Forums galactiques > Assemblée Galactique : diplomatie officielle > Evolution de votre RP
Alex Rider Respect diplomatique : 748 27/02 ETU 10:19 | Score : 1 Détails La porte s'ouvrit sur une grande salle aux murs blancs immaculés, agréablement éclairée par la douce lumière d'un soleil artificiel, dont les rayons filtraient à travers le toit en verre des laboratoires scientifiques du MI6.
La salle contenait une foule d'ordinateurs tous plus complexes et modernes les uns que les autres (certains claviers comportaient quelques centaines de touches et certains écrans étaient tactiles), sur lesquels s'affairaient des dizaines de scientifiques, tous équipés de l'uniforme réglementaire, qui se résumait à un simple ensemble noir (pantalon noir, chemise noire, chaussures noires) et une blouse blanche. Alex avait été accompagné ici par le docteur Kleiner, car Barney, le remplaçant de Freeman, était tombé subitement malade. Kleiner avait donc finalement pris la relève pour continuer les travaux de Freeman. Kleiner était un grand homme maigre comme un clou et au visage d'intellectuel stéréotypé qui portait des lunettes aux verres si gros qu'on aurait pu croire qu'il s'agissait de hublots. Il se tenait devant Alex et lui souriait. Il paraissait très exalté par ce qu'il venait de découvrir: -Ca y est commandant! Nous avons réussi! Nous avons trouvé le moyen de vous faire communiquer avec vos supérieurs! Et peut-être même avec vos amis... Alex n'en crut pas ses oreilles. Il eut un silence avant de répondre: -Montrez-moi ça! Kleiner l'amena près d'un grand ordinateur complexe avec de multiples touches et un écran géant, qui se situait dans une salle calme, isolée du reste des labos. Alex fut déconcerté: -Euh, je suis censé savoir me servir de ce truc? -Hein? Ah non, bien sûr que non, les techniciens ici présents s'en chargeront, ne vous inquiétez pas, répondit nerveusement le docteur Kleiner. En effet, une armée de techniciens en uniforme bleu marine, assis derrière leurs tables de commandes, attendaient les instructions du professeur. Certains avaient un casque sur les oreilles, d'autres griffonnaient sur des bouts de papier. -D'ici, via cet écran géant, vous pourrez communiquer avec les personnes que vous voulez à votre époque, expilqua Kleiner. Mieux: vous pourrez envoyer et recevoir n'importe quel type de fichier si vous le souhaitez. -Attendez une minute! coupa Alex. Comment...comment comptez-vous communiquer en temps réel avec des personnes qui ne vivent pas à cette époque? -Tout est possible, de nos jours, même si cela prend parfois du temps...Je ne peux malheureusement pas répondre à votre question, ce serait trop long et trop compliqué à expliquer. Mais ça fonctionne... Alex hésita un instant, puis ordonna à ses techiciens de le mettre en ligne avec Tulip Jones et Alan Blunt, ses ex-supérieurs... | ||
Alex Rider Respect diplomatique : 748 01/03 ETU 18:28 | Score : 3 Détails Alex attendit mais rien ne se passa:
-Qu'est-ce qui se passe? demanda-t-il à Kleiner. -Euh...Oh bon sang, il semblerait...non, ce n'est pas grave, monsieur, je crois qu'il va nous falloir refaire certains calculs...mais ça risque de prendre quelques jours supplémentaires, répondit Kleiner d'une petite voix. Alex frappa la paume de sa main avec son poing: -Bon sang! C'est pas vrai! Il n'y a aucun moyen d'aller plus vite? -Je regrette monsieur...nous vous tiendrons au courant des avancées, ne vous inquié... Il fut interrompu par la sonnerie de l'oreillette de Alex, qui prit l'appel en ronchonnant. L'appel venait de Salibe, qu'il avait rencontré dans une taverne quelques jours plus tôt. Salibe avait débarrassé Alex d'une espèce de gros monstre informe qui lui avait crié: "Toi...donner fric à...moi! Sinon moi...TUER...toi!" Salibe lui avait simplement dit quelques mots dans une langue inconnue et le monstre était parti. Depuis, les deux commandants avaient sympathisé. Salibe commença: -Alex? C'est moi. Comment tu vas? Il paraissait très excité. -Pas très bien, soupira Alex. C'est que... -Oui bon, tu m'expliqueras plus tard, coupa Salibe, on a rendez-vous avec Big Daddy dans quelques heures! Ramène-toi! -Hein? Quoi? Rendez-vous avec qui? -Big Daddy! Je t'expliquerai en route, rejoins-moi sur le spatioport de ta planète dans...une heure. -Mais...attends! supplia Alex. Mais Salibe avait déjà coupé la communication. En marmonnant un juron, Alex se dépêcha de sortir des labos pour aller se préparer. Il se demandait qui pouvait bien être ce Big Daddy... | ||
martinez11 Respect diplomatique : 269 01/03 ETU 18:45 | Score : 0 Détails *Le seigneur Martinez passa dans les couloirs de son palais, il était en colère (pour changer).*
-« Durza ou te cache tu misérable. » *Il croisa un garde sur son passage qu’il arrêta avec une certaine violence.* -« Toi, sais tu ou se trouve se traître de Durza. » -« Non mon seigneur » -« Bon à rien toi aussi » *Et il balança le garde contre le mur* -« Mais ou peut-il être » *Un conseiller arriva au pas de course et dit au seigneur martinez.* -« Seigneur une navette manque nous pensons que le traître Durza est partit avec celle ci. » -« Et vous attendez quoi pour partir a sa recherche. » -« Mais seigneur ceci fait plusieurs heures nous ne pourrons le rattraper. » [Maudit chien Durza tu m’a peut être volé mais je te retrouverais] -« Bon il va falloir nommé un autre ministre de l’économie pour remplacé se traître. » -« J’y vais de suite mon seigneur. » -« Prenez cette fois si quelqu’un en qui je puis avoir confiance, ne vous trompez pas surtout. » | ||
Wolverine Respect diplomatique : 2271 07/03 ETU 16:16 | Score : 5 Détails Genosha, la Patrie des Mutants. Plage ensoleillée, cocotiers, musique douce cubaine (ou soit-disant cubaine).
