu'un un peut plus loin. Le mari marcha sur une trentaine de mètre et pensa qu'elle avait fait une hallucination. Il cria: _Il n'y a rien, même pas un chat. Il se retourna et vit la voiture qui fonçait rapidement sur lui. Sa femme devenait folle et se transforma en un mort vivant. Il évita la voiture et coura dans le sens inverse. Le mort vivant s'arreta et fit demi tour et refonça sur le mari. Tout à coup un camion s'arreta devant le jeune homme et lui dit de monter. Le mari entra dans le camion et demanda au cammionneur de partir rapidement. La voiture les rattrapat en quelques secondes. Le cammionneur fit renverser la voiture et la voiture se retourna pendant quelques milisecondes et se détruit avec le choque contre l'arbre. _Merci,dit le mari, mais il y avait mon enfant. _Je suis désolé pour vous car vous avez perdu un être jeune qui n'avait pas encore pris sa taille normal. Tout à coup les deux hommes se transforma en mort vivant et firent de gros dégâts pendant plus de 200 ans puis se fut le plus gros cas au monde depuis plus de 10 000 ans. FIN | ||
black bird Réputation à la taverne : 772 10/03 ETU 20:09 | Score : 0 Détails voila de bien belles histoires...
quelqu'un voudrait il se frotter à nos écrivains? edit//non non ce n'est pas que cela commandant... | ||
Quaideluz Réputation à la taverne : 411 10/03 ETU 20:11 | Score : 0 Détails T'inquietes pas j'arrive..
Bon pour toi le fantastique, ce n'est pas uniquement de la heroic fantaysie? | ||
KURT Réputation à la taverne : 377 10/03 ETU 22:18 | Score : 11 Détails Dans la nuit sombre, un cavalier se dirigeait à toute allure vers le château de Lyenn-Sardan, dans le pays de Darkshade. Il était porteur d’un message en provenance du pays voisin.
On lui ouvrit les portes puis on l’amena devant le seigneur et maître de ce pays : le Roi Valdhir. Il lui dit d’un ton effrayé : Seigneur Valdhir ! Le comté de Lardhiran est attaqué par l’empire d’Ardor !! J’ai vu cette armée de mes propre yeux, sire et je peut vous dire, jamais une telle armée n’a été crée ! Ils son plus d’un million à avancer vers nous avec des immenses armes de siège et les guerriers noirs d’Arlord Oriental ! Si dans une semaine nous ne mobilisons pas une armée aussi grande que la leur, nous serons perdus… Le roi resta perplexe devant cette nouvelle. Il se leva et dit : Un million d’hommes dis-tu… Combien nous en disposons général ? Le général répondit : Mon seigneur… nous en avons que 500 en garnison… et si nous ajoutons les paysans mobilisés, ça fera que 1000 soldats, dont la moitié n’a aucune qualification ! Que peut-on faire alors ! le général regarda le roi dans les yeux, regarda autours de lui et s’agenouilla : Mon seigneur je n’en ai aucune idée ! Mais… Un homme de haute stature, encapuchonné dans un grand manteau de dressa et dit d’une voix forte : J’ai la solution ! Je vais chercher l’armée du Rhaur ! Ce qui me faut, c‘est le sceau du Royaume ! Un brouhaha s’éleva de l’assemblée Silence tout le monde ! Cette armée nous a trahis par le passé ! Je ne tenterai pas une seconde erreur ! l’approbation de l’assemblée se fit entendre. L‘homme enleva son manteau. Une épaisse armure de bronze le recouvrai et une longue épée était accrochée à sa ceinture. Certes cette armée nous a trahis, mais souvenez vous de pacte que nous leurs avons fait signer sur leur honneur ! Cette armée nous aie dévouée ! Elle ne sera pas stoppée, tant qu’elle ne sera pas vaincue ! Le roi se frottait la barbe, tout en réfléchissant. Il alla consulter ses conseillers qui n’avaient pas l’air d’approuver cette proposition. Il se retourna et répondit : Ainsi tu iras chercher cette armée, chevalier soit ici dans une semaine ! Sur ces mots le chevalier s’en alla, il ne fallait pas perdre de temps. Il alla préparer quelques vivres pour le voyage et