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| Alaïr de Malchourk Respect diplomatique : 80  17/07 ETU 10:41 | Score : 6 Détails Loin de tous, arrivé de la galaxie 0 après l'apocalypse. Le Commandant Alaïr de Malchourk et son équipage ont débarqué sur une planète assez hospitalière et prospère à la vie.
Seul les rescapés de la grande catastrophe commencent à se disperser. Le commandant isolé décide alors de prendre les choses en main, luttant contre les récalcitrants à l’idée d’abandonné les idéo de la fédération. Bientôt les opposants sont tous exterminés sur la planète et un nouvel ordre social apparaît sous l’égide du roi Alaïr de Malchourk 1er. Seul à gouverner conseiller par une poigner de ses anciens lieutenants, il dirige la planète d’une main de fer pour survivre dans ce système inconnu qu’ils ont classifié comme système 2081. La planète fut vite renommée Tarssos en l’hommage au père défunt du roi, le peuple n’ayant pas son mot à dire sans craindre de représailles tel que la purge ou encore la torture. Bientôt le roi décidera quand la planète sera totalement colonisée, d’explorer le système et pourquoi pas de faire devenir son royaume, un empire. | ||
| Alaïr de Malchourk Respect diplomatique : 80 18/07 ETU 12:22 | Score : 4 Détails La planète était enfin colonisée, la vie reprenait son cour, la fédération avait disparu des esprits à présent et la seul chose qui subsistait d’elle était la technologie qu’ils avaient.
Alaïr sur son trône guettait ses écrans de contrôle avec son clavier numérique à sa droite il réglait chaque jour plus de chose toujours plus chose. Etre souverain de tout un peuple n’était pas chose facile, les actes qu’il avait ordonné de commettre était horrible. L’exécution ou l’emprisonnement des dissidents à son pourvoir, le tourmentait un peu plus chaque jours. Mais sa culpabilité disparaissait vite quand il se disait que c’était pour le bien du plus grand nombre qu’il avait agi ainsi. L’heure était venu, le conseil des ministres commençait. Les écrans changèrent de couleur et d’images. Sur l’écran au fond rouge se tenait maintenant Alkor ministre de l’armée et de la défense du royaume, sur celui au fond vert se tenait Elianna ministre de l’économie et de la production et enfin sur l’écran jaune se tenait Almanir ministre de la recherche et de la santé publique. Tous étaient d’ancien lieutenant sur le vaisseau amiral de la flotte avant la catastrophe, les plus fidèles amis qu’il eut jamais en ce monde. Alkor commandait les forces terrestres et spatiale du vaisseau lors des batailles, Elianna s’occupait des ressources du vaisseau en hommes, nourriture et des communications. Quant à Almanir, il s’occupait des systèmes du vaisseau, armement, énergie et propulsion. - Bien, faite moi le bilan de la situation. Le ministre Alkor d’un ton joyeux et encouragement pris la parole : - Mon seigneur, les purges et arrestation de la police vont bon train, je propose à mon seigneur de continuer dans cette voie. Quant à l’armement nous attendons vos suggestions. - Arrêtez les purges, continuez… - Mon seigneur les purges sont nécessaire pour garantir votre souveraineté - SILENCE ALKOR !! Quand le roi parle, tu écoute ou je te ferais couper la langue pour m’avoir interrompu ! Le ministre perdit son visage joyeux pour recouvrir un air renfrogné sachant pertinemment qu’Alaïr pouvait mettre ses menaces à exécutions. - Je disais donc arrêtez les purges, elles ne sont plus nécessaire. Les anciens partisans de la fédération ne sont plus ou ont changé d’avis. Cela ne sert en rien de faire plus de martyrs que nous n’avons déjà. Laissez la police surveiller les plus gros noyaux de perturbations et avertit moi si les choses dégénèrent au point qu’il deviendrait trop nombreux ou qu’il tenterait quelque chose contre mon gouvernement. Pour ce qui concerne