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| Quaideluz Respect diplomatique : 411  06/09 ETU 20:03 | Score : 9 Détails La prise en compte de la probable apocalypse par les hautes sphères dirigeantes de l’empire de Contrevent, avait amusé, dans un premier temps les autorités scientifiques contrevensoises, puis face à l’ampleur de ce sujet, les énervait sérieusement depuis quelques temps.
Habitués à être la proue de l’avancée technologique, donc d’une certaine manière aussi en avancée sociale suite aux retombées dans la vie quotidienne de milliards de gens, ils voyaient les « sorciers » monopolisés l’attention des pouvoirs publics et donc beaucoup plus fâcheux, des crédits destiné aux recherches pures et appliquées dans de multiples domaines techniques. Après des mois d’incertitudes dans le milieu des « matheux », un document déposé fut lu et relu par quelques scientifiques universitaires. Ces personnes contactèrent leurs collègues habitant d’autres systèmes solaires. Ensuite, ce fut toute la communauté touchant de près ou de loin à l’astro-physique (terme un peu vieillot de nos jours) qui disséqua ce document poussant les experts à mettre sérieusement le nez dedans. Tous les observatoires de l’espace firent tourner leurs lunettes pour contrôler les points précis mentionnés dans ce fameux document. Les calculateurs des universités et même ceux de la puissance publique planétaire ou tout cela avait commencé. Au fur à mesure que les résultats correspondaient à la formulation décrite ainsi que ses conclusions, cette nouvelle toucha les médias d’abord scientifiques puis générales. C’est ainsi que la planète Bresse en bourg, planète diamantière et glacière fit son entrée dans les journaux télévisés de l’empire. Donc un soir, une interview fut diffusée sur une chaîne d’information appelé « plus-dinfo-plus-égaux ». La journaliste interrogeait un jeune homme de 31 ans : Bonjour, chers holotateurs, je suis en direct de la planète Bresse en bourg et j’ai en face de moi, Monsieur Hatabanaga , qui est l’origine de la réconciliation entre les sciences dites « dures » et les sciences dites « nébuleuses » qui affirment de l’arrivée d’une apocalypse imminente. Les deux camps s’affrontaient depuis plusieurs mois et ceux du camp nébuleux semblaient damner le pion à l’autre camp. Mais c’est sans compter sur ce jeune homme, ici présent,. Monsieur Hatabanaga est un étudiant d’astro-physique qui, à la fin de son cycle universitaire, a déposé sa thèse. C’est cette thèse qui a mis le feu aux poudres. Elle permet de tout expliquer…. Monsieur Hatabanaga, pouvez vous nous résumer l’idée générale de votre thèse. Le jeune Bressois, un peu intimidé par la présence physique de cette journaliste au charme très sensuel, prononça d’une voix monocorde mais limpide. Mon sujet d’études est basé sur l’observation d’une rencontre entre deux galaxies relativement proches de la notre. Avant tout chose, il faut savoir que chaque galaxie a sa propre vie, ses courants magnétiques, ses tourbillons ioniques, et beaucoup d’autres choses. Par tous ces mécanismes, chaque galaxie obtient une teneur sub-ionique unique. Or les deux galaxies observées pour ma thèse, ont deux sub-ioniques très différentes en teneur i.dimension structurelle. Cette différence entraîne un échange de flux ioniques. Plus celle-ci est importante, plus l’échange est important. Et dans le cas de celle-ci, elle est énorme…. Mes calculs tendent à démontrer que la puissance dégagée va former une gigantesque tempête. Certaines conditions très inhabituelles vont être créés par cet ouragan,.qui vont faire qu’une liaison inter-galactique va se produire avec les galaxies voisines. Cette liaison est une réponse, comment dire quantique, à la quantité d’énergie dégagée par cette différence qui ne peut pas être résorbée par les deux galaxies se rencontrant. Cette énergie ainsi que cette différence doit se déverser, trouver son équilibre. Les structures dimensionnelles de l’univers offrent la possibilité, grâce à la tempête, de contacter les autres galaxies, pour vous donner une idée simple, c’’est comme la foudre. C’est comme un appel de différence entre pression atmosphérique haute et basse… La journaliste poursuivit : . C’est pour cela les réceptacles des sciences nébuleuses sont surchauffées ? Habitué depuis deux semaines à répondre à ce genre de question, l’étudiant fit un mince sourire et répondit : Pour les lois physiques habituels (du moins c’est le postulat des sciences dont je suis menbre), les réceptacles des sciences nébuleuses sont sensibles à certaines charges électriques prises dans le canal lisvoskien. Or celui-ci est saturé en ce moment du fait de la liaison inter-galactique qui s’établit. Pour anticiper votre question, ma théorie ne peut pas mesurer l’intensité de la liaison, et donc les conséquences matérielles. … | ||
| Alaïr de Malchourk Respect diplomatique : 80  06/09 ETU 21:28 | Score : 8 Détails Le roi Alaïr de Malchourk toujours posé sur son siège attendait la suite des évènements, inquiet face à l’apocalypse. Quand soudain, une fois de plus, son ministre de la rechercher et de la santé publique fit irruption sans crier gare.