enfourcha son cheval. Le roi vint vers lui et lui demanda son nom : Je suis Haldhir, fils de Baldir, du Royaume de Beod Puisse-tu nous apporter le soutien tant espéré, Haldhir ! Le roi lui tendis le sceau puis le chevalier s’en alla à toutes vitesse à la recherche de l’armée du Rhaur. Il erra pendant deux jours à travers le désert et arriva enfin devant les montagnes du Rhaur, ou était caché l‘armée perdue. Un vent glacial le poussait vers le repère des guerriers. Il arriva devant une immense porte, taillée à même la roche. Il laissa son cheval devant, alluma une torche et y entra. Des écritures anciennes étaient taillées sur les murs. Il arriva dans une immense salle. Un vol de chauves souris fit éteindre la torche. Il sentait une présence malsaine, tout proche de lui. Il ralluma sa torche et elle fut éteinte aussitôt. Une voix se fit entendre , résonant dans toute la salle : Qui esss-tuu étranger !! Personne ne doit pénétrer en ces lieux ! Haldhir sorti son épée tourna la tête dans tout les sens pour trouver l’origine de la voie : Je suis Haldhir, fils de Baldir, du Royaume de Beod, je viens vous rendre votre honneur ! Mai à une seul condition, vous vous battrez pour moi, mon roi et mon peuple ! Sommes-nous sur de ce que tu dit, chevalier !? Avons-nous une preuve de ce que tu avance !? Haldhir sorti le sceau et le tendis au-dessus de sa tête. Voici la preuve de ce que dis ! Un homme de haute stature s’avança vers la lumière, il avait le teint pâle et ses deux canines déplaçaient de sa bouche. Il prit le sceau l’inspecta et le rendis au chevalier. Nous te suivrons jusqu‘en enfer, Haldhir, fils de Baldir, du Royaume de Beod ! Ainsi nous vous aiderons ! Pendant ce temps, les préparatifs de la bataille se faisait à toute vitesse au château de Lyenn-Sardan. Plusieurs éclaireurs avait été repérés par-dessus la colline, ce qui voulait dire que l’armée n’était plus très loin. Au sixième soir, les cors et les tambours ennemis se faisaient entendre au loin, signe que la bataille débutera au petit matin. L’armée se rassembla devant le château. Devant eux, était disposé des pieux, des tranchées, construit durant la semaine. L’armée ennemie arriva en vue du château et s’arrêta, hors de portée de flèche. Les tambours et les cors faisait tressaillir les soldats. Ils était disposés en une longue lune ce qui donnait l’impression du nombre. Le silence se fut sur le champ de bataille. Des cors résonnèrent, ce qui donnait le signe de l’assaut. Dès que l’armée fut à portée tir, des centaines de flèches sifflèrent et s’abattirent sur les premières lignes. Les cavaliers ennemis se ruaient vers le château la plus part se firent tués par les pieux, dissimulés par des herbes. Dès leurs passage, des archers ouvrirent des trappes, sortirent de terre et tuèrent le reste de cavaliers. Pendant ce temps, les catapultes entrèrent en action, causant quelques dommages à la forteresse. Les tours de siège se rapprochaient dangereusement. On envoya les cavaliers tuer une partie des fantassins qui approchaient l’attaque avait marchée, mais aucun cavalier ne revint vivant de cet assaut. Les tours de siège arrivèrent en face des murs et ouvrirent leurs portes. Des dizaines de guerriers noirs d’Arlord Oriental sortirent, exterminant tout sur leur passage. Le bélier alla fracasser la porte. Elle tomba en trois coups. Le reste de troupes étaient retranchées dans le donjon, essayant de renforcer la porte du mieux qu’ils pouvaient. Du haut du donjon, le roi observai avec horreur l’immense armée dévaster son château. Le soir tomba et la pleine lune vira au rouge. L’armée du Rhaur était là, avec Haldhir. Les guerriers sortirent leurs armes et se lancèrent au combat. Ils tuèrent tout ceux qui se trouvaient sur leurs passage. Personne ne pouvaient stopper l’armée perdue. Ils