Forums galactiques > Assemblée Galactique : diplomatie officielle > Enfin la paix...
anonymations Respect diplomatique : 159 20/06 ETU 11:03 | Score : 4 Détails Je pense que vous en connaissez la réponse.
La musique s'arrêta pour en jouer une nouvelle. Maintenant que nous avons fini cette danse, j'aimerais beaucoup aller visiter les jardins en votre charmante compagnie. D'accord, mais je ne suis pas très rassurée par ces jardins, j'ai peur qu'il puisse nous arriver quelque chose. Ne vous inquiéter pas, nous ne sommes pas les seuls à les parcourir. Et puis même si un danger venait à se présenter, je serais la pour vous protéger. Light déposa sa veste sur le dos de Werdandy pour éviter qu'elle ai froid une nouvelle fois. Merci, vous êtes vraiment rassurant. Quant ils pénétrèrent dans les jardins, il y avait une atmosphère très reposante. Werdandy était moins effrayée que tout à l'heure. En se baladant, ils croisèrent beaucoup de couple. Ils aperçurent même Fangörn et Mathilda parlant à un saule. Une dizaine de minute plus tard, ils arrivèrent sur une petite place ronde. Elle était clôturée d'arbres, tellement collés entre eux, qu'on ne pourrait pas les franchir. Quand soudain, trois zombies de l'armée des morts apparurent. Ils voulaient certainement donnés une bonne leçon à Light pour avoir expédié leur frère sur une planète très lointaine. Mais que font-ils ! Ils vont nous attaquer ! Nous attaquer ! Ils vont essayer de nous attaquer. Comment ça essayer ! Les trois zombies bondirent sur Light ATTENTION !!! Les trois zombies furent stoppé net dans leur élan. Oui essayer. Avant de partir dans les jardins, je vous ai entouré d'un champs de force invisible et indestructible pour de tel monstres. Comme je suis resté à côté de vous, cela m'a protègé. Je ne voulais pas risquer que vous vous fassiez attaquer, je n'aurais pas pu le supporter. Light claqua des doigts et fit disparaitre ces zombies pour qu'ils aillent rejoindre leurs frères. Werdandy était très touché par ce qu'elle venait de dire Light. Elle fut très flattée et heureuse par cet acte d'amour, tellement qu'elle ne pu retenir ces gestes. Elle sauta sur Light et lui donna un long baiser langoureux. Un petit oiseau qui était perché sur une des branches d'un arbre, avait observé toute la scene. Comme des zombies avient pu s'inflitrer ici, il décida d'aller raconter ce qui c'était passer a Fangörn. | ||
Général Victa Respect diplomatique : 364 20/06 ETU 13:04 | Score : 4 Détails Hunta était tranquillement entraint de manger et même de se goinfrer quand soudain.
Baoumm La porte de la salle tomba et des zombies en grand nombre entrérent dans la salle. Putana ,on peut même plus manger tranquillement. Les zombies soulevérent alors la statue. Mais ils me volent ma statue ma parole ! Hunta s'appreta alors à lancer une boule d'énergie mais... Si j'en lance une et que la statue retombe elle risque de ce casser. Les zombies fuyérent alors en portant la statue et quelques un restérent dans le batîment. Ma statue ,faites quelque chose !!!! | ||
anonymations Respect diplomatique : 159 20/06 ETU 13:49 | Score : 3 Détails Light était toujours avec ça bien-aimée sur cette petite place ronde. Ils étaient à l'abri de tout danger grâce au bouclier et à un petit buisson. Puis ils entendirent un chahut pas possible arrivé. C'était un groupe de zombie qui portait la statue généreusement offert par Hunta.
Non mais ce n'est pas vrai, ça pousse ces bestioles ! Ils commencent vraiment à m'énerver aussi. Light claqua des doigts et envoya les zombies très loin. Ensuite il re-claqua des doigts, pour téléporterla statue volée dans la salle de cérémonie. Enfin tranquille ... Au même moment les gardes rappliquèrent. Ils expulsèrent tous les zombies de la fête et se mirent par deux pour garder chaque entrer. | ||
Galeon Respect diplomatique : 569 20/06 ETU 14:18 | Score : 5 Détails Oui, mon père, Barahir le Grand. À sa mort, il a décidé de retourner à la Grande Sylve, il n'a pas toujours été un arbre. Avant, il était comme mon frère, un archange, mais c'est ma mère qui l'a convaincu d'aller à la Grande Sylve.
