Forums galactiques > Assemblée Galactique : diplomatie officielle > [RP]Les déboires de Malik !
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Malik el Sami Respect diplomatique : 62 05/08 ETU 15:05 | Score : 14 Détails Prologue
Voulez-vous réellement connaître l’horrible histoire de Malik el Sami ? Car son récit n’est pas fait pour les âmes sensibles, et si vous avez un tant soit peu de jugeote, vous comprendrez que mieux vaut savoir le moins de choses possible sur ce ténébreux personnage… Voici l’histoire d’un homme, d’un vrai ! C’est ainsi que tout commence… Malik el Sami yn Nasser : Enfance. Le Soleil Noir, la caresse des longues herbes secouées par le vent, les senteurs salées de la mer et le sifflement dans les arbres ! Ses Dieux, ses Déesses, ses habitants et surtout… ses habitantes… car seules les histoires d’amour méritent d’être racontées ! Le vent sifflait à mes oreilles de sa douce voix emplie de tristesse. Il sifflait d’autant plus fort qu’aussi loin que je m’en souvienne, je courais en descendant le flanc d’une colline verdoyante. Vous vous demandez déjà pourquoi je courais… hé bien c’est simple, moi, jeune Malik de la maison noble el Sami yn Nasser, j’avais été vu en compagnie d’une donzelle à forte poitrine convoitée par mon puissant frère d’armes, le chevalier Grandu. Oh bien sûr avant d’en arriver là, il m’avait fallu traverser maintes et maintes épreuves, et c’est ici que je vais vous conter l’histoire pénible de mon enfance. Dans un monde où les peuples sont perpétuellement engagés dans des guerres, pour l’amusement des seigneurs, sans doute, et où tous les hommes sont hauts comme des montagnes et larges comme des collines, un enfant qui naît plus petit et donc plus beau, plus intelligent surtout, est mal vu. Ces vilains bougres, vraisemblablement, prennent tout de suite peur, effrayés à l’idée que leur compagne se trouve dans les bras d’un autre ! Mais trêve de discours philosophiques auxquels vous n’entendez rien de toute façon… Sachez seulement que ce fut mon cas, et à ma naissance, lorsque mes grands yeux rêveurs s’ouvrirent sur le monde, ma pauvre mère en pleura… d’émotion bien sûr ! Quant à mon père, sachant que je serais sans doute son unique fils, il manifesta sa fierté d’avoir mis au monde une créature si proche de la perfection, et partit donc mettre fin à ses jours en criant sa joie sur les champs de bataille. Je fus donc élevé dans l’optique de lui succéder, un jour, lorsque je serais plus grand et plus fort, et tous pensaient que ma grande intelligence, supérieure à celle du commun des mortels, ferait de moi un grand seigneur ! C’est donc pourquoi on me bichonna durant de longues années, préférant laisser aux femmes le soin de s’occuper de moi. A dix ans, j’étais déjà ce qu’on appelle un chaud lapin, et on décida de m’apprendre à manier les armes (car les femmes du royaume, résistant tant bien que mal à mes avances, prirent la décision d’accélérer ma formation, afin de pouvoir rapidement faire honneur au seigneur que je deviendrais !). C’est ainsi que je fus amené à côtoyer le seigneur Grandu, un homme qui devrait presque devenir mon égal. C’était à l’époque un jeune homme bien bâti, d’une quinzaine d’années, mais il était stupide et arrogant… enfin, il mesurait quelques têtes de plus que moi, et je décidai alors de devenir son ami. Je compris bien vite que personne ne parviendrait à égaler mon talent, et les autres jeunes combattants me le firent savoir, refusant de m’affronter, prétextant leur propre supériorité ! Ils me faisaient bien rire, dans mon lit de l’infirmerie, quand je les voyais se pavaner ! Mais alors que les années passaient, j’atteins ma taille actuelle, et mon visage prit l’aspect de la sagesse, sagesse masquée sournoisement par un léger strabisme divergent. Ceci ne faisait qu’ajouter à mon charme, et à mes dix-huit printemps, suite à une soirée au cours de laquelle l’on m’avait drogué avec un puissant hallucinogène appelé « gros rouge », c’est dans un état second que mon côté chaud lapin (dont je vous ai déjà parlé, mais vous avez déjà oublié) reprit le dessus, et que je me retrouvai dans les cuisines à faire des avances à une servante. Observant les règles de la bienséance parmi la noblesse du royaume, je fus puni et envoyé en quête. Or, contrairement à tous ces sombres imbéciles qui croyaient m’avoir puni, j’accueillis la nouvelle comme une bénédiction ! Je pourrais enfin découvrir le vaste monde ! Avant de partir, il me fut demandé de choisir un compagnon pour cette aventure, et je choisis naturellement mon brave ami Grandu, qui, m’adressa un regard sombre solennel que je ne saurai jamais oublier, et qui poussa un grognement qui devait être une expression de joie. C’est ainsi que moi, Malik el Sami du Soleil Noir, je devins un homme ! Ceci est un RP personnel, merci de faire des commentaires par MP uniquement. La suite viendra avec l’inspiration, sans doute rapidement au vu de mon manque d’activité actuel. Enjoy ! | ||