la défense je te donne ordre de construire plusieurs bunker de défense sur toute la surface de la planète. Il indiqua à Alkor les points stratégique de construction via son clavier numérique. - Pour l’armement je verrais ça avec Elianna, elle t’informera de l’avancer des productions de nouvelles troupes. Je souhaiterais que tu envoi maintenant des navettes en exploration sur les planètes voisines. Si nous voulons survivre dans cet univers, nous devons nous étendre pour pouvoir produire les biens nécessaire à notre survie. Mais avant de produire, il faut conquérir et pour cela il faut savoir ou nous mettons les pieds. De la même façon que pour les bunker, il indiqua les planètes à explorer. - Elianna à ton tour. Alkor disparu des écrans. La jeune femme commença son rapport exaspérer par le temps qu’avait prit Alkor au roi. - Mon seigneur les impôts ont été prélevé, les revenus sont corrects mais j’ai calculé que nous aurions un manque un gagné si nous envisagions plusieurs possibilité comme celle de la productions de troupes ou construction de bâtiments. Quant à la production elle est supérieur pour nos besoins. Un nouveau filon de minerai à été découvert. - Très bien, je te félicite, tu prévois toujours à l’avance mes réactions. Lève un nouvel impôt ou augmente les taxes peu m’importe. Nous sommes à présent dans une économie d’expansion. Fait savoir au peuple que c’est pour sa survie que nous le taxons. S’ils veulent survivrent, il faut un royaume fort et rien ne rend plus fort que l’argent. - Bien mon seigneur je ferais selon vos désirs. - Je t’envoi aussi les unités que tu devras commandé au divers atelier et centre de recrutement de la planète, fait en sorte qu’il soit produit au plus vite. Commence aussi la construction d’une centrale énergétique, je ne veux pas que nous soyons pris au dépourvu à cause de notre politique d’expansion. Commence l’exploitation du minerai immédiatement. - Mon seigneur, je manque de main d’œuvre pour cela. Le peuple rechigne à aller à la mine vu les danger et les conditions de travail. - Cette nouvelle mine sera uniquement destinée aux prisonniers politique. Ayant une peine d’emprisonnement à vie pour avoir troublé le gouvernement, au lieu de les nourrirent à rien faire mettez les au travail. Fait passer cet ordre à Alkor qu’il déploie des hommes prêt de la nouvelle excavation pour surveiller les prisonniers. Elianna disparu de l’écran à son tour. - Bien mon cher Almanir ou en sommes nous ? L’homme à la barbe grisonnante et au regard fou dansait d’impatience depuis le début du conseil sur sa chaise de l’autre coté de l’écran. - Mon seigneur, nous avons des progrès prodigieux grâce au leems accordé précédemment. Nous attendons maintenant que vous disiez là où nos recherches doivent porter et que vous nous donniez les fonds disponible. Sur l ‘écran apparu plusieurs possibilité, toutes les recherches portaient sur des points stratégiques pour la croissance du peuple et sa prospérité mais lequel devait-il privilégier. - Je t’ordonne de poursuivre tes recherches dans l’augmentation de la production des diamants et de l’énergie. Prends 30000 leems et fait ce que tu pourras avec. - Merci mon seigneur. Le chercheur n’attendit même pas que le roi le dispense, l’écran s’éteignit et Alaïr se retrouvait de nouveau seul. De nouveau avec ses écrans de surveillance, braqué sur l’espace mais aussi sur les ennemis de l’intérieur. | ||
| Alaïr de Malchourk Respect diplomatique : 80 18/07 ETU 15:49 | Score : 4 Détails Marchant dans les jardins luxuriants du palais, Alaïr prenait un peu de repos bien mérité après des heures de travail acharné sur son trône. Mais il n’était pourtant pas à l’abri d’irruption soudaine car en effet un drone mécanique équipé d’un écran, haut-parleurs et clavier le suivait en tout lieu extérieur à la salle royale.
