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Forums galactiques > Assemblée Galactique : diplomatie officielle > Les Chroniques du Syndicat
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| Salibe Respect diplomatique : 367  29/03 ETU 13:27 | Score : 16 Détails "Salibe, nous avons deux nouveaux aspirants, je les fais entrer? annonça un membre du Syndicat.
-Faîtes les patienter quelques minutes, le temps de finir ce dossier." Le commandant s'empressa de repartir, le bureau du co-fondateur du Syndicat était fortement enfumé par les cigares provenant des planètes au climat cubain, spécialement terraformées selon les conditions atmosphériques de cette île de la Terre datant de la Pré-colonisation. Pensif, Salibe, se remémora ses tâches de la journée, et elles étaient nombreuses. Les dossiers s'accumulaient et grossissaient chaque jour. Spéculation, diplomatie, stratégies militaires et recrutement était désormais son lot quotidien. Le récent ralliement à la résistance n'était pas de tout repos. Heureusement, tout se passait, pour l'instant, sans accroc. Allumant un énième cigare, il prit connaissance des dernières mises à jour du dossier Cronos. Celui-ci n'avait encore pas riposté. Oubli de sa part ou était-il trop occupé sur d'autres fronts? Apparemment un de ses alliés lui gardaient des planètes. Et bien tant pis, cet allié serait désormais une cible du Syndicat. Encore un commandant engrené par le vice de Cronos. Envoyant quelques derniers ordres militaires et gérant la gestion de quelques navettes, Salibe écrasa son cigare dans un des derniers cendriers antiques de l'Ancienne Terre et appuya sur l'intercom :" -Faîtes entrer nos commandants. -Très bien." Deux jeunes commandants arrivèrent, un peu intimidés et surtout indisposés par le brouillard dense de fumée qui flottait dans le bureau. Salibe leur montra les fauteuils en cuir et leur fit prendre place :" -Asseyez vous et écoutez, vous me poserez les questions ensuite. Voici comment opère Le Syndicat...." Salibe connaissait par coeur chaque mot qu'il allait prononcer ce qui lui permettait de continuer à réfléchir. Le Syndicat s'aggrandissait, Alex et lui allaient bientôt pouvoir retourner voir Big Daddy pour faire un rapport de l'avancée de cette entreprise. Tous les membres remplissaient un rôle, se respectaient et oeuvraient pour le bien du Syndicat. Plus de doutes, le Syndicat devenait de plus en plus puissant à chaque jour que Dieu créait. Rapidité d'action, service de renseignements parfaits, motivation des membres, non, il n'y avait rien à redire; tout le monde travaillait de son mieux et cela portait ses fruits. Heureusement, Alex était là pour l'aider dans cette tâche immense, à deux ils se répartissaient le travail.Salibe se mit à penser intérieurement :"Alex, je crois que nous pouvons être fiers du Syndicat." "Commandant.. Commandant!" Salibe remarqua qu'il s'était mis à fixer la fenêtre un fois le discours fini. "-Oui? -Sommes-nous acceptés? -Vous m'avez l'air motivé, la procédure de vérification s'est également passée sans problème : Bienvenue dans le Famille. C'est un honneur pour nous. N'oubliez pas d'aller voir notre intendant, il vous donnera le quai où une flotte marchande et/ou militaire vous attend. Vous aurez également, un X-Com récapitulant nos dernières actions, et quelques objectifs à remplir. Messieurs, ce fut un plaisir." Les deux nouveau membres repartirent, avec cette lueur de détermination qu'il avait souvent vue. C'est cette lueur qui le faisait continuer, c'est pour cette lueur que Le Syndicat existait, c'est pour cette lueur qu'il était prêt à donner sa vie. //HRP\\ Merci de ne pas poster ici. Ce topic RP du syndicat sera mis à jour par différents membres du Syndicat. Pour toute demande de candidature, adressez nous un MP à Alex Rider ou moi-même //HRP\\ | ||
| Alex Rider Respect diplomatique : 748  29/03 ETU 14:25 | Score : 12 Détails (HRP: pour connaître le commencement de l'histoire de Alex, je vous renvoie au topic "Evolution de votre RP" dans cette même Assemblée (entre les pages 2 et 6) /HRP)
