Archives > Beta 3 > Galaxie 2
Forums galactiques > Assemblée Galactique : diplomatie officielle > Chronique d'un dragon bleu.
Pages : 1
| Eragon Ohen Respect diplomatique : 466  15/04 ETU 20:45 | Score : 12 Détails Le soleil brillait au travers de l'ouverture des mur de la cellule. Un dragon blanc passait devant l'immense porte de métal pour regarder le prisonnier. Celui ci leva la ne pris pas la peine de le regarder, restent droit face a la fenêtre entravée de multiples barreaux.
Voila déjà bien longtemps qu'il n'avait eu de nouvelles de l'extérieur... Comment se passait la guerre avec ceux qu'il avait épauler et qui l'avait, en retour, épauler a leur tour dans de multiples batailles? Il revoyait encore leur visages quand il avait du annoncer son départ... Comment avait il pu en arriver la? Forcer a faire ce qu'il ne voulait pas? Même quand il n'était qu'un jeune dragonnet il ne se pliait qu'a sa seul volonté... Était il devenu si faible avec le temps? Non... Protéger sa famille et ses amis n'était pas faible... Il avait rejeter cette pensée qui lui torturait l'esprit. Le paysage stérile de sa planète prison semblait onduler sous l'effet de la chaleur. Bien que le dragon bleu sentait le regard de ses ravisseurs dans son dos, il ne se retourna pas, ignorent leur présence et restent droit et impassible. Il savait que ceux qui l'observait n'attendait que le moment ou il plierait et perdrait et les regarderait avec crainte et supplies mais cela n'arrivera pas, quel que soit les tortures mentales et corporelles qu'on continuerait a lui faire subir. La position du soleil lui indiquait justement que l'heure de ces séances arrivait... Bientôt, on viendrait lui retirer ses chaînes pour l'emmener dans la sale spécialement aménager pour lui... Peut lui en importait, il ne céderait pas. Dans le couloir, on pouvait entendre la marche de ses bourreaux et, au travers des grilles alentours, le visages de ceux qui avait voulu rester fidèle au père-dragon apparaissait au abord de leur barreaux pour observer les arrivants. Eragon ne se retourna toujours pas quand les portes de sa cellule s'ouvrirent. Il profita encore de quel que rayons de soleil puis sentis ses entraves le lâcher. Il ne reviendrait pas dans cette cellule avant des heures et... Pas dans le même état... Il savait que ce quo l'attendait été pire d'une fois sur l'autre... | ||
| Eragon Ohen Respect diplomatique : 466 16/04 ETU 02:15 | Score : 9 Détails *Eragon s'éveilla dans sa cellule, observer par la lune au travers de la fenêtre. Il contempla d'un oeil critique ses écailles de moin en moin nombreuses après chaque séances de torture. Ses chaînes avait été serrées bien plus fortement que d'habitude et en lui laissent que très peut de mouvement. *
"Que s'est il passer? Je ne sait plus... Que m'ont il bien fait pour que j'oublis? A moin que ce n'ai été mon choix? ... ... ... Peut importe, s'il ont resserré mes chaînes, c'est que sa ne leur a pas plus... Ils se sont bien défouler ce coup ci en tout cas... La douleur est plus difficile a ignorer..." *Alors qu'il continuait d'observer l'astre nocturne, les portes s'ouvrirent lentement laissent un dragon noir entrer avant de se refermer.* -Eragon: assied toi et dit moi ce que tu veut, Zarkrok. Le dragon noir sembla hésiter un moment puis s'approcha du dragon bleu en répondant d'une voie amusée: -Zarkrok: Même dans cette état lamentable, tu garde toute ton autorité... Tu est vraiment surprenant... pour un bleu... Il avait lâcher les dérgner mots sur un tons de dégoût manifeste avant de faire face a Eragon, la posture fière et droite. -Z: Tu n'est pas en position de donner quel qu'ordre que ce soit, fait attention a ce que tu dit face a moi. *Zarkrok regarda Eragon d'un air de défis puis sembla s'affoler en regardent partout. Remuant la tête comme pour en fair tomber un animal qui s'y serait accrocher puis courbant l'échine pour finalement se retrouver genoux a terre face a Eragon.* -E: A tu oublier a qui tu t'adresse jeune dragon? Je suis ici pour que le sang ne coule pas mais je ne suis pas un simple prisonnier pour autant. Vous pouvez altère mon corps mais pas ma conscience. Parle maintenant, que veut tu? *Le dragon noir se releva d'un bond et recula un peut, une expression de peur dans le regard.