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Luna Respect diplomatique : 38 11/08 ETU 20:24 | Score : 7 Détails Rp privée
Trois ans auparavant… Maman nous avait quittés quelque année auparavant. On dinait quand un groupe de révoltés est entré dans le palais. Ils avaient réussit à déjoué les nombreux gardes posté devant le bâtiment. - On ne veut faire de mal à personne, avaient-ils dit, on veut juste la petite princesse. Il s'agissait de moi, petite princesse, du haut de ses cinq ans, qui ne comprenait pas grand-chose. Mon père ordonna à ma mère de m'emmener loin tandis qu'il appelait du renfort par le radio. Mais un des hommes s’avança vers lui avant qu'il n'ait eu le temps d’ouvrir la bouche et pointa un revolver sur lui. - Ne m'obligez pas à vous tué, on veut juste la petite. Et il assomma mon pauvre père. Ma mère m'avait pris dans ses bras et courait à travers les aller de rosier qui ornaient le jardin. Un bruit sourd. Un cri. Une chute. Des pleures d'enfant. Encore des cris. Des ordres. Plein de bruit sourd. Les mains sur les oreilles. Des pleures. Des cris. - Maman ! Maman t'es où? Maman ! Maman j'ai peur ! Maman ! Plus rien, le grand silence, le calme. - Ma fille, où est Luna ? Quelqu’un la vu ? J'avais cessé de pleurer. Mon père m'a pris dans ses bras, il a regardé ma mère. - Oh mon Dieu ! Ma mère était morte, les révoltés arrêtés, exécuté. Dans les semaines qui suivirent une nourrice et trois gardes du corps s’'occupaient de moi. Je demandai régulièrement : - Où est Maman ? On ne me répondait pas. Un jour, quand j'ai « eu l'âge », m'a dit mon père, il m'a emmenée au cimetière. - Ta Maman est morte ma chérie, la nuit où les méchants sont venus à la maison. Depuis, chaque jour, je vais voir Maman. Mais aujourd'hui n'étais pas un jour ordinaire, aujourd’hui j'avais quatorze ans. J'allais partir pour rendre visite à ma mère et lui apporter un bouquet de lys blanc, ses fleurs préférée quand mon père m’interpella. - Je ne veux pas que tu sortes aujourd'hui, je suis désolée je sais qu'aujourd'hui c'est ton anniversaire et que aujourd'hui plus qu'un autre jour tu as envie de voir ta mère mais je ne veux pas que tu sortes… Mon père disait toujours qu'il ne fallait pas qu'un homme ne devait pas se montrer faible devant ses enfants, or, lui, était comme décrépit. Il ne dormait plus la nuit et mangeais peu. La petite étincelle dans ses yeux était partie avec Maman. Il ne riait plus comme avant. Et moi, jeune fille de quatorze ans, qui ne demandais rien de plus qu'une vie sans histoire, une vie pleine de sérénité, comment pouvais-je obéir à un homme qui ressemblait plus à une loque qu’a un roi ? J'ai alors pris la décision de désobéir à mon père. Ce fut la première et loin d'être la dernière fois. J'avais besoin de liberté, de sortir de dessous l'aile surprotectrice de mon père. Je sortis donc par la fenêtre de ma chambre et sortit de la propriété. Où allait-elle aller maintenant ? Certainement pas au cimetière, c'est la que son père la chercherai en premier. Elle se laissa alors guidée par la brise légère qui se levait, enivrée par ses parfums. Elle se laissa ainsi guidée au travers des forêts, des plages envouté par les parfums de pin, le son mélodieux de la mer, la beauté du paysage. Elle marchait depuis déjà des heures, la nuit était tombé quand elle aperçut un jeune homme, appuyé contre un arbre. Le pelage de ses oreilles était noir de jais, la pleine lune les faisait briller. Il regardait droit devant lui. Je suivie alors du regard ce point qu'il semblait fixé, ce que je vis me coupa le souffle. On était sur une falaise qui surplombait la mer de plusieurs mètres. La mer était calme, noir. La lune se reflétait sur l'eau. C’était… magnifique. Le garçon me regardait maintenant. - Je suis désolée… Je ne voulais pas… Je ne voulais pas vous dérang… Pendant que je me fondais en excuse il s’était approché. Il plaqua sa main sur ma bouche pour arrêter se flot d'excuse et m’embrassa. Apres il s’éloigna, se retourna : - Au fait je m’appelle Sorm… | ||
Luna Respect diplomatique : 38 14/08 ETU 16:17 | Score : 2 Détails Le lendemain je me suis rendue sur ce petit bout de falaise, Sorm n'y était pas. De toute façon pourquoi y aurait-il été ? C'était vraiment stupide de ma part.