Depuis l'explosion qui lui avait blanchi les cheveux par endroits et presque fait perdre une jambe, Alex se sentait terriblement diminué. Il avait été contraint, après ça, de faire reconstruire un bureau hyper protégé, avec murs et vitres à l'épreuve des plus grosses explosions, ce qui lui avait coûté une petite fortune. Alex, assis derrière son nouveau bureau, sa jambe blessée posée sur la table, était pensif. Il avait finalement renoncé à l'idée de communiquer avec ses supérieurs de l'an 2006. Car sa place était ici. Avec l'aide précieuse de Salibe, Alex avait fondé le Syndicat, et il ne pouvait se résoudre à abandonner leur oeuvre. La coalition prenait de plus en plus d'ampleur, et Alex n'en était pas peu fier. A vrai dire, il était même assez honteux d'être aussi satisfait de lui-même. Pendant une période qui lui avait semblé ne jamais finir, quand il était encore à l'époque préhistorique, il avait été sans cesse manipulé par le MI6. Ses supérieurs se fichaient pas mal qu'il vive ou qu'il meure. Si cette dernière chose était arrivée à Alex, ils auraient trouvé un autre malheureux gamin pour faire le sale boulot à sa place...gamin qui ensuite se serait fait tuer à son tour par un fou furieux. D'ailleurs, c'était à cause (ou grâce, il ne savait plus très bien) à Mrs Jones et Alan Blunt s'il avait été débarqué en plein dans l'histoire de la Galaxie Espérance. Mais à présent il avait réellement l'impression de voler de ses propres ailes, et cela lui faisait le plus grand bien. Le Syndicat, grâce à Alex et à tous ses alliés deviendrait bientôt riche et puissant...peut-être même dans quelques temps la coalition la plus puissante de la Galaxie...mais il ne fallait pas crier victoire trop vite. Mais à présent, la machine était en marche, et même Cronos et son armée infernale ne pourraient plus l'arrêter... | ||
| martinez11 Respect diplomatique : 269  30/03 ETU 19:30 | Score : 8 Détails *22h00, Un vaisseau amorça son approche de Vardenia, capital de l’empire Furien, il atterrit en douceur, une grande porte s’ouvrit d’où l’on put voir sortir le Seigneur Martinez accompagné de nombreux généraux.
Le seigneur entra dans son palais quand un conseiller, Ninos, arriva. Il s’occupait des dépenses militaires de l’empire, le seigneur avait une confiance aveugle en lui.* -"Bonjours Seigneur, avez-vous fait bon voyage ? - Ca va Ninos, ça va, il faut que nous parlions. - Oui, seigneur mais d’abord allons nous restaurer." *Ils partirent dans une grande salle à manger où on leur apporta un Aminas, plat typique de l’empire.* Tout en mangeant, le Seigneur Martinez dit : -"Comme prévu je suis allé à la frontière, la tension y est palpable, les troupes sont inquiètes : elles sentent le combat final arriver et elles sont prêtes - Il y a-t-il beaucoup d’hommes et de vaisseaux, Seigneur ? - Oui, Ninos, ils sont assez nombreux, il y en a de plus en plus qui arrivent et avec l’appui de notre coalition et de nos alliés ceci va faire du nombre. - Est-ce que ce sera suffisant, Seigneur ? - Je ne sais pas encore, mais je le pense grandement et je peux vous assurer que l’on va jouer un rôle. - Je l’espère bien Seigneur." *Ninos but une gorgée de vin puis reprit* : -"Je suis allé voir nos stocks de kamikazes pendant votre absence et je peux vous dire que nous n’en avons jamais eu autant, ils s’engagent par centaines par heure. Ce sont des désespérés ayant tout perdu." *Ils continuèrent leurs discussions pendant plus d’une heure, la conversation dévia vers l’économie puis ils parlèrent des derniers ragot de la noblesse ce qui les fit beaucoup rire. Vers minuit, ils partirent se coucher, Ninos alla prendre une fille facile avant de partir dans sa suite. Le Seigneur Martinez, lui, alla dans sa chambre, seul, pour préparer le rapport qu’il ferait au Syndicat.* | ||
| martinez11 Respect diplomatique : 269 03/04 ETU 18:44 | Score : 6 Détails 2h00 : le Seigneur Martinez n’arrivait pas à trouver le sommeil, il avait fini sont rapport depuis quelques minutes et attendait un repos protecteur qui lui ferait du bien dans ces moments trouble.