* -Z: Je vient pour te rallier a nous, tu semble ne pas comprendre ce que l'on veut et je suis charger de te l'expliquer. -E: Sombre réptile, c'est toi qui ne comprend pas ce qui se passe. Va tu te laisser manipuler encore longtemps? *Troubler par la réaction du père-dragon, Zarkrok resta un moment sans rien dire puis continua:* -Z: Nous ne voulons pas soumètre les autres dragon mais nous venger des humains pour ce qu'ils ont fait jadis. -E: La encore tu te trompe. Tu ne sait pas ce qui s'est passer. -Z: Le jour venu les hommes tremblerons et tous supplierons leur vie de ne pas les quitter. Les juger grand par certains tomberons et l'espoir s'éteindra! le sang coulera et la mort se répandra comme une flamme dans leur villes! Il sont aveugle et insouciant mais il n'en profiterons plus longtemps! Bientôt une nouvelle air s'ouvrira ou il n'aurons plus le rôle du chasseur mais bien celui de la proie! -E: Crois tu vraiment que les humains ai un jours été nos prédateurs? Je te l'ai dit, tu ne sait pas ce qui s'est passer. Les humains ont tuer des notre, oui et nous sommes partis de leur planète. Pourquoi? Parce que certains des nôtres ont piller leur villes, tuer leur enfants et incendier leur maisons. Il ne nous ont pas chasser de leur planète, nous en sommes parti. Tuer cette race qui était pratiquement inoffensive a l'époque aurait été facile. Ne comprend tu pas que nous sommes alors partis pour les laisser libre de la peur que nous instaurions? Ils n'ont jamais eu ni le rôle du chasseur ni celui de la proie avec nous car ceux qui avait pu entrer en contacte avec l'autre race la voyait comme égale a la sienne et non supérieur comme tu semble le penser! -Z: Egales a nous? Il n'ont même pas la force de nous... -E: La force? Ne comprend tu pas que ce n'est pas la force qui fait d'une race sa suprématie? Les humains sont intelligent, c'est sa qui leur donne une force égale a la notre. Certains sont cruels, d'autres sensibles... Il y en a qui aime détruire et tuer... D'autres qui font tout pour protéger ce qui leur est cher... Ne pense tu pas que tout ceci est valable pour nos deux peuples? -Z: ... ... ... -E: Sort d'ici maintenant et repense a tout cela. Regarde qui sont ceux qui ont pris le pouvoir et imagine ce qui peut arriver si cela continu. Regarde toi... Tu est faible. Tu ne sera jamais celui que tu veut être en continuant ainsi. Je peut lire la peur dans ton regard. A tu peur de moi? Mes membres sont lier, j'ai les ailes brisées et tu continu a avoir peur? -Z: Je n'ai pas peur de toi le bleu. Je me nourrirait bientôt des restes d'Ithildrin face a toi et tu n'y poura rien. *La fureur s'empara d'Eragon qui rugis a en déstabiliser Zarkrok puis, dans un grondement sourd, projeta une flamme vers celui ci qui sortis précipitamment par les portes qui venait de s'ouvrir. Les dérgnere flammes bleutées disparaissait quand les portes se refermaient. Trouvant ses mouvements plus libres, Eragon regarda derrière lui et constata d'un oeil étonner que ses chaînes avait cédées face a sa rage. Il n'eu pas de mal a défaire les dérgner liens qui lui entraver le corps puis s'avança au milieu de la pièce pour s'ébrouer. Ses ailes pendait lamentablement sur ses flan et de nombreuses écailles avait été arrachées pour laisser les griffes et les crocs de ses bourreaux entailler la chaire. Il n'avait pas manger depuis le début de sa captivité et commençait a en ressentir les effets dans ses mouvements. Épuiser, il se roula en boule dans un des angles de la pièce et sombra dans un sommeil agiter.* | ||
| Eragon Ohen Respect diplomatique : 466 16/04 ETU 22:14 | Score : 10 Détails *Le soleil brillait sur les plaines verdoyantes d'Alagaesia. Eragon marchait sereinement au coté d'Ithildrin, la dragonne argentée, et de Kelorme, leur jeune dragonnet, né d'un union interdit entre deux races différentes. Un vent doux marchait avec paresse sur leur écailles et divers créatures volantes chantait le retour des beaux jours. Le dragon bleu eu l'impression de marcher des années a leur coté, savourant chaque seconde de paix ainsi offerte par le temps.
