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| -[Aerÿnn]- Respect diplomatique : 2661  21/01 ETU 20:26  | Score : 19 Détails RP spécial Hétag et Saegmund
La vaste demeure d’Hétag, située dans la campagne, sentait la joie de vivre… Toute la famille était réunie, ainsi qu’une amie, Patricia, venue avec ses deux filles, Estelle et Annabelle… Il ne manquait plus que l’invité surprise : Saegmund, qui aurait là, une excellente occasion de mieux faire connaissance avec la troupe… Les femmes étaient aux fourneaux depuis 1 heure, avec l’aide des jeunes filles ainsi que de Maxime et Matthias, grands gaillards d’une vingtaine d’années, qui à vrai dire, ne les aidaient pas des masses… En effet, ils ne tenaient pas une minute en place… Sans aucun doute qu’ils tenaient de leur cher père... Cette irrésistible envie de… toucher… palper… les plus belles choses de l'Univers... Les Femmes ! - "Hyaaaa !!" - "Non mais c’est fini oui ?!!" Criaient les deux jeunes filles qui épluchaient les pommes de terre, sur la terrasse en compagnie des garçons. L’un avait fait une petite frappe sur les fesses tandis que son frère avait passé son doigt dans le décolleté de l’une d’elles. - "Y’a du monde au balcon ! Waaaaaowwww !" proclama Maxime - "Oui mais t’es pas invité !" répondit aussitôt Estelle, lui tirant la langue - "Ouh… fais pas ça, ça pourrait nous donner envie…" ajouta Matthias - "Dans vos rêves seulement !" compléta Annabelle Pendant que tout ce beau monde préparait le repas, qui s’annonçait déjà copieux… Hétag, quant à lui dressait la large table à l’extérieur… Sifflotant, tout content de recevoir Saegmund. Le vin était au frais, la baguette aussi, et les fromages embaumaient la cuisine, se noyant dans l’odeur du rôti de porc au miel… La salade composée de tomates, d’œufs durs, d’olives et de rondelles d’oignons attendait d’être fatiguée. L’heure avançait et tout serait fin prêt… Les ventres gargouillaient en chœur. - "Dis, tu es sûr qu’il trouvera ?" - "Mais oui chérie… Il ne devrait pas tarder maintenant…" Diiing diing diing Donnggggg ! Diiing diing diing Donnggggg - "Ah ! Quand on parle du loup, on en voit la queue ! Hahaaaaa !" - "Qui a parlé de queue ??" demanda Matthias, tout excité de montrer qu’il n’en était pas dépourvu Hétag après avoir ri avec son fils traversa la cuisine, puis la salle à manger et enfin le salon avant d’ouvrir la lourde porte en chêne, laissant apparaître un Saegmund tout stressé, un bouquet de fleurs sauvages, dans une main… Sans doute ramassées aux environs, car il n’avait pas eu le temps… Et une bouteille de lait fraise dans l’autre. - "Saegggg ! Allez entre mon vieux !" - "Bonjour Général et merci pour l’invitation… C’est gentil !" L’invité est dirigé vers la cuisine, profitant de l’occasion pour offrir le bouquet à Irène et saluer Patricia. Hétag interloqué, regarde la bouteille : - "Dis… c’est quand même pas pour moi ça... si ?" - "Non c’est pour...euh... si jamais vous n’en aviez pas... euh…" répondit Saegmund, un peu gêné - "Venez, ne restez pas là, je vais vous présenter à la famille !" lançait Irène, emmenant l’homme dehors ‘C’est ti pas possible… il y tient à son lait fraise ! Powaaa…’ pensait le Général, mettant la bouteille dans le frigo. Mais seulement après l’avoir vidée à moitié pour en remplacer le contenu disparu dans l’évier par du whisky… L’apéro pouvait commencer, chacun prenait place autour de la table tandis que Matthias apportait le