Malik el Sami Respect diplomatique : 62 05/08 ETU 21:32 | Score : 12 Détails Malik el Sami yn Nasser : La Quête
Ainsi, le brave Grandu et moi-même nous retrouvâmes sur les routes ! Exaltant, non ? Non, en effet, vous avez bien raison. Au bout de deux heures de chevauchée, mon arrière-train maltraité par les chocs sur ma selle avait déjà adopté l’aspect de la face cachée de la lune et mes illusions quant à l’honneur qui m’avait été donné étaient envolées. Mais ai-je seulement précisé en quoi consistait ma mission ? Le conseil des « sages » (en réalité de vieux hommes plus gâteux que malins) avait décidé de m’envoyer enquêter sur l’apparition d’une créature légendaire, à laquelle je n’avais jamais cru, et je ne croyais pas encore, croyant aux hallucinations d’une bande de vieillards sans doute abusés par une comète (ai-je aussi omis de préciser que j’avais étudié les sciences, ce qui faisait de moi un grand érudit ?). Nous chevauchions donc vers une chimère, et il nous avait été donné trois jours pour revenir avec des informations satisfaisantes, ou nous serions épluchés vivants comme des oignons (même si les oignon que nous épluchons sont morts). Grandu n’était pas très bavard, et ses prises de parole se résumaient généralement en deux mots signifiant que le son de ma voix l’importunait. Mais je savais qu’il me considérait comme un ami, et je ne lui en tins pas rigueur, convaincu que son comportement trahissait simplement son appréhension à l’idée de rencontrer une créature de légende. Après une journée, et alors que mon croupion bouillait sur sa selle, nous arrivâmes enfin sur le lieu où la bête avait été aperçue ! Tout d’abord, voyant l’expression de mon compagnon, je crus bon de fuir, comme tout guerrier sage face à un danger qu’il ne peut affronter, mais lorsque je l’entendis éclater de rire dans mon dos, alors qu’il restait immobile, je revins précipitamment. Et quelle ne fut pas ma surprise ! Le dragon était une créature métallique, totalement inerte. Son anus aux dimensions de caverne devait cracher le feu, et comme il n’avait pas d’ailes, ma puissance de déduction m’amena à comprendre que c’était en expulsant des gaz qu’il se déplaçait. Mais un fait m’intrigua… en effet, le monstre était totalement immobile, alors que la respiration d’un être aussi énorme aurait dû créer un remue-ménage impressionnant. Et je remarquai un détail qui me choqua. Le dragon possédait une petite ouverture d’où s’échappait une lumière faible et de petits bruits réguliers… « bip… bip… bip… » Ma fougue me poussa à pénétrer à l’intérieur du ventre de l’animal, et je constatai qu’il y faisait très bon. D’ailleurs, l’endroit était presque vide, à l’exception d’écrans lumineux, où apparaissaient des inscriptions que je parvins à déchiffrer tant bien que mal, avec l’aide de mon camarade robuste. C’était un message de l’ « Assemblée Galactique », un nom qui ne me disait rien. Alors mon grand barbare d’ami eut une intuition, comme il lui arrivait parfois malgré ses gros muscles et sa petite cervelle. Il me dit qu’il ne s’agissait pas d’un dragon ! Suite à cette découverte, nous décidions de cacher la « chose » afin qu’elle ne nous soit pas dérobée, et nous retournions en hâte au cœur de notre royaume, au mépris de nos pauvres fessiers bien trop maltraités. Notre quête s’achevait, et nous avions découvert ce que nous appelâmes « machine », et ma découverte devait nous amener à explorer la galaxie… mais nos découvertes font partie d’un autre récit. Et c’est ainsi que moi, Malik el Sami, je devins un héros ! Petit HRP : vous comprenez suite à ce passage que les âmes trop sensibles ne devraient pas poursuivre la lecture de mon histoire. Je continuerai sans doute demain, en espérant que la tension de mes admirateurs n’est pas trop forte ;) . | ||
Malik el Sami Respect diplomatique : 62 06/08 ETU 15:32 | Score : 6 Détails Malik el Sami yn Nasser : A la découverte de l’Univers !
