Forums galactiques > Assemblée Galactique : diplomatie officielle > Evolution de RP commun : Anko, Cesco, Wolverine,..
Pages : 1
Anko Respect diplomatique : 717 18/05 ETU 15:57 | Score : 17 Détails Ceci est un rapport concernant les dernières heures.
Les premiers événements se déroulent hier après midi. 15H30 : Anko perd connaissance à l’Ombre Propice et se blesse à la tête en tombant. 15H37 : Saïto, gérant de l’Ombre Propice, appelle les services de secours. 15H43 : Arrivée des services de secours qui, sous les menaces de Saïto , emmène directement le couple impérial aux urgences. 15H47 : Ambulanciers : « Femme enceinte, perte de connaissance, blessure à la tête. » 15H52 : Diagnostique des médecins : « La blessure à la tête est assez insignifiante, par contre, pour les bébés, le risque est bien plus grand. Il faut provoquer l’accouchement. Si l’on attend, la vie de la mère comme celles des bébés. Qui est le père ? -Je suis le père… Docteur, sauvez ma femme et mes enfants. -Oui, passez donc une blouse et accompagnez nous. Infirmières ? Menez madame Imperator en salle, je vous prie. 16H37 : Début de l’accouchement. 17H17 : Arrivée de Wolverine et de Arthérius à l’hôpital. Ils sont confinés à la salle d’attente, aucun médecin n’accepte de leur donner des nouvelles. 17H18 : Fermeture de l’Ombre Propice. Saïto rejoint ses amis à l’hôpital. 17H22 : Le médecin sort de la salle d’opération. « Vous êtes de la famille ? » demanda t'il aux trois hommes qui se trouvaient là. Artherius, Wolverine et Saïto s’entreregardèrent un instant, échangeant des regards emplis de malice et d’inquiètude. « On est des cousins ! » Répondirent ils de concert. « -Ah bon ? Mais à quel degré ? Comprenez que l’on ne peut faire entrer n’importe qui… » Wolverine fut le plus rapide : « Je suis le cousin du papa. » Puis Saïto : « Je suis le cousin de la maman. » Et Arthérius ne trouva rien de mieux : « Je suis le cousin des enfants…. » articula t’il de sa voix la moins convaincante en se grattant la tête. Néanmoins, sa carrure eu l’effet escompté. « Et bien messieurs, entrez, mais pas longtemps, il ne faut pas fatiguer la maman. » Après avoir revêtu les blouses blanches de circonstances, les trois amis pénétrèrent dans la salle d’accouchement. Le tableau était saisissant, avec Cesco éploré, qui tenait la main d’Anko fermement, quatre infirmières s’affairant autour du lit, deux médecins s’échangeant des informations en consultant leurs rapports. Et surtout Anko, allongée, défaillante, entourée de machines, reliée à des graphiques par des électrodes, et à d’étranges solutions liquides par de minces tuyaux…Une vague d'angoisse les submergea, quand ils virent le fluide qui maculait les draps et les blouses du personnel. Paralysés, ils ne bougèrent que lorsqu’une violente contraction secoua le corps meurtri de leur amie, dont le hurlement couvrit les bruits des appareils électroniques. Tous, guerriers aguerris, habitués à la mort et au sang, ne pouvaient s’empêcher d’éprouver une peur qu’ils n’avaient que rarement ressentis pour eux-mêmes. Une des infirmières s’approcha, montre en main, et dit au médecin : -« les contractions se rapprochent, docteur ! une toutes les trois minutes ! - Bon, le produit fait effet. Que l’équipe de réa se tienne prêt au cas où, quant à nous tout le monde à sa place. » Il se retourna vers les nouveaux arrivants. -« Vous êtes la