Assis sur un rocher, Wolverine fumait son cigare, l'oeil dans le vague, tourné vers l'horizon. Personne ne l'accompagnait. Après avoir déposé la cendre de son cigare, il respira bruyament, huma l'air autour de lui. Il connaissait cette odeur depuis si longtemps. Tout un pan de sa vie défilait devant ses yeux : une jeune fille rousse qui l'appelait "Oncle Logan", des tueurs travaillant pour le régime nazi d'Hitler, d'autres qui travaillaient pour Staline, des combats sur l'Ile de Madripoor pour sauver l'enfant. Mais le plus douloureux venait en dernier : son échec, le KGB qui mettait la main sur elle, l'éduquait à espionner, tuer. Wolverine n'avit guère besoin de son odorat pour reconnaître Natasha Romanova, dernière descendante des empereurs de Russie. C'était sur Terre, avant le Grand Voyage et bien avant ... cette planète, Genosha ... Leur hâvre de paix à tous. "Natasha, tu m'espionnes ?" "Petit Oncle, t'espionner est impossible pour moi. Tu m'as repéré quand ?" "Quand tu es sorti du Bâtiment Collectif." "Mais c'est à plus de 300 mètres ... Ton odorat a encore évolué ..." "Ouais." ...... Elle se rapprocha de celui qui l'avait sauvé tellement de fois... "Je te connais, Petit Oncle, tu as ta tête des mauvais jours." "Quoi ?" "Allons, on se connait depuis quand ? 500, 600 ans ? Je me souviens de Madripoor quand tu me cachais. A l'époque, tu chantais en russe pour que je n'oublie pas qui j'étais." "C'est loin tout ça" "Oui, c'est loin, très loin. A l'époque, tu ne vivais que pour toi. J'ai dû être la première personne à avoir bénéficié de ton aide." ............. "Dis-moi ce qui ne va pas" "Je retombe dans mes travers ..." "Laisse-moi deviner, Petit Oncle. ........... Elle, car il faut dire "elle", est belle, intelligente, fragile, agréable, douce. C'est un début, non ?" "Ouais, Natasha, pour l'instant, t'as tout bon." "Donc, la Phase 2. Il y a un problème, réfléchissons, un gros problème (?). Elle a des responsabilités qui devraient vous éloigner l'un de l'autre ou qui rendraient toute liaison impossible ?" "Ouais". "La dernière fois que tu es tombé amoureux ..." "Ouais, les Yakusas." "Donc, la dernière fois, tu es tombé amoureux de la chef du clan Yakusas. Son frère vous a pourchassé, son clan a lancé ses tueurs à tes trousses. Tu as massacré combien d'entre eux ?" "Trop, plus de 1000, je crois." "Bon, mais là, elle est dans la maffia ?" "Non". "Bon, au moins, on n'aura pas à subir des assauts de ninjas tous les soirs. Tu sais, Petit Oncle, Si t'essaie pas, tu n'y arriveras jamais." "A quoi ?" "Là, tu es le seul à pouvoir répondre à cette question. Si tu veux continuer à regarder l'horizon comme une andouille, vas-y. Sinon, il serait peut-être temps de devenir adulte et de penser un peu à toi. Tu as 800 ans quand même maintenant et les quelques mêches blanches qui ornent ta chevelure peuvent ajouter à ton charme sauvage." "Laisse-moi, Natasha." La grande rouquine repartit vers le Bâtiment Collectif. "Natasha, merci". | ||
Ash Respect diplomatique : 434 07/03 ETU 16:38 | Score : 2 Détails Sur une planete pleine de volcans, on pouvait voir le commandant Ash se balader au loin...