Vous savez à présent comment j’apportai le savoir à mon peuple, un savoir qui devait nous ouvrir de nouvelles perspectives, et très rapidement, nous décidions d’apprendre à maîtriser les technologies de l’engin. Comme j’étais le Découvreur (avec un « D » majuscule, évidemment), l’honneur de faire fonctionner la machine pour la première fois m’échut, suite à un vote précipité me désignant à l’unanimité… Le « dragon » avait été déplacé par nos soins jusque dans la cour des Sages, où ces derniers l’étudiaient jour et nuit. Lorsque je pénétrai dans le ventre du vaisseau, je fus impressionné par mon environnement. J’appuyai sur un bouton et un son s’échappa de je ne sais où, me faisant sursauter. Voyant la porte se refermer, je compris que c’était simplement un signal d’alerte… mais pour prévenir de quoi ? Je devais le comprendre assez rapidement, lorsque ma main gauche fut presque broyée par le système, et je la retirai précipitamment, avant de m’évanouir… Finalement, ma recherche des sciences étrangères ne se présentait pas très bien. Lorsque je repris conscience, je vis par les vitres de l’appareil une armée de vieillards qui cognaient et hurlaient. Je crus à une attaque… avant de réaliser où je me trouvais. Souriant pour leur signifier que tout allait bien, je m’approchai des nombreux boutons qui ornaient la grande vitre. La grande recherche scientifique pouvait commencer ! Le sang battait à mes tempes, mon excitation était à son comble, et je ne savais par où commencer. Un gros bouton rouge me tentait bien… J’appuyai donc dessus, et un petit sifflement bref parvint à mes oreilles. A mon grand étonnement, seule une manette changea de position… Je m’amusais bien ! Je choisis de continuer mon expérience et de tirer sur la manette ! Le sol trembla… et je cognai un mur de la tête. A mon réveil, il n’y avait plus personne qui cognait sur la vitre. De plus, à la place du bâtiment qui se dressait devant moi auparavant, il n’y avait plus rien. Mon génie me souffla que la machine avait tout simplement tourné sur elle-même, alors, amusé, je réitérai l’opération. Un gros objet disparut dans le lointain… J’étais émerveillé, j’avais entre les mains un appareil aux pouvoirs totalement aléatoires ! Que me réservait l’essai suivant ? La même chose, sembla-t-il… Déçu, je pressai un bouton vert. Et alors, la puissance du dragon me fut accordée ! Pétant de toutes ses forces, l’animal décolla, s’éleva à une hauteur vertigineuse… et l’instinct scientifique prit le contrôle de ma modeste personne : appuyant sur tous les boutons, je fis tournoyer l’engin dans les airs, envoyant des objets un peu partout, qui créaient de gros champignons de fumée en atterrissant. Au bout d’un long moment, j’avais la machine bien en main. Et la soif de connaissance, alliée à l’ivresse du vol, me poussa à découvrir le monde au-delà des nuages… Ce que je découvris ne me surprit pas énormément, puisqu’il me semble avoir déjà précisé avoir étudié les sciences. Mais être dans le vide cosmique moi-même ! Qu’y a-t-il de plus beau pour un érudit ? Il existe une chose ! Et cela devait arriver par hasard… Désirant faire part de ma découverte à mon peuple, je revins sur ma planète. Mais l’horreur me saisit en ne reconnaissant rien de ce que j’avais laissé derrière moi ! Des tours immenses côtoyaient les nuages, de petits dragons flottaient un peu partout… Un groupe de vaisseaux m’attaqua, et me captura. Je fus retenu prisonnier pendant un an, car au bout d’une durée que je ne saurais définir précisément, mais qui parut durer des siècles, je décidai de compter les jours que je passais dans les geôles de ce monde étrange, qui n’était pas le mien, comme je finis par le comprendre. Quand je fus enfin libéré, on me soumit à un interrogatoire étrange, sans tortures ni menaces de mort. Cela m’effraya, je dois bien l’avouer à contrecœur (n’allez tout de même pas imaginer que je suis un lâche !). Et j’étais d’autant plus horrifié que ces êtres étranges me parlaient doucement… je m’attendais à ce que la tempête succède au calme, mais rien ne vint. Et je me résolus finalement à expliquer ma situation à ces extraterrestres. Et c’est ainsi que moi, Malik el Sami, je devins une légende dans le rapprochement des peuples. | ||
Malik el Sami Respect diplomatique : 62 06/08 ETU 21:28 | Score : 6 Détails Malik el Sami yn Nasser : Un nouveau départ