plateau… Tout sourire… Le tendant d’abord à Annabelle, lui montrant son ‘œuvre’, tout fier, le mec… En effet, il avait disposé chaque saucisse entre deux olives… Très révélateur d’un esprit tordu ! - "Ca te tente ?" - "Dis quand même !?" - "Ah tu préférerais peut-être une vraie ? Si tu veux j’en ai une grosse !" - "Cochon vas !" rétorqua la jeune fille Suivit d’un rire général, bien que Saegmund semblait un peu coincé… Comme d’hab... au fait. Pour compléter la discussion très intéressante (ahem), Maxime lança : "Arrête ton char Mat’, j’en ai une plus grosse que toi !" Les deux fils commencent alors à se chamailler… Hétag les sépare : - "JE gagne le concours à tous les coups, n’est-ce pas chérie ?" - "Arrête de dévergonder les garçons et sert plutôt à boire !" Le Général, sans attendre, tend un verre de lait à son ami, qui s’empresse de boire une grosse gorgée. ‘Pas mauvais… mais c’est pas mon lait fraise…!’ se demanda-t-il alors, regardant Hétag dans les yeux, perplexe. Ce dernier, comme pour lui répondre : "C’est du batida de coco, très bon hein ? Héhé..." Le dîner est enfin servi, la grande bouffe pouvait commencer, tandis que Saegmund avait la tête qui tournait légèrement… Hétag ramène avec un grand sourire, le lait fraise tout frais. Saegmund trouve le goût bizarre mais sans plus, déjà légèrement ébréché avec le batida… Des anecdotes drôles et originales meublent le repas mais quelque chose attire l’attention de l’invité… Cela faisait une dizaine de fois que Matthias faisait tomber (malencontreusement ?), un coup sa fourchette, puis sa serviette, un autre coup son couteau… et ainsi de suite… Il se penchait pour disparaître sous la table, ramassant ainsi l’objet et se rasseyait… Soudain, l’on entendit un grand : "! Aieeeeeuhh !" Matthias se redresse, avec la trace d’une chaussure sur la figure… A Annabelle de compléter : - "Mais t’es pas bien toi ! T’avais qu’à pas regarder sous ma jupe, cochon !" - "C’est vraiment le portrait craché de son père, veuillez l’en excuser Saegmund…" lança Irène Hétag proteste prestement : "Faut pas exagérer quand même, ma bichounette !" Et sa femme de répondre : "Ah non ? Et qui c’est qui promène ses mains sur mes cuisses depuis ta’ l’heure ?" Après quelques discussions tout aussi fleuries, le fromage et le dessert servi, la table est enfin débarrassée… Les rayons de la lune accompagnèrent le groupe, jusque tard dans la nuit. Saegmund du rentrer sur Nyquist, pour aider à finir les préparatifs pour la fête d’anniversaire de Sara, et rata le plus beau (ahem) spectacle de la journée… Celui où, complètement bourré, Hétag s’était entièrement dévêtu et courait dans le jardin, cul nu, agitant ses bras vers le ciel étoilé, suivi de ses deux fils, également dans le plus simple appareil, faisant des pirouettes sur l’herbe, sous les applaudissements des femmes… Toute une histoire que je n’ai pas le temps de vous narrer… veuillez m’en excuser ! Le narrateur | ||
| Siegfried Respect diplomatique : 237  22/01 ETU 14:17 | Score : 12 Détails - " Aïe… mais vous n'avez pas fini?…