Ou se trouvait cette planete? on ne savait pas. Qui d'autres y avait-il? on ne savait pas non plus Il alla se chercher un lieu de repos, puis cala son dos contre une colonne de lave durcie. - Kenichi, ne trouvez-vous pas cet endroit formidable? - Les volcans ne sont pas rellement mon type de paysages. - Je vois, vous seriez plutot pour quel type de paysages? - Moi ce serait plutot la jungle, la canopee, et tout les paysages en accord avec la nature - Pensez-vous que les volcans ne font pas partie de la nature? Ils ont emerges comme des plantes, crachent de la lave, tout comme les plantes lachent leur pollens, puis la lave s'est repandue, tout comme l'herbe se repand. - Je n'ai jamais dit cela, mais j'aime sentir des animaux pres de moi, dans un endroit ou l'on se sent seul, ou on peut voir du vert partout. Le soleil nous eblouir, voila ce que j'aime. - Kenichi, j'en apprends tout les jours sur vous. Que diriez-vous d'aller sur Sun Valley, vous pourriez vous y reposer en paix, loin de tout, il n'y a que 2 villes, et placees aux deux bouts du globe. - J'accepte volontiers votre offre, je pense que je pourrait apprecier beaucoup de choses la bas. Dans un nuage de cendres, le commandant Ash ammena son coequippier, Kenichi, sur Sun Valley, on pouvait voir de magnifiques arbres, une vegetation luxuriante, des fleurs de toutes les couleurs... Ash deposa Kenichi, puis regarda aux alentours, s'appuya contre un arbre, a l'oppose de Kenichi qui s'allongea sur le sol, puis une fois que Kenichi fut assoupi, Ash deposa un mot a cote de lui... Le soir etait tombe, Kenichi se reveilla, pensant que son maitre avait du l'attendre, puis il vit la lettre, il la lit et... "Kenichi, je n'aime pas ce genre d'endroits, je vous laisse admirer votre nature et tout le blabla qui va avec, la ville la plus proche se trouve a 12 000 000 Km, esperons que votre mere nature vous portera chance pour trouver la ville sans mourrir. Ash" Et voila que Kenichi s'evanouit. Depuis Inoue (le croiseur d'Ash), le commandant le surveillait, et se mit a rire et pensa " pauvre type... il a reelement cru que j'allais le laisser crever sur Sun Valley! ~ haha ~" | ||
Ariel Golleport Respect diplomatique : 959 07/03 ETU 19:51 | Score : 7 Détails Elle était superbe. Son teint arrogant réhaussait son beau visage posé sur un cou de déesse. Sa robe blanche immaculé trainait jusqu'au sol, renvoyant aux murs d'éphémére rayon de lumiére. Dans son dos, déparaillant franchement avec tout ça, un bazooka plasma fumait dangereusement.
Elle était aussi en colére. Trés trés en colére. De toute façon, Robert avait l'habitude. Il n'y avait que deux états possible des pensée d'Ariel : En colére, et en préparation de. La fureur inextinguible et universelle envers toute les forme de vie lui collait a la peaux comme d'autre un chewing gum. - Comment ça, on a plus rien dans nos caisses !? - Et bien, tu vois, hum... Comment lui expliquer cela sans qu'elle ne repeinde le mur a la peinture rouge ? - Entre tes extravagances au casino, les kamikazes qu'il faut bien nourrir, la récente acquisition de l'armad... - Comment ça, elle est pas bien ma flotte ? fit-elle, lui coupant la parole. Elle est géniale ma flotte ! Je l'ai appellé la flotte Golleport, tu sais. Il soupira, laissant sous-entendre tout le bien qu'il pensait de la flotte golleport. - On avait vraiment besoin de ce yacht spatial ? - Bein... J'ai droit a un minimum de confort dans mes déplacements, non ? - Non, Mademoiselle. Un silence perdura pendant quelque seconde. - Oh, allons, on se connait depuis la maternelle. Lorsque tu étais jeune, c'était un signe de mécontentement de m'appeller Mademoiselle. - Oui. - C'est vraiment aussi grave que ça ? - Tu vois, la déche, le néant, le vide, la banqueroute ? Nous somme trois ou quatre cent kilométre plus profond. - Oh. On ne peut pas emprunter ? - Voyons cela... Cela fait trois ans que sommes dans les négatif, on a été obligé d'emprunter a quatre banque différentes pour payer la toiture du palais... - C'est un non ? - A moins de trouver un banquier suicidaire, oui, c'est un non. Autre silence, plus profond cette fois. - Merde. | ||
Sullïwan Respect diplomatique : 1097 08/03 ETU 21:40 | Score : 4 Détails #Vidéo-Achive du discours de la Commandante Sullïwan#
[La foule s’était amassée dans la grande salle luxueuse. Des rangées de chaises d’or plaqué et matelassées avaient été installées pour permettre à la masse humaine d’écouter le prochain discours dans un certain confort. De grands lustres étincelants pendaient depuis les hauts plafonds, comme des stalactites des grottes anciennes. Les murs étaient recouverts de longs tapis représentants de hauts faits dans un passé révolu. Les caméras filmant ces images étaient réparties dans les différents coins de la pièce, simples sphères noires. La foule murmurait entre elle, visiblement impatiente. Une haute estrade avait été installé, ainsi qu’un pupitre métallisé en lévitation. Soudain, le silence se fit pendant que la Commandante Sullïwan entra et s’installa devant le pupitre. Elle gardait toujours sa longue et moulante robe rouge qui dévoilait légèrement ses fines jambes. Ses épaules étaient couvertes par une cape, toujours rouge, qui lui descendait jusqu’au fesses, lui conférant un aspect mystérieux. Ses longs cheveux bruns encadrait son visage dont on remarquait les yeux d’un vert intense. Son regard parcouru lentement la salle, fixant tour à tour les personnes présentes. Ensuite, elle appuya les bras sur le pupitre et dit :] - Je vous salue, peuple de mon cœur, Je viens vous annoncer une grande nouvelle, qui aura de grandes conséquences pour l’avenir de notre peuple. Comme je vous l’avais annoncé précédemment, j’ai pris contact