Le peuple extraterrestre me ramena sur le Soleil Noir grâce à ses vaisseaux. J’avais appris beaucoup de ces créatures humanoïdes si proches de l’humain qu’on aurait pu croire qu’ils en étaient, et lorsque nous arrivâmes dans le royaume, un combat faillit éclater entre mon peuple et celui des extraterrestres. Seule ma présence empêcha un affrontement, car mon vieil ami Grandu me trouva caché derrière un gros rocher (un combattant avisé maîtrise les subtilités de la ruse !). Le mot passa dans chaque camp, et un homme de chaque planète avança, afin de palabrer avec son vis-à-vis. Oh ! Bien sûr, on voulut me punir pour les dégâts occasionnés par mon départ (même si je suis convaincu que c’est en fait parce que je leur avais manqué, que mes amis me torturèrent pendant vingt-et-un jours), mais on me récompensa aussi pour ma nouvelle découverte. On me dit que je serais le maillon entre les deux peuples, celui qui découvrirait de nombreux mondes afin de faire prospérer le Soleil Noir. Et alors que mes amis sauvages apprenaient à construire et piloter les vaisseaux, j’apprenais les rouages de la politique intergalactique auprès de mes nouveaux amis. C’est en ces temps bénis que je devais tomber amoureux fou de la Princesse Jouzbiba. Je passais beaucoup de temps avec elle… il faut dire qu’elle était la plus belle du royaume, ses formes… Ha ! Divines ! Son port de Reine, sa façon de marcher en bougeant les hanches ! Je me sentais vivre, avec elle, même si j’étais très timide (une belle femme, ça vous intimide un bonhomme). Mais je sentais grandir la jalousie de mon ami loyal Grandu, qui était devenu chevalier du royaume en mon absence, et qui, ainsi, devenait une figure importante. Et mon ami le plus fidèle se retourna contre moi, brisant mon cœur en décevant ma confiance. Je fus obligé de fuir son courroux, car je ne voulais pas l’affronter, de peur de blesser un homme qui m’était si cher. Voilà, vous avez compris pourquoi je courais en descendant le flanc d’une colline verdoyante… Mais mes petites jambes, bien que puissantes, ne sauraient rivaliser avec la course d’un cheval de guerre, et l’ignoble traître Grandu me rattrapa. Me traînant dans la boue, il m’accusa d’ignobles choses, dont une tentative de le faire cocu ! Cocu ! Lui ! Grandu ! Comment un être au physique aussi différent du mien pouvait-il seulement avoir été marié, me demanderez-vous ? A cela, je répondrai sagement qu’il s’agit de l’un des plus grands mystères de l’humanité. Je fus jugé et condamné à mort par la torture, la pire sentence, si l’on excepte celle, plus vile encore, de se sentir trahi par ses plus proches amis ! Mais le courage triompha, et je parvins à égorger mon geôlier dans son sommeil avec ses clés (il dormait très près de ma prison, et devait croire que je ne représentais aucun danger ! Mal lui en a pris de sous-estimer le puissant Malik !). J’échappais à ce peuple ingrat durant la nuit, à pied afin de ne pas éveiller mes ennemis. Et je m’enfonçai dans la Forêt Noire, où les guerriers n’osaient jamais mettre les pieds, par superstition. Mais la superstition n’a jamais fait partie de mes défauts ! Je marchais très longtemps, mais suite à toutes ces mésaventures, j’avais appris la patience et l’endurance, et ce n’est qu’au bout d’une heure que je baissai les bras et pris du repos. Mais je ne pus m’endormir, de peur qu’un des spectres de la Forêt Noire ne vienne s’emparer de mon âme. Le jour suivant, j’abandonnais, et je revins sur mes pas afin de subir mon châtiment. Mais en chemin, je rencontrai Grandu… et il me défia en duel, ce lâche ! On nous donna des épées, et nous nous mîmes en garde. Grandu était fort et rapide, mais j’avais ce qu’on appelle l’instinct de survie. Courant à perdre haleine, je distançai rapidement le gros lard, pour me cacher derrière un menhir. Malgré son intelligence limitée, mon adversaire déjoua la ruse, et contourna le seul menhir de la plaine pour me frapper. Il avait oublié que j’étais court sur pattes, et son épée se brisa contre la roche. Ce n’est que lorsque je rouvris les yeux que je compris la situation, voyant qu’il s’inclinait devant moi, me faisant vainqueur. Peu après, mon châtiment fut revu, et je fus envoyé avec mes amis extraterrestres afin de faire connaître le Soleil Noir à l’ensemble de la galaxie. Et c’est ainsi que moi, Malik el Sami, je devins un diplomate réputé pour sa sagesse et son courage. Epilogue Ainsi s’achève l’épopée de la vie de Malik el Sami yn Nasser, héros d’un monde lointain. Il siège aujourd’hui à l’Assemblée Galactique, plaçant de nombreuses remarques pertinentes sur les Commandants qui y sont présents et leur prodiguant ses perles de sagesse. Cependant, il n’a pas encore trouvé le grand amour, mais il espère, et a même fait des démarches auprès d’agences. Mais seul son charme et son regard envoûtant lui permettront de conquérir le cœur d’une belle femme ! FIN HRP : Merci à tous ceux qui ont suivi cette aventure aux multiples rebondissements ! Et les filles, décidez-vous rapidement, car le puissant Malik ne choisira qu’une seule d’entre vous ! |
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