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Forums galactiques > Assemblée Galactique : diplomatie officielle > RP : Josepha Kulov
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| Josepha Kulov Respect diplomatique : 79 24/05 ETU 17:47 | Score : 8 Détails *A bord du Gorgone, le Croiseur amiral de la 1ère flotte des Frères de la Côte, face à la baie vitrée de la promenade, ignorante de l'agitation joyeuse de l'équipage derrière elle.
Par la baie vitrée, Josepha observe les manoeuvres d'exercice de deux escadrons, les projectiles d'entrainement laissant des trainées bleutées, les impacts des flashs rougeâtres. Si sa vue portait aussi loin, elle pourrait voir à quelque trois U.A. de là la seconde flotte adopter une formation défensive. Lentement. Sans la moindre hésitation. Dans une harmonie conceptuelle. Plus loin derrière elle se trouvait Bastion, la planète forterresse. Cachée sous son manteau de bunker. Lui même en cachant un autre. Puis un autre. Jusqu'à la seule cité de ce monde froid et peu acceuillant. Cité elle même une forterresse s'étendant sur des centaines de kilomètres carrés. A quelques pas de là, un jeune enseigne maintenant jeune capitaine attendait tranquillement, une pile de dossier dans les bras. Le jeune capitaine laissa vagabonder son regard vers la promenade, où un groupe de pilotes arborant leur féminité exacerbée se tenaient des discours hystériques portant sur des sujets que seules l'intellect d'une femme peut apprécier à sa juste valeur. Discours hystériques ponctués de regard, de pose et de clins d’oeils peu ambiguës à l’adresse du jeune capitaine. Il se permet de sourire. En reçoit en retour. Elles lui font un petit clin d’oeil. Il le leur rend. Il indique du bout des lèvres un horaire. La voix de sa supérieure fit sursauter le jeune capitaine.* "Mon père est mort sans achever le rève qui lui tenait à coeur. Sans même commencer à en poser les bases. L'attaque cérébrale l'a laissé mort sur le sol. Et sa mort a laissé le chaos s'emparer de son organisation. Ou plutôt mon manque de réaction et de sagesse a permit aux plus ambitieux et aux plus violents d'agir à leur guise lors d'un coup d'état aussi sanglant que stupide. Aujourd'hui, la situation est arrangée. Les villes sont réparées, les flottes sont plus puissantes que jamais, les blessures sont pansées si se n'est guéries. Pourtant je reste là. En arrière. A observer cette Espérance. A compter les mensonges. Les insultes. Les trahisons. Les morts." *Josepha se tait. Le capitaine hésite à parler.* "Le gouvernement change. Passe d'un masque à un autre. Différent et pourtant identique. Les anciens nom glorieux réapparaissent. Les nouveaux nom légendaires disparaissent lentement. Les fous, les ambitieux et les sanguinaires apparaissent et disparaissent comme les vagues sur une plage. Les plus jeunes tremblent. Les plus vieux fustigent. Mais les vagues vont toujours plus loin." *Une nouvelle fois, elle se tait. Le capitaine, ne comprend pas ces paroles. Cela ne lui ressemble pas. Elle n'est pas le genre à réfléchir à haute voix et encore moins à partager ses pensées... Le jeune capitaine se demande si un extra-terrestre n'a pas prit le contrôle de la psychée de sa chef en chef. avant de se dire qu'il regarde trop les fictions de l'hyperweb.* "Cette Espérance est une utopie. La Paix voulue par les puissants est sans cesse seccouées de convulsions sanglantes et d’explosions retentissantes. " *Un instant se passe. Le capitaine est de plus en plus perplexe. Et s’il ne se trompait pas ?* "Là-bas il n’y a pas de Paix. Juste la guerre. Pas de moutons. Juste des loups. Pas de règles. Juste celle du gouvernement. " *Le capitaine se dit qu’il doit dire quelque chose. Mais il n’ose pas. Ou plutôt ne sait pas quoi dire. Le jeune capitaine se met à réfléchir aux dernières semaines. Pour se rendre compte que sa supérieure n’a pas eut d’amants depuis longtemps. Le jeune capitaine jette un regard aux pilotes féministes de la promenade, toujours aussi intéressée par faire connaissance de manière plus appronfondie. Le jeune capitaine se tourne vers sa supérieur. Et il se dit que c’est dommage qu’il ait toujours préféré les uniformes d’officiers à ceux des pilotes, même féminin. Le jeune capitaine s’apprète à parler quand Josepha reprend.* "Ai-je assez réorganiser ma faction. Ai-je la force nécessaire, la volonté et les nerf pour engager tant de vie dans cette Espérance ? " *Le jeune capitaine hésite une seconde : * " Nous sommes assez fort pour cela. Laissez moi vous le montrer. Disons vers 21H ? " *Seul un silence lui répond. Il attaned, un sourir béta sur le visage, un regard aussi peu ambiguë que celui des pilotes, maintenant parties. Josepha esquisse un sourire, le jeune capitaine sent que son pari à marché. Josepha se tourne vers lui. S’approche lentement, sensuellement. Le jeune capitaine sent son sourire et autre chose s’élargir. Josepha se penche à son oreille :* "Vous êtes maintenant enseigne, toujours mon aide de camps, et mon amant est actuellement à six mètres derrière vous et fait un temps de 9s99 au cent mètres. " *Le jeune lieutenant se dit qu’il a perdu son pari et un gros pourcentage de sa paye et regrette amèrement d’avoir manqué les dernières scéances d’athlétisme. Josepha prend les dossiers au jeune lieutenant avant de rajouter d’une voix langoureuse * "Bonne chance lieutenant. " *Celui-ci entend des pas lourds arriver rapidement. Le jeune lieutenant court vers un salut qu’il espère proche.* | ||
| Josepha Kulov Respect diplomatique : 79 24/05 ETU 17:58 | Score : 7 Détails *Le pilote arrive à hauteur de Josepha, alors que le capitaine arrive au niveau de l'ascenseur de la promenade, à trente mètres de là.