avec la coalition Ex Machina, pour que nous rejoignions ce groupement de nobles combattants. J’ai l’immense plaisir de vous annoncer que nous avons été accepté ! [La foule applaudit, pleine d’espoir pour son avenir. Mais la Commandante les fit taire, elle n’avait pas fini son speech.] Oui, nous avons rejoins de Grands Hommes, qui partagent avec nous des idéaux de Justice, de Noblesse, de Respect et de Droiture ! Chacun d’entre vous sait à quel point nous défendons ces valeurs, qui sont ancrés dans notre culture depuis des centaines de générations ! Nous sommes les défenseurs des Justes, de la veuve et de l’orphelin ! La guerre est un art que nous savons utiliser avec respect et sagesse ! [La foule était excitée par ces paroles, subjuguée par sa voix.] Chantons ensemble notre hymne ! [Elle commença à chanter, rapidement suivie par l’ensemble des personnes présentes : "Que tous les injustes, Que tout les cruels, Que tous les ennemis de la Paix, Nous craignent. Nous sommes les Combattants de la Paix, Nous sommes les Paladins du nouveau Monde, Nous sommes les Défendeurs de la Justice, Nous sommes les Pourfendeurs des Démons, Nous sommes les Protecteurs des Bons. Nous sommes unis, Dans l’adversité, dans les combats, Dans la douleur, dans la surprise, Nous ne formons qu’un. Oyez, oyez, ceux qui croient en la paix, Nous annonçons la fin de la tyrannie, Nous annonçons un monde juste, Nous annonçons le Bonheur Universel. Amis, venez nous rejoindre dans notre Noble et Juste Combat, Et en fin vous vivrez en harmonie avec vous-mêmes, Car il est de l’essence humaine, D’aider son prochain." Les murs tremblait sous la force de la chanson, les esprits transportés par son sens, comme une fusion spirituelle.] Merci encore pour votre confiance. Ensemble, dans l’adversité ! [Des immenses hourras jaillirent de la foule en délire, applaudissements, sifflement, cris de joies se mélangèrent dans un brouhaha que l’on cru venir des Enfers.] [Et à partir de ce jour, le nombre de kamikazes ne cessa de s’accroître…] | ||
Alex Rider Respect diplomatique : 748 09/03 ETU 11:00 | Score : 2 Détails Ce matin-là, Alex arriva en retard au QG du Syndicat (qu'il avait fait construire à l'intérieur même des quartiers du MI6), ce qui n'était pas coutume.
Il était de mauvaise humeur. Il passa devant Natascha sans lui dire bonjour, et prit l'ascenseur pour le 61e étage, où se trouvait son bureau. Il traversa le couloir, avança vers la porte...et eut soudain la sensation d'être soufflé par une force surhumaine. Il sombra dans l'inconscience avant même de toucher le sol. "-Oui...c'est ça...oui, ...explosion dans...bureau...heureusement, Mr.Rider...en retard...eu de la chance." Alex ouvrit lentement les yeux. Il se trouvait dans une salle d'un blanc immaculé, allongé sur un lit. Il devina sans diffculté qu'il était à l'hôpital. Devant lui, Salibe discutait avec un médecin. Alex essaya de les appeler mais seul un gémissement sortit de sa gorge. Salibe se tourna vers lui, car il avait entendu Alex. Son visage prit un air grave. Il prit la parole d'une voix blanche: "-Alex! Tu es réveillé! Enfin! Je croyais que tu étais...enfin, non, oublie ça... Le médecin prit la parole à son tour: -Bonjour, monsieur Rider. Vous vous sentez bien? Vous voulez peut-être savoir ce qui vous est arrivé?" Alex hocha lentement la tête: "-Bien, reprit le docteur, je ne vais pas y aller par quatre chemins: vous avez été victime d'un attentat. Celui qui voulait votre mort a posé une bombe à minuterie dans votre bureau. Il était prévu qu'elle explose quand vous auriez commencé votre travail. Heureusement pour vous, vous êtes arrivé en retard cette fois-là, et grâce à cela vous êtes toujours parmi nous..." "Mais l'explosion vous a quand même bien amoché...Vous avez été brulé au deuxième degré sur presque tout le corps, heureusement, nos technologies nous ont permis de vous réparer la peau...Vous êtes devenu pratiquement sourd à cause du bruit causé par l'explosion, nous vous avons donc implanté des nano-appareils invisibles qui vous permettront d'entendre comme avant..." "Mais le vrai problème se situe ailleurs. A cause du souffle de l'explosion, vous avez été propulsé quelques étages plus bas...et votre jambe droite s'est brisée en deux endroits à cause de la chute..." Alex prit le temps de digérer toutes ces informations et fit un signe de tête au docteur pour qu'il continue ses explications: "-Vous avez deux options: soit on vous ampute de votre jambe droite, et vous ne souffrirez plus, soit vous la gardez, mais vous serez contraint de marcher avec une canne et vous souffrirez pour le reste de votre vie...je sais que ce choix est difficile à faire, mais vous seul pouvez le faire." Alex réfléchit, mais pas longtemps. Il ne pouvait se résoudre à abandonner sa jambe. Même s'il devait souffrir, il la garderait et il retrouverait celui qui l'avait estropié de la sorte... Dans un effort surhumain, Alex bégaya une réponse: "-J...J...Je...la...g...g...ga...gar...de. -Comme vous voudrez. Mais je vous aurais prévenu... -Courage Alex, le rassura Salibe. Je vais profiter qu'ils te gardent en observation pour aller te choisir une canne...crois-moi, tu ne seras pas déçu! A plus tard!" Salibe, une fois arrivé à la porte, se retourna: "Ah, j'oubliais! Tu as été super à l'entretien d'hier soir, avec Soilwork. Repose-toi bien." Sur ces mots, Salibe disparut dans le couloir, et Alex sombra à nouveau dans le sommeil... | ||
Alex Rider Respect diplomatique : 748 09/03 ETU 16:53 | Score : 1 Détails Pendant la semaine d'observation imposée par les médecins, Alex avait été condamné à s'ennuyer ferme et à transmettre ses ordres par le biais de Salibe, ce qui l'avait énervé au plus haut point.
