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The end of the Trade Federation.

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Erold Savostos.
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27/06 ETU 04:48

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HRP/ [Ce texte entièrement RP a été rédigé avec l’aimable autorisation du défunt Nute Gunray, peut avant sa disparition de la galaxie.] \HRP

Au loin, dans un système oublié, reclus au fin fond de la galaxie, un vaisseau de contrôle Droïde survole furtivement la planète Orobus malgré sa taille bien plus qu’imposante.
A l’intérieur, Nute Gunray et son fidèle serviteur, Rune Hako, se concertent pour trouver un moyen définitif de mettre la planète sous tutelle de la Fédération du Commerce.

-« Ecoutez, Vice-Roi, notre intervention a l’Assemblée Galactique a agie comme un leur. De nombreux commandants croient encore à notre déclaration. »

-« En êtes-vous sur ? »

-« Oui, votre Majesté, nous en sommes tout a fait certains. »

-« Alors peut-être pourriez-vous m’expliquer ceci ? »

Nute appuya vivement sur un écran tactile et les lumières de la Salle de l’Amirauté s’éteignirent. Un hologramme apparut au centre de la pièce. Un homme grand et pansu, enveloppé d’un manteau de bonne couture et coiffé d’un chapeau haut de forme apparut alors.
Il s’exclama d’une voix sèche et impartial, ce qui contrastait beaucoup avec son apparente vieillesse.

-« Vice-Roi, je puis dorénavant vous annoncer que nous savons tous a votre sujet. Toutes vos manigances doivent cesser ! Les Services Secrets de la Couronne ont aperçus des flottes de la Fédération se cachant dans des hangars de l’Empire. Vous rendez-vous de ce que vous faites ? Nous sommes maintenant suspecté de vous aider. Vous avez été notre fournisseur pendant longtemps, mais cette ère est révolue. Vous êtes tombé dans l’avarice et la cupidité gangrène votre esprit. Nous ne traiterons pas plus longtemps avec vous. Tout ses morts, toutes ses planètes exploités jusqu'à leur dernier gisement, tout ses esclaves, humains pour la plupart, non rémunérés et ne possédant aucun droit civique doivent être vengés. Nous avons laissé passer certaines choses, Vice-Roi, mais vous allez trop loin. Notre contrat avec la Fédération est rompu. »

L’hologramme s’éteignît, laissant le conseillé Hako abasourdit.

-« Mais…mais, monseigneur, c’est impossible ! Notre plant marchait a merveille et personne ne connaissait nos agissements. Il…il y a eu des fuites ! »

Nuite Gunray fit un signe à deux droïdes qui vinrent encadrer son interlocuteur.

-« En effet, quelqu’un a parler. Mais qui d’autre que vous a accès a nos fichiers ? »

-« Je n’en sais rien, probablement un virus qui… »

-« Ne vous fichez pas de moi ! Notre système de sécurité est l’un des plus performants de cette Galaxie, nous avons dépensé des milliards pour le mettre au point. Et dois-je aussi vous rappeler que nous sommes sur un vaisseau entièrement robotisé ? Ce qui veut dire que vous et moi en sommes les seuls êtres vivants ! »

Rune Hako reculait au fur et à mesure que son supérieur lui dévoilait toute sa pensée, mais ses gardiens le bloquèrent violement contre le mur. Il se mit alors à pousser de faibles gémissements, réaction tout a fait normal pour un Neimoidien, eux qui avaient si peur de la mort et du danger.

-« Je suis désolé, Conseillé Hako, mais je ne peux vous laisser encore en vie. »

Le Vice-Roi fit un signe et les deux robots pointèrent leur arme sur la tête de la pauvre victime. C’est alors que le vaisseau se mit a tanguer dangereusement, puis il y eu une explosion et des bruits de tirs résonnèrent dans les profondeurs de l’engin.
Bientôt, les portes de la Salle des Commandes s’ouvrirent à la volée et une horde de soldats habillés d’uniformes blancs frappés d’un aigle argenté se ruèrent sur Nute Gunray.
Ils le mirent a terre au moment ou un homme recouvert d’une longue cape pourpre et dont le buste était recouvert de décorations d’un autre temps fit son entré.
Sa voix était mielleuse et grave, toute l’assistance se tut quand il prit la parole.

-« C’est donc vous qui tenez les rênes de cette organisation…Voyez-vous, cher Nute, je n’ai pas l’habitude de me déplacer pour voir mes ennemis. Se sont en général eux qui viennent a moi, si vous voyez ce que je veux dire. Mais le moment est grave et, si je suis venu en personne, c’est bien pour voir a quoi ressemblait notre pire ennemi. D’ailleurs, je… »

Le Neimoidien ne lui laissa point le temps de finir et s’écria :

-« Fous que vous êtes ! Nous vous avons fournis en vivres lorsque des épidémies se déclaraient sur vos terres et nous avons dépêchés les meilleurs spécialistes quand vous cherchiez de nouveaux filons de… »

L’étrange personnage lui asséna un soufflet magistral.

-« Fourbe, lâche ! Ces maladies étaient elles aussi répandues par vos soins sur mes possessions. Tout cela pourquoi ? Pour que nous vous engraissions en achetant vos produits ! Maintenant cela suffit ! Je n’ai plus à discuter en futilités et bassesses avec une créature n’ayant aucun cœur. Messieurs, emmenez-le ! Et que l’on ne le revoit plus de si tôt. »

Les gardes blancs menottèrent le Neimoidien et emmenèrent son conseillé après avoir neutralisé ses gardiens.

On continue à murmurer dans la bourgeoisie Paryamienne que l’homme étant intervenue dans cette affaire n’était autre que l’Empeureur lui-même. Mais rien n’est sur car peut de gens l’on vu en chair et en os. Il est une légende, immortelle, ayant combattu il y a des centaines d’années sur des planètes peut hospitalières, bien avant l’avènement de l’Empire. Rare sont les humains pouvant affirmer l’avoir rencontrer, et si c’est le cas, ils se souviennent surtout de sa voix…si étrange…si envoûtante.

Peut après cet événement, la Fédération du Commerce fut officiellement "dissoute a jamais".
Sa flotte fut détruite et ses planètes libérées par des nations en bonne relation avec l’Empire, et sachant tout des exactions scandaleuses du Vice-Roi.
La fortune du Neimoidien fut distribuée à plusieurs O.N.G, et toutes traces du sombre organisme furent effacées. Seul reste dans les cœurs les actions peut recommandables du cossu Guildéen dont l’exploitation de centaines de planètes.
Des planètes jadis verdoyantes et recouvertes par la vie, mais maintenant devenu stériles et noircies par les lourdes industries de la maudite et mal-aimée Fédération Du Commerce.

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