Alors que je me plaignais de ma naïveté, je m'assis sur un banc, face à la mer. Le soleil était en train de se coucher, la lumière était magnifique. Derrière moi des magnolias dégageait un parfum d'une senteur excise. Tous était parfait, comme hier et en même temps si différent. Il ne manquait plus que ce magnifique jeune homme dont j'étais tombé sous le charme. Je l'aurais suivie au bout du monde s'il me l’avait demandé. J'avais tellement besoin de quitté l'autorité de la maison, de sentir un vent de liberté dans mes cheveux, de partir au bout du monde loin de tous mes soucis ! A quatorze ans j’avais déjà besoin de tout recommencer. Après que Sorm soit partit hier j'étais resté là, immobile pendant de longue minute. La spontanéité du jeune homme, ce naturel, ce baiser… il m'avait surprise. Je suis ensuite rentré chez moi. Mon père n'avait pas remarqué mon absence, preuve qu'il se souciait vraiment de moi… Démoralisée par se constat mais en même temps heureuse de savoir que je pourrais ressortir sans que l'on ne le voit je m'allongeai sur mon lit. L'image de Sorm devant la mer me hantait, je ne pouvais m’arrêter de contempler se visage, ses oreille fines… Le lendemain l'image que je gardais de lui ressemblait plus à un rêve qu'a autre chose. Oui, j'avais rêvé, aucun doute. Mais je suis quand même retournée sur la falaise, à la même heure qu'hier. Le fil de mes pensées m'avait laissée là, seule sur ce banc, en face du coucher de soleil. La nuit était tombée maintenant, c'était encore la pleine lune, comme hier me dis-je. Après de longue minute à contempler la nuit, oui la nuit, je me décidai enfin à rentré. J'entendis soudain un bruit parmi les buissons. Sorm sortit de sa cachette. Il était la ! Toujours aussi beau, ses oreilles brillaient sous la claire de lune. Il était arrivé et tout ressemblait de nouveau à un conte de fée. Il s'approcha de moi si près qu'il aurait pu encore m’embrasser. Je sentais son parfum mélanger à celui des fleurs. Il me dit simplement : - Bonjour princesse ! Comme si cela était normal que je sois revenu. On s'assit alors sur le banc, toujours face à la mer. Je ne savais que dire, je me demandais se que je faisais là mais Sorm, toujours aussi sur de lui, brisa le premier le silence. - Je suis désolée de t’avoir fais attendre princesse. Ses yeux brillaient de mille petites étincelles. - Je n'ai pu me libérer plus tôt. Vois-tu je travaille au journal. Et on aurait besoin de toi, j'aurai besoin de toi… Je suis très seul, surtout la nuit et j'aimerais que tu me tiennes compagnie, que tu viennes avec moi… Tu seras indépendante, tu travailleras, comme nous tous, tu ne manqueras jamais de rien si tu travaille. Et puis je serais avec toi. Je ne savais quoi répondre. Il me proposait se que je rêvais. En fait je savais très bien la réponse que j'allais lui donné. C'était oui bien sur ! Je le lui fis comprendre et lui souris. Qu'est-ce que j'étais heureuse ! Il me raccompagna alors chez moi. On avait décidé que je préparerais mes affaires le lendemain et qu'à la tombée de la nuit je le rejoindrais sur la falaise. Mon père n'avait toujours pas remarqué mon absence, il était bien trop pris par son travail. Mais tant pis, maintenant sa m'était égale. Demain je serais libre ! Débarrassée de lui et de toute autre autorité. Oui, je serais libre ! | ||
Luna Respect diplomatique : 38 20/08 ETU 11:39 | Score : 4 Détails Je devais me dépêcher sinon je devrais retournée chez moi. J'étais devant les rails, le sifflement du train commençait à se faire entendre. Vite je devrais déjà avoir terminé ! Enfin je fixai le dernier fil, je pris la boite et courut ! Le décompte : 3… 2…. 1… PARER !