Les haut-parleurs émirent un bruit sourd, signalant une communication intra-planétaire. Le roi las de ne pourvoir se reposer ordonna au drone de ne pas diffuser la communication. Un nouveau bruit fit son apparition. Le roi daigna se retourner pour constater qu’il était écrit message prioritaire sur l’écran plat de 64 cm. Ordonnant au drone d’autorisé la communication, le visage d’Alkor apparut sur le moniteur. - Mon seigneur. - Qui y’a-t-il Alkor, tu me dérange pendant ma promenade. J’en ai plus qu’assez que tu m’interrompes tout le temps dans des moments comme celui-ci. - Mon seigneur pardonnez-moi mon impudence mais vous vouliez être informé des avancez des navettes d’exploration. Et … - Oui et bien j’écoute, veux -tu te presser maintenant que tu es en train de me parler, je n’ai pas de temps à perdre. - Nous avons pu explorer deux planètes sur trois, toutes trois abritant des formes de vie humanoïde. Les planètes 41630 et 41631 sont très prometteuse au niveau ressource d’après Elianna. En revanche nous avons perdu le contact avec les navettes d’exploration de la planète 41629. - Comment ça perdu le contact ? Qu’est ce que ça veut dire ? - Et bien mon seigneur nous avons reçu un message crypté en provenance des navettes nous sommes en train de le décrypté. Les balises de positionnement n’indiquent plus leurs coordonnées. L’hypothèse la plus probable est qu’il ai rencontré quelques problèmes durant leur voyage et ai été détruit. - Décryptez ce message au plus vite, quand est-il des autres navettes d’exploration ? - Et bien le groupe de 41630 est revenu indemne mais celui de 41631 à perdu un tiers de ses effectifs. La planète 41630 semble habitée par des colons inoffensifs pour vos armés. En revanche la planète 41631, elle aussi habitée par des colons mais apparemment opposant un peu plus de résistance. - Bien demande à Elianna de construire les navettes d’exploration qui nous manque pour palier à nos pertes. Quant aux planète envoi un tiers de notre flotte actuel vers 41630 avec un message bien précis : « Nous sommes venus en paix, soumettez-vous au règne d’Alaïr de Malchourk 1er et il ne vous sera fait aucun mal ." Quant à la planète 41631, envoi la moitié de la flotte et fait préparer une navette pour rejoindre le vaisseau amiral qui se rendra à 41631. Je m’y rendrais en personne et nous verrons comment réagirons ces colons face à la puissance du royaume. - Bien mon seigneur, à qui reviendra la charge de prendre le contrôle de la planète Tarssos en votre absence ? - Elianna sera mon intendante pour les choses mineures et elle devra me contacter pour les affaires majeures. Quant à toi tu ira conquérir a planète 41630. Au nom de l’intendant Alkor frémit. Il pensait que cette charge lui reviendrai, il pensait pouvoir faire couler le sang à sa guise pendant l’absence du roi. Enfreindre l’interdiction de recommencer les purges pendant l’absence du roi était son rêve. Malheureusement pour lui Elianna héritait du commandement et son plan ne pourrait être activé sans qu’Alaïr soit au courant par le biais de la ministre. Un air mauvais sur son visage, le ministre de l’armée et de la défense du royaume disparu des écrans avec les respects coutumiers du au roi. Alaïr avait remarqué cet air malsain dans le regard d’Alkor, il savait de quoi était capable cet homme. C’était sur ses conseils que par le passé le roi avait été si cruel. Cela n’était plus nécessaire aujourd’hui, la part d’ombre d’Alaïr était maintenant emprisonné pour ne sortir que dans les moments de combats où pitié et indulgence ne faisait pas place. Se servant du drone, il envoya un message à un de ses espions. Ordre de mission pour celui ci de surveiller Alkor et de rendre compte de ses moindres faits et gestes. L’avenir allait dire au roi ce qu’il ferait de son ministre. | ||
| Alaïr de Malchourk Respect diplomatique : 80 19/07 ETU 10:51 | Score : 2 Détails La flotte était en vue de 41630, tous les vaisseaux en état d’alerte protégeant le vaisseau amiral où était Alkor le ministre de l’armée et de la défense. Face à eux une poignée de colons inoffensif et pacifique prêt à se rendre face à toutes menaces trop grandes pour eux.