étaient invincibles. Au petit jour, le champ de bataille était couvert de morts, le pays de Darkshade avait gagné ! Le roi alla voir Haldhir: Nous vous devons la vie, seigneur Haldhir ! Les dieux veillent sur vous ! Que pouvons-nous faire pour vous remercier ! je ne demande rien, j’ai fait mon devoir, de protéger les plus faibles ! Il se tourna vers l’armée du Rhaur. Je vous libère de votre contrat ! Vous avez regagné votre honneur ! Merci, nous nous en allons en paix maintenant ! Sur ces mots, ils disparurent et plus personne ne les revirent. Quand à Haldhir il reprit la route et s’en alla parcourir le monde… | ||
Quaideluz Réputation à la taverne : 411 10/03 ETU 22:31 | Score : 7 Détails Avant d’ouvrir les yeux, le jeune Luc sentit une drôle d’odeur, un mélange d’encens et de poils mouillés. Curieux, ses paupières s’ouvrirent lentement, ses yeux partirent à la recherche des raisons de ces odeurs. La première fut vite trouvée, les bougies posées sur la table de salon étaient allumées. Rassuré mais une pensée de son esprit jaillit de son esprit Mais qui les a allumé ???
Un froncement de sourcils, et les sens aux aguets, il chercha une présence dans la pièce. Son salon était plongé dans une noirceur assez intrigante, les contours de ses meubles du fond étaient flous. Il était intrigué car dans la maison, il était seul et il n’avait entendu aucun bruit. Les bougies ne s’étaient pas allumées toute seules. Instinctivement, ses mains se fermèrent sur le livre posé sur ses genoux. Rassuré par ce contact, ses doigts caressaient le livre. Un beau livre avec une reluire cuir assez fragile. N’osant bouger de son fauteuil, il continuait à le toucher, et pour continuer à se trouver du courage ou pour apaiser son esprit. Luc Alban ouvrit ce livre venant d’un héritage familial, et voulant continuer à faire l’autruche, il voulut lire. Bizarre, la page était blanche. Là ou il y aurait dû avoir le début d’un roman assez classique, plus d’encre sur la feuille. Une suée de peur parcourut son corps, il commençait à transpirer. Afin d’éviter la panique, son doigt tourna la page, en ce faisant, le coin de la feuille lui piqua. Luc poussa un grognement et tout de suite éteint car les deux pages étaient blanches. Une petite goutte de sang se forma sur le bout de son doigt et tomba sur le livre… La suite au prochain épisode | ||
Capitaine Dax Réputation à la taverne : 20 10/03 ETU 22:42 | Score : 10 Détails Il était quatre heures du matin, tout semble paisible dans la petite ville de Ste-Élie.
Toute la population dort encore, excepté peut-être pour les quelques travailleurs des champs qui se rendent au travail à l'aurore. Cela a commencé tout doucement, presque délicatement, on eût dit un faible roulement de tambour au loin. Puis c'est devenu un grondement comme le tonnerre réveillant assurément ceux qui avaient le sommeil léger. Puis tout à coup comme une énorme explosion, le bruit fut si terrible que les murs en tremblèrent. Bham ! Un éclair blanc traversa en crépitant l'immeuble où ils habitaient, tous les appareils électriques se mirent à fonctionner dans l'appartement, puis à exploser les uns après les autres en autant de nuages de fumée, qui remplissait peu à peu la pièce. La scène était indescriptible, les gens criaient et courraient de tous les côtés. Ils dévalèrent quatre à quatre les marches du grand escalier qui menait au rez-de-chaussée du petit édifice à logements. La lumière qui inondait le hall d'entrée était aveuglante. Ils ouvrirent la grande porte et sortirent dans la rue... Un garçon murmura d'une voix lente et calme, comme si il voyait la mort arriver, les yeux grands: << -La fin du monde arrive? ... Qu'avons nous fait pour mériter cela? Sommes nous inconscients de ce danger qui nous menaçait tous, que fait le gouvernement? Qu'a fait l'homme avec leur idéaux de ce monde?