Mais il fut heureux quand Salibe rentra dans sa chambre avec un long paquet. Il avait l'air épuisé. "-Salut Alex, dit-il d'une voix pâteuse, je t'ai apporté quelque chose qui te fera sûrement plaisir, puisque tu sors de cet endroit aujourd'hui. Tu ne peux pas savoir comment j'ai peiné pour la trouver. J'ai dû faire tous les antiquaires pour en trouver une dans ce style, comme vous en aviez au XXIe siècle. Je l'ai payée une fortune, mais tu me connais...j'ai toujours des réserves (il adressa un clin d'oeil à Alex)." Il tendit le paquet à Alex. Bien sûr, celui-ci savait déjà ce qu'il contenait. Le garçon déchira le paquet et découvrit, émerveillé, une canne noire, élégante, avec un pommeau argenté. Elle était magnifique, et c'était tant mieux, car Alex savait qu'il la garderait pendant le restant de ses jours. "-Elle te plaît? questionna Salibe. -Et comment! répondit Alex euphorique, c'est la plus belle canne que j'ai jamais vue!" Il adressa un regard débordant de reconnaissance à Salibe: "-Merci beaucoup..." Mais Alex se souvint tout à coup pourquoi Salibe lui avait offert cette canne. Il reprit son sérieux, et déclara, l'air déterminé: "-Bon, attends moi devant ma chambre, je m'habille, et je te rejoins après. Il est temps de retrouver celui qui m'a fait ça... -Euh, oui d'accord, dit Salibe un peu déstabilisé, je t'attends dehors..." Salibe s'inquiétait pour Alex. Il avait l'impression que toutes les épreuves qu'il subissait le déshumanisaient peu à peu. Il avait changé depuis qu'ils s'étaient rencontrés. Avant, Alex était soit de bonne, soit de mauvaise humeur, mais pendant sa semaine d'observation à l'hôpital, Salibe avait été étonné de constater qu'il avait des sauts d'humeur plus qu'inquiétants. Il avait demandé à un médecin s'il n'avait pas subi de traumatisme, et le médecin lui avait répondu que le crâne en lui-même n'avait pas subi de dégâts particuliers, mais qu'Alex ne serait plus jamais le même à cause du choc qu'il avait subi... Mais une chose était sûre: Salibe aimait Alex comme un fils, et il allait tout faire pour que le garçon puisse avoir une vengeance en règle... | ||
Ariel Golleport Respect diplomatique : 959 09/03 ETU 18:11 | Score : 3 Détails Au dessus du palais, s'envolant doucement aux vent, un vaisseaux franchi le ciel en laissant des grandes traces enflammé. Conducteur de ce chef d'oeuvre de technologie spatial, Ariel se sentait pour un moment... et bien, seul. Et c'était bien.
Enfin, disons, c'était bien pour son entourage. Et ce qui était bien pour son entourage était bien pour elle, lui avait on fait plus ou moins bien comprendre après sa derniére grand colére (Terra Cognita était une planéte qui avait la particularité d'avoir les plus neuf champs de ruines de la galaxie. Des merveilles). - Drinling, fit le téléphone, et Ariel eut soudain des envie de meurtre. - Vous êtes bien sur le répondeur d'Ariel Golleport, veuillez laisser un message après le bip sonore. Biii... - Ça ne marche pas, on entend les moteurs derrière. - Tu peux me rappeller ce qui m'a décidé de te nommer ministre des affaires étrangéres ? - Oh... Je sais pas... Probablement parceque je suis le seul a ne pas confondre un Dollard Alterien et le copec de copacabana qu'on donne au touriste en leur faisant croire que c'est du vrai or. - Hé ! Je ne me suis fait avoir qu'une fois, et ça comptait pas : j'étais malade. Un silence, ponctué de grillement. - Quelque fois, j'ai l'impression que tu cherche a m'éviter. - Qu'est ce qui te fait dire ça ? - Le fait que tu soit déjà en orbite basse. Ariel soupira. C'était pas faux. - Euh, pour ma proposition... - C'est non. - Mais... - C'est non, j'ai dis ! Il est hors de question que je fasse appel a la communauté international. Tu voudrais que je leur dise quoi, sans blague, a ces endimanchot patenté : "Euh... Bonjour, je peux vous taxer d'un ou deux milliard de leem pour payer nos dettes, salut, merci pour le poisson..." ? - Nous n'avons pas vraiment le choix. - Non ! Il rirait de nous. - Tu veux dire plus que maintenant ? Sur la ligne, la voix d'ariel s'éclaira soudain. - Et l'héritage de papa, il reste rien ? Au derniére nouvelle, il restait un milliard ou deux, non ? - Envolé. - Et le trésor légendaire des houcabassia ? - L'a pas duré trois jours. - La mine de supraconducteur a temperature ambiante miraculeusement cédé par la guilde des mineurs indépendants ? - Si tu veux parler la mine miraculeusement "cédé sous la torture et une importante force de frappe nucléaire, et même que si je veux je vous laisse l'astéroïde, mais en poussiére", elle n'est plus rentable depuis plusieurs mois, déjà. Ariel se tut. Devant elle, accroché sur le plafond étoilé, la station Golleport One lui faisait de l'oeil. En la regardant, en se laissant doucement imprégné de son harmonie de rouage et de métal (et de canon lance missile, car c'était une Golleport quand même), elle eu soudain une idée. - Eh ! Robert, tu ne va pas me croire : J'ai eu soudain une idée. | ||
Dies_Irae Respect diplomatique : 98 13/03 ETU 20:48 | Score : 3 Détails Qu'elle était belle !
