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| Agénor Respect diplomatique : 48  07/10 ETU 20:32 | Score : 13 Détails La nuit tombait sur la vielle cité d’Isangrad, capitale du royaume d’Asiral. Les rues se vidaient peu à peu laissant place au silence. Un à un les réverbères s’allumaient le long des principales voies de la cité. Un vent d’une froideur extrême se mit. Un souffle glacial qui semblait surgir des entrailles les plus secrète de la planète. Malgré le vent glacé, deux hommes vêtus de longues toges blanches se tenaient au détour d’une ruelle. Ils semblaient discuter de choses et d’autres. Cependant, le vent était si fort, si bruyant qu’il était impossible d’entendre le moindre mot, le moindre son sortant de leurs bouches. L’un des deux hommes paraissaient nerveux. Il bougeait dans tous les sens et argumentait ses propos à l’aide de gestes brusques. Au bout de quelques échanges verbaux, le second homme posa sa main sur l’épaule du premier et désigna du doigt le palais royal qui se trouvait non loin de là. Quelques instants plus tard, les deux hommes se mirent en marche vers le palais.
Au même moment, dans l’une des salles les plus reculées du palais, une assemblée secrète s’était réunie. Elle était composée d’une centaine d’individus vêtus d’une longue toge blanche. Chaque individu brandissait une torche illuminant ainsi la salle. L’assemblée formait un cercle autour d’une statue. Cette statue représentait un chevalier en armure victorieux d’un dragon à deux têtes. Son pied droit était posé sur le buste de sa victime, montrant ainsi sa supériorité. Il tenait dans sans sa main droite une bannière bleue. Sur cette bannière était représentait un symbole des plus étranges. Sur cette bannière était brodait un serpent rouge combattant une licorne aillée. Dans le plus grand silence, l’un des membres de l’assemblée s’avança. Il se positionna à quelques mètres de la statue et mit un genou par terre. Il regarda fixement le visage de la statue puis baissa la tête. Alors que le temps semblait s’être arrêté, une lueur survint de la statue. Une lumière d’une blancheur des plus pures Une lumière si intense qu’elle en était aveuglante. Elle engloba l’homme qui s’était agenouillé. Ce phénomène, bien qu’étrange, ne dura que quelques secondes L’homme agenouillé se releva et prononça les paroles suivantes : « Tout sera fait selon vos désirs, mon maître ! » | ||
| Agénor Respect diplomatique : 48 08/10 ETU 13:10 | Score : 9 Détails Ce matin là, le soleil se leva d’une manière bien singulière. Il était d’une couleur bien étrange. Il était de couleur rouge vif. D’une couleur apocalyptique laissant présager de la fin d’un monde.
L’empereur s’était levé de bonne heure. Comme à son habitude, il se dirigea vers la salle du trône où l’attendait un gigantesque petit déjeuner. Quelques serviteurs l’attendaient. Ils étaient tous debout, la tête baissée, situés de chaque côté de la table qui était destinée à accueillir l’empereur. La grande porte de la salle du trône s’ouvrir. C’est alors que l’un des serviteurs cria. « L’empereur de la grande Asiral. » L’empereur entra dans la salle d’une manière autoritaire. Il se dirigea vers le siège qu’il l’attendait, ignorant l’assemblée qui s’était démené toute la nuit pour son confort personnel. Alors qu’il dégustait calmement son petit déjeuner, il demanda : « Alors ! Personne ne va me donner les nouvelles matinales ! » « Si mon seigneur, tout de suite mon seigneur ! » Un jeune homme, qui était situé dans le fond de la salle, derrière la chaise de l’empereur, s’approcha timidement, et tendit un journal. L’empereur, ignorant complètement le jeune homme, prit le journal et ce mit à le lire. Alors que l’empereur prenait tranquillement son petit déjeuner, un homme de grande stature, habillé de manière élégante entra. « Mon seigneur, nous avons une nouvelle importante à vous faire part. » « Faites donc mon brave. » « Une de nos patrouille a repéré un groupe de rebelles près de la porte sud de la ville. Nous craignons qu’ils ne tentent quelque chose. » « Anéantissez les et le problème sera réglé. Est-ce si compliqué ? » « Et lace oui mon seigneur. Notre patrouille les a attaqués à l’aube. Mais elle a subit de lourdes pertes et n’a pas réussit à les déloger les rebelles de leurs positions. Nous avons envoyé un bataillon en renfort. Mais cela n’a pas suffit. Ils sembleraient qu’ils reçoivent une aide d’un groupe inconnu. » Stupéfait par cette nouvelle, l’empereur laissa tombé le journal sur la table. « Et bien, mon brave, faite sonner l’alerte. Que toutes les troupes se tiennent prête à l’affrontement. Et envoyez nos unités d’élite déloger ses vaut rien. » « Très bien mon seigneur. Tout sera fait selon vaut désirs. » | ||
| Agénor Respect diplomatique : 48 08/10 ETU 18:10 | Score : 9 Détails Il devait maintenant être aux environs de quatre heure de l’après midi. Le soleil brillait de milles feux. Le temps était des plus beau que le royaume est connu ses six derniers mois. Il n’y avait aucun nuage, aucun signe de pluie, de vent ou même d’orage. Après le froid abyssal qui avait hanté la nuit, une chaleur sortie tout droit de l’enfer régnait sur le royaume.
