Forums galactiques > Assemblée Galactique : diplomatie officielle > Evolution de RP : Anko ( comment ça dommage?!)
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Anko Respect diplomatique : 717 10/04 ETU 17:50 | Score : 8 Détails Anko était assise seule à l’Ombre Propice, un café devant elle et les reliefs de son petit déjeuner éparpillés sur la table. Tout à coup, elle se leva brusquement, renversant la table et son contenu, portant une main à son cou.
Puis elle s’effondra. Sautant par-dessus le comptoir, Saïto, inquiet fut rapidement à ses côtés. Un autre commandant fut à leurs côtés quelques secondes plus tard : « Que lui arrive t’il ? » demanda t-il, angoissé lui aussi. « Je ne sais pas, ça ne c’est produit qu’une seule fois à ma connaissance et… Non, ce n’est pas possible ! » Il esquiva un projectile venant de la porte, le sang perla, il n’avait pas été assez rapide. Une strie rouge lui marquait la joue. Le couteau de lancer alla se perdre dans l’obscurité de la salle. « Je t’ai connu plus rapide. Et même je ne comprends toujours pas pourquoi elle te traîne partout avec elle ! » Puisant dans le porte-couteau de la jeune femme, Saïto se mit en garde. A l’entrée de la taverne, un homme seul se tenait, une longue épée ruisselante du sang des gardes à la main. Son visage presque androgyne déformé par un rictus qui se voulait être un sourire. Une lueur malsaine habitait son regard. « Elle ne me traîne pas comme tu dis, notre amitié nous pousse à être ensemble, cette même amitié qui me dicte de t’empêcher de l’approcher, tu lui as fait assez de mal comme çà ! » Il lança le couteau vers l’intrus, l’arme l’aurait atteint en plein cœur s’il ne s’était pas penché en arrière, son tronc formant un angle impossible avec ses jambes. « Toujours aussi mauvais n’est ce pas mon pauvre… Tss. Tu seras suffisant pour m’amuser le temps qu’elle se réveille. » Une voix féminine s’éleva, calme et posée. « Je le suis déjà. Que viens tu faire ici, traître tu n’es pas le bienvenu. » « Je n’ai même pas le droit de rendre visite à ma jeune apprentie ? » « Au moment où tu as trahi, tu as cessé d’être mon maître ! et je te rappelle que tu es recherché.» Produisant deux couteaux, elle se mit en garde. « Et tu espères m’arrêter ? Tu n’y es pas parvenue ce jour là. » Il pointa son épée vers elle. « Je vais te donner une leçon de modestie et te prouver que je suis encore ton maître ! » Il se rua vers elle. Elle para la première attaque de justesse, apparemment surprise par la vitesse de son adversaire, la seconde passa sa garde et la blessa au flanc. Fouettant l’air elle recula à bonne distance. « Je t’ai connu plus ardente combattante, les travaux diplomatiques et les banquets ont émoussé tes capacités déjà décevantes. » Elle ne répondit pas, le sang coulant de sa plaie formant une flaque contre le mur sur lequel elle s’appuyait. Ils commencèrent à se tourner autour, chacun guettant le moment propice. « Le combat ne doit pas s’éterniser… » pensa Anko, son propre sang imprégnant ses vêtements. Elle se jeta alors sur lui, il tenta d’esquiver mais glissa sur le sang répandu, semblait il à dessein par la jeune femme. Elle lui assena un puissant coup de genoux à l’abdomen, le planquant au mur. Lui saisissant une main, glissant ses doigts entre les siens, elle y planta un couteau. Elle lui fit lâcher son épée longue et accrocha son autre main au mur. « Tu n’espères pas m’avoir ainsi ? Attends toi à mon retour ! » Et il disparut, se fonda littéralement dans le mur. Anko, quant à elle, arracha le couteau qui la retenait au mur et s’effondra. Saïto la rattrapa avant qu’elle ne touche le sol et la porta à l’étage. | ||
Arthérius Respect diplomatique : 1559 10/04 ETU 18:09 | Score : 3 Détails Présent lors de l'affrontement qui venait de se dérouler sous ses yeux , le commandant Arthérius s'était empressé de mettre les clients à l'abri , et il aurait surement bondi sur l'assaillant si le commandant Cesco ne lui avait pas signifié d'un regard qu'il valait mieux laisser Anko se débrouiller seule ...