Depuis la baie panoramique de la cabine royale, le commandant Dies Irae contemplait la planète qui se rapprochait lentement. Trois longues semaines qu'il n'avait vu la première planète sur laquelle il avait posé le pied, dans cette galaxie. Signe que la paix était revenue, le commandant Kratos avait accepté de restituer gracieusement cette planète chère au coeur du commandant Dies Irae. Le temps de l'opulence était revenu. Le peuple allait pouvoir panser ses plaies et se tourner vers un avenir plus radieux. Les guerres qui déchiraient la galaxie semblaient si loin de cette planète bleue à l'aspect accueillant. Le commandant avait déjà l'impression de sentir les milles merveilleuses senteurs de la nature. Des coups frappés à la porte l'arrachèrent à sa contemplation. Le capitaine Arkhan entra : " - Commandant, nous allons entamer la phase d'approche. - Merci, capitaine. J'arrive." L'impatience faisait battre son coeur alors qu'il se dirigeait vers la salle de commandement. L'espérance renaissait. | ||
punk[ghost] Respect diplomatique : -66 13/03 ETU 20:54 | Score : 6 Détails Le commandant punk[ghost] sorta un peu le nez de son manoir, et il voti des combats partout.
Il achète le journal et voit qu'il y a eu un coup d'état. Il a de bonne idée mais personne ne l'écoute, alors il rumine dans son coin en disant < Ah ce que les gens ne sont plus sages, ils se font la guerre à longueur de journée. Son épouse arrive. - Mon chéri viens on va faire tu sais quoi. - J'arrive ma chréie je susi toujour prêt pour sa. Sensuré pour les jeunes commandants. - Alors sa t'as plus chéri? - Oui mais chérie mais maintenant je vais m'occuper des problèmes, laisse moi un peu la je dois réfléchir. Le commandant réfléchis à tout les problèmes. | ||
Amiral Tarkan Respect diplomatique : 319 13/03 ETU 21:36 | Score : 3 Détails Dans une des nombreuses pièces du palais présidentiel d'Alexandria, l'amiral Tarkan observait avec interet la carte de notre galaxie. C'était un homme grand et sec, aux traits tirés par l'exercice du pouvoir. Après un bref moment, ce grand homme quitta la pièce pour se rendre vers le lieu qu'il cherissait le plus : la bibliothèque. Dans cette pièce aux plafonds hauts, se logeait des centaines d'étagères croulant sous le nombres colossales d'ouvrages. Plus de 3500 ans d'Histoire, de Littérature et de Sciences regroupés en un seul lieu. Parcourant les longues allées de la bibliothèque l'amiral prit un viel ouvrage qui témoignait, à l'état de leur couverture, d'un age fort avancé. Le viel homme s'assit dans un lourd fauteil argenté et commença à lire l'un de ces ouvrages. Après quelques instants, un officier, vétu d'un grand uniforme gris agrémenté de fines épaulettes d'or se présenta :
"Amiral, le général Ozel demande à vous voir - J'avais demandé à ce que l'on ne me dérange pas - C'est urgent Amiral, il souhaite vous entretenir à propos d'un litige entre colons d'Alaris Prime. - Dites-lui que j'arrive dans un instant. - Bien Amiral." Après avoir claqué les talons le jeune officier quitta la pièce d'un pas rapide. L'Amiral, l'air las, leva les yeux au ciel, reposa son livre sur une tablette puis quitta la pièce. Sur la couverture on pouvait voir quelques inscriptions qui ressemblaient étrangement à du terrien. Inscrit en lettre d'or le titre de l'ouvrage brillait au soleil : Guerre et Paix. | ||
Agarash Respect diplomatique : 136 13/03 ETU 21:48 | Score : 2 Détails ''Un hollograme parvint a agarash tendit qu'il était entrain de compter ces leems''
commandant notre nouvelle planète conquis récamment semble abriter des dinausaures c'est ainsi que les terrien les nommaient , que fait ..... on ? commandant ? -agarash dit d'un aire ennuyer: mais éradiquer moi sa , vous avez deja vu un tyrannausaure piloter un chasseur ? ''bien sur commandant'' dit le général je prévois une bombe chimique d'ampleure Superatomique ''tres bien et au faite vous serez comdamner a mort vous et votre famille pour m'avoir dérangé'' dit agarash d'un ton sérieux | ||
khalim Respect diplomatique : 488 13/03 ETU 23:56 | Score : 1 Détails Je souhaite vous raconter mon combat de ce matin contre le dragon de 30 mètres qui vivait dans une grotte près de ma maison. Ne pouvant plus l'entendre japper (eh oui, un dragon jappe, du moins ceux de ma planète), je partis à mon armurerie au lever du soleil. Le problème était que la seule arme restante, étant donné les quelques troubles que j'avais avec des satanistes dans le sud de ma province, était une épée à large lame finement ouvragée, que je n'utilise habituellement que pour couper des pointes de pizza. Étant vraiment remonté contre ce dragon, je n'attendis pas le retour de mes hommes et de mes chers bazookas ioniques, et je partis à la recherche de ce lézard géant. Je le trouvai en train de s'abreuver près d'une source de lave, et le défia loyalement en lui lançant un