Ta mère, ah... L'une des deux seules sylphides à avoir bafoué leur voeux de chasteté. La deuxième étant... Fangörn se précipita vers son père, en bourrant sa bouche de feuilles. Ca ne l'interesse pas, papa. Peu lui importe de savoir qui était cette sylphide... Enfin bref. Ne vous inquiétez pas pour les termites, elles finissent toujours par abandonner... Il fut coupé par un tas de feuilles qui vint s'écraser sur lui en pleine face. Tu ferais mieux d'aller t'occuper de ta fête, des zombies sont en train de la saccager! Quoi?! Encore! Restez là Mathilda, je reviens tout de suite, le temps de m'occuper une bonne fois pour toute de ces fichus zombies. Il disparut dans un tourbillon de feuilles, Barahir en profita pour rapprocher Mathilda de lui. Entre nous soit dit, la fameuse sylphide était sa femme, la belle Alarielle, ils ont eu une fille, Milia. Il n'en parle presque jamais. depuis qu'elle est morte, il garde en lui un immense chagrin qui ne demande qu'a disparaître, sa mère et moi, on a faittout ce qu'on pouvait pour le consoller, en vain, il s'est renfermé sur lui-même et s'est soumis aux ordres d'un tyran pour oublier tout ce qui l'entourait, même sa famille, et surtout sa fille. Voilàa le fond de l'histoire. Pour en revenir à votre question, je sais comment vous vous appelé car vous êtes, depuis quelques jours déjà, au coeur de tous ces monologues ennuyeux, et je peux vous dire qu'il m'en fait souvent des monologues. Je crois pouvoir vous assurer qu'il est... Il fut coupé par Fangörn qui revint l'air énervé. On s'en était déjà occupé, bien avant que tu me le dises! Ah bon? Hum! Il faudra que je me fasse réviser, j'ai parfois des trous. J'espère que mon père ne vous a pas importuné pendant mon absence? J'ai croisé votre parrain, il semblait avoir été trempé par je ne sais quel moyen. Je crois que ce cher Astronore ne vous lachera pas, il est au bord de l'étang, heureusement que mes nénuphars se sont retirés. Au fait, puis-je vous demander de quoi vous a parlé mon père? | ||
Mathilda Hanna Respect diplomatique : 1228 20/06 ETU 15:56 | Score : 6 Détails Mathilda pencha la tête de côté, et c’est d’un autre air qu’elle regarde à présent s’approcher Fangörn…
Le malheureux… Il paraît si jeune, mais a pourtant déjà tant souffert ! Un peu comme elle… Le récit d’Alanelle et de Milia montre ce commandant sous un autre jour, et le cœur compatissant de la jeune adolescente est, comme toujours, chaviré par les histoires tristes… Comment avait-elle pu être aussi odieuse en lui imposant un ultimatum pour la réparation des dégâts d’Alexia ? N’avait-il pas déjà assez souffert comme cela ? La vie n’avait-elle pas déjà été suffisamment cruelle avec lui ? Les torts devaient être réparés, les responsabilités devaient être prises, mais elle, elle se devait à l’avenir d’avoir plus de tact ! Lorsqu’enfin il s’arrête et se pose devant elle, elle baisse les yeux et la tête, confuse, jusqu’à ce que Fangörn lui parle de la mésaventure de son tuteur Saegmund… - « Tonton !?! Mais que lui est-il arrivé ? Va-t-il bien ? J’irai tout à l’heure m’occuper de lui… Quant à Astronore, c’est une longue histoire… et je sais qu’il a trop tendance à vouloir me couver, mais notre amitié est de longue date, et je crois qu’il s’inquiète autant pour moi, que moi pour lui ! » Puis, avec un sourire timide au bord des lèvres, elle continue : - « Et votre Père est un hom… un sylv… euh, un personnage fort courtois et intéressant, n’ayez crainte ! Nous devisions de… euh, de ces saletés de thermites qui ne cessent de l’assaillir ! Ce doit être une véritable calamité ! » Se tournant vers Barahir, elle l’apostrophe avec un petit clin d’œil : - « Vous m’excuserez, Vénérable Père, mais ces bestioles me répugnent ! Je n’ai pas le courage de les enlever à mains nues comme ça, dans le noir ! A présent, veuillez m’excuser, il faut que j’aille rejoindre Tonton… le pauvre… » La jeune adolescente s’éloigne de quelques pas, faisant au revoir de la main, jusqu’au bord de l’eau, avant d’appeler d’une petite voix timide son hôte à la rescousse… lequel s’empresse de répondre à cet appel… - « Qu’y-a-t-il Mathilda ? Les zombies sont-ils revenus ? » - « Non, non, ce n’est pas ça, mais… Les nénuphars ne sont plus là ! Comment puis-je regagner l’autre rive ? » | ||
Galeon Respect diplomatique : 569 20/06 ETU 16:35 | Score : 5 Détails Fangörn ne put retenir un léger sourrire, il s'approcha de Mathilda, lui prit la main et la tira vers l'eau.
Essayez de marcher sur l'eau. Il mit un pied sur l'eau, créant quelques ondes légères, celui-ci ne s'enfonçait pas dans l'eau, il restait à la surface, comme sur un sol normal. C'est très simple, mais ne lachez pas ma main, cela pourrait avoir des conséquences très euh, rafraichissantes. À moins que vous ne descendiez d'un certain Jésuah, mais j'en doute. N'ayez crainte, les ondins ne sont pas des farceurs. Mathilda s'avança, le pas hésitant, puis posa enfin ses deux pieds sur l'eau. Vous voyez, ce n'est pas sorcier, vous pouvez dessérer votre étreinte, je crois que ma main a compris que vous aviez peur. Profitez de cette haubaine, vous faites partis de ces rares personnes qui ont traversé cet étang à pied. Fangörn regarda un instant la surface de l'eau puis il releva la tête et réfléchit un moment. Il regarda alors Mathilda, un grand sourrire aux lèvres. Vous aimez prendre des risques? Il se plaça face à Mathilda, mit une main sur son épaule et lacha sa main, puis il retira celle qu'il avait sur son épaule, il vit pendant un instant l'expression effayée de Mathilda, qui se changea en étonnement. Contre toute attente, elle ne coula pas, elle tenait, sans l'aide Fangörn. J'en étais sûr... Il n'y a que Milia qui arrive à marcher toute seule sur cet étang. Mon père vous a dans son coeur, tout comme il avait Alarielle et tout comme il a encore Milia. Vous n'avez pas parlé que de termites n'est-ce pas? | ||
Astronore Respect diplomatique : 607 20/06 ETU 20:13 | Score : 5 Détails De l'autre côté de l'étang Astronore soutenait le pauvre Saegmund que l'eau de l'étang avait assez rafraîchi pour qu'il maudisse cette étendue d'eau une bonne douzaine de fois sans demander de nouveaux verres de riesling... Pour le moment...