Tous les deux s'étaient alors mis en garde tout en ne perdant pas des yeux l'aggresseur. On vit meme le commandant Cesco esquisser une grimace lorsque celui-ci blessa sa compagne... A la fin de l'affrontement, voyant la quantité astronomique de sang que la jeune femme perdait, Cesco s'était précipité à son chevet pendant que le commandant Arthérius se hatait de ramener un kit de recouvrance de santé dont il enveloppa la commandante ... Par la suite lui et Cesco passèrent une heure à faire une ronde de sécurité autour du batiment, le temps pour Anko de retrouver la forme ... Mais une question leur trottait dans la tête : pourquoi elle? | ||
Anko Respect diplomatique : 717 11/04 ETU 09:52 | Score : 8 Détails Un couloir. Le Traître.
"Je ne dois pas le laisser fuir!" Plus Anko cours, plus la silhouette furtive qu'elle course s'éloigne. Les poumons en feu, elle s'arrête. "Alors on faiblit, je ne t'ai pas formé comme ça! Allez on se reverra!" se moqua la silhouette. La jeune femme porta la main à son étui à couteau... vide! "Mais que...???" Il réapparut, à quelques centimètres d'elle... Et la transperça de sa lame. Une douleur déchirante dans le torse, elle glissa en arrière. Anko se contracta, s'attendant à se fracasser le crâne sur le sol... Mais il n'en fut point ainsi, elle chuta, chuta encore et encore dans de sombres ténèbres, elle cria mais aucun son ne sortit d'entre ses lèvres... Elle se réveilla, des gouttes de sueur glacée coulèrent de son front jusqu'à ses yeux, lui troubla la vue. Son cou la faisait souffrir, elle tâtonnât et sa marque était brûlante. Une étoffe de tissu toucha son front, instinctivement, elle attrapa la main qui tenait le tissu et la tordit brutalement, jusqu'à entendre un grognement satisfaisant de la part de l'inconnu... Puis elle s'essuya les yeux, apercevant deux autres personnes de plus... Ces visages ne lui étaient pas inconnus... Cesco, Artherius et elle était en train de tordre le poignet de ce pauvre Saïto. Elle relâcha la pression, honteuse d'avoir fait mal à son ami. "Et bien, encore une fois tu te remets vite." la complimenta son ami, se massant son poignet endolori. "Ton visage?(Elle effleura la cicatrice qui striait la joue de son ami) Où suis je?" "A l'Ombre, dans la chambre du haut. Nous avons envoyé des patrouilles, pas moyen de mettre la main sur Lui. Et je n'ai pas ton talent de cicatrisation. -Il ne reviendra pas. Pas ici sur notre territoire, mais on le reverra. Combien de temps? -Quelques heures à peine, ma douce." la rassura Cesco d'un air inquiet. Evitant la main d'Artherius qui tentait de l'en empêcher, elle ôta avec empressement les bandages qui lui ceignaient la main et découvrit une peau lisse et sans marque ni cicatrice. Elle palpa son flanc, aucune douleur ne la poignarda. Contre les indications de ses amis, elle se leva, se glissa dans la minuscule salle de bain de la chambre, la verrouilla et entreprit de se déshabiller. Elle se contempla dans le miroir, encore une fois, aucune marque ne cinglait sa peau lisse. Par contre la marque à son cou, brûlante, palpitait comme une veine ; comme si la présence de celui qui l'avait apposé l'avait réveillée. Anko se glissa dans la douche, l'eau chaude lui fit l'effet d'un coup de fouet. Elle resta longtemps sous ces jets bienfaisants, au point que ses amis s'inquiétèrent, craignant qu'elle ne se soit évanouie. Quand la jeune dirigeante sortit finalement, elle avait revêtu sa tenue d'entraînement, un short bleu nuit, un débardeur. Ses amis ne purent s'empêcher de laisser traîner leurs regards sur le galbe de ses jambes fines et musclées dévoilées par cet accoutrement ô combien atypique. Elle se campa