Forums galactiques > Assemblée Galactique : diplomatie officielle > Evolution de RP : Kooshoku
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Kooshoku Respect diplomatique : 156 25/04 ETU 14:32 | Score : 11 Détails (HRP : voici la raison de l’existence de Kooshoku dans cette galaxie. Un background qui s’orientera dans les prochains post vers l’évolution Rp de cette prêtresse. Je reprendrais les noms des personnages qui ont été impliqués pour sa création, peut être que certains les reconnaîtrons, sinon, bah c’est pas grave lol. Bon voilà, un gros tas de texte qui vous fera attendre le prochain, si déjà celui là vous plaît. Mpez moi en cas de … :))
********************* Bureau des renseignements de Bipolaria E-mail envoyé il y a peu par le Cdt Coemgen, responsable de la prêtresse Kooshoku Destinataire inconnu « Tout d’abord, heureux d’avoir réussi à retrouver votre trace dans cette galaxie. Nous avons, en ce qui nous concerne, réussi la première phase de notre reconstruction et sommes désormais capable de nous développer convenablement. J’ai effectué comme vous l’aviez demandé des recherches quant à l’origine de la prêtresse, et quant à son influence sur le peuple et l’évolution de nos planètes. J’ai aussi pris soin de d’inspecter ce masque, néanmoins, je vous déconseillerais d’oser vous en emparer. Je suis et resterais fidèle à Kooshoku. Vous cherchez à en connaître davantage sur ce masque, et moi je cherche à annihiler toute tentation maligne à cette enfant, des tentations qui firent céder ses créateurs. Commençons par ce masque qui, je suis sûr, saura vous éclaircir sur plusieurs points. Pour ce faire je me dois de retourner à l’unification de son peuple. Tout a commencé dans cette galaxie des exilés. Lorsque sur une planète, un autel à deux pôles fût découvert. Il gardait une entité qui avait le don de nommer les choses, et ainsi de leur fournir un destin. Deux camps à l’origine opposés s’unifièrent par peur de cette…chose. Un personnage y arriva en tête, un commandant qui s’attarda sur ce phénomène. Il exploita sa capacité et nomma tant de choses autour de lui que son peuple en fût imprégné quotidiennement. Il réussit via cet autel à développer une énergie nouvelle, qu’il recevait de l’humanité elle-même. Il exploitait via des récepteurs divers l’énergie produite par les dépenses humaines. L’amour, la haine, le désir, le mépris, tout ceci était canalisé, absorbé et évidemment, ré exploité. L’empire ainsi construit était riche, prospère, mais dépendant. Il dépendait de l’humanité. Un jour le commandant désira agrandir la puissance de ce phénomène. Exploitant ses sciences développées, il décida de créer trois personnes et de les doter d’un nom grâce à la fameuse entité. Il utilisa son propre corps afin de lier ces créatures entre elles, puis il choisi un masque comme réceptacle des énergies et découvertes qui peut être, allaient se produire. Ces trois personnes furent appelées « Œil ». Sdehiat, Hoamia, Kaelhonia. Elle étaient chacune une partie complémentaire de l’autre. La bonté, la haine, la volonté, c’était à présent elles qui recevaient l’énergie tant désirée. Plus elles en captaient, plus elles en avaient besoin, et on remarqua très vite la productivité fulgurante engendrée par la mort d’un être. Le peuple se lança alors dans du commerce d’êtres humains avec les êtres les plus abominables de la galaxie. Sacrifices, rituels, festivals entiers étaient voués à des libertés totales, qui ne pouvaient qu’engendrer mort, amour et haine. Tout allait pour le mieux, dans un univers dirigé en réalité par cette entité qui nomme les choses et par les pouvoirs qui en découlaient. Kooshoku, à l’époque, déambulait dans les couloirs du palais, et se rendait quotidiennement à l’autel Bipolaire. Telle était son éducation, loin de tout mais surtout loin de tous. Certainement que le commandant ou du moins ce qu’il en restait suite à son projet désirait garder une porte de sortie vers un autre avenir. Elle était la fille d’on ne sait qui, avec la luxure qui sévissait dans l’empire, elle ne pouvait qu’être la fille d’on ne sait qui, mais elle était surtout la chouchoute du commandant. Suivi à cette période de développement une crise diplomatique majeure pour ce peuple. Sa collaboration bâtie longuement avec des tyrans leur avait très tôt valu la place d’espion, mais étrangement, surtout aux services d’une résistance longue et difficile. C’est lors de l’apparition au grand jour de cette supercherie de taille que Hoamia, trompée depuis le commencement de son existence, fit un carnage sur sa planète, tentant en vain de préserver la seule chose qui lui importait : ces commerces d’humains, ces sacrifices, cette avidité énergétique. Peut être n’avait elle pas le choix, j’en conviens, car après tout, elle était la seule des trois à pouvoir nourrir l’ensemble, et à devoir tuer pour nourrir. Bref, reprenons le vif du sujet, je crains que mes souvenirs ne m’emportent bien trop. Hoamia a été tuée