famille ? » Ils hochèrent tous ensemble la tête de concert. -« Bon…on dirait pas pourtant…enfin, tenez-vous à l’écart, et ne venez pas dans nos pattes ! » Les trois amis reculèrent ensemble, et restèrent à l’écart. Cesco, lui, était là, grimaçant, la main broyée par chaque contraction de son épouse, mais la douleur qu’il ressentait n’avait rien à y voir. Il avait peur. Et quand il vit ses amis reculer, les médecins s’affairer entre les cuisses de sa femme, il comprit que le moment était venu. Le rythme des mouvements d’Anko s’accélérait encore et encore, encouragé par les médecins qui se tenaient là. Une infirmière lui épongeait le front, tandis que les autres étaient rivées aux moniteurs qui retransmettaient les signes vitaux d’Anko. -« Poussez, madame, poussez ! » Les trois « cousins », sans s’en rendre compte, avaient calqué leur respiration sur celle de l’Impératrice Neo-Romaine, et poussaient avec elle. « -Inspirez………….Soufflez !……..Inspirez……….Soufflez !…………. » Wolvie commençait à se demander quand cela allait finir, quand Arthérius lui dit : « Euh, mais il se passe quoi, là ?! « , et il se déplaça derrière le médecin, bougea le regard vers l’entre jambe d’Anko, et cria : « Je vois la tête ! » …avant de redresser, souriant, et de perdre l’équilibre avec un sourire dégoûté, mais heureux. Wolvie le voyant chuter, se précipita, et le rattrapa au vol. « P’tite nature, ces barbares », dit-il alors qu’il se relevait, son ami dans ses bras. Tournant la tête, il tomba sur la ce qu’avait vu Arthérius, et lui-même se sentit bizarre. « C’est dégueu, quand même.. » Cesco, lui, regardait sa femme, les médecins, sa femme, et respirait avec un bruit de tracteur. Anko, qui gonflait et vidait ses poumons bruyamment, était rouge à force de se concentrer, et sa transpiration épongée sans cesse lui coulait malgré tout sur les yeux. Sa douleur était insupportable, et l’idée de couper à Cesco ce qui en était responsable lui apparaissait clairement dans la tête. « -La tête est sortie, je la vois, allez, encore, POUSSEZ ! -Je fais que ça, crétin, tu veux l’faire à ma place ! » hurla Anko, « Cesco, tu me le paieras, si je survis ! -Oui, ma chérie, c’est sur, mais POUSSE ! » Saito à la fois horrifié et admiratif, contemplait sans rien dire. Il vivait là un nouveau moment privilégié avec Anko. Et c’était sûrement le plus beau…quoique… -« La tête est sortie, l’épaule aussi, allez, c’est presque fini, encore un effort, madame ! -HUMFFFFFFFFFFFFF…….ahahahahahahahah……………HUMFFFFFFFFFFFFFF -Allez, mon amour, encore, vas-y -HUMFFFFFFFFFFFFFFFFFFFFFF……………. -OUINNNNNNNNNNNNNNNNNNNNN !!!!!!!!!! » Le cri qui retentit soudain couvrit tous les autres bruits, comme si le temps s’était arrêté dans cette chambre, et Cesco, Saito, Wolvie et Arthérius contemplèrent le petit bout de chair rouge et braillarde que le médecin remis à l’infirmière. « C’est une fille ! » Cesco regarda Anko, qui lui rendit, luisante de sueur, visiblement soulagée, mais qui se remit à grimacer et à crier. Wolvie regarda Saito avec un sourire narquois et dit : « Deuxième round, mon pote.. » Le médecin se remit en place, et recommença à donner ses consignes. -« Allez, madame, je vois la tête ! il arrive, le plus dur est fait ! -Cesco, donne moi un laser, que lui défonce le crâne à cet incapABLEEEEEEEEEEEEEEE ! -Oui, oui, mon cœur, après.. -Allez, elle est presque