Quel que chose attira le regard d'Eragon a sa droite, il y jeta un regard. Un animal broutait paisiblement dans la prairie sans les avoir vu, visiblement rien d'intéressent... Il se tourna a nouveau et stoppa sa marche immédiatement, il se rendit compte qu'il marchait a présent seul et que le paysage avait totalement changer: Des grandes colonnes de fumées s'élevait de toute part et un combat faisait rage sur terre et dans les air. Sans savoir quoi faire, il regarda partout autour de lui: nul traces d'Ithildrin ni de son jeune fils. Il pris alors son envole puis se stabilisa en sur-place: les combattants avait disparu, laissant un paysage dévaster. Sans comprendre ce qui arriver, le dragon bleu vola lentement au hasard du vent tout en observant les moindre mouvement alentours, nul traces d'une créature qu'elle qu'elle soit... Troubler, il vola alors rapidement vers son antre ou il découvrit avec un grand soulagement que sa famille l'y attendait. Il cligna des yeux en avançant et écarquilla les yeux, le souffle couper: il se trouvait a présent sur l'une des lunes de Surda sans savoir comment il avait pu arriver la. Il fit quel que pas avec méfiance: personne en vue... Il remua la tête pour s'éclaircir les idées puis entrepris le vol entre Surda et sa lune qui allait lui prendre plusieurs heures sans vaisseaux... Il se remis en surplace, quel que chose n'allait vraiment pas... Il venait de se rendre compte qu'il n'avait vu aucun vaisseaux, aucun bâtiment... Il se retourna au moment ou un météore approchait de lui. Il referma les ailes devant lui par réflexe en ferment les yeux pour se préparer a l'impact. De longue secondes s'écoulaient ainsi avant qu'il n'ouvre a nouveau les yeux. Il était en chute libre au milieux d'un combat. Ce combat... La encore quel que chose n'allait pas... Il savait qu'il l'avait déjà vécu. Il pouvait s'en souvenir comme si c'était la veille... Une vague de terreur s'empara alors de lui et, d'une nouvelle force, vola a une vitesse effarante vers un point précis de la bataille. Il savait ce qu'il allait y trouver et espérer de ton son être ne pas arriver a nouveau trop tard. Il pouvait les voir maintenant. Juste la, face a lui! Eragon vola plus vite encore et contourna l'énorme bloque rocheux. Au moment ou il atterris sur le coté des roches, il se glacé d'effrois: il était encore arriver en retard. Le corps de Kelorme gisait la, sans vie, le corps broyer par des griffes et des crocs. Il resta la, a son chevet, ne pouvant quitter le macabre spectacle des yeux. Un choque se fit entendre derrière lui, signe qu'un autre dragons venait d'atterrir non loin. il tourna lentement la tête pour voir qui était la mais un choque sourd sur la tête le mit a terre. Il se releva d'un bond en regardent autour de lui, une immense douleur dans les ailes qu'il avait tenter de déployer.* "Tout ceci n'était... Qu'un rêve? ... Non... Pas un simple rêve... Un souvenir trop longtemps contenu..." *Eragon approcha de la fenêtre et émis une longue plainte vers la lune qui le regardait encore entre les barreaux. Il s'allongea ensuite a terre en se laissant aller dans la douleur de ses souvenirs, effleurant a nouveau son dragonnet du bout du museau dans son esprit puis finit par s'endormir a nouveau, une larme fixée sur les écailles.* | ||
| Eragon Ohen Respect diplomatique : 466 18/04 ETU 01:34 | Score : 11 Détails *Le soleil était haut dans l'horyson quand le dragon bleu s'éveilla a nouveau. Il se contenta d'ourir les yeux sans faire le moindre mouvement, repensant encore au rêve de la nuit. Rêve qui l'avait replonger dans son passé trop longtemps ignorer et lui rappelant qu'il avait toujours un deuil a porter. Sans savoir combien de temps avait pu s'écouler ainsi, Eragon finit enfin par se relever.