rapidement…et je fût l’un de ceux qui, ce soir là, ont tiré. Ce fameux masque dont Kooshoku ignore l’utilité, et qui pourtant est autant voire mieux protégé qu’elle-même dans notre cité, c’est là que fut absorbé la puissance de ces pouvoirs. C’est là qu’a été recueillie l’âme de la défunte Hoamia. C’est là que réside le secret de notre développement. C’est également peut être dans ce masque que réside l’entité ayant influencé toute cette partie noire de ce peuple dont vous et moi faisons parti. Rappelez vous, j’étais encore officier, et vous n’étiez en apparence encore qu’un simple espion. La situation dans la galaxie était alors difficile. Le commandant avait participé à plusieurs apocalypses, d’un camp, puis dans un autre. Les morts ne manquaient pas, certes, mais la mort de Hoamia avait totalement détraqué le système mis en place sur chacune des planètes de ce peuple. Nous en revenons à ce jour où nous fûmes vous et moi, chargé par notre ancien maître de mener la prêtresse Kooshoku dans un lieu nouveau, afin de tenter de faire renaître notre peuple. Je me rappelle encore de ses paroles : « Faites en sorte qu’elle réussisse là où j’ai plongé dans le chaos. » Hum… J’ai longtemps cherché à comprendre pourquoi les deux autres sœurs ne sont pas venues avec nous. Et vous savez, la réponse était innocemment à mes côtés, depuis le début. J’ai pris l’initiative de surveiller les pensées de la prêtresse lors de son sommeil, et il en résulte bien qu’elle a en elle l’âme des deux autres « Œil ». Suite à diverses analyses, nos scientifiques ont réussi à reconstruire les instants précédant notre fuite : Le Cdt a délibérément détruit les deux autres « Œil » et a détourné la fuite de leur âme pour qu’elles se voient absorbées par Kooshoku. Quand à elle, elle aurait subi un nettoyage cérébral afin qu’elle n’aie aucun mauvais souvenir de son passé. Le commandant aurait prévu alors l’exil longtemps à l’avance, ce qui aurait permis à Kooshoku d’ignorer les effets néfastes de ces projets. Il semblerait que Kooshoku soie une personne détenant de grandes capacités, cela nous n’en doutions pas, cependant elle a réussi à se rappeler de diverses parties de ces instants noirs. Savoir qu’elle a en elle la mémoire de telles atrocités et le risque que ces désastres se reproduisent sont des choses qu’elle ne doit en aucun cas apprendre. Elle reste suite à ce qu’elle a subi, une humaine comme les autres, avec malgré tout des talents pouvant surprendre par instants. Je compte sur vous pour empêcher la prêtresse Kooshoku d’en apprendre sur l’origine de ce masque et sur ses pouvoirs. Je compte également sur vous pour protéger ce masque qui doit à n’importe quel prix garder sa place et ses distances avec la prêtresse. Nos nouvelles cités en constructions sont la preuve que cette énergie est encore utilisée, et je fais mon maximum pour que Kooshoku n’envisage que l’exploitation des désirs. Je sais qu’elle s’en rend compte, et elle semble être très compréhensive quant aux risques que pourrait engendrer l’utilisation totale de cette énergie. Désormais elle vit sur Bipolaria, comme vous et moi. Elle reste sur la face éclairée et n’a donc pas encore vu une nuit sur cette planète. J’ai réussi à la rapprocher de l’eau, un élément qui semble lui convenir parfaitement, à elle comme aux âmes qu’elle garde malgré elle. J’irais prochainement faire un tour sur la face sombre, afin de vous rendre visite. J’espère que votre production humaine se passe à merveille et je viendrais m’assurer de la fiabilité de vos nouveaux espions et soldats. N’oubliez pas, cette face ne doit jamais être visitée par la prêtresse. Elle doit ignorer les réels impacts d’une armée et de nos choix politiques. Je vous souhaite un bon entraînement, et à bientôt. » ********************* Sur une place de la capitale des mers, Kooshoku semble s’amuser avec des ombres. Pour elle c’est un jeu, mais ces ombres étranges savent que c’est ici la base d’un entraînement physique et psychologique. Peu d’enfants s’amusent à éviter des tirs de toute sortes, et peu d’enfants savent hypnotiser des êtres avant que ceux-ci ne réagissent. L’océan glisse jusqu’à elles, et leur agitation remue cet élément si paisible par moments. Le Cdt Coemgen l’observe, de l’étage. Il se rend compte que tout le peuple semble, par le bonheur de Kooshoku, paraît être heureux à son tour. Aussi il pense : « Ainsi cette formidable énergie pourrait à son tour être déployée pour insuffler le bonheur à chaque être vivant ? Est-ce une utopie ? Où est la faille ? » | ||
Kooshoku Respect diplomatique : 156 28/04 ETU 15:01 | Score : 5 Détails -- Sur Bipolaria, le peuple est en pleine effervescence. La prêtresse Kooshoku s’amuse avec les ombres, hum, elle s’entraîne. Le bruit fracassant de l’océan sur certaines parties métalliques des bâtiments, le va et vient des vagues caressant ses pieds, lorsqu’elle court innocemment et rie à pleins poumons, ne peuvent qu’apporter une ambiance agréable et paisible.