>> Une autre explosion survint, l'homme voyait les éclairs se déchaîner petit à petit, les nuages prendre une forme de tourbillon, les conséquences de cette catastrophe mondiale? Alors que le petit garçon murmurait, nous nous voyons à travers les yeux des japonais, la télévision parle dans toutes les langues d'une voix affollée, si bien que quelques heures plus tard tout le monde court affollé, c'est la panique en Asie ... Chaque continent affollé ne peut rien faire face à l'étrange destin de Dame Nature ... L'oeuvre ne faisait que commencer, l'apocalypse, un torrent de neige, le climat déferlant et changeant sans cesse, une terre aride avec des millions de cadavres en Afrique, des gens gelés vifs en Amérique du Nord, l'apocalypse ferait des millions de morts ... Tout cela pourquoi? Qui va les sauver? ... Au mépris de la terre, la rivière de la vie coulait, douce et lente si bien que lorsque l'homme fit ses dégâts et ravages, le monde tourna dans une fin atroce, conscient du danger le l'effet de serre, les hommes ignorant le destin et la colère de dame nature virent leur sort scellé ... Le petit garçon chantait pleurant les larmes aux yeux pendant des jours et des jours tremblant sous la neige, il résistait ... Le destin l'avait-il choisi? Il se mit à chanter une chanson triste et lente racontant la vie sur terre, il lut les lettres persannes ... Ce petit garçon prodigieux avait compris le sens de la vie, le pourquoi de la nature et de cette réalité, il chanta debout cette fois, une chanson de la rivière de la vie ... "Dans la ville inconnue, Je n'aime rien. Je prends toujours des rues Qui vont trop loin, D'interminables rues Où je me perds, Des quais, des avenues Et des boulevards déserts Puis, entre deux maisons, J'entends le tintamarre D'un long train sur un pont Qui s'en va quelque part. Dans la ville inconnue, Soir et matin, Comme ce chien perdu, Je vais et je reviens. Il y a les passants Qui ont l'air de vous fuir Et qui n'ont pas le temps De vous faire un sourire. Dans la ville inconnue, Quand vient la nuit, J'ai peur des murs tout nus, Des murs tout gris. J'ai peur de cet hôtel Au lit trop froid Et du matin cruel Qui me réveillera, Car je voudrais dormir, Dormir même le jour Avec mes souvenirs, Mes souvenirs d'amour. Dans la ville inconnue, Je pense à toi, Mais toi, te souviens-tu Encore un peu de moi ? ..." Le petit garçon pleurant murmura ses derniers mots de sa triste vie ... << Que de cruauté dans ce monde dans cette ville ou tant de tristesse, tant de larmes ont coulé, tant de joies et de peines ont touché le monde, mais malgré tout, j'ai été heureux de vivre dans ce monde même si ce fut court ...>> Et sans un mot il tomba au sol, les gouttes de pluie martellant son visage, une vie était perdue, une vie insignifiante parmi 6 milliards, pourquoi lui? Le destin en avait décidé, si ces hommes avaient décidé plus tôt de donner le progrès avant de faire le progrès le monde vivrait encore mais il a fallu que la main de l'éternel l'écrase ... Quel est le sens de la vie que le petit garçon avait compris? Ce sens insignifiant que tant d'hommes cherchent à découvrir? Jamais nous ne le découvrirons sauf peut être quand la mort viendra nous chercher ... The End | ||
Quaideluz Réputation à la taverne : 411 11/03 ETU 13:45 | Score : 5 Détails Le temps semblait s’être arrêter pour le jeune homme, il voyait bien la goutte de sang bien rouge tombée vers la page blanche. Le liquide s’étala sur la feuille et malheureusement pour Luc, des signes ou des veines de couleur vermillon partirent de l’impact de la goutte. Le visage du garçon devint de plus en plus blanc au fur à mesure que les deux pages se remplissaient de rouge, ainsi que le reste des pages comme le constatèrent les yeux exorbités.