Mais il n’y arriva pas. Bien au contraire des images ne cessaient de défiler dans sa tête. [Celle d’une tête encapuchonnée de noir, une marche de dragon, la mort de milliers d’innocents. Il tenta tant bien que de mal de chasser toutes ces images, mais d’autres plus terribles arrivèrent. Celle de sa femme et de son fils morts dans l’explosion rebelle (Hrp : Voir le topic « évolution de votre RP ») Il aimerait tant qu’ils soient là en ce moment avec lui, pour voir ce qu’il était devenu car, oui, il en était fier, le Syndicat l’avait sauvé de la tourmente, il avait enfin su re-goûter à la vie et tout au fond de lui il savait qu’ils seraient fièrs.] Le Seigneur se leva se disant que de toute façon, maintenant, il ne trouverait plus le sommeil, c'était une évidence. Il sortit de sa chambre, le palais grouillait de monde. Tant de personnes se croisaient, des personnes qu’il n’avait jamais vues, autant de militaires que de civils, il se dit que c’était normal en état de guerre. Il descendit l’escalier s’habilla à la va-vite et sortit du palais, le brouhaha était tel en bas que personne ne le remarqua. Pendant plus d’une heure il marcha dans les rues de Vardenia, s’enfonçant dans des rues de plus en plus sombres. Il savait que c’était risqué mais il aimait ça, le goût du risque, car ici dans ce coin de la ville on tuait pour quelques pièces. Il continua à marcher, jusqu'à se retrouver nez-à-nez à une impasse. Se voyant bloqué, il voulut faire demi-tour, mais à peine avait il fait un pas qu’un groupe de personne se mit devant la sortie. Le plus grand dit : -Que fais-tu l’nouveau ici, tu savais pas qui faut payer pour passer s’quartier. -Poussez-vous, vous pourriez le regretter, répondit le Seigneur Martinez. -Eh, le rigolo, tes p'têt miro mais j’tenais à t'prévenir que t’es tout seul et qu’nous on est six. Donne la tune et on te laisse en vie, on va être cool avec toi. *Il commença a s’avancer * -On veut pas t’faire de mal, juste que tu nous paye, mais si tu nous laisse pas le choix on d'vra utiliser ça. * Il sortit un gourdin de son manteau* -Je ne vous paierai pas, cette rue ne vous appartient pas, ceci est propriété du seigneur Martinez, vous n’êtes rien bande de misérables. -J’ai mal entendu là, et t'crois qu’le grand et bel oiseau va v'nir le réclamer son quartier ? *Il se retourna et rigola, tous ses hommes l’imitèrent.* Tu crois qu’il va protéger s’quartier alors que sa gueuse de femme il n’a pas été capable de la sauver. * Nouveau rire* Il voulut dire quelque chose d’autre mais il n’eut pas le temps et ne l’aurait jamais plus : une lame venait de se fixer dans sa gorge, le sang en coulait abondament, il en tomba à la renverse. La lame venait du bras tendu du seigneur Martinez, une lueur de folie brilla dans ses yeux, une folie meurtrière s’empara de lui, il sauta sur le premier, essayant de lui briser la nuque, le second eu plus de chance, il réussit à éviter le coup de poing qui avait été déclenché, mais hélas pour lui, il ne put éviter sa jambe : son os se brisa. Le troisième homme s’empara du couteau et sauta sur le seigneur Martinez, ils tombèrent tout les deux. Le poignard s’enfonça prestement dans les côtes du seigneur, se qui lui donna une douleur fulgurante qui le fit se contracter. L’homme put se relever et s’enfuir. Martinez ne réussit pas à se lever, son corps lui faisait atrocement mal, mais il eut la force de mettre sa balise en marche afin que des secours arrivent. A peine 10 minutes plus tard, des soldats de sa garde personnelle arrivèrent. Il fut transporté dans un hôpital. |
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