Son jeûne forcer se faisait maintenant vraiment ressentir et ses mouvements été plus lent, plus aléatoires. Un bruit métallique lointain, dans les couloirs, prévenait l'arrivée d'une garde par les grandes portes de cette partie de la prison. En effet, moin d'une minute plus tard, quatre dragons, deux blancs et deux noirs, escortait un dragon d'or vers une cellule. En passant devant celle d'Eragon, le nouveau prisonnier fit une halte en regardent le père-dragon avec un regard emplis d'effrois face a la dégradation corporelle qu'il avait subis. Le fait qu'Eragon n'ai plus ses chaînes ne paru pas gêner les gardes, si il l'avait remarquer, qui encourageait leur prisonnier a avancer par des grondement sonore. Une fois le cortège au loin, Eragon s'en retourna dans le fond de sa cellule qui devenait, n'étant pas nettoyée, de plus en plus insalubre. Il regarda la position de l'astre solaire au travers de la fenêtre puis se décida a regarder l'état de ses blessures. Il fut lui même surpris par le nombre d'écaille qui parsemait encore son corps, non pas par leur grand nombre mais au contraire par les vastes zones qui en été a présent dépourvues. Partout ou la chaire été visible, des boursouflure purulentes marquait le travail de ses bourreaux. Son abdomen avait été sujet a un acharnement particulier et, par endroit, la chaire n'était plus qu'un amoncellement de cicatrices. Seul ses partie reproductives avait été épargnées, sans doute pour le garder en vie plus longtemps. Ses ailes avait été sujet a des morsures telle que les os avait céder en plusieurs endroits, forment divers angles de mauvaise augure. La perspective de ne plus jamais pouvoir voler frappa alors durement Eragon qui ne pouvait ici que constater les dommages... Les fines membranes qui composait la plus grande partie des ailes avait été lacérées et pendait en de multiples endroits. A ce moment la, le dragon bleu compris pourquoi le nouveau prisonnier l'avair observer avec un regard si intense, amplis de frayeur et... De pitié... Lui même n'aurait pas pensait avoir été a ce point mutiler. A l'évidence, il avait été sujet a un traitement contre la douleur pour pouvoir survivre. Le morale durement mis a l'épreuve par les observation qu'il venait de faire, il s'allongea dans un coin de la pièce en essayant de penser a d'autre choses, plus agréables. Au hasard de ses pensées, il revis le dragon d'or qui venait d'arriver. Plus il y pensait et plus il été sur de l'avoir déjà vu... Eragon n'eu pas le temps d'aprofondire ses recherches, l'heure avait tournée et les portes s'ouvrait lentement sur un groupe de dragon. C'était l'heure de sa séance de torture.* [HRP:/ Si vous voyez des fautes, et il doit y en avoir, vous pouvez voter contre ce problème, ce qui n'a pas été le cas et je vous en remercie, mais vous pouvez aussi et surtout m'envoyer un message mentionnant ces erreurs afin que, avec le temps, je puisse corriger mes lacunes ;) ( Jeux neud pance pat aitre irratrapable :p ) Merci a tous de votre attention. /HRP] | ||