Auriez-vous l'obligeance de cesser, je vous prie?…" - " Rhooo… mais c'est qu'il n'est pas content le p'tit môssieur !… Avance, que j'te dis !… Tonton Hétag fait ça pour ton bien !!! ", dit le général, tout en continuant à botter le derrière de Saegmund, pour qu'il se dépêche un peu… Après les maintes réclamations de Siegfried, Hétag avait fini par accorder à sa secrétaire quelques jours, pour qu'elle puisse fêter dignement son vingt-septième anniversaire, avec son amoureux… D'ailleurs, il comptait bien en profiter, de cette petite fête, et ne pas rester en reste! A six heures du matin, c'était le branle-bas de combat, et il avait embarqué toute sa petite famille, encore à moitié endormie, dans son croiseur amiral, et hop !… direction Nyquist ! Installés sous une petite tonnelle, ils avaient saluer Siegfried et Sara, tout en refusant de les accompagner en ville, voulant rester aux abords du palais… Tout d'abord parce que Sara semblait perturbée, mais surtout… parce qu'il avait une idée en tête !!! Trouver d'abord Irma, qui n'avait pas froid aux yeux, et ensuite son cher Saegmund adoré ! Aussi, quelques instants plus tard… - " Nondidjiou !!… J'n'ai pas accordé à l'autre béta le plaisir d'avoir sa belle pour lui tout seul, pour que tu restes de ton côté le nez dans tes papelards, le cul assis sur ta chaise ! Avance, sacrebleu, ou j'vais finir par m'énerver pour de bon, à la fin ! J'ai que'que chose à te montrer dehors, que j'te dis… Allez, zou ! Une, deux… une, deux… Et arrêtes de te masser les tempes ! On dirait que t'as mal au crâne ! T'as pourtant bu que du lait fraise chez moi !… Alors… Arrivé à l'extérieur, complètement aveuglé par le soleil à son zenith (il n'est pas habitué, le pauvre rat de bibliothèque^^), Saegmund plisse les yeux et se sert de sa main comme visière, alors qu'Hétag, l'ayant empoigné par le col de sa chemise, le tire sans ménagement vers le côté sud du palais… - " Argh… mais vous allez me tuer, ma parole ! Cessez ces familiarités, par pitié !" - " Mais arrêtes un peu de geindre tout l'temps ! Merde à la fin ! Vis !… Tiens, regarde! ", dit alors Hétag, lâchant enfin la chemise du conseiller, et observant, un large sourire aux lèvres, (et quelques filets de bave aussi, il fait bien l'avouer xD), un groupe de lavandière accomplissant leur office, se penchant, se courbant, pour ensuite se relever avec le linge à étendre… - " Ahhhhhhhhh… A moi les belles poulettes ! Le dernier arrivé, le dernier servi ! Whouhahahaha… Allez, détends-toi… et décoinces-toi un peu, va! Elles vont pas t'mordre…", ajoute-t-il, se ruant comme d'habitude, tel un taureau reproducteur en rut, sur tout ce qui porte jupons et soutien-gorges ! Et bien sûr, le général était le premier arrivé… comme toujours lorsque du popotin se faisait voir! Pour la plus grande indignation de Saegmund, qui voyait là le plus bas des instincts animales… Mais avant même qu'il ait eu le temps de faire demi-tout pour aller se réfugier derrière ses rapports, il se fait déjà apostropher par la voix de stentor du généralissime représentant flÿnnaen… - " Allez fiston, reste pas là comme un imbécile ! Papa Hétag va te donner un cours d'anatomie ! Whouahaha…" Le général ricane alors, entouré des cris stridents des pauvres jeunes femmes qu'il a empoignées, et qu'il ramène prestement vers le népomucène, devenu complètement rouge de honte… - " Alors ça, mon cher Saeg, vois-tu, c'est… une femme! Toute jolie toute propre… qui sent bon! Ca porte des jupes, ça a des nénés, et surtout… ça crie tout l'temps… comme maintenant! Mais ça, on s'en fout… ce qu'elles disent, ce n'est jamais intéressant… sauf quand ça dort!" - " Espèce de malotru… mais vous n'allez pas bien dans vo'te tête basanée, vous?" s'écrie alors une des lavandière, toujours portée comme un sac à patates par le général flÿnnaen… - " Allez, fiston, tâte donc de cette chair tendre… Il faudra bien que t'y touche un jour ou l'autre ! Allez, j'te dis ! j'suis sûre qu'elle est consentante, en plus !