Un deuxième sens fut fortement activé, l’odeur de poils mouillés était très présente, quasiment écoeurante. Poussé par un désir, mais quel désir ou quel besoin pouvait pousser Luc à lever la tête doucement, très doucement. Son champs de vision ne constatait au début que du parquet de son salon, puis quelque chose de liquide comme une flaque, non deux flaques. Dans celles-ci, se trouvaient deux pattes. Ces yeux continuaient leur progression. L’esprit de Luc, bien mal au point déjà, fut rassuré de voir un poitrail au dessus des pattes. C’était un chien qui se trouvait à deux mètres de lui et il reconnut la race, un épagneul. C’est lui qui dégageait cette odeur de poils mouillés étouffante. Mais que faisait il là ? Il n’avait pas de chien, comment il était venu chez lui dans son salon ? C’étaient les questions que se posait le coin de son cerveau qui n’était pas encore sous l’emprise de la panique. Perdu dans ses pensées incohérentes, son regard chercha quelque chose et il vit un appareil très intéressant pas trop loin de lui. Un téléphone, son téléphone quasiment à porté de main. Comme par magie, le chien retroussa ses babines, tout le corps de Luc fut immobilisé par le geste de cet animal. Le monsieur Alban vit avec horreur qu’il ne voyait pas ces yeux. OUF, ils étaient fermés. Lâchant un soupir venant de très loin, je dirais même ; Luc posa machinalement son regard sur le bouquin. Et là il eut un geste de recul, tellement la vison qu’il regardait lui donna de l’effroi. Sur la page de droite, deux yeux roses le dévisageait car ils étaient put*** de mer**, bien vivants. Voulant échapper à cette vue glaçante, il fit la bêtise de porter son regard ailleurs et donc sur le chien. Et là, encore surprise, les mêmes yeux du livre dans les orbites du chien, le fixaient. Paniqué et mal à l’aise par la sueur qui lui dégoulinait par tous ses pores de la peau, Luc fit des allers retours entre les yeux du livre et ceux du chien, c’étaient les mêmes. Soudain sur la page de gauche, se formaient des caractères qui exprimaient des mots tout à fait cohérents. Le jeune homme lut à haute voix sans se rendre compte. Bonjour, petit-neveu de la troisième génération de la famille Alban, je suis Varlt, ton grand oncle à trois niveaux d’ascendance de toi. C’était carrément de la stupeur chez Luc, ce prénom était synonyme de peurs et de malédictions dans sa famille. Aux réunions familiales, quand il était petit, les adultes se mettaient à part et baissaient la voix lorsqu’ils évoquaient ce mot. Les mots continuaient à se former sur la page et il continua sa lecture. . Oui, c’est bien moi, le parjuré de la famille, l’ignoble assassin. Le sorcier commandant les pulsions démoniaques. Je reconnais tous mes crimes même ceux que les ragots n’ont pas comptés. HA HA HA HA HA HAAAAA….. Voulant jeter à terre le livre, Luc entendit tout de suite le grognement du chien et ses griffes sur le parquet. La gueule ouverte, l’épagneul s’était rapproché de l’humain assis dans le fauteuil. Là, Luc pus voir avec horreur, les traînées de liquide descendre des pattes du chien pour former des gouttelettes sur le plancher et bien sûr, c’était du sang. Une pensée assez incongrue au vu de la situation lui arriva : voici l’explication de l’odeur de poils mouillés et celle particulièrement écoeurante constatées tout à l’heure. Sur la page, Varlt continuait à s’exprimer : Bon, je vais droit au but, mon petit gars, tu es ma passerelle avec le monde vivant. Le seul prix à payer est de verser ton sang sur les pages du livre car elles vont me nourrir. Si tu ne le fais pas, Cinth, le toutou en face de toi, viendra te déchiqueter ta gorge. Si tu espères que c’est un mensonge, rappelle toi dans quel état on a retrouvé l’oncle Vern quand il est mort, il y a 25 ans. Je te rassure, , ton travail a des avantages, car d’après toi, d’où viennent toutes les richesses de notre famille. Tu es mon héritier. Ne pouvant plus, Luc bondit de son fauteuil pour échapper à cette malédiction en hurlant sa peur. Et il se réveilla debout en gesticulant et trempé de sueur. Luc mit quelques instant pour réaliser que c’était un cauchemar. Les bougies du salon s’éteignerent toutes seules……. FIN. | ||
Vanicia Réputation à la taverne : 43 11/03 ETU 21:09 | Score : 9 Détails Je ne sais si on peut qualifier ce texte du terme de fantastique, mais je transmets quand même ici.