| Eragon Ohen Respect diplomatique : 466 19/04 ETU 01:11 | Score : 5 Détails *Eragon somnolait dans sa cellule, entre inconscience et réalitée. La séance avait été poussée jusqu'à ses limites et, ce coup ci, ses bourreaux n'avait pas pris la peine de cicatriser toute les plaies qui laissaient des filets de sang couler un peut partout sur son corps. A la lune et les étoiles se mêlait la folle dense du feu qui rongeait le dragon bleu, prenant peu à peu sa raison pour ne lui laisser que troubles, doutes et lamentations inutiles. Ignorer la douleur était maintenant impossible, quel que soit l'effort engagé pour ce. Le simple fait d'apaiser légèrement les élancement demandait une concentration parfaite qui était brisée au moindre mouvement, bruit, ou à la moindre douleur se détachant des autres.
Son demi sommeil fut troublé par quelque chose qu'il n'avait pas ressentis depuis des années... Une présence muée d'un dragon vers un autre endroit par ce que les humaines appelaient jadis la magie. Il ne pouvait le voir mais il sentait qu'un autre dragon était là, juste à coté, hors de son corps et des contraintes de la matière. Il scruta les alentours par réflexe, sachant qu'il ne verrait rien quel que soit ce qu'il tente. Une voix résonna alors faiblement, comme venue des profondeurs abyssales du gouffre le plus profond des lune de Surda. Une voix à la fois douce, mélodieuse et sur d'elle, ne pouvant laisser aucun doute sur la véracité des paroles prononcées, ce qui prouvait que son observateur était assez âgé pour savoir se jouer à la fois des hommes et des dragons, ce qui n'était pas chose aisée.* ?????: J'ai eu du mal a te retrouver, Eragon. Tu n'a pas été placé dans les cellules normales... J'ai eu du mal a gagner le même endroit. Tu comptais te cacher encore longtemps pour cacher ta présence ici? Je suis sûr que tu tu tes laissé enfermer ici délibérément... "Cette voix... Serait il possible que..." -Eragon: Horyl... C'est bien toi? Comment... En d'autres circonstances, j'aurait pu monter un banquet en ton honneur, pardonne-moi d'avoir rompu ma parole... Crois moi, je n'ai pas eu le choix... -Horyl: Ça, je m'en suis rendu compte. J'ai rarement vu d'autres êtres vivants dans un état tel que le tien... Qu'est-ce qui peut bien valoir tant de souffrances? -E: Quoi? Non... Qui... Mais es-tu vraiment venu ici pour parler de tout cela? -H: Non, tu as vu juste. Demain, si tout va bien, nous serons à l'air libre. -E: Demain? Je ne serai probablement plus ici après ma prochaine séance. Je ne les amuse plus assez, ils voudront couper court. -H:... ... ... -E: Ne t'en fais pas, tu me connais non ? J'ai plus d'un tour dans mon sac... Fuis cet endroit maudit tant que tu es encore entier. Ne te retourne pas sur les fantômes du passé. -H: Partir? Oui, mais pas sans toi. Aurais-tu oublié que je te dois la vie à plusieurs reprises? je t'ai retrouvé, je ne te lâche plus. Qu'est ce que...? Comment!!! -E:Horyl? HORYL!!! "Où a-t-il encore se fourrer? Comment peut-il espérer sortir de là? sûr de lui de lui mais... Je ne peux pas me fier à ça avec lui... Pourquoi est-il reparti si rapidement?" *Au loin, un bruit métallique suivis d'un suivi d'un bruit résonna dans l'une des cellules. Rassemblant ses forces et son courage, Eragon se releva et tituba vers sa porte pour tenter de voir ce qui se passait mais... Rien