rocher de quelques livres pour atirer son atention. Je réussis donc, et l'habituel jet de flamme que les dragons lancent lorsqu'ils acceptent des combats déclencha le début de cette joute. Il déploya vivement ses ailes incrustées de pierrerie et, d'un coup d'aile qui me fit virevolter sur une pierre, il s'envola. Mais étant très rapide de nature je réussis à m'accrocher à l'un de ses pieds, et commançai de lui taillader le pied, ce qui eut pour effet de lui faire lancer un second jet de flamme, qui aurait pu me désarçonner si je n'avais évité le tir en sautant sur l'autre patte. Le changement de poids que moi et mon épée (qui était assez lourde) avaient provoqué le fit se retourner et chuter. Je sautai moi-même afin de mieux atterir, et aussi éloigné du dragon et de l'onde de choc qu'il allait immanquablement provoqué en s'écrasant sur le sol. Il s'étala donc sur le sol rocailleux d'ou il avait décollé et le choc de la chute fut si puissant que je faillis tomber moi-même, bien que je fusse à au moins 200 mètres de lui. Mais il fallait plus qu'un ou deux coups d'épée et une chute de 400 mètres pour tuer un dragon de cette espèce. Il se releva lestement et commença à courir vers moi. Je fis de même, ce qui le surprit à un tel point que je pus me glisser entre ses jambes et porter un coup à l'une des plus douloureuses parties de l'anatomie masculine (car c'était un mâle). Je regrettai rapidement mon geste, la queue titanesque de cet énorme dragon s'étant dirigée vers les parties touchées. Étant dans sa trajectoire, je fus moi-même renvoyé à mon point de départ, et cela m'étourdit quelques instants. Une seconde de plus et s'en était fait de moi:un jet de fumée empoisonnée avait jailli des nasaux de la bète, mais je réussis à me rouler vers la droite. Me relevant avec peine je me retournai vers le dragon, qui courait vers moi avec toute la fougue et la rage qu'un dragon stérilisé par un coup bien placé pouvait ressentir contre son ''chirurgien''. Je levai mon épée et la plantai dans sa chaude bouche, jusqu'à traverser son crane. Je retirai l'épée et il marcha étourdement autour de moi, jusqu'à s'écrouler, mort. J'essuyai mon épée et m'en allai chercher une équipe de ramassage emporter la carcasse de la créature.
Je repartis me coucher, fatigué mais content. FIN J'ai un stock frais de viande de dragon qui vient d'arriver à mon restaurant. | ||
Ash Respect diplomatique : 434 18/03 ETU 10:22 | Score : 1 Détails Kenichi comme a son habitude vient apporter les nouvelles de la galaxie a Ash...
- Ah Kenichi qu'apportez-vous de bon a lire? - Pas grand chose de bon... Lia est morte, nous n'auront bientot plus d'ennemis... Apart ceux de la resistence... -Um... Interessant, c'est dommage de la voir partir... Mais j'imagine que cela n'aurait pas pu etre aide... - Non pas vraiment... Elle a du se refugier dans un joli coin de la galaxie... On ne sait pas vraiment... Le commandant Ash continua a regarder les autres dossiers puis ajouta... - Tu crois que l'Empire et Asurmena vont vivre longtemps? - A vrai dire... Je pense qu'ils vont vivre un certain temps, mais pas vraiment longtemps... - Et la resistance, t'en penses quoi? - S'ils n'abandonnent pas leur oeuvres de guerre, ils risquent d'y passer aussi... - Je les plaint... Ils aiment faire la guerre, mais c'est une guerre perdue d'avance je croit... Quels choix vont-ils pouvoir faire........... | ||
Agarash Respect diplomatique : 136 18/03 ETU 10:37 | Score : 1 Détails ''agarash était posé sur une planète conquis récamment , on lui avait ordonné de briser un commandant et il venait de le fair dans un système''
-quel joie mes amis , quel joie ! nous venons de conquerir 12 planète faciliment , si c'est cela qu'ils appelent résistance , je rit , je rit .... - oui , commandant nous avons gagné ces planètes assez facilement mais plusieurs kamikaze et autre chasseurs sont a déplorer .... et ce commandant nous a envoyer un hologramme presque en pleurant , en nous demandans de lui rendre , que fait t'on ? -Je ne sais arcus je ne sais ....l'empire khiltrahi semble se meler de cette affaire également et il serait dommage de le froisser , en attendant , tuer tous les officier et généraux des planetes capturé , de toute facon nous avons quand même gagné étant donné que nous avons prouvé notre force .... | ||
Wolverine Respect diplomatique : 2271 22/03 ETU 00:34 | Score : 5 Détails **** La réunion venait de se terminer : les chefs d'escadres partaient donner leurs ordres. Natasha Romanova et Elektra Natchios venaient de finir en exposant les derniers renseignements sur les différents fronts. Wolverine était encore penché sur la carte holographique de la Galaxie : il revoyait encore les plans, les mouvements et les manoeuvres. Le ravitaillement est assuré. Elektra prit les documents et s'éclipsa rapidement, Natasha en profita pour s'approcher de Wolverine.