Elle lève les yeux au ciel un instant, un pressentiment peut être, le soleil disparaît soudainement dans une multitude de flash éblouissants. Kooshoku tombe en arrière, ses yeux grands ouverts restant là, à fixer ces phénomènes surprenants. Dans la capitale, on entend au même moment d’innombrables cris d’étonnement. Les portes de l’ascenseur s’ouvrent. Le Cdt Coemgen, vêtu de sa tenue noire ainsi que plusieurs officiers sortent d’un pas rapide. Divers rapports dans les mains, scientifiques et autre personnel s’échange des informations. Le commandant entame d’une voix sèche et grave. -- - Quel est l’état de la situation? - Euh, les pertes subies sont de 98 % commandant. - Nous avons déjà localisé plusieurs cibles intéressantes. - Le peuple a été légèrement touché, mais de futures retombées sont à prévoir. - Les radars confirment l’état généralisé de cette attaque. - Qu’en est t’il pour la coalition ? - Leurs pertes subies s’élèvent à 95 % - C’est une apocalypse commandant !! - La galaxie a été retournée ! Nous ne sommes pas les cibles ! - Nos informateurs nous confirment, ils tentent un coup d’état, les soupçons étaient fondés. - CESSEZ !! -- Le commandant se retourne alors vivement, un regard noir se déploie sur chacun des personnages présents. Une femme ressemblant légèrement à Coemgen reprend la parole d’un ton assuré : -- - Commandant, nos troupes sont déjà en route. Nous avons déployé toute notre sécurité autour de l’Autel, nous surveillons les flux de déplacement. - Ohaïa, ramenez la prêtresse dans un lieu sûr, je vous confie sa sécurité, je pars sur la face sombre. Il ne faut pas que ce genre de catastrophe lui rappelle de mauvais souvenirs. - Bien commandant. - Passez moi ça… -- Coemgen s’empare d’une télécommande et ouvre une connexion avec l’assemblée. Il est dos à la caméra, une baie vitrée s’ouvre lentement, laissant la lumière solaire envahir la pièce lorsqu’il dit : -- Nous venons, comme vous tous, de remarquer l’agressivité de cette personne. Cet acte n’est apparemment que le commencement d’une campagne vaste. Chers diplomates, je crains que vos paroles ne soient inutiles dans un tel cas. La guerre est déclarée à la galaxie, et nous ne saurons trouver, en ce qui nous concerne, de compromis. Il est évident que toute tentative de discussion est vaine, et que seul une guerre totale pourra résoudre ce conflit. Nous ne tiendrons pas de diplomatie, nous soutiendrons la guerre. Nous fermons de ce fait toute possibilité de résolution pacifique, il en va de la survie de beaucoup d’entre nous, ainsi que des valeurs qui semblaient vouloir émerger du gouvernement. Vae soli. -- La connexion se coupe brutalement. Coemgen laisse son regard dériver sur l’immensité que la vue lui offre et son regard se fige sur un détail. Dehors, sur un grand espace plongeant dans la mer, une personne reste immobile, alors que règne autour d’elle beaucoup d’agitation. -- KOOSHOKU !!! Ramenez la !! Vite ! -- Sur cette berge, assise, la prêtresse semble scruter l’horizon, dans un état de transe. Elle reste immobile alors que lui parviennent à ses oreilles d’étranges murmures. Ses yeux écarquillés se perdent en réalité bien plus loin que cet horizon et elle voie monter dans son esprit diverses images noires. Déjà des ombres accourent vers elle. Kooshoku se lève lentement, ne paraissant pas répondre d’elle-même à cette réaction. Elle s’avance vers les eaux, attirée par un lieu lointain alors qu’elle est retenue. Bien qu’elle offre une résistance puissante et surprenante malgré son âge, elle est plus ou moins maîtrisée. On entend parmi ses débattements ces mots : -- Non !! Laissez moi, il m’appelle, je veux savoir ce que ce masque a à me dire ! | ||
Kooshoku Respect diplomatique : 156 06/05 ETU 13:11 | Score : 4 Détails * La prêtresse Kooshoku écoute et prend note des paroles de ce Seigneur Dagoth. Elle se retourne alors vers Coemgen, le Cdt, qui l’observe faire ses propres recherches avec une sérénité surprenante. L’enfant lui sourit un instant avant de se lever et de s’approcher des eaux.