- Almanir, quelles sont les raisons de ta venue qui trouble ainsi mon repos. S’écria le jeune monarque. - Mon seigneur, veuillez me pardonner. Regardez ceci, c’est fort intéressant. Le conseiller appuya sur un bouton au mur qui fit descendre un écran géant. Il apparut alors le jeune scientifique de la planète Bresse en Bourg avec une charmante journaliste à ses cotés. Les deux hommes écoutèrent attentivement le débats et une fois celui ci terminé, le ministre de la recherche et de la santé publique se tourna vers le roi pour laisser transparaître un visage certes ridé mais plein de gaieté et d’une vivacité nouvelle. On aurait cru que le vieux chercheur avait retrouvé ses vingt pourtant il en avait bien soixante environ. Le roi drapé de noir se leva alors pour rejoindre son ami, il posa une main sur son épaule et lui dit : - Mon ami, c’est de savoir enfin comment fonctionne ce qui va nous tuer qui te réjouis ainsi. - Non ! Répondit-il sèchement. - Alors quoi ? - Mon roi, ce jeune homme à une théorie tout à fait juste de ce phénomène. J’avais fait une thèse analogue à ma sorti de l’université. Je prédisais qu’un jour la galaxie tout entière serait détruite par un cataclysme. Mais ma théorie était que l’univers était tel une toile qui s’étire et s’étire sans fin créant ainsi toujours plus d’espace et de planète pour y vivre. Mais à force de s’étendre cette toile aurait cédé en son centre par manque d’élasticité et de matière produite. Mais le problème est que j’ai eu juste la moyenne à ma thèse. A ces paroles le roi devint blême, et fit une mou affreuse. Dire qu’il avait comme meilleur scientifique et chercheur de premier ordre un homme qui avait eu à peine la moyenne à la sorti de ses études. Almanir comprenant les pensée de son monarque reprit la parole immédiatement. - Mais ne vous inquiétez pas mon seigneur, ma thèse était juste il manquait seulement le point de vue de ce jeune homme. Les juges lors de mon diplôme mon sévèrement noté parce que je n’avais aucune démarche scientifique pour expliquer que l’univers se déchire en son centre. En gros, je prédisais la destruction de l’univers du fait de son extension mais aucun de mes calcules prouvaient que l’univers n’était pas quelques chose d’infini et qui se régénère de lui-même. Mais comme la montrer ce jeune homme, il y’a un échange d’énergie sub-ionique entre chaque galaxie pour équilibrer tout l’univers. C’est cette énergie sub-ionique qui permet l’accroissement exponentiel de la galaxie, son renouvellement et la cohésion de sa structure. Apparemment un problème c’est produit dans ces échanges entre galaxie, ce qui entraîne un bloquage dans le processus de régénération des galaxies et leurs extensions. Le problème étant la matérialisation de cette énergie en tempête magnétique comme l’expliqué ce jeune homme. Cette tempête ressemble en tout point à celle qui nous a mené de la galaxie 0 à espérance. Mais bientôt, le tissu dimensionnel de l’univers va se craqueler en son centre et se déchirer pour libérer une énergie sub-ionique incroyable à la tempête qui va grossir et devenir totalement destructrice. Le roi était ébahi devant son ami, qui faisait des gestes et des bruitages dans tous les sens pour expliquer ces théories. On aurait dit un acteur en train de jouer une pièce de comédie mais il revint bien vite à la réalité quand le vieil homme se calma pour expliquer ses conclusions. - Pour terminer, soit l’univers finira comme il a commencé dans une gigantesque explosion qui ne laissera plus rien derrière lui, le néant. Soit alors la tempête emportera tout dans la brèche du tissu spatiale pour nous transporter vers un endroit inconnu, voir le néant. - Tes conclusions ne sont pas encourageantes mon ami. Pense tu qu’il y’ait des moyens d’échapper à cela ? - Malheureusement je ne saurais le dire, peut être que si nous déployons une énergie sub-ionique que je ne pourrais quantifier dans le tissu spatial de la galaxie cela rééquilibrera les choses. Encore faudrait-il savoir comment injecter de l’énergie sub-ionique à la galaxie. - Tu devrais peut être rencontré ce savant. - Oui, peut être arriverons-nous à trouver une solution. C’est plein d’espoir que le jeune roi et son ministre se dirigèrent vers la salle des communications pour entrer en contact avec le scientifique de Bresse en Bourg. | ||