devant Saïto, plantant son regard dans le sien. "Je dois reprendre mon entraînement! -Laisse moi cinq minutes, le temps de me changer et de demander à quelqu'un de gérer en bas et je te rejoins au second." Ils sortirent précipite ment, laissant Cesco et Artherius à leurs regards interrogateurs. Quelques minutes plus tard, les deux amis s'entraînaient ardemment, les lames frôlant la chair, dans un curieux ballet de mort où tout se jouait sur la morsure froide de la lame d'un couteau. Il en fut ainsi durant de longues heures, jusqu'à ce que Saïto, épuisé, essoufflé et couvert de striures rouges là où les lames de la jeune femme l'avaient effleuré demanda une pause. | ||
Arthérius Respect diplomatique : 1559 12/04 ETU 18:23 | Score : 3 Détails Laissés seuls à leurs pensées, Cesco et Arthérius discutaient:
"Bon sang Cesco c'était qui ce malade? Et puis pourquoi tu as pas voulu qu'on fonce? A deux on aurait pu aisément le maîtriser..." " Pas sur Arthérius pas sûr! Et puis j'ai vu la lueur dans les yeux d'Anko quand ce type l'a accostée. Elle le connaissait , c'est pourquoi j'ai préféré rester sur la défensive." " Peut etre cher ami peut être , mais écoute ce bazar en bas . Anko s'entraine vraiment comme une malade, je suis sur qu'il va retenter quelque chose ..." "La tu dis vrai... Mais vu sa maîtrise de la lame, j'ai peur de ne pas pouvoir être tres utile!" "Bon, c'est à nous de nous entraîner alors. Mon ami, tu as reçu le X350V2 que je t'ai fait parvenir ? Tres bien, petite taille mais grands pouvoirs. Il est taillé à ta main et ne peut être utilisé que par toi... Si tu le sens vibrer, mets toi sur tes gardes, le danger n'est pas loin... Maintenant suis moi, je vais t'enseigner quelques tactiques Symériennes..." | ||
Anko Respect diplomatique : 717 20/04 ETU 10:29 | Score : 3 Détails Les deux jeunes mariés remontaient en courant les couloirs de la Tour d’Onyx, résidence devant laquelle le croiseur venait de les déposer. Se tenant par la main, riant de bon cœur, Anko menait son époux jusque la chambre nuptiale. Au passage, elle signala aux gardes de ne laisser personne les déranger, cette nuit se devait d’être inoubliable.
Arrivés devant la porte de la chambre, la mariée voulut entrer mais Cesco la retint, l’attirant à lui, il glissa son bras derrière ses genoux et la souleva comme s’il s’agissait d’une plume. Prenant garde de ne pas cogner la tête de sa femme, Cesco pénétra précautionneusement dans la chambre. Il déposa sa promise sur un majestueux lit à baldaquin. Il l’embrassa, baiser auquel elle répondit dans un premier temps puis elle s’échappa de son étreinte, le faisant tomber sur le lit. Elle s’écarta quand il essaya de la rattraper et de dépit il s’assit sur le bord du lit pour voir où elle voulait en venir. Puis, tout sourire, elle fit glisser sa robe à terre, se retrouvant ainsi « vêtue » uniquement de son diadème et d’un étui à couteaux. ***Toujours le même rêve… Encore et encore.*** Un couloir. Le Traître. "Je ne dois pas le laisser fuir!" Plus Anko cours, plus la silhouette furtive qu'elle course s'éloigne. Les poumons en feu, elle s'arrête. "Alors on faiblit, je ne t'ai pas formé comme ça! Allez on se reverra!" se moqua la silhouette. La jeune femme porta la main à son étui à couteau... vide! "Mais que...???" Il réapparut, à quelques centimètres d'elle... Et la transperça de sa lame. Une douleur déchirante dans le torse, elle glissa en arrière. Anko se contracta, s'attendant à se fracasser le crâne sur le sol... Mais il n'en fut point ainsi, elle chuta, chuta encore et encore dans de sombres ténèbres, elle cria mais aucun son ne sortit d'entre ses lèvres... ***Mais cette lumière, quelle était cette lumière blafarde comme maladive vers laquelle elle chutait ?