Astronore avait conservé toute sa motivation pour retrouver Mathilda et commençait réellement à avoir peur de ne plus la retrouver avant longtemps... Saegmund parlant de moins en moins, le représentant de l'Empire des Astres se retrouvait seul dans une étendue verte qu'y lui était étrangère... Au loin, des cris se soulvèrent, puis la musique repartit de plus belle, sans doute un invité avait-il essayé de réaliser un mauvais tour... Loin de tout, Astronore repensait à Serra... Soudain un cri strident déchira l'air et ébranla le jeune commandant, le sortant de sa torpeur. "Au secooooooooours!!!!!!!!!! Au voleur, à l'aide!!!" Astronore vit une scène hilarante qu'il ne manquerait pas de se remémorer en d'autres occasions... Saegmund tentait de récupérer une bouteille de riesling de la seule main d'un zombie qui possédait en outre une jambe de bois et un T-shirt jaune sur lequel on lisait encore, malgré la crasse, Born to be alive! . Saegmund lâcha prise après un instant qui sembla être une éternité et un combat ressemblant plus à une danse d'ivrognes, il saisit une branche à terre et la fracassa sur le pauvre zombie qui s'enfuit en clopinant... j'v'lais j'st b're!! M'chant h'mme!! "Astronore mon ami, dit Saegmund en haletant , ce zombie a essayé de vous dérober une de vos précieuses bouteilles que vous conserviez dans votre sac!!! Vous imaginez-vous qu'un zombie puisse boire du vin sacré!! Mais quel toupet!!! Dieu bénissez cette âme si peu digne de ce nom!! Voyons mon ami, toute créature a le droit à la vie, même si je vous remercie d'avoir récupéré mon bien. Imaginez plutôt qu'il y ait d'autres créatures de la sorte dans cette forêt et que Mathilda soit en danger!! Hâtons-nous de la retrouver!! " Un instant plus tard et seulement quelques pas plus loin, Astronore et Saegmund ne bougèrent plus et restèrent bouche bée! Mathilda avançait en survolant l'étang, en fait on aurait dit plutôt qu'elle... eh bien qu'elle marchait sur l'eau... Saegmund jeta un regard sur la bouteille de riesling qu'il trouva pleine et eut confirmation de sa vision fantastique en remarquant l'émotion dans les yeux de son jeune ami... "Tonton!! Tonton, j'arrive, tu vas bien??? Attendez-moi, je ne peux pas aller vite...! - Astronore, ca y'est ma filleule vient d'être touchée par la grâce divine, elle a été choisie par le très-haut, mon dieu et dire qu'elle faignait de paraître profane!! Ma chère Mathilda touchée par la main de Dieu et qui nous guidera dans cette galaxie, mon ange, Mathilda!! Voyez-vous donc cela? Ma filleule défie les lois de la nature, elle est au-dessus des lois humaines!! Dieu est grand louons ses vertus, Astronore agenouillez-vous!!!" Le tuteur de la jeune Mathilda pleurait à chaudes larmes et bénissez le ciel, Dieu, la vie, la grâce divine... Astronore observait Mathilda d'un oeil incrédule jusqu'à ce qu'il vit dans ses yeux qu'elle n'était, elle-même, pas rassurée... "Saegmund, n'avez-vous pas oublié que nous sommes dans un endroit spécial, aux lois différentes des nôtres, où la nature vit et agit sur le vivant? Votre fileule n'est pas rassurée, attendez un peu avant de remercier le très haut pour ce miracle!" Pourtant au milieu de cette étendue d'eau, au centre de tout et de rien, l'adolescente resemblait plus à un ange que jamais auparavant... Il lui faudrait continuer de la protéger, elle ferait un jour quelque chose de grandiose... Mathilda était désormais assez proche pour pouvoir parler sans hausser la voix pour que les 2 comparses la comprennent... | ||
Mathilda Hanna Respect diplomatique : 1228 21/06 ETU 13:27 | Score : 5 Détails - « Non, cher Fangörn, il est difficile de vous duper !
Toutefois, permettez-moi de ne pas vous en dire plus, car je ne voudrais pas entamer la confiance que votre Père m’a accordé ! » Puis, reprenant sa marche d’un pas plus assuré, quoique pas beaucoup plus, elle se dirige vers l’endroit où se tiennent Saegmund et Astronore, leur faisant des signes de la main… - « Ohé !… Je suis là !… Que s’est-il passé ?… Tonton va bien ? » - « Ce n’est rien, très chère !… Saegmund a juste fait un pas de travers… » Arrivée sur la berge, elle soupire, appréciant d’être enfin sur la terre ferme, avant de se précipiter vers les deux hommes et de s’agenouiller auprès de son tuteur… - « Sacré Tonton, mais qu’est-ce qu’il t’a pris d’arpenter les bois dans ton… ton état !?! Tu ne t’es rien cassé au moins ?… Pfff, tu peux être fier, tu es tout trempé maintenant ! » - « Ce n’est… ce n’est rien, ma tendre enfant ! Ne te fais aucun souci pour moi ! » répond-t-il en claquant des dents… Mathilda pose délicatement ses lèvres sur son front, pleine de tendresse et d’affection, avant de se reculer précipitamment, la mine inquiète, regardant son pauvre Saegmund… - « Mais tu as de la fièvre, Tonton !… Et tu trembles… » - « Ce n’est rien, je te dis… Juste l’émotion de t’avoir vu marcher sur l’eau, tel le Proph… tel le… » - « Tonton, mais que t’arrive-t-il !?! » s’inquiète Mathilda, en voyant son tuteur incapable de terminer sa phrase… Le pauvre homme semble à bout de force, et la sueur commence à perler sur son front. Il ferme les yeux, et de sa bouche émane un gémissement suivi d’un léger murmure… - « Les anges… mon ange… Yggdrasil… l’Elu à Asgard, au pays d’Osiris… Car Dieu existe… ou peut-être pas !… mais sa Bonne Nouv… mais est-ce la sienne !?! Il faut… non ! L’évangile est… réelle ? factice ?… Je ne sais plus… je… douterais-je ? » Entrouvrant les paupières, il prend la main de Mathilda dans la sienne, et la jeune adolescente, paniquée, se tourne vers Astronore… - « Mais il délire ! On ne peut le laisser comme cela, il lui faut de l’aide ! Veillez bien sur lui, je vous prie, je courre en chercher ! » Se relevant, elle s’approche du bord de l’eau, scrutant les abysses de la nuit, et criant à gorge déployée : - « Sieur Fangörn, où êtes-vous ? Au secours, à moi !… A l’aide !… » Et pendant que l’adolescente laisse s’échapper toute son angoisse, Saegmund plonge son regard dans celui d’Astronore et lui dit : - « Mon jeune ami… Je ne sais ce qu’il m’arrive… Je… C’est si confus… Et mon crâne… ah, mon crâne ! Je le sens sur le point d’exploser ! Tant de voix… il y a tant de voix qui crient à l’intérieur ! Qui croire !?! S’il vous plaît… Promettez-moi que vous me conduirez auprès de l’Elu ! J’ai besoin de le voir… de savoir… ce que veulent dire ces voix ! Le doute est en moi, mon jeune ami !… Pouvoir le regarder devrait m’apporter certaines réponses ! » Ayant dit cela dans le râle d’un dernier gémissement, Saegmund s’affale, inconscient… | ||