| Quaideluz Respect diplomatique : 411 07/09 ETU 19:56 | Score : 5 Détails
PEE - PEE - PEE – PEE La sonnerie de l’holophone bipait depuis 30 secondes. Agacé par ce bruit, le tout nouveau diplômé d’astro-physique appuya pour recevoir l’holossage. Quoi encore, Madame Yungstè, je vous avais dit que je ne voulais plus de messages car je travaille. Sur l’holocran en trois dimensions apparut une tête de vielle femme ou la circonscription se mélangeait avec la fatigue. Je sais bien, Monsieur Hatabanaga, mais c’est un officiel qui appelle. Il est du ministère des relations inter-planétaires. Le jeune homme répondit : Mais je m’en contrefiche, par la déesse Krisna, les calculs n’attendent pas. D’une main rageuse, il coupa le son, au moins il n’entendrait plus le PEE – PEE de ce maudit appareil. Pendant ce temps, Madame Yungsté ou plutôt sa tête se retourna pour parler à quelqu’un situé dans le bureau de la vielle femme à 3 étages plus bas. Reprenant son esprit, le jeune homme se concentra et commença à pianoter, à glisser les holofichiers, à cana…..quand soudain, une source de lumière se plaça à deux pas devant son bureau. Cette source se matérialisa en une image 3 dimensions d’une qualité rare. Les yeux du bressois étaient fixés sur l’hologramme, déjà sa curiosité scientifique était aiguillonnée et les questions se bousculaient dans sa tête : Un hologramme de cette ampleur sans d’holorécepteur dans la pièce pour le guider était impossible ? La qualité du tissu holographique était exceptionnelle… L’intrus fit un sourire au bressois mais le jeune homme était déjà sur ses gardes. Pendant que le sourire finissait, les yeux du même visage dégageaient une froideur et un aplomb sans pareil. Agent des relations inter-planétaires, je viens vous demander de vous mettre en communication avec un homme politique extérieur à l’empire. Par un geste assez vif, il claqua ses deux doigts, le holophone s’éteignait. Voyant cela, le jeune scientifique n’en revenait pas que cette personne situé à des centaines d’années lumières de distance puisse d’un mouvement éteindre l’appareil qui se remit en marche avec une tête différente et inconnue du bressois. L’agent, d’une voix monocorde, présenta le nouvel individu comme un ministre de la recherche d’un empire allié. Le nouvel arrivant s’appelait Almanir et commençait à parler de sa thèse avec un langage scientifique de haut niveau. Le jeune thésard l’écouta avec intérêt et répondit à ses hypothèses sur la fin de l’univers. La théorie que j’ai lancée est à ses débuts, même si toute la communauté scientifique travaille depuis quelques semaines sur le sujet de la tempête et des incidences sur notre galaxie ; nous n’avons pas une image très précise. Pour l’instant, nos projections donnent une fourchette de 30 % à 50% des deux galaxies détruites en deux ans. L’énergie créée correspond à 400 ma de fois l’énergie produite par notre galaxie. L’évacuation de cette décharge d’ions va se faire dans les couloirs tsiquonans. Oui, je sais qu’il s’agit d’une vieille théorie de plus de 300 ans et qu’elle a été longtemps pris pour une idée des plus improbables.. Par ces canaux qui froissent le tissu dimensionnel comme du papier millimétré, les flots d’ions avec leurs spectres sub-ioniques différents venant de ces deux galaxies vont se répandre dans les galaxies environnantes et bouleverser la teneur en i-dimensionnelle de notre galaxie. Ce bouleversement va générer des modifications très importantes mais sans casser les poches de Cow placés au-dessus des puits gravitationnels supérieurs à PG8. Tout