à faire... Seuls les rugissements et cris de douleur lui parvenaient pourtant, le bruit métallique ne venait pas d'un garde qui aurait ouvert la porte... Que pouvait-il bien se passer? À ce moment-là, Eragon aurait payer cher pour le savoir. Le bruit du combat se tut dans un râle profond, signe que l'un des adversaires n'aurait pas un repas de plus. Sans avoir de moyen d'en savoir plus, Eragon se contenta de s'allonger contre les grilles et de garder les yeux fixés sur la mare de sang qui s'écoulait lentement de la cellule non loin de la sienne.* | ||
| Eragon Ohen Respect diplomatique : 466 20/04 ETU 01:59 | Score : 6 Détails [Hum, juste pour corriger un passage dans le texte au-dessus... Juste dans le passage après le dialogue, la phrase devait être celle-ci :
*Au loin, un son métallique suivi d'un bruit de combat résonna dans l'une des cellules. [...] Bonne lecture ;) ] *De plus en plus inquiet de ne pas avoir de nouvelles d'Horyl, il ne remarqua pas que son propre sang coulait aussi dans le couloir avec lenteur. Incapable de tenir plus longtemps, Eragon sombra dans un sommeil d'épuisement. Le sang coulait lentement de la cellule d'Eragon tandis qu'une vaste marre sortait de la cellule voisine. Bientôt, les deux flaques se rejoignirent en continuant de s'étaler.* *Le soleil était haut dans le ciel quand Eragon atterît devant une étendue d'eau, sans savoir pourquoi il était venu là. Il s'approcha de la surface pour s'y désaltérer puis examina son reflet dans le miroir liquide. Il pouvait y contempler un dragon d'or parfaitement familier à la place de son propre reflet : Horyl.* -Eragon: Quel étrange façon de te présenter à moi... Que t'arrive-t-il? J'ai l'impression que tout n'est pas normal... J'ai fais un tel cauchemar... -Horyl: ... ... ... -E: Rassure-moi, c'était bien un rêve, non? -H: Peux-tu faire quelquechose pour moi? -E: Bien sûr, qu'y a-t-il donc enfin ?? Je ressens d'étranges choses en toi ! T'est-il arrivé quelquechose? -H: Ma demande est simple : prends soin de ma descendance. Je les avais laissés seuls et leur mère est morte depuis quelque hivers déjà... -E: Pourquoi? Tu vas quelque part ? Dis-moi ce qui se passe enfin !! -H: ... ... ... Je n'avais pas prévu d'être dans la cellule d'un rival à mon arrivée et... -E: Cellule... ? Le rêve est donc... en ce moment même... ? Tout ce sang... Que s'est-il passé? -H: J'allais te le dire, laisse-moi finir d'un seul coup, ce sera plus simple... Quand j'ai été vers toi, je n'ai pas vu qu'il était tapis dans l'angle opposé. Il a profité que je sois vers toi mentalement pour m'attaquer et le combat est donc mal parti... J'ai tenté de le distraire avec un son métallique comme lorsqu'une des porte s'ouvre mais il n'a pas marché et je n'ai pas pû reprendre le contrôle complet de mon corps assez vite. Il m'avait trop grandement blessé pour que je puisse le combattre alors... J'ai fait l'ultime cadeau que l'on puisse faire à un mourrant... J'ai eu tout juste le temps de faire un sacrifice en ton nom... J'ai été la sacrifice, mon rivale a été l'arme et tu en as été le bénéficiaire. A ton réveil, si j'ai réussi, tes blessures les plus dangereuses serons rétablies, cicatrisées par le don que je t'ai fait. *Eragon ferma les yeux pour retenir ses sentiments. Il resta ainsi un moment qui lui parût durer une éternité puis ouvrît à nouveau les yeux pour contempler Horyl sachant que c'était la dérnière fois qu'il pourrait le voir.