Je me bouchai les oreilles. Sa faisait un mois que j'étais ici. Tout le monde me regardait fixement, me dévisageait avec un air de dégout. On ne m'avait pas demandé de travailler comme Sorm me l'avait dit, juste de faire exploser des trains la nuit. Des trains appartenant à la nation qui plus est, à mon père ! Mais Sorm m'avait dit de me taire. Je devais exécuter les ordres sans dire mots, tel était la devise que je m'étais fixé. Pendant la journée on était enfermé dans un camp d'où l'on ne pouvait sortir. Mon père me manquait, je voulais sortir me promener, mais j'étais bel et bien prisonnière. Le train explosa. Je le regardais. Des bouts de tôle et de…chaire humaine volait de tout côté. Je me rendis compte que depuis un mois je tuais des gens. Des gens qui rendaient service à mon père, à mon peuple. Moi la petite princesse louve… Je voulais partir, rentré chez moi, tout expliqué à mon père, il me pardonnerait ! Et je commis une erreur, j'en parla à Sorm. Sorm… Sorm…se nom n'évoquait maintenant chez moi plus que du dégout. Du haut de mes quatorze ans je me rendis compte qu'il m’avait manipulé pour que je vienne avec lui. Se monde, SON monde comme il disait n'avait rien d'enviable. On ne pouvait pas sortir, on était constamment surveillé. Et, peut-être était-ce le fruit de mon imagination mais il me semblait que l'on me surveillait moi plus que les autres. En plus, Sorm qui m'avait promis le grand amour, mais il ne dormait même pas dans le même bâtiment que moi et ne se cachait même pas avec les autres filles. - Tu m'as mentis ! Laisse-moi retournée chez moi ! Mais Sorm ne voulais rien entendre. Il m'embrassait et là, mon petit corps était en feu. Mais on était, aussi, dans l’interdiction de consommer le pêcher. Cette nuit la cependant Sorm fit une entorse à la règle. Le lendemain je me réveillai seule, avec un petit mot posé sur l'oreiller d'à côté. « Abandonne » Alors en plus d'exécuter les ordres sans rechigner, j'appris en plus à me taire. Cette atmosphère était néanmoins pesante pour moi, et tout le monde le savait. J'en avais marre, je voulais sortir. Alors un soir tout le monde fut réunit dans la grande salle et on me présenta des excuses. Après je resta seule avec le « chef » et il me demanda de le pardonner. Après cela tout s'arrangea. Sorm dormait, vivait même avec moi. On était tout le temps ensemble. Il disait qu'il m'aimait, et je le croyais. Les autres étaient devenue gentils avec moi, plus personne ne me regardait bizarrement, même si certain le faisait à contre cœur. Je pouvais même sortir, avec Sorm, pour me promener mais jamais du côté du palais. Cependant, je devais toujours faire exploser des trains. Je m'habitua alors à cette nouvelle vie. J'étais enfin heureuse, avec Sorm à mes côtés. Mais le bonheur ne dura qu'un temps. On ne me demanda plus de faire exploser des trains mais de rentrer chez des gens pour les mettre sur écoute. Des gens important, faisant partie du grand conseil. Je ne le savais pas encore mais mon père aussi avait été mis sur écoute. Je trouvais cela de plus en plus bizarre. D'abord les trains, puis ensuite les mises sur écoute… Dans mon esprit s'élevait une réponse que je ne voulais croire jusqu'au jour ou je surpris une conversation entre Sorm et le « chef ». - Votre plan à marcher Chef, elle est à 100% avec nous maintenant… Nous allons pouvoir commencer… |
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