Dans le vaisseau amiral un lieutenant s’approcha du ministre : - Mon seigneur Alkor, la flotte est prête à agir devons nous parlementer avant d’attaquer ? Alkor le visage concentré perdu dans ses pensées ne répondit pas de suite. Sa soif de sang n’était plus étanchée depuis l’arrêt des purges. Il était devenu une bête sanguinaire au fil des batailles qu’il avait menée. Toujours plus de sang coulait pour son bon plaisir, toujours plus d’horreur sous ses yeux. Tous les moyens étaient bons à ses yeux pour voir la souffrance d’un être humain peu importait ce qu’il en coûtait. Le jeune lieutenant reprit de plus belle interrompant le ministre dans ses songes : - Mon seigneur… - Lancez l’attaque. - Selon vos désirs mon seigneur. La flotte se mit en action, les croiseurs léger et chasseur bombardier commençaient leur descente vers la planète verdoyante. Les pauvres colons de toute la surface surpris par ce débarquement surprise se trouvèrent désemparé dans les premières minutes. Ne sachant que faire, ils perdirent nombre d’installation et de membres de leur communauté sur toute la surface. Organisant leur défense après avoir subi déjà tant de perte, les canons et bunker de défense firent feu, opposant une pluie de laser couleur bleu et vert aux vaisseaux du royaume. Il y eu des pertes du coté du royaume mais rien comparé à la force de frappe qui pilonnait la planète. Bientôt les défenses aériennes des pauvres colons furent ruinées, les transporteurs de troupes au sol du royaume commençaient à atterrir. Les soldats royaux détruisirent les dernières poches de résistances sur toute la surface et regroupèrent les survivant dans la plus grande cité de la planète. Selon les ordres d’Alkor quartier avait été fait à ceux qui avaient déposé les armes, ainsi sur plus de 2000 colons, il ne restait plus qu’un pauvre groupe d’environ 200 personnes. Alkor arriva dans la cité où était regroupé les survivant en grandes pompes. Musique militaire, haie d’honneur, parure de parade. Marchant d’un air victorieux avec les troupes autour de lui scandant son nom, il était à l’apogée de son bonheur. Mais si les troupes avait connu les ordres du roi, de tenter la voie diplomatique plutôt que la guerre, il en aurait été de toute autre matière. Même si les pertes avaient été, minime il y’en avait eu tout de même et à part les bêtes sanguinaires comme Alkor, tous soldats se serraient passer de perdre un ami ou un membre de sa famille. Le ministre de l’armée et de la défense face au survivant, étalait les bienfaits du royaume mais ceux ci n’avait pas l’air convaincu. Vu le nombre de personne qu’avait tué le royaume, il ne pouvait en être autrement. Sur toute la surface de la planète gisait des carcasses d’appareils ou de bâtiments en ruine avec un l’intérieur des monceaux de cadavre brisé. Les tripes à l’air, des membres arracher, des corps calcinés avec comme seul compagnon les vautours qui se délectaient de la chair avant qu’elle ne pourrisse. Voilà les bienfaits qu’apportait le royaume, à la planète des colons. Devant le refus des colons de jurer fidélité au royaume, Alkor entreprit de faire changer les esprits à sa manière. Il prit 80 hommes et femmes de tous ages, du vieillard à l’enfant. Ils les firent s’adosser à un mur, un déluge de feu s’abattit sur eux. Les lasers du royaume avaient mis fin aux souffrances de ces pauvres malheureux et une fois encore le royaume n’apportait que destruction et souffrance aux familles de colons. Les derniers colons face à ses menaces ne purent que jurer fidélité au royaume. Alkor choisit une dizaine de femmes dans la jeunesse de l’age et les fient monter dans sa navette. Elles formeraient son nouveau harem pour son plus grand plaisir et pou les plus grandes souffrances des pauvres femmes innocentes. Il repartit aussi vite qu’il était venu à son vaisseau amiral. De là, il confia le commandement de la planète à un de ses lieutenant et commença le retour vers Tarssos pour faire son rapport victorieux au roi. Pendant ce temps là le roi faisait route vers la planète 41631 avec sa flotte pour conquérir une autre planète, inconscient des atrocités commises par son ministre de l’armée et de la défense. | ||
| Alaïr de Malchourk Respect diplomatique : 80 20/07 ETU 10:43 | Score : 0 Détails Le croiseur arrivait en vu de la planète 41631, une planète magnifique et apparemment peuplée de colons, peuplé par énormément de colons. Ils étaient bien organisés, regroupé tous dans une cité état qui apparemment regroupait des dizaines de millier d’individu.