Elle dit, d’un ton ne cachant une certaine tristesse : * - Cet être croit être une entité hors du commun, une vie immortelle. - Peut être car c’est la réalité, prêtresse. - Hum, seulement, je perçois en lui une grande faiblesse. - Peut être car c’est là aussi, la réalité. - Oui… Coemgen, je commence à croire qu’il se sent unique. - Nous le sommes tous, prêtresse. - Quelle est cette bonté divine qu’il dit s’abattre sur nos corps chaque jour ? - Kooshoku, ces paroles sont bien le signe qu’il erre dans une sphère d’illusion. Vous savez comme moi que les divinités ne le sont que pour leurs fidèles. C’est pourquoi vous être notre divinité, prêtresse, vous êtes la source de notre religion. *Kooshoku laisse sa main glisser contre une vitre, ses grands yeux noirs se perdant sur l’immensité océanique, derrière ce mur de verre. Elle se retourne vers Coemgen, qui l’observe calmement.* - Ainsi ses paroles seraient mensonges ? - Ses paroles ne sont mensonges que pour ceux qui ne pensent pas comme lui, et hélas pour ce seigneur, seul Utopia le reconnaît. Il n’a donc aucune légitimité religieuse ailleurs que sur ses propres terres. - Pourtant il serait apparu grâce aux vices et sentiments des peuples, qu’il aurait pris soin de canaliser, et je crois à cette manière pour l’utiliser également depuis bien des années. - Prêtresse, votre utilisation des énergies humaines et des désirs est bien différente. Voyez vous, vous, vous avez besoin de ces vices, de la luxure et du plaisir, afin de les convertir en énergie et en bonheur. Mais nous savons que cette exploitation est une simple technologie. C’est ainsi l’ignorance de ce peuple du Seigneur Dagoth qui les ont poussé à y voir une religion nouvelle et toute puissante. Kooshoku, vous êtes notre prêtresse car vous êtes la seule capable de capter cette énergie, et de la répandre comme bon vous semble. Ce seigneur se rendra bien assez tôt compte que ses capacités ne sont pas signes de sa toute puissance. - Hum… A-t-il un masque, lui aussi ? - … Quel masque ? *Les deux personnes continuent derrière leur vitre, de débattre. Kooshoku, enfant en soif de connaissance, pose des questions. Le cdt lui répond ainsi durant des heures, et cela chaque jour. Quelle entrave au devoir de protection de son peuple. Il ne pourra tenir ainsi indéfiniment, aussi a-t-il pris ses précautions, chose que vous apprendrez certainement plus tard, ici même. Quoi qu’il en soit, la prêtresse Kooshoku avait clairement compris que cette Utopia n’était qu’une supercherie religieuse. Espérons simplement qu’elle ne décide pas à son tour, de jouer de ses pouvoirs afin de se nommer « divinité » pour le reste de la galaxie. Quelques heures plus tard, alors qu’elle cherchait depuis bien des jours comment entrer en communication avec ce Seigneur Dagoth sans que ce dernier tente vainement de la corrompre avec leur religion qui va à l’encontre même de leurs actes, elle écrit ceci, message diffusé par la suite sur un écran de l’assemblée : * Seigneur Dagoth, votre religion semble intéressante sur certains points de vues. Nous sommes tout d’abord heureux de rencontrer un être qui sait également manier les émotions et les sentiments en général humains afin de les exploiter. Nous pensions être les seuls. Cependant, et ce, en évitant de confronter nos deux religions incompatibles, je tiens à vous faire part de mon incompréhension la plus totale quand à votre désir d’influencer une galaxie qui ne peut se soumettre à des cultures si personnelles. Nous avons en ce qui nous concerne choisi de ne pas mêler d’autres peuples à notre religion, car après tout, c’est elle qui fait notre diversité. Cependant, nous serions ravis de débattre plus longuement avec vos scientifiques quand aux technologies vous ayant permis de vous matérialiser. Après tout, si nous sommes totalement en désaccord quand aux raisons mêmes de notre existence ici même, peut être pouvons nous quand même nous entendre sur certaines recherches scientifiques. *Après émission de ce texte, la prêtresse semble dubitative. Elle reste face à son écran, dans cette salle qui, plongée dans les ténèbres, ne peut qu’animer en elle un certain occultisme. Le cdt Coemgen n’est pas là, d’autres affaires pressent, et la prêtresse en profite pour mener diverses recherches sur sa propre origine. Pour la première fois sur la planète Bipolaria, une aura sombre se ressent. Une aura qui ne durera pas, certes, mais qu’Utopia a malgré elle éveillé, peut être à ses dépends. Une ombre surveille Kooshoku à cet instant. On entend la prêtresse dire ceci, alors qu’elle reste perdue sur les couleurs étranges de son écran : * Utopia croit peut être opportun de diviniser cette puissance technologique, et elle s’imagine qu’elle lui permettra de régner sur la galaxie… Quelle drôle d’illusion. Ces peuples seraient t’ils si ignorants que cela ? Pensent t’ils que leurs opérations militaires soient d’une telle rareté, qu’elles leur permettent de s’auto proclamer unique et vraie religion ? Tss, que d’erreurs. Oui, vous vous en rendrez compte, que d’erreurs. | ||