… Juré craché !" - " beuh… co… qu… ", bredouille alors Saegmund, tandis qu'Hétag prend sa main et la dirige vers la poitrine de la jeune femme… "Je ne… me sens… pas très…", ajoute-t-il, avant de perdre connaissance ! Quelques paires de baffes plus tard, le conseiller revient à lui, encore tout pâle et la vision trouble… qui se dissipe peu à peu, pour devenir l'image d'une opulente poitrine ! Ce qui a le don de lui remettre des couleurs aux joues… - " Comment vous sentez-vous, cher monsieur?… Je ne pensais que vous réagiriez de cette manière… Le général Hétag, que je commence à connaître, avec ses fréquentes visites, m'avait prévenu que vous étiez coincé, mais là, c'est pire que tout… un cas désespéré! Se mettre dans des états pareils pour une innocente plaisanterie, tout de même! Faudrait voir à prendre un peu plus d'assurance!", lui rétorque la jeune lavandière… Le général, écartant la jeune femme, s'approche de Saegmund, et, lui tendant la main, l'aide à se relever, tout en disant, de manière fort ironique : - " Ralalala… mais qu'est-ce qu'il faut pas voir, j'vous l'demande! Elle est-y pas à ton goût, le p'tite Irma?… Whouahahaha ! J'la trouve plutôt charmante, moi… avec toutes ses rondeurs… Mais bon, y a quand même un point positif… comme dans toute chose! Après un chti malaise, on ne boit pas de lait fraise, mais du cognac!" - " Non, non, général !… Surtout pas !… pas après la journée d'hier !" Et déjà, le conseiller, à peine revenu à lui, cherche à se défaire de la poigne d'Hétag, puis se met à courir sur ses jambes frêles, à travers le jardin, cherchant à semer son poursuivant qui s'était mis à chanter… " Moi je t'offrirai Des perles de pluie Venues de pays Où il ne pleut pas Je creuserai la terre Jusqu'après ma mort Pour couvrir ton corps D'or et de lumière Je ferai un domaine Où l'amour sera roi Où l'amour sera loi Où tu seras reine Ne me quitte pas…" - "WHOUAHAHAHAHAHA… Allez, reviens, Saeg! Ne me quittes pas ! Viens voir Tonton Hétaaaaaaaaaag !" , s'écriait le général, courant après "Timide", une bouteille de cognac à la main! | ||
| -[Aerÿnn]- Respect diplomatique : 2661 23/01 ETU 14:22 | Score : 9 Détails Le couple était enfin revenu du marché, un sourire complice se lisait sur leur visage, heureux et amoureux, ils décident de rejoindre la troupe. Au loin, ils peuvent apercevoir un Saegmund haletant, s'arrêter quelques secondes pour reprendre sa course folle... Suivi de très près par Hétag, toujours en forme :
- "Reviens gaminnn !!! Mais reviensssss quoi !" - "Plus de cognac Général ! Laissez-moi tranquille !" Ils se regardent et pouffent de rire. 'Les inséparables' qu'ils les appelaient. Sara et Siegfried arrivent dans la tente, sous les applaudissements généreux des convives, s'écriant en choeur : "Joyeux Anniversaire ! Joyeux Anniversaire !" Une seconde tournée de bécots et la fête pouvait commencer. Tout était parfait, les ancolies meublaient les quatre coins de la tonnelle, quelques ballons ici et là, un long buffet mêlant plats et cocktails en tous genres, une piste de danse pour les éventuelles envies de se défouler, tiens, justement, on passe une vieille musique... La cucaracha ! Ni une ni deux, Maxime et Matthias entraînent chacun Estelle et Annabelle, tandis que certains s'attaquaient déjà aux petits-fours et