dehors, continuer, inspirez…..poussez ! -HUMFFFFFFFFFFFFF…….ahahahahahahahah……………HUMFFFFFFFFFFFFFF -Inspirez………Poussez ! -HUMFFFFFFFFFFFFF…….ahahahahahahahah……………HUMFFFFFFFFFFFFFF -Elle est sortie, allez, …………….. -HUMFFFFFFFFFFFFF…….ahahahahahahahah……………HUMFFFFFFFFFFFFFF -Ca y est , une dernière poussée… -OUINNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNN ! -C’est un garçon, madame ! » Anko se recoucha, épuisée, et regarda Cesco avec amour…sans dire un mot. L’infirmière qui avait récupéré leur fille la donna à Cesco, qui la contempla avec un sourire énorme, et partit chercher leur fils. Tout doucement, Cesco donna le bébé à Anko, qui fondit en voyant ce petit bout d’amour sur elle. C’était sa fille. Après tout, ça n’avait pas été si terrible… Les trois « cousins » n’osaient pas s’approcher. Arthérius avait récupéré, mais après ce qu’il avait vu, il doutait de pouvoir refaire l’amour avec Felinia un jour. Saito regarda l’infirmière donner le second nourrisson à Cesco, et celui-ci, un air completement idiot sur le visage, le posa sur le sein de son épouse, à coté de sa sœur. Soudain, Cesco, toujours aussi ébahi, se retourna vers ses amis, prenant enfin conscience de leur présence. Le ballet des personnels médicaux ne cessait pas, mais lorsque Cesco leur fit signe, ils n’hésitèrent qu’un moment avant de venir, Logan fouillant désespéramment dans ses poches pour trouver un cigare. Lorsqu’ils arrivèrent, Cesco passa la main sur le front fatigué d’Anko. Elle les regarda en souriant et leur tendit un bébé. Wolvie fit un pas en arrière, Arthérius regarda ses mains. Seul Saito s’approcha et en prit un, délicatement. Cesco regarda ses amis « oh, la LGX, ils mordent pas, vous savez… » . Ce fut Arthérius qui tendit gauchement les mains et prit le fils de Cesco et Anko. Il préférait de loin le manche de son vaisseau. « Pas rassurant, ce truc, là.. » Wolvie, lui, sortit sa grosse paluche de son pyjama, effleura l’héritière, et, se tournant vers les parents, leur demanda : -« Alors les prénoms ? » Cesco et Anko se regardèrent, sourirent, et lui répondirent : -« Hinata et Galen. » Wolvie leur sourit à son tour. « Bon choix », pensa-t-il…avant de se décider à prendre le bébé que lui présentait Saito. HRP : message co écrit par Cesco et moi ^^... Wolvie, Arth, vous pouvez en rajouter! | ||
Wolverine Respect diplomatique : 2271 18/05 ETU 16:12 | Score : 10 Détails Perturbé par l'événement, enfin surtout par le fait de l'avoir vécu en direct-live, Wolvie balbutia :
"Mysté a déjà nommé sa fille Kryllenne, ça vous embêterait d'appeler votre fille 'Logan Junior' en deuxième prénom ?" "L'énoncé d'une phrase à voix haute suffit généralement à comprendre la terrible connerie qui s'y cache" se dit Wolvie. "Bon, euh, je vais prendre l'air un peu, j'ai un vache de cigare à fumer pour oublier, euh !, fêter ce que j'ai vu aujourd'hui ... Alors, on va vous laisser, les empereurs, moi j'emmène le larbin et le barbare passer quelques minutes dans le jardin de l'hôpital ... On va se griller un barreau de chaise tranquilles ..." Wolvie était livide. Il repensa alors à X-21 qui devait encore martyriser Nightcrawler. Amèrement, il pensa aussi à Kryllenne. Il savait maintenant où menait l'amour débordant qu'il avait toujours pour elle. |
Pages : 1
Forums galactiques > Assemblée Galactique : diplomatie officielle > Evolution de RP commun : Anko, Cesco, Wolverine,..