Kooshoku Respect diplomatique : 156 17/05 ETU 18:50 | Score : 7 Détails (Il y a quelques semaines :)
Un étage à l’air libre, s’étirant au dessus de l’océan, seul élément naturel visible à perte de vue. Ciel bleu et vent tiède, des odeurs parfumées venant certainement de la cité faite de métal et de verdure parfois étrangement constituée. Une aura paisible et heureuse se ressent, c’est certainement l’influence de la prêtresse sur cette planète. Mais ce n’est qu’une aura, elle ne force en rien les gens venants. Le Baron Vladimir Harkonnen plane pour la première fois au dessus de cette planète, Bipolaria. Il avait écouté attentivement la présentation du système énergétique de ce peuple lors de son voyage, des ressources basées sur les émotions humaines diverses. Aussi n’avait t’il pas été mis au courant des différentes routes que ses vaisseaux avaient pris afin d’arriver à destination. Un immense tube aux divers reflets pourpres le transporte au cœur du spatio-port réservé aux personnalités. Le Baron flottant accompagné de certains de ses seconds arrive sur cet immense balcon, où divers êtres se rencontrent, flânent, discutent affaires etc. Coemgen, le Cdt au teint mate attend avec la prêtresse Kooshoku. Lui, son allure gardienne, et elle sa jeunesse flagrante. La prêtresse sourit grandement : « - Baron !! Enfin je vous rencontre, j'avais tant hâte. - Le plaisir est partagé. - Je suppose que nous vous avons déjà montré le lieu qui vous sera réservé lors de vos visites. - Je vous remercie pour vos appartements, ils sont parfaits. * Faisant un clin d'œil, et continuant avec un certain amusement* juste à la bonne taille. *La prêtresse s’approche légèrement, laissant son regard dériver sur une envolée de créatures, du sommet d’une tour scintillante* - Je me dois de faire profiter au maximum mes invités, après tout, c'est pour vous également l'occasion de vous détendre. Des saunas existent également si vous le désirez. *Elle rigole en s'approchant de lui encore, et lui tourne autour amusée* Peut être que vous ne devriez pas perdre de poids, cela vous donne une allure bien sympathique. - Je suis désolé d'être aussi pressant, mais j'ai des affaires à régler sur mes domaines suite aux nombreux événements récents. De quoi vouliez-vous vous entretenir avec moi ? - Hum *Le regard de Kooshoku s'assombrit soudainement alors qu'elle murmure* Je vois, ces teignes tenterons encore d'étendre leurs idéaux stupides... *Coemgen pose sa main sur son épaule afin qu'elle se ressaisisse, et aussitôt elle récupère cette aura de bonheur* - Vladimir, je suis le Cdt Coemgen, nous sommes heureux de vous trouver ici. - Enchanté commandant Coemgen. Nous avions déjà eut des contacts il me semble.» Le Cdt certifie d’un bref signe de la tête. S’en suit quelques discussions, la prêtresse kooshoku, à un instant s’excuse avant de s’en aller pour diverses affaires. Coemgen explique alors que celle-ci doit s’occuper de divers rituels, qu’il ne faut pas oublier qu’elle est prêtresse, avec ses devoirs et ses besoins. Les commandants alors s’engagent dans une conversation sérieuse : « - Je vous remercie de vous être déplacé, car j'ai ici une demande qui ne peut se régler par messagerie. - Très bien, je vous écoute. Peter, voulez vous bien nous laissez seul ? » Ce dernier s’exécute aussitôt, quelle autorité! On entend des chants étranges, des chants qui, au loin, envoûtent les auditeurs d'un plaisir mystérieux. On y reconnaît la voix de l’enfant, une voix envoûtante dont les tonalités attirent le regard vers leurs origines. Coemgen laisse un instant le Baron s’évader, mais reprend rapidement le fil du sujet : « - Voyez comme notre prêtresse est jeune, paisible et naïve. Nous avons ici, sur Bipolaria, un risque que ce bonheur ne dure pas. Un risque que la prêtresse s'oriente dans des voies mauvaises. La faveur que je vous demande est celle que je m'apprêtait à annoncer au regretté Galen. *Il dit ceci calmement, non tristement, mais avec respect.* Notre prêtresse a besoin d'une personne proche d'elle, et qui saurait la soutenir, et l'orienter. Elle aurait besoin d'un mentor. - J'ai entendu parlé en effet d'une histoire incroyable de masque... je suis tout disposé à vous aider, bien évidemment. - Vous ne remplacerez aucunement Galen, nous savons que votre voie est différente, mais liée. Aussi moi, et certains conseillers avons pensé à vous. Le masque... *Il fronce les sourcils* C'est un trésor que nous possédons, en effet, et que la prêtresse ne doit en aucun cas voir. Ce n'est pas ici une censure à son égard, mais bel et bien une mesure de protection pour elle et notre peuple entier. - Mais ce n'est qu'une légende cette histoire d'ancêtres, non ? Une histoire que l'on raconte aux enfants ? - *Il rigole alors* Haha, aux enfants, oui, une histoire qu'on leur raconte, car ce sont peut être eux qui sont concernés. Notre peuple a vécu bien des histoires, que je vous conterais peut être un jour, autour d'un bon verre. Une d'entre elles raconte en effet la présence d'une âme influant ce qui régit notre peuple, la prêtresse. - *Le baron reste dubitatif, et laisse un court silence répondre à sa place, hormis ce…* hum... - Nous avons hélas, déjà constaté des influences sur la prêtresse, qui nous a parlé de ce masque bien qu'elle devrait ignorer son existence. - Nous discuterons légende une autre fois peut-être.... mais revenons surtout à cette demande. Vous voulez que j'assiste votre prêtresse dans son éducation ? Son développement ? - Voulez vous sauver les lueurs d'espoir qui animent ces chants, Baron? *Alors cette question laisse place aux mélodies lointaines qu’ils entendent d’où ils sont, sur cet étage dominant pour ainsi dire, la planète.