*** Elle ouvrit les yeux, la lumière pale de la lune inondait la chambre. A côté d’elle, Cesco dormait à poings fermés. Elle lui déposa un doux baiser sur le front et se glissa hors du lit, décidée de ne pas le réveiller avec ses insomnies. Elle s’habilla, attachant son étui de poignard à la cuisse quand un éclat attira son regard. « Le miroir ! Sacrée Krylenne… Peut être devrais je être plus coquette…. » se dit elle. Elle ramassa l’objet et le glissa dans sa veste avec un sourire, repensant à la veille et à Krykry et Wolvie… Perdue dans ses pensées, elle se dirigea vers le balcon, ouvrant la fenêtre, laissant l’air frais de la nuit s’engouffrer dans la pièce. Soudain, une douleur déchirante irradia de la base de son coup… Une voix s’éleva dans la semie obscurité. « Tu te lèves tôt dis moi… » Anko sursauta, scrutant la nuit : « Toi ?! Allons nous battre plus loin. Il a eu une journée éprouvante, ne le réveillons pas… » « Oh ! Comme c’est mignon… » répondit la voix d’un ton mielleux. Ils sautèrent par le balcon, atterrissant dans les jardins. Là ils se livrèrent un combat sans merci, les couteaux volèrent en tout sens, se plantant dans les arbres, les réserves de chacun s’épuisèrent vite. Ils se firent alors face chacun un couteau à la main. Ils se jetèrent l’un sur l’autre, ferraillèrent d’abondance, jusqu’à ce que l’ancien maître en vienne à trouver une ouverture. Il frappa, droit au cœur. | ||
Anko Respect diplomatique : 717 20/04 ETU 10:32 | Score : 3 Détails Anko ne comprit pas tout, son arme lui échappa. Ce coup aurait du lui être mortel. Au lieu de cela, un bruit de verre brisé se fit entendre. Aussi hébétée que son adversaire, elle redoubla de hargne, une sourde colère battant à ses tempes. Un coup de pied bien placé fracassa le genou de son ancien maître, une torsion de poignet lui arracha son arme.
« Et maintenant ? » pensa t-elle. « Sans arme, je ne vais pas lui faire grand mal… Pourtant je dois le tuer ! » Elle lui immobilisa le bras droit de la main gauche. « Tu fus mon maître et tu m’as appris beaucoup de choses, trop peu être car tu vas le regretter… Tu es un criminel de rang « S » et tu dois mourir, même si je dois t’accompagner dans l’autre monde ! Je t’empreinte ta main. » Elle mêla ses doigts aux siens et le força de l’index et de l’auriculaire à exécuter le même symbole qu’elle. Le traître écarquilla les yeux, en reconnaissant la technique qu’elle allait utiliser : la double mort des serpents. « Ce signe ?! » bégaya t-il… « Tout juste ! Toi et moi allons mourir ici ! » Elle retint son souffle. « Tu ne devrais pas avoir recours à des techniques interdites que je t’ai enseigné… » Il fit un signe de tête en direction de la tour. « Et lui, tu le laisseras mourir ? » Elle se retourna et aperçut une silhouette qui escaladait la tour en direction de la chambre, en direction de Cesco. « J’ai été négligente, j’ai laissé la fenêtre ouverte ! » songea t-elle Lâchant son adversaire avec dépit, elle se précipita vers la tour, rattrapant l’assassin et lui brisa la nuque, l’envoyant s’écraser quinze étages plus bas. Elle regarda vers la clairière où elle venait de combattre et rien, cette dernière était vide. Anko remonta vers la chambre où son époux l’attendait éveillé, le regard interrogateur. « Oh rien ne t’en fais pas une ballade nocturne…. » dit elle en refermant la fenêtre derrière elle. Lorsqu’il l’y invita, elle le rejoignit sur le lit…. | ||
Arthérius Respect diplomatique : 1559 20/04 ETU 10:41 | Score : 2 Détails Un flash aveugla alors la jeune mariée, mais cependant aucune douleur ne se fit ressentir...
