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Denior Respect diplomatique : 3266 10/07 ETU 14:23 | Score : 8 Détails Denior rentrait de sa folle nuit au Yalta. Une sourde présence lui demandnait de le rejoindre là où il savait. Il se doutait de la teneur de leur propos.
Le peace figther prit la direction du temple, là ou séjournait à jamais l'âme d'Albert Simon. Denior y arriva bientot, les lieux étaient mystérieusement vides comme si on avait éloignés toutes vies pour y préserver l'intimité que cette conversation devait revetir. Albert était là, il attendait Denior, en pleurs. "Mon ennemi intime, c'est l'âme tourmentée que je t'accueille et j'implore ton pardon, une nouvelle fois. Toi que j'ai tant décrié, toi que j'ai combattu, toi que j'ai difamé toi qui m'as pardonné alors que je ne méritais que ta vengeance, je t'impose ad patrès les foudres de mon inconscience. Celui qui n'est pas digne d'être mon fils agi contre toi comme le dernier des derniers. Alors que tu lui pardonnes par avance ses menées, qu'il s'était engagé à un modus vivendi à ton égard, accord que tu as toujours respecté, il attaque tes planètes et tue ton peuple, IL ME FAIT HONTE CAR IL N'A M'ÊME PAS D'HONNEUR", dit Albert en criant. Les sanglots. Denior : "Les biens de ce monde n'ont guère d'oiimportance Albert, Djib peut bien tout attaquer, il ne me touchera pas. C'est à lui qu'il fait du mal en offensant la vie. Pour ma part, tu le sais, je lui pardonne. Toi même dois lui pardonner comme Dieu dont tu sais maintenant l'existence lui pardonne. Nul être n'est en dehors de l'amour de Dieu quelque fusse ses criomes et les tiens furent nombreux Albert, pourtant aujourd'hui, tu es là aux cotés de Dieu." " Et Djib me fait gouter à l'enfer, mais sans doute est ce peu payer pour tous mes crimes. Tu l'as dit Denior, j'ai beaucoup offensé Dieu en me croyant supérieurs à tous, y compris à Dieu. J'ai proné la Liberté alors que je pratiquais l'esclavage, j'ai jouis de l'aloccol et des paradis artificiels, j'ai forcé de jeunes, très jeunes filles à subir mes étreintes, pour résumer j'étais le plus immode des salauds. Et pourtant Dieu m'a pardonné et tu m'as pardonné à son image..." "Cesses de te flageller Albert, ton tourment n'est pas ton oeuvre. Diue agiras bientot...." | ||
Denior Respect diplomatique : 3266 10/07 ETU 18:05 | Score : 6 Détails
“Mais effectivement Albert, tu vas devoir répondre de tes méfaits, tel que Dieu le souhaite. Je crains que la confrontation à ce que fut ta vie ne nous expose à bien des turpitudes car ta vie fut bien celle de toutes les bassesses et de toutes les horreurs.” L’horizon s’embruma et toute mention de vie disparue. Denior et l’âme matérialisée d’Albert étaient seuls. Un bruit bientôt. Une fillette apparue. A première vue, elle respirait la vie et l’innocence. Pourtant, au fur et à mesure qu’elle s’approchait d’eux, Denior put remarquer que sa tête ne semblait pas tenir convenablement sur son cou et que deux longs filets de sang coulaient le long de chacune de ses petites jambes. Elle ne paraissait pas avoir plus de 12 ans. Denior comprit aussitôt et il ne put retenir un haut le coeur. il savait depuis longtemps mais comme beaucoup, il avait voulu ne pas y croire. Denior leva les yeux au ciel, plein de larmes: “Mon Dieu pourquoi..... Albert s’enfonçait dans un mutisme révélateur. Il savait que tous et toutes seraient désormais au courant de sa triste réalité, lui qui s’était attaché à donner de lui une image de défenseur des opprimés n’avait en fait été qu’un être pervers et malade, refoulant sa vraie nature derrière un humanisme de façade. D’autres victimes apparurent, certaines avait la peau zébrées des multiples coups de fouet qu’elles avaient du subir dans leur vie d’esclave au sein du régime si bien nommé de Libertalia. Elle formèrent bientôt un arc de cercle autour de l’âme d’Albert. La colère et le ressentiment suintaient de toutes parts. “Mon Dieu pourquoi ?” implorait Denior Ne lui as tu pas pardonner” Un rais de lumière vint bientôt transpercer les ténèbres en direction de Denior. “ Je lui ai pardonné ses offenses comme je pardonne à chacun ses péchés aussi abjectes soient ils et pour lui, ils sont incommensurables. Mais le repos de l’âme de ses victimes comme de la sienne ne peut avoir lieu sans cette confrontation. Le pardon doit en aboutir et tu en sera l’artisan |
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