* Par ailleurs, nous vous soutenons, et avons pour l’instant toujours eu des avis identiques quant aux évolutions diplomatiques, alors, qui pourrait être plus adapté? - Vous savez très bien que j'ai toujours été prêt à rendre service. - Nous garderons tout contact diplomatique. Quand aux risques que la prêtresse encoure, tant que ce masque reste hors de portée de son corps et de son esprit, il n’y en a pas. - Quelles sont les probabilités qu'elle découvre ce masque ? Que dois-je lui apprendre ? Une éducation pour son comportement en société ? - Ce masque est sur notre planète, sur la face à l'ombre, dans un temple. Il sera certainement gardé par des hommes du Cdt Parisii qu’il a envoyé spécifiquement pour ce faire. Cela dit, qui sait ce dont cette légende est capable. Hum, vous ne vous ennuierez pas avec Kooshoku, elle aime parfois se battre, enfin... à sa manière, j'espère que cela ne vous dérangera pas *Prenant un air plus détendu en abordant l’éducation, il ri légèrement* Apprenez lui à vivre pour le bonheur, apprenez lui l'altruisme, et la volonté, apprenez lui ce qui vous semble juste, et elle trouvera sa voie. - Dois-je faire son éducation avec les hommes également ? - Notre culture est peut être bien différente. Je pense que sa relation avec les hommes est une chose qu'elle développera seule. Après tout, elle permet déjà à cette planète de s'auto gérer grâce à eux. -_- - Sa formation sera risquée, je me dois pour la parfaire, de lui enseigner le bien et le mal. Elle devra apprendre à faire la différence ensuite, mais elle pourrait très bien tomber du mauvais côté. - Son éducation vous étant confiée signifie que nous vous faisons confiance. *Répond Coemgen avec une puissante sincérité.* Si elle y tombe, sachez que nous ne vous tiendrons pas comme responsable et que nous garderons officieusement des relations cordiales et renforcées. Votre présence déjà est une preuve de votre bonne volonté. » Les deux commandants continuent encore quelques temps leurs discussions, avant de s’apprêter à se quitter. (Oui j’abrège le rp, c’est déjà pas mal long là) Le Cdt Coemgen l’interpelle une dernière fois avant de terminer : « - Nous avons apprécié vos efforts fournis pour que nous menions à bien le développement de nos élites. Vous serez les bienvenus pour consulter nos archives d'espionnage, Pour ceci, contactez moi, ou Ohaïa. - Si je peux vous apporter mon soutien également en cas de conflit, n'hésitez pas ! - Je serais également honoré de combattre à vos côtés. » Kooskoku revient alors, une démarche étrange, alors qu'elle sort d'une extase inconnue. Elle s’approche de Vladimir alors que celui-ci allait encore une fois s’en aller, puis elle lui demande avec innocence : « - Baron, dites, vos sites de rencontre sont un peu encombrants sur le réseau. *Amusée* - Hum... ce n'est pas moi qui m'en occupe vous savez. Je compte passer quelques temps à discuter avec vous les jours à venir. - Eh bien, j'aurais peut être un marché à signer avec votre peuple et le notre. *Elle s'arête* Ah bon? Vous restez ? *sautant presque de joie* - Je ne resterai pas, mais je vous parlerai par holocom ou je passerai de temps en temps. Quel marché ? - Oh bien… Il paraît que c'est sur la face sombre de notre planète que la production humaine est la plus efficace. Je me disais que je pourrais exploiter cette énergie également sur vos planètes, afin d'améliorer votre indépendance énergétique. Et cette énergie m'est aussi utile pour développer et répandre le son. - Cela tombe fort bien, je viens à l'instant de céder quelques planètes à votre commandant Coemgen. De nombreuses sources d'énergie y sont disponibles. Quant à la face ombragée de votre planète, votre éducation n'est pas encore suffisamment complète pour que je vous y conduise. - J'ai hâte, j'espère que nous nous reverrons très bientôt. - Bientôt, ne vous en faites pas, je reviendrai aussitôt que possible. | ||
Kooshoku Respect diplomatique : 156 29/05 ETU 23:44 | Score : 7 Détails La prêtresse Kooshoku ressortait d’une concertation avec plusieurs de ses conseillers. Ils avaient tous une mine grave, un visage envahit d’une certaine fatalité. La capitale était animée, le flux de vaisseaux était depuis quelques temps incessant, des vaisseaux de commerce, des vaisseaux militaires, des vaisseaux civils, tous allaient et venaient de part et d’autre de la planète et des systèmes. On voyait des infrastructures s’achever, et toujours ce soleil de plomb dans ce ciel clair qui observait la vie avancer sur Bipolaria.