"- Toujours inquiet ?" "- Ouais." "- Pour Genosha, notre nouvelle patrie ou pour elle ?" "- Pour elle, bien sûr." "- Petit Oncle, tu connais le proverbe : 'chaque chose en son temps' ?" "- Pas de philo, Black Widow, pas de morale non plus." Natasha avait remarqué qu'il utilisait son nom de code. L'inquiétude le rongeait. Viscéralement, Wolverine ne pouvait s'empêcher de s'inquiéter. Elle trouva une façon de le tranquilliser tout en lui donnant ce qu'il voulait. "- Wolvie, tu veux que nous reprenions nos renseignements sur sa situation à elle ?" "- Ouais, de toute façon, t'es comme moi. T'as aucun rencard ce soir ?" En se penchant sur la carte holographique, Natasha put remarquer l'étincelle dans l'oeil de Wolvie. Ce n'était pas l'étincelle sauvage qui précède le combat, elle connaissait son oncle adoptif depuis suffisament longtemps pour le remarquer. C'était celle de la plénitude. Récitant les dernières informations obtenues, Natasha vit même son "Oncle Logan" sourire. | ||
Cesco Imperator Respect diplomatique : 3122 22/03 ETU 12:04 | Score : 5 Détails Depuis sa nouvelle terre d'accueil, Cesco Imperator scrutait le ciel, comme si les teintes en dégradées de rouge lui évoquaient les dures batailles qui se déroulaient plus loin. Son visage, marqué par la fatigue, était d'une rare paleur. S'il entendit arriver le messager, il ne se retourna pas pour autant.
Le capitaine Hadrian, lui, regardait le dos de son empereur, sans oser le déranger. Il ne comprenait que trop bien la souffrance de celui-ci, et l'empathie que lui-même ressentait par rapport à leur peuple, asservit par les X celia, ne pouvait se mesurer avec celle que Cesco pouvait avoir. "Hadrian, crois-tu que cette guerre s'achèvera...et que cette galaxie, où des années d'errance nous ont conduit, sera celle qui verra notre fin ?" L'officier, qui s'attendait à la prescience habituelle de son leader, ne savait que répondre devant la mélancolie de Cesco. "Ne réponds pas, s'il te plaît. Cela n'a que peu d'importance. Je sais que tu m'apportes de nouveaux rapports d'espionnage et de combats. Favorables ou non, ceux-ci m'indiffèrent." Hadrian, baissant la tête, rangea les documents qu'il tenait à la main dans sa sacoche. "Mon empereur, le combat que la Résistance mène dans la galaxie porte chaque jour un peu plus ses fruits, et nos amis ne lâcheront pas !" "Je sais, Hadrian, je sais. Les planètes refuges que nos amis ont partagé nous sont d'un grand secours, et nous permettent de continuer la lutte. Mais il est des guerres dont l'issue est moins importante que la raison." Cesco se retourna. La détermination se lisait à présent sur ses traits. "Je n'abandonnerais pas mon peuple. Dussais-je en mourir. La lutte que nous menons pour la liberté est essentielle, et la vague qui croît en Esperance s'aggrandit à chaque heure. Nous n'avons pas peur de mourir, n'est-ce pas ?" Le Capitaine Hadrian se mit au garde-à-vous, et tapa de sa main droite sur le coeur. "Non, Majesté!" Cesco sourit. "Alors nous gagnerons. Nous, ou nos idées. Va te reposer, Hadrian, et revient dans quelques heures. Là, je t'écouterais." Tandis que son officier, après son demi-tour réglementaire, quittait la salle, Cesco pivotait et, son sourire toujours accroché aux lèvres, reprit son observation du ciel. "Oh oui, nous mourrons, si telle est la volonté divine. Mais que nos pères soient fiers de nous, quand nous franchirons le Styx !" | ||
Thypheros Respect diplomatique : 173 29/03 ETU 18:46 | Score : 7 Détails Tour Thyphérienne,bureau de la Garde.
Thypheros était assis devant une table rectangulaire très longue avec dessus une pile de dossiers. "Faites entrer le suivant" Un garde Thyphérien ouvrit la porte à un homme d'une vingtaine d'années en uniforme. L'uniforme de base se composé d'un pantalon noir et d'une veste d'un rouge clair avec l'insigne dorée de la Garde. En observant ses galons,Thypheros put savoir son grade:capitaine de l'armée de l'air.C'était la force la plus importante des troupes Thyphériennes. Thypheros le regarda intensément. "Vous avez demandé à être affecté au vaisseau mère "l'Invincible"Puis je savoir pourquoi? -J'ai entendu dire qu'il partait en mission dans un système qui m'intérésse. -Hum,vous savez,je ne peux pas accepter n'importe qui sans raison." L'officier hocha la tête. "Disons que j'ai des affaires las bas à régler,une fois la misson terminé bien sur." Thypheros sortit un des dossiers. "C'est étrange,depuis la Bataille de Chandrilla,nous n'avons plus aucune nouvelle de vous dans les registres de présence.Votre coéquipier,Bror Amalsy,vous a vu déserter et rejoindre un appareil ennemi qui est rentré dans l'hyperespace avant la fin de la bataille. Nos renseignements sont formels,vous êtes un espion mais votre retour a manqué,n'est ce pas? La seul chose que vous n'avez pas fait foirer,c'est votre but et votre supérieur,mais vous parlerez vite." L'imposteur eut un air ébahi et sortit précipitamment une arme qu'il pointa sur Thypheros. Ce fut son dernier geste,il fut immédiatement tuer par une tourrelle de défense installé au plafond. Des soldats entrèrent et transportèrent le cadavre. "Pauvre fou,tu n'avais aucune chance." |
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