En rouvrant les yeux, elle aperçut son ancien maitre... Le couteau qu'il tenait il y a encore un instant se trouvait maintenant à terre, encore tout fumant... Tournant la tête, elle aperçut Arthérius souriant qui brandissait son X350V2 , dont le coup avait fait sauter l'arme des mains de son assaillant... Derriere lui se trouvait Cesco, soutenant un garde blessé. Il avait juste eu le temps de revetir une combinaison de sécurité lorsque Arthérius l'avait réveillé en lui demandant comment il pouvait dormir avec ce fracas dehors ... Puis, se tournant vers l'agresseur avec un sourir, il lui dit : "hum attaquer une jeune mariée, voila bien le genre de couardise qui ne me laisse pas neutre..." Une volée de X350V2 fit reculer l'asssaillant, qui riposta prestamment en lancant le couteau de combat d' Anko en direction de la tete du descendant barbare ... Un clignement d'oeil fit ralentir le couteau, et d'un geste brusque Arthérius s'en saisit. Alors que Cesco fondait sur l'aggresseur, Arthérius remettait le couteau à la jeune mariée, en lui disant : je l'avais senti ce coup la ... | ||
Cesco Imperator Respect diplomatique : 3122 20/04 ETU 10:54 | Score : 4 Détails Cesco s'était réveillé lorsque le bruit de verre cassé lui arriva aux oreilles. Ensuqué, il eût juste le temps d'ouvrir un oeil, de se redresser d'un bon, et d'apercevoir dans la foulée deux silhouettes qui se battaient sur le balcon.
Il se retourna vers son épouse, qui n'était plus dans le lit, fouilla sous l'oreiller et en extirpa la dague aiguisée qui lui avait été offerte aujourd'hui même. Il pivota vers la fenêtre et vit Anko, seule. Perplexe, il entendit sa femme lui dire : « Oh rien ne t’en fais pas une ballade nocturne…. ». Au moment où il l'invitait à revenir dans le lit conjugal, le chaos se déchaîna. Un flash de lumière éclata dans l'obscurité, des bruits de combats éclatèrent un peu partout. En rouvrant les yeux, Cesco vit son ami Arthérius avec une arme fumante à la main, un homme à la main ensanglantée entre lui et Anko. Déstabilisé, il écouta à peine Arthérius plaisanter, s'habilla rapidement tout en fixant Anko qui se penchait vers l' inconnu. Soudain, une arme vola en direction d'Arthérius, qui s'en saisit, et tandis que celui-ci se retournait vers Anko, Cesco bondit sur l'homme. En un clin d'oeil il fut sur lui, et lui cogna la tête violemment contre le sol de marbre, encore et encore. | ||
Anko Respect diplomatique : 717 20/04 ETU 11:03 | Score : 3 Détails Soudain sous les doigts de Cesco, il ne sentit plus que du vide, son adversaire bien que salement amoché se fondit dans le sol. Peu de temps apres on vit le croiseur de l'Empire Orok prendre l'espace. Pourtant chacun savait que ce dernier avait perdu la vie dans une rixe la veille. Il ne leur fut pas bien difficile de deviner qui venait de s'enfuir. Au moins ils n'étaient pas près de le revoir.
Anko se tourna vers ses amis, sortant le miroir brisé de sa veste. "Et bien messieurs, maintenant que nous sommes réveillés, autant rejoindre nos invités, vous ne croyez pas? Oh zut le miroir de Krylenne!" | ||
Cesco Imperator Respect diplomatique : 3122 20/04 ETU 11:05 | Score : 4 Détails "Maintenant qu'on est réveillé, mon amour...Arthérius, va chercher Kyle sous la table où il a roulé, veux-tu ? et emmènes les gardes avec toi...on te rejoint...vite...enfin, non...on te rejoint, quoi ?"
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Gemnoth-Sinn Respect diplomatique : 358 21/04 ETU 08:42 | Score : 4 Détails _"QUES'QUE C'EST QUE CE BOUCANT!!"