Une nuit noire. Des gouttes de ténèbres s’abattent sur les lumières du capitalisme. L’eau est violente, elle se venge. Un toit. Haut. Une chute serait mortelle. C’est voulu. Un pied se pose sur le bord. Son propriétaire est une jeune femme. Une larme tombe de cet océan de désespoir, pour en rejoindre un autre. Un pas la sépare de la délivrance. Sa tête s’emplit d’une musique céleste avec une voix gracieuse. Les anges sont venus l’accompagner. Les souvenirs viennent donner du courage. Elle se sent indestructible, pour la première fois vraiment libre. Elle choisit de se laisser aller. Vertige du corps et de l’esprit, ses cheveux et sa robe sont déchaînés par la vitesse qui ne cesse de s’accroître. Elle abandonne une nouvelle larme dans la chute. La porte va s’ouvrir. En dessous, une course désespérée. Un jeune homme, qui a aperçu la silhouette fonçant telle une fusée à l’envers. Il saute, l’attrape au vol. L’atterrissage est difficile. Mais la vie est toujours là. Elle est enragée, il n’apporte qu’échec et souffrance. Elle devra retrouver la force de défier à nouveau la vie, elle venait de perdre le premier round. Elle le frappe de ses mains et manches trempées. Il résiste, et lui prend la tête dans ses mains. Ils sont toujours couchés. Leurs regards brûlants se croisent. L’inconnu lui crie d’une voix autoritaire, la pluie comme percussions : - TU PEUX TOUT RECOMMENCER ! N’ABANDONNE PAS, LE MONDE T’APPARTIENT ! L’ESPRIT EST TOUT ! SOIS FORTE ! Elle refuse. Il ne sait rien, son ignorance lui fait dire des bêtises. Là-bas, c’est mieux, toujours. Être forte n’y changera rien. Le visage parcouru d’eau glacée, il insiste. Sans savoir pourquoi, elle l’embrasse avec ce qui lui reste de passion. - Offre-moi une dernière journée de vie. Elle s’abandonne dans ses bras. Il accepte. Il n’a pas perdu espoir. Il la prend dans ses bras. Il la relève avec lui. Il se met à marcher. Il commence une chanson joyeuse. Elle ne répond pas. Il tourne comme une toupie. Il rit comme un enfant. Elle s’accroche à lui. Ils sont arrivés chez lui. Ils laissent une traînée d’eau sur leur passage dans le bâtiment sec. Ils entrent. Cette fois c’est la porte de la vie. Il lui arrache les vêtements. Sa passion se communique. Elle y prend part. Elle a envie. La bouche dans ses cheveux, les mains à l’aventure, il lui murmure : - Oublie tout le reste. Nous sommes nous deux, et c’est tout. Rien n’a existé avant, rien n’existera après. LAISSE-TOI EMPORTER PAR LE TORRENT ! Nus, en contact, leurs sexes s’unirent. La chaleur intérieure vint chasser le froid du dehors. Ils frémissaient d’un plaisir croissant. Planté, il mit ses mains à la base de son sexe à elle avant de faire rayonner ses caresses sur toutes les courbes qu’elle possédait. - RESSENT LE TORRENT ! Ce flot déchaîné, ne l’oublie jamais. Il est au fond de toi, entends-le, et sois réjouis-en toi. Ne laisse rien le dissimuler à ton regard. Tout est en toi, ne laisse pas l’extérieur interférer avec ce contact intime. Il t’habite, écoute-le qui rugit, plonge dans sa sauvagerie, noie-toi dans sa force. RESSENT LE TORRENT ! L’orgasme jaillit. La vague impétueuse secoua les corps. Ils se laissèrent aller, le lit était là pour les retenir. La sueur dégoulinait où plus tôt se trouvait la pluie. Dans une expiration, elle souffla : - Je veux vivre. Au souffle suivant : - Avec toi. Elle sourit. Lui aussi. Une dernière larme, de joie cette fois. | ||
black bird Réputation à la taverne : 772 12/03 ETU 19:12 | Score : 0 Détails Quelqu'un d'autre voudrait il tenter sa chance?