Galeon Respect diplomatique : 569 21/06 ETU 15:33 | Score : 4 Détails Fangörn regardait Mathilda partir, d'un pas mal assuré, il sentit alors une odeur de rose, ses oreilles se bouchèrent, il voyait au loin Mathilda agiter les bras en direction de son tuteur, puis il perdit la vue, seule l'odeur de rose était présente, tous ses sens avaient disparu. Soudain, tous ses sens revinrent, mais il n'était plus dans les jardins, il se trouvait dans une salle froide, sombre, il se releva tant bien que mal, craignant qu'un ennemi profite qu'il soit à terre pour l'attaquer.
Tu as peur, tu te crois perdu, tu ne sais pas où tu es! Fit une voix mystique, soudain, une lumière éblouissante apparut, la silhouette d'une femme se dessina. Alarielle? Je te croyais morte! Oh, Alarielle! Je suis si heureux de te revoir! Fangörn tenta de s'approcher d'Alarielle, mais, il resta figé sur place. Inutile d'essayer de bouger, tu n'y arriveras pas. Ne crois pas que je sois vivante, je suis bel et bien morte, je suis venue pour te dire que tu dois m'oublier, ton père est venu me voir, il m'a fait part d'une de tes craintes, et je tiens à te le dire, ne crois pas que je sois en colère contre toi si tu retrouves l'amour, au contraire. Je t'aime, Fangörn, mais tu dois te rendre à l'évidence, tu ne peux pas rester seul, en pensant que notre relation puisse renaître un jour. Nous vivons dans deux mondes bien différents, et je crains que ce ne soit la dernière fois que l'on se voit. Donne un baiser à ma fille, dis-lui que sa mère ne l'oublie pas, dis-lui que je la surveille et la protège. Adieu mon bon Fangörn. Alarielle disparut, enportant avec elle la lumière. L'odeur de rose revint chatouiller ses narines, il sentit le sol s'éffondrer sous ses pieds, puis les jardins réapparurent, il vit au loin Mathilda qui l'appelait, il tenta de lui répondre, sans succès, de l'eau envahit sa bouche, il se rendit compte qu'il coulait. Bandant ses muscles, il fit de son possible pour remonter à la surface, mais il s'évanouit à nouveau... Barahir entendait les cris de Mathilda, il écarta son feuillage pour déceller une forme inherte de l'autre côté de l'étang, il lança alors ses branches vers le corps, et après quelques essaies, il réussit enfin à l'atteindre, il l'enssera et le ramena vers lui tranquillement, sous le regard effrayé de Mathilda. Là, des sylphides apparurent, réchauffèrent le corps du veille homme et faisant leur possible pour le réanimer... | ||
anonymations Respect diplomatique : 159 21/06 ETU 18:54 | Score : 2 Détails Aaah ! Vite, il faut que l'on aille rejoindre mon frère le plus rapidement possible.
Mais pourquoi ? Quelque chose a dû se passer, vite il faut aller le voir. Ok ok, partons vite alors. Light prit Werdandy dans ces bras et coura jusqu'à Fangörn. Quand ils arrivèrent, sa soeur fut affolée par l'état de son frère. Mais qu'a tu fais ! il faut le sauver. Light dégaina son épée Last breath et insuffla un souffle de vie en Fangörn. Te voilà tout beau tout neuf mon ami. Merci. Avec tout ce que tu fais pour moi, je ne sais plus comment te remercier. Werdandy embrassa à nouveau Light. | ||
Galeon Respect diplomatique : 569 21/06 ETU 21:06 | Score : 4 Détails Fangörn se releva tant bien que mal, en se frottant la tête. Il cracha un peu d'eau.
Je te remercie mon bon Light, mais je crois que ce n'est pas moi la priorité. Seagmund est en plein délire. Il accourut vers Mathilda, elle était pétrifiée, son regard plain de larmes était dirigé vers son père. Fangörn la prit dans ses bras et disparut, pour réapparaître aux côtés de son père. Que se passe-t-il père? Je ne sais pas, il est tombé dans l'eau, et puis il a commencé à délirer quand il a vue que Mathilda marchait sur l'eau, je crois que c'est un fanatique, il a dû croire que le tout-puissant lui avait donner le touché divin. Il écarta Mathilda de son tuteur, et l'assit sur un noeud de son père. Ne bouge pas Mathilda, reste calme, mes sylphides vont s'occuper de lui. Tu n'as pas à t'inquiéter, ma fille est la meilleure guerisseuse que j'ai jamais connu. Il se retourna vers les sylphides, cherchant Milia des yeux. Milia! Qu'y a-t-il père? Comment va-t-il? Eh bien, il ne tremble plus, son teint n'est plus livide, il respire normalement, son corps s'est rapidement réchauffé. Je crois que l'eau froide est pour beaucoup dans son état, mais je pense aussi que le fait de voir sa filleule marcher sur l'eau l'a complètement chamboulé. Dis-lui qu'il s'en remettra très bien. Se retournant vers Mathilda, il vit que son expression s'était apaisée. Ma fille et ses sylphides se débrouillent très bien, il devrait être sur pied d'ici peu de temps, calmez-vous Mathilda, vous ne méritez pas ces tourments. Il la prit dans ses bras, lui glissant quelques mots rassurant à l'oreille... | ||
Général Victa Respect diplomatique : 364 21/06 ETU 21:24 | Score : 4 Détails Hunta avait observé la scéne de loin.