Non loin du lieu de l'incident dans une alcove aménagée pour l'occasion le cousin et empereur Gemnoth-Sinn (a contrecoeur) lors du mariage. Il se met a révéiller les gardes censés assurer sa sécurité à coup de pieds: "_C'est pas parsqu'on est chez les autres qu'ils faut se laisser aller" crie-t-il dans les tètes embuées d'alcool des soldats de sa "garde d'élite. "_Allez, allez on se réveille, c'est bien beau d'être anarchiste, mais on n'est pas en vacance, M***E!" Continuant a taper sur les gardes, il se trouve bientot a taper contre une montagne de fer s'ou sortent uniquement deux canines, gardant les appartements suivants. Sur l'armure on distingue très clairement: "garde rapprochée d'Ariel Golleport": "_Ah, heuu, s'cusé-moi, m'sieur, une petite erreur...hem, d'identité,voila,voila,voila..." Il s'éloigne sur la pointe des pieds, lorsqu'une main de fer le stoppe net: "_Bon, pour une bête erreur, on vas pas faire d'histoire, hein? copain?" Signe négatif de la montagne. "_Bon, pas copain." Cinq minutes plus tard. les gardes s'esclaffent: "_Cessez de wiwe et allez me chewcher un dentiste, Bande d'abwutits" "_alows pouwquoi vous faites tout un cinema Qu'es-ce qu'il se passe encowe dans cette tuwne" Artherius, mort de rire, se roule par terre, Cesco se tape la tète avec la main. Anko, tout bas "_Non, pas lui" Cesco, sans grande cnviction: "_Un attentat conte Anko, le résponsable s'est enfuit. Si vous le souhaitez, cousin, vous puvez participer aux recherches; des sbires de l'assasin on pu rester sur la planète..." "_Pas de pwoblème, a combien s'élève la wecompense pouw chaque tète?" "_Disons 10 000 leems" dit Cesco sans y réfléchir. comment cet énergumène pourrai-t-il l'aider? "_QUOI? je ne twavailles pas a moins de 50 000" (HRP:suite au procain épisode) | ||
Gemnoth-Sinn Respect diplomatique : 358 21/04 ETU 11:36 | Score : 1 Détails (HRP:Suite)
"_d'accord d'accord, 50 000 et tu m'épargnes de ton haleine" Non mais pour qui il se prend, celui-là. Critiquer l'haleine des autres alors qu'il ne tient mème pas l'alcool. Quelques temps plus tard, dans les jardins du palais, Gemnoth-Sinn, escorté de deux soldats, fume tranquillement a l'ombre d'un mûr. Le garde rappèle malgré toutde ème que les jardins sont non-fumeurs. Gemnoth-Sinn lui demande s'il veut retourner s'inscrire à l'ASPE (Agence Spatiale Pour l'Emploi). Un garde accourt. "_Le dentiste arrive" "_Bien, J'en avais mawwe de pawler comme un plouc" Le dentiste: "_Bonjour. Hereusement que la medecine est devenue rapide, hein, haha, ça va se dérouler en quelques minutes. (il applique un appareil a l'emplacement initial des dents)Ah, vous fumez, c'est mauvais, et qui plus est interdit. Anko n'est jamais tolérante sur ce genre de chose. c'est comme ma fille, hein, elle a toujours le dernier mot. ça me rapelles lorsque j'étudiais dans la constellation du lion, il y a maintenant, combien(le "bip" signifiant la fin de l'opération retentit) de temps déja? Oh, je ne m'en souvient plus, Je me rappèles juste du nom(Le dirigeant demande a l'un de ses acolytes de prendre sa place) des empereurs qui régnaient alors...... Gemnoth-Sinn s'éloigne au petit trot: "_Pfouh, on a réussi a s'en sortir.Encore une victoire de l'empereur. Allons donc boi..." Le garde voulant prévenir le despote ne voulut pas l'interrompre pour lui signaler la présence d'un corps en travers de la route. Deux éxécution sommaire pour ce motif ont en effet déja eu lieu. Le garde sifflote donc en regardant le ciel... |
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