Vous n'avez rien à perdre, n'hésitez pas! | ||
black bird Réputation à la taverne : 772 13/03 ETU 17:56 | Score : 0 Détails Plus que 24h avant la fin du concour...
Personne d'autre ne désire tenter sa chance? | ||
Leia la sanguinaire Réputation à la taverne : 46 13/03 ETU 18:12 | Score : 5 Détails Oui moi! Ce n' est pas le mieux mais on peut toujours essayer ^^
Un garçon les cheveux oranges et teintée de mèches bleus, une fille des cheveux blancs, pourtant elle n' est pas vieille? Un arbre au milieu d' un vallon. Le décor est mis en place, les personnages sont arrivés, ils ne restent qu' à les faire bouger. Tout ceci est votre imagination, oubliez et REVIVEZ! Je suis la fille, ai je un nom? Rien n' est moins sûr... Mais je suis également le garçon, d' ou vient la coupe bizarre de mes cheveux? Je suis aussi celle qui peut les commander, les faire bouger dans le néant quoi de plus amusant? Je ne crois pas à la mort, je ne crois pas à l' amour. Il n' y a que ce vide, ce néant qui m' entoure, me touche, me protège, me réconforte... Et l' histoire continue. Le vallon s' assombrit, le soleil est en train de se coucher mais les deux personnes, peut être trois? Sont toujours là. Ils attendent...quoi? Oui, maintenant je sais qu' est ce qu' ils attendent tous, ils l' attendent lui. Asrumael, comment sais je ce nom? Il m' est venu naturellement à l' esprit mais il n' a pas toujours été là. Il est vétu d' un simple manteau de laine, un simple manteau de laine... Ces yeux sont blancs, blancs comme les cheveux de la fille. Sa peau est orange marbré de bleu comme les cheveux du garçon. Et son esprit me ressemble, il est vide de pensée. Rien que le vide qui l' entoure, comme moi. Il est là tous simplement là et il y restera jusqu' à la fin des temps... | ||
Leia la sanguinaire Réputation à la taverne : 46 13/03 ETU 19:27 | Score : 1 Détails Vous ne comprenez pas cette histoire? C' est normal...
Parce qu' il n' y a RIEN à comprendre. | ||
Quaideluz Réputation à la taverne : 411 13/03 ETU 21:12 | Score : 0 Détails J'aurais plutôt dis qu'elle est fantastique
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Boulix Réputation à la taverne : 56 13/03 ETU 21:56 | Score : -1 Détails Ouaf ouaf ouaf ...
OUAF OUAF OUAF ouif ouaf ... Zouaf grrr ouaf ouif ouif ouaffffffffffffff ! OUaf ouaf ouaf ouaf ouaf... zouaf? OUAF OUAF OUAF ! ouaaaaaaaaaaaaafff ??? OUAFF GRRR ,GGRRR OUAFF. Ouif. voilà mon histoire fantastique ,désoler j'ai oublier d'allumer mon appareil quand je la raconter. | ||
black bird Réputation à la taverne : 772 14/03 ETU 19:17 | Score : 1 Détails le concours est fini !
les premiers sont à égaliter! KURT et Hycaros le second sur le podium se nomme: Capitaine Dax! le troisiéme est une troisiéme qui se nomme: Vanicia! merci à tous! les lots seront distribués vendredi! | ||
Xeno Elda Réputation à la taverne : 1 14/03 ETU 20:20 | Score : 0 Détails Peutêtre suis-je trop brusque ?En tout cas j'éspère que vous m'en excuserait mais quelle est le thème du prochain concour?
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black bird Réputation à la taverne : 772 14/03 ETU 20:46 | Score : 0 Détails le théme vous sera dévoilé dans 3 semaines, date du prochain concour,je ne peux vous en dire plus!
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