que d'autres s'amassaient autour de Sara et ses... 6kg de fraises.... Etonnés, se demandant ce qu'elle allait en faire... Le cuisinier du palais arrive enfin, avec pour ordre de les décliner sous plusieurs formes : en milk-shake, sur un plateau simple accompagné de crème fraîche, en salade de fruits, en guise de décoration du gâteau... Siegfried quant à lui semblait tout excité, regardant sa fiancée tout sourire, semblant vouloir annoncer quelque chose. C'est alors que Saegmund et Hétag arrivent enfin, essoufflés aussi bien l'un que l'autre, riant à pleins poumons. La bouteille de cognac était vide, on se demandait si le Général avait finalement réussi son projet... Après de nouvelles papouilles à Sara, Hétag s'installa enfin, prenant Saegmund par le col (car il voulait encore s'enfuir...) et l'asseyant à ses côtés. : "Alcooooool à volontééé !!!" s'écria-t-il bien désireux de s'amuser et profiter de sa petite Sara, sans doute pour la dernière fois. Et les rires se font encore entendre sous la tonnelle encore la tonnelle. L'histoire vous pouvez l'imaginer seuls... Imaginez Joyeux entraînant son sacré Timide, sur la piste de danse, puis attrapant au passage Siegfried qui invite sa belle, puis Matthias, suivi de près par Annabelle, qui finalement adorait le jeune homme... Maxime prenant Estelle par la main, et cette dernière poussant sa mère à se lever et à se joindre à eux... Une longue farandole, fermée par tous les employés qui passaient par-là, sur une vieille musique : La danse des... (riez pas) CANARDS ! Imaginez le buffet diminuant lentement... Par contre, les bouteilles d'alcool sont presque vides, sous les soupirs des employés qui devaient sans cesse approvisionner la table... et pourtant, la fête ne faisait que commencer ! | ||
| Siegfried Respect diplomatique : 237 23/01 ETU 22:36 | Score : 6 Détails Imaginez un magnifique soleil couchant, plongeant peu à peu le lieu des festivités dans une pénombre relative,
des torches et des bougies parfumées remplaçant la lumière naturelle qui maintenant s'était éteinte... Imaginez le visage de chacun d'eux, le brouhaha sous la tonnelle, témoignant d'une soirée bien arrosée... avec les éclats de rire, les regards amoureux, et les cris des jeunes femmes, de nouveau victimes de... palpages de fesses et de décolletés ! (décidément, Maxime et Mathias avaient de qui tenir ^^ ) Imaginez l'aura d'amitié sincère entourant ce lieu... et penchez-vous plus précisément sur ces deux zigotos : Hétag et Saegmund !, maintenant assis face à face à une table, comme de vieux amis… Qui aurait cru que deux caractères si opposés pouvaient s'estimer, s'apprécier, sympathiser? - " Arf, Géné… enfin Hétag !… Ce serait déroger à mes principes, je pense, que d'accepter encore une coupe de champagne !… Vraiment, je ne dois (…)" - " Ralala ! Arrêtes avec tes "Faut pas !"… T'es plus à ça près ! Il était pas bon, mon p'tit cognac?… T'as pas aimé?" - " Si, si… exquis… mais…" - "Pas de mais qui tienne ! Ce sont les 27 ans de Sara aujourd'hui, alors tu fais ce qu'on te dit, et on trinque en son honneur !", réplique le général flÿnnaen, tout en remplissant la coupe de son acolyte, qui ne faisait d'ailleurs rien pour l'en empêcher… Et alors que leurs verres s'entrechoquent ( *Tchin* ), et qu'ils les boivent, une serveuse passe par là, portant une lourde caisse de boissons, et HOP ! La main d'Hétag fuse, l'attrape par la jupe, et la voilà qui se retrouve assise sur les genoux de celui-ci… - " Où qu' tu vas comme ça ma toute belle? C'est gentil d'avoir pensé à Tonton Hétag ! WHOUAHAHAHA… car tout ce qui n'est pas bu reste à boire !", s'esclaffe-t-il, avant de faire une moue avec ses lèvres, et de les approcher de celles de la jeune femme… - " Mais… espèce de malotru !