cela est possible car notre galaxie ne reçoit pas toute la charge énergétique de l’ouragan mais elle va être drôlement secouer. Heureusement que deux autres galaxies en prennent autant que nous. Il y a bien des incertitudes mais l’implosion de notre galaxie ainsi que des deux autres, est très improbable, et qui aurait entraîné une rétraction majeure dans l’univers avec sa possible disparition par le glissement de toutes les autres galaxies dans cette rétraction. Buvant ces paroles, le ministre sentait une énergie qui accroissait sa perception et donc son imagination. Vous avez sans doute raison, Monsieur Hatabanaga, mais une idée me vient. Si les couloirs tsiquonans sont créés, nous pourrions peut être les emprunter et ainsi aller dans les deux autres galaxies très rapidement….. | ||
| Alaïr de Malchourk Respect diplomatique : 80 08/09 ETU 16:30 | Score : 3 Détails Le roi et le conseiller Almanir était devant l’écran et écoutait Hatabanaga. Le scientifique était ravi de voir un jeune homme comme Hatabanaga lui rappelait sa jeunesse. Contrairement à lui Alaïr avait l’air renfrogné et plutôt énervé. Son ami et ministre l’avait remarqué mais ne dit mot et continua à expliquer sa vision des choses avec le scientifique de Bresse en Bourg.
- Bien donc l’hypothèse, des couloirs tsiquonans pouvant nous transporter est tout à fait sidérante et c’est une piste que nous devons suivre. Néanmoins ce qui m’inquiète le plus en premier lieu est la tempête magnétique et ses effets. Vous et moi sommes incapables de prédire ce qu’elle va faire. Néanmoins je suis sur d’une chose l’univers que nous connaissons va se déchirer en son centre. Et toutes les galaxies seront attirées dans la faille vers quoi je ne sais pas, peut être rien, peut être un univers parallèle. Avez vous entendu parler de la thèse du multivers? D’après des calculs que je viens de faire grâce à vos découvertes, voilà ce que j’ai pu déduire. La charge sub-ionique servant à alimenter l’extension i.dimensionelle des galaxies est perturbée par les flots magnétiques de la tempête. Celle ci absorbe l’énergie ionique fragilisant ainsi la structure i.dimensionnelle des galaxies et donc de l’univers tout entier. La structure i.dimenssionelle ce craquelleras dans peu de temps d’après mes calculs. Et… Soudain le roi explosa au cotés de son ami, perturbant ainsi le débats scientifique. - Non de dieu Almanir, vous allez parler un peu moins scientifiquement vous et votre ami je commence à en avoir ras le bol d’être mis à l’écart. Devant la mine surprise des deux scientifiques, le roi se calma net et devint tout rouge de ridicule. - Veuillez m’excuser, un roi doit toujours garder son calme je le sais Almanir. Mais face à vous deux essayer de comprendre quelques choses quand on pas fait des études scientifiques c’est pas facile. Comprenez moi j’ai était étudiant à l’école militaire ou j’ai appris les relations diplomatiques la stratégie militaire et quelques fonctionnement sur les divers types de vaisseaux. Le roi fit un sourire quelques peu gêner, espérant qu’on allait lui expliquer et pas lui reprocher des choses. Le ministre le regarda alors et dit : - Ce n’est rien mon seigneur, veuillez nous excuser. Pour ma part je pense que vous avez tout à fait compris ma thèse vu que je vous l’ai formulé avec des métaphores adaptées à un non scientifique. Je pense que celle de mon collègue, vous est un plus ardu à décrypter pour un néophyte. Le roi acquiesça avec un grand sourire qui montrait qu’il était prêt à écouter son ministre pour qu’il lui explique. - Bien mon roi, laissons Hatabanaga vous expliquer avec vos mots s’il le désire bien sur car il connaît mieux sa thèse et arrivera mieux à choisir ces mots que moi pour vous expliquer. Attendant la réponse le roi fixait le scientifique de Bresse en Bourg comme si le sort du monde était entre ces mains et en faite c’était peut être le cas. |
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