L’empereur était assit à son bureau, travaillant à l’expansion de son empire. Il envisagé d’envahir le dernier territoire qui échappait à son contrôle. Il avait dans l’idée d’envahir le territoire de son pire ennemi, le roi Thyroïde. Il travaillait durement sur ses plans de bataille lorsqu’un bruit émanant du couloir troubla sa concentration. Un bruit semblable au frappement d’un poing sur une porte. « Qui va là ? » « Lieutenant-colonel O’Neil mon seigneur. Nous avons un problème qui requière votre attention mon seigneur. » « Entrez ! » La porte s’ouvrit lentement, laissant apparaître un homme de taille moyen, possédant des cheveux courts et grisonnant. « Que me vaut cette visite lieutenant-colonel ? » L’homme s’avança en baissant la tête. « Je n’ai pas que cela à faire. Soit vous parlez, soit vous partez. » « Mon seigneur, nous pensions être venu à bout des rebels, mais nous faisions fausse route. » « Comment ça ? » « Nous sommes actuellement en train de subir plusieurs attaques d’envergure. Nos défenses tiennent pour le moment, mais nous ne savons pas pour combien de temps. » « Vous plaisantez moins cher ami. Vous parlez de quelques vaut rien. » « Il semblerait qu’ils soient soutenus par une puissance qui nous est inconnue. » L’homme se racla la gorge et repris de plus bel. « Nos radars ont été détruits par une série de tirs qui semblaient provenir d’engins spatiaux. Nous n’avons pas été en mesure d’identifier nos assaillants, mais il semblerait que leur puissance de feu soit suffisamment importante pour faire d’importants dégâts. De plus, nous avons été la cible de tirs d’artillerie peu avant les attaques que nous subissons. Nous pension tout d’abord à une attaque du roi Thyroïde. Nous avons envoyé trois éclaireurs. Deux d’entre eux sont tombés. Le troisième est revenu dans un très mauvais état. Il a juste pu nous dire que le roi Thyroïde n’y était pour rien. Il y avait des centaines de milliers de soldats arborant sur leurs uniformes un symbole qui lui était inconnu. Un symbole représentant une licorne ailée combattant un serpent. » Entendant ces paroles, l’empereur laissa tomber les plans qu’il avait en main. Tout d’un coup le monde semblait s’effondrer autour de lui. L’empereur ne connaissait que trop bien ce symbole. Il savait ce qu’il représentait. Pris de panique, il commença à donner une série d’ordre au lieutenant-colonel visant à contrer ces attaques et à en finir au plus vite avec ceux qu’il craignait tant. Alors qu’il donnait ses ordres, un éclair surgit de nulle part. Il n’y avait aucun nuage dans le ciel, aucun signe d’orage n’était visible. Surpris par cet éclair improbable les deux hommes se tournèrent vers la fenêtre. Ils furent pris d’une peur innommable, lorsqu’ils virent une silhouette de chevalier se dessiner dans le ciel. |
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