… arff… au secours ! " - " Allez, allez !… Qui c'est qui va avoir son p'tit bisou?… hein, qui c'est?…" - " Hihi… N'est-ce pas le Général Casse Pompon qui inventa ce bon mot : bècetaguènequjtebèzelacroup ? Oups… mais que m'arrive-t-il?… Je… je suis confus, vraiment !… Je… ça ne me ressemble guère…", se reprend aussitôt le conseiller Saegmund, devenu rouge de honte… Tenir des propos si grossiers, et devant une dame, qui plus est ! ( rhooo ) - " WHOUAHA… YOUPIIIII !!!… Ca y est, mon Saegmund ! Te v'là guéri ! Dans mes bras, mon grand ! Y faut que j't'embrasse ! Et qu'on trinque ! Haha… Encore et encore, jusqu'à plus soif ! ", s'exclame alors Hétag, se levant soudainement pour aller étreindre son ami, et faisant choir la pauvre serveuse, qui se retrouve les quatre fers en l'air, vociférant à tout va ! Et soulevant à moitié le népomucène du sol, il lui donne quelques tapes dans le dos, avant de le traîner de nouveau sur la piste, piquant au passage une rose trônant seule dans un vase… Et maintenant… Imaginez Beaucoup Plus Joyeux dans un tango passionné avec Un Peu Moins Timide, prenant une posture magistrale, et affichant un air des plus sérieux, alors que son partenaire, lui… Et imaginez le soulagement de ce dernier lorsque le X-Com du général se met à sonner, et qu'il s'écarte pour lire le message qui y est affiché, le laissant enfin un peu tranquille… Mais imaginez aussi son désarroi, lorsque l'expansif personnage qu'il commençait à considérer comme son grand frère, fronce les sourcils, avant de pianoter un petit message à l'adresse de Siegfried, avec beaucoup d'intérêt ! Les discussions de vive voix se feraient plus tard… Pour l'instant, il est debout sur l'estrade, Sara dans ses bras, ayant tous deux une annonce à faire, une heureuse nouvelle à partager avec leurs proches… - " Rien de grave, j'espère?… mon cher Hétag…"demande alors Saegmund… - " Bien au contraire, mon petit !… Bien au contraire… Des nouvelles de l'assemblée flÿnnaenne… Mais ce n'est ni le lieu ni le moment d'en parler !… Demain, je pense… Il faudra que nous ayons une petite discussion, tous… Sieg avec Sara, et moi avec eux… et toi…" - " Ah, mais… de quoi…" - " Chut !… Suffit !… Laissons-les savourer cet instant, veux-tu !…" (…) - "C'est du joli !… Ma petite Sara est enceinte?… haha, je m'en doutais un peu, à voir la tête qu'elle faisait ce matin… avec son air tout timide ! La marmaille vicking, ça s'arrose !… Il faut trouver à boire, et vite ! HAHAHA… " -" Comment?… Il faut encore qu'on trinque?, demande timidement Saegmund Avec un petit lait fraise, c'est pas possible?… Et puis c'est bon, aussi…" -" Arrête de dire des sottises plus grosses que toi !… Viens, suis-moi ! Allons plutôt délester cette charmante serveuse de sa caisse de pinard ! Et pourquoi pas aussi de sa jupe?… WHOUAHAHAHAHA" Et c'est ainsi que, sous la tonnelle où se déroule les festivités en l'honneur de Sara, des cris suivis de puissants éclats de rire se font entendre, sous les applaudissements de tous les convives… Merci à Krikri (joueuse d' Hétag) pour l'écriture de certains passages... |
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