C'est pas possible,je rêve. Il reflechis alors quelque minutes. Oui je rêve,sa ne peut être que sa . Il se frappa alors avec un bout de bois. Non je rêve pas ,mais comment comment elle a réussi a marché sur l'eau. Cela voudrait dire ... Non pas possible ,déjà ? Dieu là donc désigné comme l'élue ,celle qui changera la galaxie dans l'avenir. Je n'y crois pas mes yeux ,cette jeune femme ,arrivera t'elle à gérer ces nouveaux pouvoirs? Esperons Esperons... Hunta regarda alors l'étang. Oh qui est le malheureux ?J'espére qu'il est vivant ! Hunta courra alors vers l'étang. | ||
Mathilda Hanna Respect diplomatique : 1228 22/06 ETU 15:39 | Score : 5 Détails Fangörn, ayant enlacé Mathilda, lui murmure quelques mots de réconfort,
Mais la jeune adolescente doucement rompt l’étreinte et regarde le sylvestre d’un air désapprobateur… Ah, la bonne idée que de vouloir l’épater en la faisant marcher sur l’eau telle une fleur de lotus ! Voyez le résultat ! Tonton en est tout retourné, et son malaise montre toute l’intensité du choc ! Puis son regard, ne changeant nullement d’expression, se tourne de l’autre côté de l’étang, là où était resté son jeune ami Astronore… Lui aussi, tout est de sa faute ! Elle ne sait pas pourquoi Saegmund et lui se trouvaient près de l’étang, mais elle se doute bien que le jeune représentant des Astres n’est pas étranger à l’affaire… - « Mathilda, ma douce enfant… » La voix de son tuteur, de l’homme qui était comme son père, la sort de ses sombres pensées, et elle se laisser glisser près de son corps étendu, prenant ses mains dans les siennes… - « Qu’y-a-t-il, Tonton !?! Que puis-je faire pour toi ? » - « Oh… te savoir à mes côtés est bien suffisamment pour le vieil homme que je suis… Mais où sommes-nous ? Quel est cet îlot ? Et où est passé le jeune Astronore » - « Nous sommes au milieu de l’étang, Tonton… Et Astronore est resté sur l’autre rive… » - « Je crois que j’ai besoin d’un peu de repos… mais s’il te plaît… rappelle-lui… Rappelle-lui la promesse que je lui ai fait faire… J’ai besoin de voir l’Elu… » - « Une promesse ?… Voir l’Elu ?… Mais pourquoi donc ?… Est-ce bien nécessaire ? Ne crois-tu pas que c’est autre chose que ton déli… que tes croyances, dont tu as besoin en ce moment ? » - « Mon enfant… je crains pour l’Eglise… je crains pour la parole de Dieu… Oh, je sais… je sais ce que tu penses de tout ceci, mais écoute ! Tu n’es pas sans savoir que des menaces pèsent sur l’Eglise… Mais pourquoi ?… Quel danger peut-elle représenter, hormis le salut des âmes ? - « Tonton, écoute… ne cherche pas à me conver… » - « Je ne cherche rien, mon ange !… mais je doute… Où est le message divin de paix, de tolérance et d’Amour ? J’ai peur… peur que l’Eglise ne se détourne de sa vocation première… Prier Dieu… Être charitable… Accueillir les brebis égarées… tous les enfants du Créateur… » - « Mais… euh… » - « La volonté de Dieu et la Foi ne s’imposent pas… elles se comprennent, elles se vivent… Le choix de croire ou de ne pas croire nous a été offert, alors qui sommes-nous, misérables pécheurs, pour aller à l’encontre de ce don du libre arbitre ? Voir l’Elu de Dieu me permettra de voir plus clair en moi, car je doute de ma mission… » - « Ce n’est que ça ? J’avais cru que tout était de sa… commence-t-elle, en posant son regard sur Fangörn, avant de reprendre Que tout était de ma faute… que c’était le fait que j’ai marché sur l’eau qui… » - « Oh, oui, tu as marché, je t’ai vu… c’était magnifique, c’était miraculeux… L’espace d’un instant, je t’ai prise pour l’Elu lui-même… pour un messager de Dieu ! » - « Chut, tais-toi !… et repose-toi à présent… » Se relevant tranquillement, Mathilda regarde tour à tour Barahir, Fangörn, Milia et les sylphides… et baissant la tête, confuse, elle se met à balbutier d’une voix tremblante : - « Vous tous… vous et votre peuple… je ne sais comment vous remercier… Vous avez été si généreux… avec Tonton… avec moi… Vous vous êtes occupé de lui avec tant de délicatesse et d’attention… Je ne… que dire ?… si ce n’est Merci… » Faisant face à Fangörn : - « Cher ami… peut-être devrions-nous rentrer à l’intérieur ? Peut-on transporter Saegmund dans une chambre, qu’il s’y repose ? » Et tandis que Fangörn donne ses ordres en conséquence, l’adolescente se rapproche de Barahir, et se penchant vers le vieux tronc, sur lequel elle pose délicatement sa main, elle lui murmure : - « Vénérable Père… m’autoriseriez-vous à revenir vous rendre visite ? Vous êtes d’une telle sagesse et… et je vous considère déjà comme le grand-père que je n’ai jamais eu… » Puis, avec un léger sourire se dessinant au bord de ses lèvres : - « Au fait… continuerais-je à pouvoir marcher sur l’eau comme ce soir ? » | ||
Galeon Respect diplomatique : 569 22/06 ETU 20:29 | Score : 4 Détails Vos visites me feront le plus grand bien, d'autant plus que vous n'avez plus besoin de Fangörn pour m'atteindre. Croyez-vous que c'est pourquoi que je vous porte dans mon coeur? Et je peux vous assurer que le coeur d'un vieil arbre comme moi n'est pas difficile à pénétrer.