Il se penche vers elle et lui donne un léger baisé sur les lèvres avant de se redresser et de regarder si le capitaine est toujours en vue.* "Celui-là si je le retrouve..." *Josepha se retroune vers la baie vitrée.* "Laisse ce jeune lieutenant tranquille. Il pensait sans doute bien faire. En plus c'est un bon aide de camp et en ce moment ce genre de personne sont rares." *L'amant la regarde puis dit : * "Nous avons encore perdu des transporteurs à cause des pirates. Une petite dizaine ce coup-ci. Mais uniquement les leurres. Ca a été une bonne idée de modifier les émissions des senseurs des vaisseaux pour qu'ils semblent transporter de l'énergie. *Josepha regarde l'exercice des escadrons se terminer.* "C'était l'idée de mon aide de camp." *Le général, pilote et amant, comprend pourquoi elle semble ne pas vouloir qu'il explique son erreur au jeune lieutenant. Et il se dit en suivant qu'il va garder un oeil sur lui, juste au cas où. Josepha reprend : * "Si la navette est prète, j'aimerais retourner sur PearlCost. J'ai besoin d'une bonne nuit de sommeil. Nous fèterons nos retrouvaille demain. Quand dis-tu ?" *Son amant ne lui répond pas. Mais alors qu'ils marchent vers l'ascenseur les menant aux hangars, Josepha se dit que vu le regard qu'il lui a lancée, elle va devoir attendre avant de se reposer. Alors qu'il la laisse monter la première dans l'ascenseur, Josepha ne peut réprimer un sourire de bonheur en pensant cette "nuit de repos" qui arrive.* | ||
| Josepha Kulov Respect diplomatique : 79 25/05 ETU 13:26 | Score : 4 Détails *La jeune commandante se dirigé d’un pas las vers l’estrade de la Place de l’Aube, suivit de bien moins prés qu’à la normale par son jeune lieutenant d’aide de camp.
La jeune femme présentait le visage fermé habituel, devenu symbole auprés des peuples qu’elle dirigeait, de son calme et de sa détermination à les guider sans failles. Derrière elle, son aide de camps arbhorait une mine défaite et triste. La Place de l’Aube était déjà bondée, et toutes les décorations festives installées. Les gens avez le sourir et les hourras lancés à tous bouts de champs faisait que les pigeons s’envolaient à tir d’ailes des différents bâtiments et arbres entourant la place. La cérémonie du Renouveau, fêtant l’arrivée du Printemps sur ce monde, devait commencer par un grand défilé de géants méchanisés, représentant les divinités du panthéon local descendant sur le monde afin de profiter du premier rayon de soleil du printemps. Devaient ensuite suivre des danseurs et des mucisiens, vétus sombrement, jouant une musique lugubre aux forts accents cuivré et dansant une valse lentente comme la mort. Ensuite, un grand feu d’artifice devait partir alors que le soleil apparaissait lentement, inondant la place de ses rayons. Ensuite, à nouveau un défilé de danseurs et de musiciens, habillé de couleurs chaudes et vives, jouant et dansant aux sons d’une musique à la forte rythmique et à la mélodie entêtante. Pour finir, les soldats de la garnison locale devaient parader devant tous avant de rejoindre le faux champs de bataille installé à une dizaine de kilomètre de la ville où ils devraient simuler un combat contre les légendaires démons de l’hivers, êtres mythiques sensé venir enlever les Dieux pour forcer le printemps à partir. La légende racontant que les six cents meilleurs guerriers du peuple les avaient affrontés et défaient.Somme toute une demi journée de cérémonie assez tranquille, génante uniquement par l’absence presque complète de travail.* |
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