Un vent frais se lève, des vagues se forment, un rythme nouveau s’installe. Les airs offrent une douce mélodie aux oreilles du peuple et celui-ci, on ne sait pourquoi, reste attentif, dehors. Chaque personne tend l’oreille, le silence s’installe soudain, hormis ce vent aux sonorités mélancoliques. Une éblouissante lumière concurrence le soleil un instant. D’immenses écrans rediffusent une scène où on voit, du haut d’une étrange tour trônant sur la capitale, une enfant s’avancer vers le vide. La prêtresse s’arrête, laissant les puissantes bourrasques secouer l’architecture vertigineuse. Chaque être attend quelque chose, tout semble pour ainsi dire s’arrêter. Tout ? Non, un nuage de créatures volantes s’enfuit de cette tour et défilent sur les écrans géants. Il passe devant la prêtresse coupant le vent un court moment. L’enfant sereine et immobile ouvre la bouche, sans émettre pourtant aucun son. Ses lèvres murmurent des choses qui ne s’entendent pas. Puis des complaintes irréelles envahissent la capitale quelques secondes, avant que Kooshoku prenne la parole d’un ton grave, écoutée de tout son peuple : « Mon peuple, mes frères et sœurs, mes parents, mes enfants, j’admire votre courage, j’admire vos vie et je les aime. Cependant… Aujourd’hui, je n’entonnerais pas mes chants de création, aujourd’hui, je ne vous transmettrais pas ce bonheur que je redistribue chaque jour, de ce même lieu. Car ce jour est nouveau pour chacun de nous. J’ai longuement discuté avec mes conseillers, j’ai écouté, proposé, comprise, et en conséquence, je vais agir. Nous ne sommes qu’un, nous représentons nos ancêtres, et nous nous devons de préserver nos vies, ainsi que notre honneur. Ce que je vais vous communiquer est une réaction que chacun de nous a choisit, et ce, je ne peux ni en douter ni le nier. Nous allons entrer en guerre. » Sur la face cachée de Bipolaria, le commandant Coemgen ainsi que tout l’équipage du vaisseau en déplacement suit attentivement le message retransmit simultanément sur chaque parcelle du territoire. Le vaisseau affiche une destination précise sur ses tableaux de bord : Quartier de coordination. La vidéo continue, Coemgen reste debout, tout aussi immobile que la prêtresse. Ses yeux plissés dénoncent une certaine gravité mais il écoute, sachant déjà très bien ce qu’elle s’apprête à annoncer. « Je suis certaine que chacun de vous est déjà au courant de la raison de ce choix. Je sais que vous êtes concernés, et je vous fais confiance, à chacun de vous. Comme vous le savez, cette galaxie est en proie à des maux atroces, et c’est petit à petit que l’on voit certains des ses plus grands hommes abandonner des désirs altruistes. Pourquoi abandonnent t’ils ces orientations si justes ? Car ce n’est pas la gloire qui les intéressent le plus souvent, et ce n’est que par la haine qu’ils sont servis en réponse à leurs actions qui pourtant n’attendaient aucun retour. Je fais allusion ici à ceux qui se dévouent depuis leur existence, à l’aide d’autrui, des êtres que je n’aurais nul besoin de citer. Aujourd’hui nous pensons les comprendre, comme nous comprenons désormais ceux qui ne perdent pas leur temps à parler mais à agir. Nous avions sauvé un système, grâce à des personnages qui pourtant n’avaient rien à y gagner, et nous avions attendu les messagers des propriétaires des planètes récupérées. Les messages reçus furent des invasions de leur part, de l’ignorance et de la violence. Nous y avons même perdus nos terres. Et ce ne sont pas ces traités commerciaux qui compensent ce mépris dont nous avons été victime. L’humanité erre dans l’erreur, ainsi cette guerre que je déclare en est une, mais qu’importe, nous sommes humains, et nous ne ferons que confirmer la règle. Nous n’agirons plus si naïvement, nous n’aiderons que nos alliés, désormais, nous cesserons définitivement d’aider ceux qui nous crachent dessus. Le Commandant Ton Lobster et sa compagne, la Princess Prawn ont profité de notre altruisme afin de s’emparer du système entier, nous n’y avions pas répliqué, et avions choisi d’emprunter la voie diplomatique. Quelle erreur de ma part d’avoir effectué ce choix, j’en suis consciente à présent. Ils ont décidé, et ce avec de lourdes pertes de temps à négocier, de nous céder quelques milliards de leems en compensation. Ces leems n’on su que représenter la corruption à nos yeux tant ils étaient insignifiants aux leurs. Et ce