* -E: Pourquoi... POURQUOI ES-TU VENU? ? Tu l'as dit toi-même, tu as des dragonnets à élever ! Et si je ne peux pas sortir d'ici, tu sais ce qui va leur arriver non ? -H: Ils vont mourir de faim et de soif. Mais je suis sûr que tu... -E: Tu es sûr de quoi ? As-tu vraiment vu dans quel état je suis? -H: Le sacri... -E: Oublie ce qui se dit enfin !! Le sacrifice n'est pas totalement fiable, tu devrais le savoir! Et puis si je fuis, ils... Elle... ... [murmure inaudible] -H: Je comprends ce que tu ressens mais je suis sûr que le sacrifice à fonctionné. Je suis là à te parler après tout, non ? De plus, mes enfants serons bien mieux avec toi qu'avec moi... Je ne peux rien leur apporter d'une éducation normale... Je leur rapporte tout juste de quoi manger... Tu vivras, pour moi c'est le plus important. Grâce à ça, tu survivras et tu reprendras le dessus. -E: Non, je ne survis pas grâce à ça... Je prends ta vie... -H: Et je te l'offre. Sans toi, elle aurait été plus courte de plus d'un siècle, je te dois bien ça. -E: ... ... ... -H: Où est donc passé le père-dragon Ohen qui sait remotiver ses troupes et qui garde toujours courage quelque soit la situation ? Où est passé celui qui n'avait peur de rien et qui voulait braver tous les dangers ? -E: Horyl... -H: Celui qui a combattu à lui seul de nombreux rivaux tous plus féroces les uns que les autres? -E: Horyl...! -H: Il y a peu encore, tu n'aurais jamais été capturé et, même si cela avait été le cas, tu ne serais pas rester longtemps enfermé. -E: HORYL !!! -H: Celui... Qu'y a-t-il ? Tu te décides enfin à partir ? -E: Ils ont Ithildrin... | ||
| Eragon Ohen Respect diplomatique : 466 21/05 ETU 23:57 | Score : 10 Détails Le temps avait passé depuis la mort d'Horyl. Quand Eragon s'était réveillé de son sommeil provoqué, les gardes emmenaient le corps de son ami d'enfance par morceaux. Son adversaire ne lui avait laissé aucune chance de survie. Depuis, il restait au fond de sa cellule à panser ses plaies comme il le pouvait. Le don d'Horyl lui avait permis de survivre et avait même refermé ses plus grosses blessures mais nombre d'autres n'avaient pas été affectées, dont les fractures de ses ailes qui le faisait souffrir en permanence. Le gouvernement draconique actuel semblait l'avoir laissé pour mort, ce qui lui épargnait de nouvelles séances de torture mais les gardes prenaient un malin plaisir à le faire jeûner et souffrir. L'abaissement de la surveillance lui avait permis de prendre contact avec un groupe des siens qui lui était resté fidèle et qui était dirigé par une dragonne d'or nommée Sarilla. Il avait pu, avec l'aide de cette "résistance", continuer à gérer une partie de son royaume depuis la prison et un espoir de libération avait lentement mûri en lui. Même une date d'attaque avait été prévue. Bientôt, le baron Harkonnen serait au dessus de la planète pour tenter une libération. Plus que quelque heures et tout serait joué...