Mathilda! Si vous voulez bien me suivre. Nous allons le conduire dans une des grandes chambres du palais. Dépéchez-vous, ne le faites pas attendre, il pourrait m'en vouloir. Des lianes formèrent un civière, Seagmund fut couché dessus, des sylvains apprurent, soulevèrent la civière, l'un d'eux se tourna vers Fangörn et lui fit un signe de la tête. Celui-ci lui répondit pareillement. Essayons de nous dépécher, je ne veux pas qu'il prenne froid. Nous le conduirons dans ma chambre, il y sera très bien, je l'aisserais quelques sylphides, et je ferais garder les portes et les fenêtres, je ne voudrais pas que des zombies ressurgissent. Allons-y. Le cortège se mit en route, des ondins apparurent, aidant les sylvains à ne pas couler, rendant la surface de l'eau semblable à du béton. Ils atteignirent bientôt le bord de l'étang, puis le grand hall. Ils montèrent alors des escaliers traversèrent un grand couloir, puis Fangörn s'arrêta, ouvrant une grande double-porte. Laissant à Mathilda l'occasion d'observer sa chambre. Il y avait de grandes fenêtres, la pièce était très bien éclairée, beaucoup de plantes étaient présentes, rendant l'endroit très chaleureux. Le lit était un immense lit à baldaquins, il était recouvert de draps verts et donnait directement sur un efenêtre de laquelle on pouvait voir le vieux saule. Déposez-le sur le lit, si vous voulez rester, je ne vour retiens pas, je peux rester avec vous. Les autres se retirèrent, seules trois sylphides restèrent, s'occupant du confort de Seagmund. | ||
Astronore Respect diplomatique : 607 23/06 ETU 12:59 | Score : 4 Détails Astronore accompagna le groupe à distance, les dires de Saegmund l'avaient quelque peu sonné...
Ainsi donc Saegmund lui-même avait peur que l'église ne se détroune de ses lignes directrices sous l'influence de certains commandants ou de certaines forces... L'environnement qui entourait la résidence où Fangörn mena Saegmund était déconcertant, tout n'était que végétation dense, luxuriante, tout semblait néanmoins organisé dans une anarchie structurée... Mais le fait que les vies soient toutes intelligentes et agissaient pour des desseins définis, laissant une moindre place aux aléas de la nature comme sur ses mondes, oppressaient le jeune commandant... L'élu... Il n'avait pas eu lui-même la chance de le voir, ce dernier pourrait bien avoir les clés des destins de milliards de vies ou de milliers de milliards de vies si ses facultés étaient avérées... Le X-com retentit, sortant le jeune homme de sa torpeur... C'était Ailéma... " Astronore, je vais procéder au compte rendu. Tout d'abord certains de nos alliés sont les 2 parties prenantes d'un conflit commercial qui les oppose, le ton est monté des 2 sens et il se pourrait que cela entraine de graves conséquences. De plus, un commandant qui ne possède de juste que le nom semble vouloir exterminer une partie des forces de quelques-uns de nos alliés alors que les chemins de la diplomatie n'ont pas été étudiés... Cela risque de dégénérer et nous avons de bonnes relations avec les 2 acteurs en présence. Pour ce qui est de l'Ambassade, les premiers témoignages parlent d'une capture militaire et par la force, par le sang... Nous n'en savons pas plus... Enfin la dernière production de nos vignobles sera libre pour dégustation d'ici une semaine... Astronore, prenez soin de vous, tenez-moi au courant, je vous connais depuis bien longtemps et je suis inquiète... A bientôt Ailéma " Astronore décida de retrouver Saegmund et Mathilda, si son ami était assez fort il lui faudrait absolument l'écouter... Quant à Mathilda, ils lui avaient infligé tous deux une frayeur inutile et il était temps que l'adolescente se repose... Le jeune homme leva une dernière fois les yeux au ciel et dans ce calme imperturbable, avec cette vision éternelle et permanente, il s'abandonna à ses réflexions et oublia pour le moment les nouvelles inquiétantes qu'il venait d'apprendre... Il croisa alors Mathilda qui sortait sans doute de la chambre de Saegmund! "Mathilda, je tenais à m'excuser des désagréments occasionnés par la faiblesse de votre oncle, je vous amènerai tous 2 dès que vous me le demanderez dans la destination recommandée par votre oncle, je pense que vous devez l'accompagner, mon vaisseau personnel dispose de tous les équipements et des personnes pour vous assurer le confort et les soins dont vous pourrez nécessiter... En tous cas je ne sais encore que penser des doutes de votre oncle, je suis sur qu'il parlait librement et non influencé par un quelconque alcool... léger sourire des 2 jeunes gens Si le coeur vous en dit je pourrai vous accompagner à vos quartiers sauf si vous préférez attendre le commandant Fangörn. L'heure n'est plus aux émotions mais au repos et à la tranquillité... " Astronore alluma une cigarette tout en dévisageant la jeune femme. Elle était impulsive, fière et droite, elle n'en était que plus lisible... Elle serait un acteur de premier ordre dans les projets galactiques, à n'en point douter... | ||
Mathilda Hanna Respect diplomatique : 1228 24/06 ETU 15:38 | Score : 4 Détails « Eh bien, mon cher ami ? Pourquoi me dévisagez-vous ainsi ? » demande Mathilda à Astronore,