Alaïr fit passer le message de demande de reddition habituel avant d’attaquer. Pour seule réponse, il eut un tire de canon venant de la surface détruisant un de ses croiseur léger. Puisqu’il en était ainsi, il n’y avait pas d’autre alternative. Il ordonna au croiseur de bombarder la surface de la planète, une pluie de rayon laser parcouru l’espace pour venir s’écraser sur les points stratégiques de la cité-état, créant des gerbes de lumières et de flammes visibles de l’espace. Cela la cité-état dans une piètre situation, perdant beaucoup de défense mais elle était toujours capable de se défendre. Les premiers vaisseaux du royaume pénétrèrent l’atmosphère, plusieurs partir en fumée et en débris qui émettaient des milliers d’étincelle sous les tires répétées des défenseurs acharnés. Mais face aux nombres les pauvres colons ne purent rien faire, la planète abdiqua au bout de deux jours de lutte intense avec comme résultat plus de 10000 colons tués et la moitié de la flotte du roi détruite ou dans un triste état. Une fois qu’Alaïr eu signé la reddition de la planète il fit une annonce télévisuelle : - Chers sujets, la lutte à été difficile face à vous. Je déplore cette escalade de violence qui ont engendré tant de mort des deux cotés. Si vos dirigeants avaient accepté mon offre, il n’en aurait certainement pas été ainsi. D’après un recensement grâce au bio scanner de mes vaisseaux, vous êtes encore 10000 sur cette planète. J’ai chargé mon armée de pacifié toute la planète, toutes armes détenues par citoyens sans autorisation lui seront retirées et il risquera le travail forcé pour une peine de trois mois. Vous pouvez si vous le souhaitez entrer dans l’armée du royaume, les recruteurs son dors et déjà présent. Pour ce qui concerne les blessés de votre coté comme du notre, les médecins militaires royaux ont ordre de les soignés sans distinction car vous êtes à présent de valeureux sujets. Tous les prisonniers de guerre seront relâchés pour vous montré ma bonne foi et aucune représailles n’aura lieu je vous en donne ma parole. Vous êtes de braves gens et il est dans mon devoir d’aider mes sujets à prospérer. C’est pourquoi la vie reprendra son cours comme elle l’était avant notre arrivé, seul changement les soldats royaux qui seront là pour faire respecté l’ordre et aider aux réparations et reconstructions des bâtiments endommagés ou détruit. Je vous jure que cette planète qui se nomme aujourd’hui Dritzz Do’Urden, en hommage à un valeureux guerrier que j’ai connu dans mon passé et qui est mort dans le plus grand honneur, resplendira de mille éclats et que la paix y régnera. Suite à cette allocution royale, la planète se dévoua corps et âmes au royaume. Le pire avait été évité. Une rébellion n’était pas ce qu’il fallait, une guerre intestine aurait été un poids pour le royaume déjà qu’Alaïr avait des détracteurs sur sa planète mère, il n’en avait pas besoin d’autres. Le voyage de retour vers Tarssos la planète mère du royaume fut rapide, le roi défila au sein de la capitale avec son armée victorieuse sous les applaudissements du peuple. De retour à son trône, il ne reçut pas son ministre de l’armée et de la défense en premier lieu mais l’espion chargé de le surveiller. Vint après l’entrée en personne dans la salle royale d’Alkor ministre de l’armée et de la défense, fier de sa victoire écrasante face à de pauvres colons pacifiques. - Mon roi, la planète 41630 est pacifié selon vos souhaits dit Alkor le sourire aux lèvres - Bien Alkor. D’un signe de tête d’Alaïr la garde entra et s’empara du ministre qui ne comprit pas ce qui pouvait se passer. Alaïr se leva et s’approcha d’un holoenregistreur : - Je déclare par la présente, Alkor traître au royaume pour manquement à un ordre et irrespect des règles militaires en vigueur. L’holoenregistreur s’éteignit et diffusa le message à travers toutes les planètes du royaume par le biais d’écran géant réservé aux annonces royales. Le roi se rassit et s’adressa aux gardes : - Qu’on l’enferme au plus vite, je ne veux plus voir sa sale tête de traître devant moi. Qu’on prépare une navette escorter pour que je me rende sur la planète 41630 au plus vite ! Le garde fit une révérence et disparu avec le prisonnier par la porte centrale pour obéir aux ordres du roi. HRP : Tous les personnages de se rp ne sont pas des PJ exception du personnage principal Alaïr de Malchourk. Toutes ressemblances de nom ou comportement de ces personnages avec des PJ est complètement fortuit. | ||
| Alaïr de Malchourk Respect diplomatique : 80 20/07 ETU 13:11 | Score : 2 Détails HRP : Ame sensible évité de lire cette partie du Rp, elle est très sanglante, violente et assez sombre.