[HRP: La suite a subi une validation du Baron.] Au dessus de la planète, une flotte de CLA aux couleurs de Vladimir était en effervescence. L'heure de l'attaque allait sonner et l'assaut promettait d'être des plus intéressants puisque les cibles seraient sans vaisseaux... Certains hommes d'équipages avaient demandé à ne pas participer à l'attaque, ne voulant pas savoir pourquoi Eragon Ohen avait conseillé de ne pas hésiter sur le nombre de vaisseaux malgrs l'apparente faiblesse de la défense de la planète... BIIIIP!!! BIIIIIP!!! BIIIIP!!! L'alarme avait si soudainement brisé le silence que beaucoup avaient sursauté, surpris dans leur concentration pré-combat. Sur les écrans des CLA, des schémas avaient remplaçé la vue de la planète, montrant le chemin à utiliser pour être vu le plus tard possible. Les propulseurs avait été lancés à plein rendement et certains croiseurs vibraient de par la proximité avec les réacteurs d'un vaisseau voisin. Le nez des croiseurs rougeoyait déjà depuis un bon moment quand les bunkers SPAT entamèrent le feu. Ce retard de détection avait sans doute permis de sauver des vies mais la bataille allait enfin commencer. Les armements des CLA furent déverrouillés et un déluge de tirs s'abbati sur chaque installation défensive détectée. La bataille semblait sur le point d'être gagnée quand des boules de feu sortirent d'un peu partout, endommageant ou même détruisant les croiseurs qui se trouvait en chemin. des dragons blanc, noir et rouges sortirent alors d'un peut partout en continuant de faire feu sur les attaquants. Les CLA et les dragons tombaient un à un au cours de cette lutte à mort. Les rangs des CLA avaient déjà grandement diminué quand une seconde vague de dragons sortit de nul part. La terre était gorgée de sang et n'absorbait plus le liquide rouge qui coulait vers un maigre bras d'eau qui en prenait lentement une couleur sanguine. Quand des humains survivaient au crash de leur vaisseau, ils étaient obligés de l'abandonner pour échapper aux flammes et se faisaient dévorer par les dragons, répandant ça et là des craquements d'os et un peu plus de liquide pour abreuver la planète. Quand enfin les dragons renégats furent éliminés, il ne restait plus qu'une poignée de croiseurs en état de tenir dans les airs. Ces derniers atterrirent sur le toit du bâtiment qui avait été décrit par Eragon puis des troupes en sortirent afin d'entrer dans la prison. Tout semblait calme et il n'y avait pas de présence de gardes... Quand les bruits du combat avaient commencé à résonner, le dragon bleu s'était placé vers ce qui lui servait de fenêtre et avait observé le carnage d'un oeil attristé. Toutes ces vies sacrifiées pour n'en sauver qu'une seule... Il commençait à regretter grandement que cette mission de secours ait eu lieu. Dans les couloirs, des gardes couraient en tout sens pour sortir au plus vite et aider au combat. Comme il l'avait pensé, les gardiens avaient attendu que les bunkers aient été détruits pour agir. La rapidité et l'agilité en vol des dragons leur avaient permis de faire bien plus de dégâts que les hommes ne semblaient l'avoir pensé, si bien qu'il y eut au final peu de survivants sur tous ceux qui avaient été envoyés... Quand des humains firent alors irruption dans les couloirs, Eragon se senti alors de l'impatience pour retrouver la liberté. Sans un seul échange de mot, le groupe d'humains se plaça face aux portes et les ouvrirent en détruisant la serrure. La porte s'ouvrit alors lentement... Libre... Enfin libre... Le dragon bleu sorti lentement de sa cellule, regardent les hommes qui se tenaient autour de lui puis son regard se posa sur quelque chose dans une cellule voisine... Il s'approcha alors lentement et saisi avec précaution une écaille d'or entre les crocs. Apportant ce souvenir d'Horyl, il suivit les humains en les remerciant. Quelques minutes après, il était enfin à l'air libre. Le temps s'écoulait étrangement depuis le début de l'attaque mais à ce moment la, chaque seconde semblait être une éternité... Le vent souffla paresseusement sur les écailles restantes du dragon bleu qui regarda le ciel avec regret en pensant à l'état de ses ailes... Suivant le groupe d'hommes, il se retrouva dans un croiseur qui pris rapidement son envol. [HRP: merci au baron pour la folle correction d'orthographe ^^] |
Pages : 1
Forums galactiques > Assemblée Galactique : diplomatie officielle > Chronique d'un dragon bleu.