avant de froncer les sourcils et de faire la moue, tout en saisissant du bout des doigts la cigarette que le jeune homme avait porté à ses lèvres… La lui ôtant de sa bouche, elle la fait tomber par terre et l’écrase du bout de son soulier, avant de pointer Astronore de son index et de le sermoner… - « N’avez-vous donc pas honte de vous empoisonner avec cette saleté ? Votre corps a-t-il donc si peu votre respect que vous l’outragiez de la sorte ? A l’avenir, je vous prierai de ne plus recommencer en ma présence ! Pas pour moi, mais bel et bien parce que je me soucie de votre santé ! » Puis, se radoucissant quelque peu, elle lui lance : - « Si vous n’avez rien à faire, peut-être accepteriez-vous de m’accompagner… Je retourne vers les autres convives, voulant aussi m’excuser auprès de Fangörn pour tout le désagrément occasionné ! Tonton est fort fatigué, et il lui faut du repos… Je ne pense pas qu’il lui faille partir voir son Elu dans l’immédiat ! » Arrivés dans la salle de réception, Mathilda avise Fangörn, et lui demande d’un signe de la tête de venir la rejoindre, tout en murmurant à Astronore : - « Quel chaleur ici… J’en ai la gorge toute déséchée… » - « Voulez-vous que j’aille vous chercher un rafraîchissement ? » lui demande le jeune homme - « Bien volontiers ! Je vous en serais reconnaissante… » Elle suit du regard son jeune ami se diriger vers le bar, avant de se retourner et de faire face à Fangörn qui arrive… - « Votre tuteur est-il bien installé ? » lui demande-t-il - « Oui, oui… et je vous en remercie… et je m’en excuse également ! » - « Mais non, voyons !… Il n’y a vraiment aucun mal… » - « Vous êtes charmant et fort prévenant, merci ! Toutefois, je crains de ne plus être très à ma place ici… » - « Mais que dîtes-vous !?! Vous êtes ici chez vous, voyons ! » - « Un X-Com est arrivé pendant que j’étais avec Tonton dans sa chambre… Il se trouve que je viens d’entrer en guerre avec l’un de vos convives ! Ma présence dans une fête en l’honneur de la paix est… incongrue ! » | ||
Galeon Respect diplomatique : 569 24/06 ETU 17:56 | Score : 4 Détails Fangörn eut l'impression que le sol séffondrait sous ses pieds, après Alarielle qui lui avait dit qu'ils ne se reverraient plus, Mathilda qui s'en allait, à cause d'un de ses convives, il aurait voulu le faire enfermer sur le champ, mais à quoi bon. Il regardait Mathilda, sans vraiment la voir. Son regard était vide, sans expression, il revint à lui, sous le regard perplexe de Mathilda.
Oh! Hum... je... je comprend parfaitement, c'est... normal que... enfin... je ne vous retiens pas, c'est votre devoir, il est certain que votre empire compte bien plus qu'une simple fête pour la paix. Son teint passa d'une pâleur habituelle, à un rouge pivoine. Essayant de noyer sa honte dans son verre, il le fixa pendant un moment puis releva la tête vers sa convive. Par-contre, je ne peux pas vous laisser partir avec Seagmund! Il est bien trop épuisé pour partir. Il peut très bien rester quelques jours, je ne dors que très rarement dans ma chambre, je préfère largement m'endormir sur une pelouse à la belle étoile, que dans un lit enfermé dans une pièce. À vrai-dire, je ne dors pas très souvent, allez savoir pourquoi! Enfin! Pour en revenir à votre tuteur, sachez qu'il est en sécurité, et que je veillerais personnellement à son confort et à sa sécurité. Je l'emmenerais dans le parc quand il se sentira mieux. Ne vous inquiétez pas, je veillerais sur lui, et si je ne peux le faire, ma fille s'en chargera, c'est une promesse que je vous fais. Finissant son verre, il laissa Mathilda, espérant qu'elle le rattraperait, et se rendit auprès de son frère. Hagal, je dois abandonner toute idée d'avoir un jour son amour, tu es le seul qui puisse m'aider. C'est hors de question! Je ne ferais plus ça pour mon frère, et encore moins quand on sait que mon frère est un dieu! Ca t'a fait beaucoup trop de mal la dernière fois, et je ne tiens pas à te revoir dans l'état où tu étais à cette époque, je m'en suis voulu. J'ai eu ce pouvoir et je le regrette des fois. Et cette fois-ci j'ai carrément voulu qu'il disparaisse. Ce pouvoir est un don, j'ai appris à m'en servire, mais pas au dépend de ma famille. Je m'en veux de ne pas pouvoir t'aider car je sais très bien ce que tu ressens. Je comprend, et je pense que ton ampâthie t'a fait voir tous mes sentiments. Alors inutile de m'étendre sur le sujet. Je ne vous retien plus, si toi et tes soeurs vous voulez partir, je comprendrais parfaitement. La paix est revenus, j'en suis heureux, vous y êtes peut-être pour quelque chose, mais je crois que vous n'avez plus rien à faire pour moi. Fangörn! Tu sais très bien que... Oui! Je sais très bien, merci! Je n'ai pas besoin d'en entendre d'avantage. Il se retira, en direction des jardins, seul, loin des hommes, loin de son père. Celui-ci, avait entendu la scène de loin. Il était triste de voir Fangörn dans cet état. Il brisa alors le silence, parlant seul: Ne redevient pas comme avant mon fils, tu nous ferais du mal, à moi, et à tous les autres... | ||
Mathilda Hanna Respect diplomatique : 1228 24/06 ETU 20:21 | Score : 4 Détails Mathilda avait regardé Fangörn s’éloigner l’air complètement abattu…