L’aube se levait maintenant sur la planète 41630, les 100 colons survivants étaient réunis sur la grande place de la capitale en ruine en cours de reconstruction. La navette royale y atterri sans problème. Quand les portes s’ouvrirent, la stupeur marqua les visages. Les 10 femmes capturées par Alkor pour son plaisir surgirent et se jetèrent dans les bras de leurs familles respectives pour celles qui en possédaient encore. Vint derrière elle le roi, entouré par son escorte et derrière eux le traître enchaîné Alkor. Une scène avait été installée, sur celle–ci reposait une potence et a coté divers instrument de torture. Le prisonnier fut attaché au bord de la scène, les colons fou de rage envers lui proféraient des insultes et lui crachaient au visage. L’ancien ministre de l’armée et de la défense du royaume ne pouvait répliquer, enchaîné et bâillonné qu’il était. Le roi s’avança sur le devant de la scène, le silence s’installa. Des caméras étaient installées de tous cotés pour retransmettre le procès d’Alkor. Levant les mains vers les cieux, le roi vêtu d’une cape soie d’un noir profond releva sa capuche pour laisser transparaître un visage impartial et plein de bonté envers les colons. - Mes chers sujets, j’ai eu vent des atrocités commises par mon ancien ministre Alkor. Si je suis là aujourd’hui, c’est pour vous dire la vérité et pour faire régner la justice. Car nulle personne dans mon royaume, n’échappe à mon jugement. Pour moi vous êtes tous égaux et chaque crime mérite sa peine. Le roi se dirigea vers le détenu, le fixant il lui parla : - Alkors ancien ministre de mon royaume, je vais à présent te poser des questions. Si tu avoue la vérité et que tu repends de tes actes alors tu auras une mort rapide et sans souffrance. En revanche dans le cas contraire, tu souffriras mille morts avant de rendre ton dernier souffle et je veillerais à ce que mes médecins te face vivre le plus longtemps possible. Tu devras répondre par oui ou par non de la tête car ta voie est tellement impure à mes oreilles que je ne souhaite l’entendre. Le prisonnier acquiesça de la tête. - Alkor, as-tu organisé les purges sur la planète Tarssos de ton propre chef sans m’en parler ? Le prisonnier remua la tête de gauche à droite avec ferveur et une rapidité incroyable laissant transparaître sa peur et sa rage envers le roi. Alaïr regarda les bourreaux : - Qu’on l’écartèle ordonna le roi. Les bourreaux détachèrent ses chaînes puis attachèrent les bras du prisonnier à la potence avec des cordes et ses jambes à des bêtes de sommes. Sur un coup de fouet des bourreaux les animaux avancèrent tendant les cordes et du même coups le prisonnier. Un bruit se fit sentir, celui des articulations des bars et des jambes qui lâchait, les tendons qui se rompait, les os qui sortait de leurs logements. Puis le cri de douleur du prisonnier diminué par le bâillon autour de sa bouche et les cris de joie de la population. Alaïr savait qu’Alkor ne mentait pas sur cette question mais faire endosser ses crimes à Alkor permettrait de rallier un peu plus de détracteur au royaume et ainsi diminué d’un peu la menace d’une révolution. D’un signe de main du roi les cordes furent détendues et le prisonnier jeté à terre. Une fois le prisonnier remit sur pied le roi reprit le roi : - Alkor ma question est la même que réponds-tu ? Le prisonnier cette fois-ci acquiesça. - Bien, maintenant as-tu délivré le message que je t’avais délivré pour les colons de la planète 41630 ? Celui qui demandait aux colons de se