n’était ici de leur part qu’une manière de se débarrasser de cette affaire. Ils n’ont à aucun moment su nous exprimer leur gratitude, ou un simple remerciement pour avoir sauvé le système. Plus jamais nous nous enliserons dans des discussions hermétiques, plus jamais nous ne céderons à de telles cruautés qui prônent leur désir de vivre en paix et détruisent à côté leurs propres paroles. Aujourd’hui notre altruisme se meurt, et je ferais naître à la place une justice que nous élaborerons pour chacun de vous (je répète, elle parle à son peuple ;)). Nous céderons à la vengeance, nous tomberons dans des péchés qui amèneront guerres et morts tant que cela sera nécessaire. Si nous leur déclarons la guerre, nous le faisons pour sauver notre honneur et notre ordre nouveau, celui de la riposte. Nous apprendrons à être sournois, nous chercherons à manipuler, à détruire, mais dans le seul but de préserver notre existence et nos valeurs. Nous n’hésiterons plus à lancer les machines de guerre contre ceux qui menacent nos existences et tentent de nous soudoyer. Cher peuple, chers êtres, si je ne chante pas aujourd’hui une mélodie de bonheur et de plaisir, j’entonne un air de feu, et c’est avec tristesse que j’entreprends de dévouer toutes nos capacités disponibles dans cette guerre qui sera je l’espère, la dernière. Que les airs chantonnent, et que ces mots résonnent, car ils sont nés, chacun d ‘eux, pour animer le début de la fin. » La prêtresse se tait, laissant le bruit du vent la remplacer quelques secondes. Chaque personne de Bipolaria, comme de chaque planète du peuple de Kooshoku, a écouté attentivement les paroles de la prêtresse, et nul ne semble douter de son choix. L’allocution est alors complétée par un chant de cette jeune enfant aux desseins étranges. Une mélodie mélancolique envahit chaque parcelle de la planète tandis que du haut de cette tour on ressent s’émaner d’étranges ondes, des auras ésotériques qui couvrent peu à peu la planète et insufflent au peuple une volonté hors du commun. La prêtresse use de son pouvoir afin de renforcer le moral de son peuple. Dans le vaisseau, le Commandant Coemgen soupire, il sait que c’est une nouvelle ère pour le peuple. L’aura atteint le bâtiment de guerre à son tour, dans celui-ci les conseillers s’activent déjà. « - Commandant Coemgen, nous sommes prêts. - Bien, lancez la production humaine à son niveau maximum, déployez les escortes personnelles de la prêtresse, et disposez les unités afin de se préparer à la guerre. - C’est déjà en cours. - N’oubliez pas de surveiller étroitement l’ennemi, et de tenir compte de nos relations diplomatiques diverses, contactez aussi le Baron Vladimir Harkonnen, j’espère que la prêtresse n’a pas fait un mauvais choix, et le baron saura l’influencer suffisamment au cas où elle sombrerait. - Je lui envoie un message immédiatement. - Commandant, le Baron est injoignable ! - Hum, nous tenterons de le contacter plus tard. Dites à Ohaia que l’opération est en cours.» Une machinerie planétaire se met en effervescence. L’avenir de ce peuple se jouera peut être dans cette guerre, mais qu’importe, il est prêt à affronter ses ennemis. Seulement une chose ne tourne pas ronds, divers capteurs s’affolent sur la planète mère, des capteurs qui annoncent peut-être une nouvelle donne. Le Commandant Coemgen reçoit alors un communiqué de la part de cette Ohaia, il fronce les sourcils et s’exclame d’une voix grave et autoritaire : « - Le masque semble avoir réagit à l’aura de la prêtresse, il s’anime. Je veux à tout prix que ce masque reste hors de portée de Kooshoku !! Révisez les plans militaires, nous devons garder la moitié de notre puissance d’attaque braquée sur notre planète même. - Mais commandant, c’est notre capitale qui risquerait d’être détruite !! - Si ce masque prend contact avec Kooshoku, c’est le peuple entier qui court à sa perte !! Ne discutez pas ! - Bien… - Prévenez les gardes, si ils n’ont pas déjà remarqué les émanations du masque ! Augmentez la diffusion de sérénité dans le temple, le masque ne doit pas prendre une conscience totale ! Prévenez Ohaia des dispositions que je viens de vous faire part. - Tout de suite !! » Cette si jolie planète d’un bleu apaisant s’oriente dans des voies dont elle ignore la destination. La prêtresse continue, ce soir, son chant durant des heures encore. |
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