Elle l’aurait bien rejoint, et aurait su l’obliger à lui dire pourquoi il était dans un tel état, mais avant qu’elle ait pu poser un pied devant l’autre, Astronore revenait, deux verres à la main ! Après l’avoir débarrassé de celui qui lui était destiné, elle se retourna, mais… elle ne le voyait plus ! Où avait-il bien pu passer ? Pourquoi cette gêne et cette mélancolie dans son regard ? - « Voulez-vous danser, très chère ? C’est une belle balade que vient d’entamer l’orchestre… » - « Je… euh, désolée, mon cher !… Une autre fois, si vous permettez… Je dois… Il faut que j’aille rejoindre Saegmund et m’occuper de lui… et puis… Et puis nous avons à nous entretenir de choses urgentes et… euh, urgentes ! » Finissant son verre, la jeune adolescente le pose sur une table déjà fort encombrée, et salue le jeune représentant des Astres d’une petite révérence avant de s’en retourner… Arrivée dans la chambre où se repose Saegmund, elle constate qu’il dort à poings fermés, son sommeil ne semblant point être tourmenté par quelque réminiscence de son précédent délire… Aussi s’asseoit-elle dans un fauteuil, à côté du lit, son esprit tourné vers les futures opérations à mener ! Les heures passent, et elle n’a pas bougé d’un iota, le sommeil se tenant à distance respectueuse… Elle commence à sentir ses muscles s’engourdir. Elle se lève et va à la fenêtre : le clair de lune est si magnifique ! Une telle quiétude semble régner dans les jardins de ce palais, qu’elle a bien envie d’aller prendre l’air, et dans ce cas, pourquoi ne pas aller rendre visite à Barahir ? Il est bien connu qu’avec l’âge, on a plus de mal à dormir ! Au bout de quelques instants, elle arrive au bord de l’étang, et désespérément, elle cherche les nénuphars… Elle ne les voit nulle part ! Elle a bien cette nouvelle faculté de marcher sur l’eau, mais elle n’est pas très rassurée, cela pourrait être… dangereux ! Et si elle coulait à pic ? Prenant sa respiration, elle pose son pied sur la surface de l’eau, puis, en fermant les yeux, la mâchoire crispée, elle appuie un peu plus fort et… rien ! son pied ne s’enfonce pas… Rassurée, elle pose son autre pied sur la surface liquide, et commence à avancer vers l’îlot, fredonnant une petite comptine qu’elle avait apprise dans son enfance… il faut bien se donner du courage, non ? A quelques pas de la terre ferme, une voix l’apostrophe : - « Qui va là ? Qui ose venir rompre la quiétude de mon père ? » - « Fangörn ? Est-ce vous ?… C’est moi, Mathilda ! » - « Vous !?! Mais que faîtes-vous là ? Vous n’êtes pas encore partie ? » - « Non, cela n’était pas dans mes intentions immédiates ! Vous m’aviez mal comprise ! Je vous disais simplement que je n’avais plus guère l’esprit à la fête, ce que je m’apprête à faire étant quelque peu en opposition avec le thème de la soirée ! J’aurais bien dissipé ce malentendu, mais vous êtes parti si précipitamment… Me voyez-vous partir et laisser Saegmund tout seul ? Ma foi, jamais de la vie ! » | ||
Galeon Respect diplomatique : 569 25/06 ETU 02:07 | Score : 2 Détails Je sais père, mais... je ne pourrais pas supporter une émotion en plus.
Si tu es venu de la Grande Sylve, cétait pour découvrir le monde des vivants, ce que tu as oublié, c'est que ça allait forcément avoir un impact sur toi. et c'est impact s'appel le coeur. Tu peux ressentir l'amour, mais aussi la peine, la colère, et j'en passe. Tu es fort mon fils, tu ne vas pas te laisser abattre parce que tu as ressenti l'amour et que ce n'était pas réciproque... Ce n'est pas ça le problème! C'est que... il fut interrompu par une voix de femme, elle chantait une comptine. Qui va là ? Qui ose venir rompre la quiétude de mon père ? Fangörn ? Est-ce vous ?… C’est moi, Mathilda ! Vous !?! Mais que faîtes-vous là ? Vous n’êtes pas encore partie. Non, cela n’était pas dans mes intentions immédiates ! Vous m’aviez mal comprise ! Je vous disais simplement que je n’avais plus guère l’esprit à la fête, ce que je m’apprête à faire étant quelque peu en opposition avec le thème de la soirée ! J’aurais bien dissipé ce malentendu, mais vous êtes parti si précipitamment… Me voyez-vous partir et laisser Saegmund tout seul ? Ma foi, jamais de la vie! Encore une fois mon fils, tu as été trop hâttif dans tes conclusions. tu tiens ça de moi, j'ai de quoi être fière je suppose. Papa, l'heure n'est pas aux plaisanteries! Se tournant vers Mathilda, il sentit un peu de honte monter en lui. Je... je tenais à m'excuser pour mon comportement quelque peu... humain, enfin egoïste de toute à l'heure, je n'ai pensé qu'à moi, oubliant votre peuple, et les jeunes nations. Je suis désolé. Une douce brise vint agiter le feuillage du vieux Barahir. Fangörn couvrit Mathilda avec une couverture de feuilles. Le temps se rafraîchi, gardez-la sur vous, elle vous tiendra chaud. Il s'assit au bord de l'eau, se laissant tomber de tout son long. Il observait le ciel et ses beautés. Il n'y a aucun nuage ce soir, la lune est magnifique, vous ne trouvez pas? | ||
Galeon Respect diplomatique : 569 27/06 ETU 14:56 | Score : 0 Détails up
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