rendre, d’entrer dans le royaume pour que leur vie soit meilleure et régler ce conflit par des moyens diplomatiques. Le prisonnier acquiesça doucement essayant de mentir au roi. - Je sais que tu mens, un de mes espions te traquait. Qu’on lui clou les mains pour avoir menti à son roi une nouvelle fois ! Les bourreaux s’exécutèrent mettant le détenu sur une table en bois, ils détendirent ses bras. Des pieux en métal aiguisé posé sur la paume de ses mains, le marteau frappa aussi fort qu’on le pouvait. Le clou entra dans la main du détenu, transperçant même le bois, dans une explosion de sang qui éclaboussa les bourreaux. Un autre cri de douleur surgit de la bouche d’Alkor. Le roi s’approcha de nouveau du détenu : - Qu’as-tu à dire maintenant ? Affirmes-tu mes dires ou les réfutes-tu toujours ? Le prisonnier acquiesça. - Bien, maintenant, je voudrais savoir si toutes les atrocités commises au nom du royaume sur la planète 41630 venait de ta propre imagination perverse ou si cela était un ordre. Alors Alkor était-ce un de mes ordres ? Le prisonnier acquiesça de nouveau. D’un signe du roi les bourreaux s’exécutèrent à nouveau, enlevant le pagne inquisitorial que portait Alkor. Ils ouvrirent l’abdomen de l’ancien ministre qui était complètement horrifié. Puis ils en extrèrent ses intestins centimètre après centimètre dans les cris de souffrance du détenu. Le prisonnier allait bientôt rendre l’âme à se rythme, le roi ordonna qu’on lui injecte de l’atropine pour augmenter le rythme cardiaque et un coagulent pour retarder la perte de sang de l’hémorragie. S’approchant nouveau du prisonnier : - Alkor qu’elle est ta réponse ? Le détenu cette fois-ci remua la tête de gauche à droite. - Bien nous faisons d’énorme progrès, Maintenant viens l’ultime question. Te repends-tu de tout le mal que tu as fait ? Si tu te repend ta mort sera court et sans souffrance, dans le cas contraire nous pourrions te faire souffrir juste pour le bon plaisir des colons de 41630. Il n’était pas dans l’habitude d’Alkor d’abandonné, il ne regrettais rien de ce qu’il avait fait. Mais la souffrance était tel qu’il ne pouvait en supporter d’avantage. Il fit signe au roi qu’il se repentait. Le roi leva la main, une hache vint mettre un terme aux souffrances de l’ex ministre de l’armée et de la défense sous un déluge d’applaudissement et de cri de joie venant des colons et de la planète Tarssos. Le roi s’avança sur le bord de la scène : - Mes chers sujets, les biens de Alkor seront vendus et leur richesse reviendra aux colons de la planète 41630. J’ai appris que le chef pacifique des colons de 41630 décédé durant la bataille se nommait Xandors. C’est pourquoi, aujourd‘hui 41630 se nommera la Planète Xandors en l’hommage à cet homme de cœur. Pour les personnes de Tarssos capturer durant les purges, mes hommes veilleront personnellement à ce que ces gens sois relaxé s’ils sont vivants. Le roi savait que la plupart était mort, et qu’une autre partie était au travail forcé sur Tarssos dans les mines. Néanmoins, il libérerait ceux qui venait d’être arrêté et qui n’avait pas été à la mine comme gage de sa bonne foi. Comme cela, il fermerait la porte à ses détracteurs et l’opinion publique pour son règne en serait augmenter. De leurs coté les bourreaux récupérèrent les restes d’Alkor pour le faire brûler sur un bûché. Le roi finit par remonter dans sa navette pour rentrer à Tarssos ou l’attendait ses ministres dont le nouveau ministre de la guerre Wulfgar. |
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