Forums galactiques > Assemblée Galactique : diplomatie officielle > Rp: Le soleil d'Euphor
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Denior Respect diplomatique : 3266 29/01 ETU 14:12 | Score : 8 Détails Rp entre Denior, le clan Ysocras, Llor et si ils le souhaitent Ari, Cesco et Rosa....
Les vastes prairies remplies de fleurs avaient toujours été leur terrain de jeu préféré. En compagnie de sa jeune sœur Thibaudia, Alcor passait ses après midi d’été à courir dans les champs, cueillir de grands et beaux bouquets champêtres qu’ils ramenaient le soir à leur mère, construire des cabanes auprès du paisible cours d’eau qui serpentait paresseusement les longs de la propriété familiale. Rien ne laissait voir qu’ils étaient les héritiers du trône euphorien, d’ailleurs la monarchie euphorienne n’avait rien de pompeux à cette époque sous le règne de leur grand père, le bon roi Hunrior IV. Leur père, Denior XIII, épris de Justice, les laissait vivre une vie d’enfants normaux, loin des discussions politiques, activité préférée des euphoriens et des dissensions galactiques. Denior avec dix ans de plus qu’Alcor, et douze de plus que Thibaudia. Il se sentait le Devoir de les protéger contre toutes les agressions du monde,mais pour eux du haut de leur 8 ans et 6 ans seuls les fourmis, les mulots et autres sauterelles étaient des monstres hideux qui les tourmentaient pendant leur sieste. Tout n’était donc qu’insouciance et gaieté au doux Royaume d’Euphor. Alcor était un jeune garçon insouciant, plein de vitalité et de joie. En dehors des périodes de jeu, il passait de longs moments en compagnie de son frère aîné dont il aimait la sérieuse tendresse. Il comprenait parfois un peu difficilement que celui ci se concentre autant à ses devoirs, ni pourquoi ce serait Denior qui succéderait un jour à vieux papy et à Papa, un jour. Néanmoins, les égards dont jouissait Denior de ce fait l’agaçaient parfois, mais lorsqu’il y pensait sa vie finalement serait sans doute plus douce.... Il ne savait rien des tensions qui existaient entre Denior la pacifiste et Véga la terroriste. L’ambition démesurée du Stratégère planait désormais sur Euphor qui multipliait les missions diplomatiques pour aboutir à la Paix. Cet après midi là, Alcor avait décidé sa jeune sœur de construire un barrage le long de la rivière, comme les castors... Denior les surveillait de loin, lisant sous un chêne; Soudain de lourdes formes noires envahirent le ciel et des bombardements éclatèrent dans le calme ciel euphorien. Les troupes veghiennes débarqué sur Euphor, détruisant tout sur leur passage. Un tir ionique aboutit à proximité des deux enfants. Denior se précipita mais déjà le corps sans vie de Thibaudia gisait sur la berge. Alcor, sonné, respirait encore. Rejoindre le bunker royal, le rejoindre au plus vite. Emportant le corps de Thibaudia dans ses bras, il stimulait mentalement Alcor afin qu’il se dépêche en oubliant sa douleur. Il atteignirent sous les bombes et les cris le bunker principale. Les nouvelles étaient terribles, le vieux roi Hunrior était mort en se rendant au c chevet des victimes, regroupés dans l’Hôpital Central, son fils le désormais Roi Denior XIII combattait au sol avec les troupes euphoriennes mais partout circulait la rumeur de sa mort. Denior retrouva sa mère qui veillait à la l’infirmerie. “Mère, je suis désolé. Je n’ai rien pu faire. Thibaudia.... “Je sais mon fils, tel était son destin. Celui de ton grand père et de ton mère est déjà accompli, le mien sera bientôt achevé. Ta place n’est pas ici. Procyon, ici présent va te mener vers nos laboratoires secrets, tu y retrouvera Dav Vasselina, Bru Pilota, Tanguy Seltov et quelques pilotes. Votre escadrille est l’avenir de notre civilisation. Pars et en regardes plus derrière toi. Emportes avec toi cette médaille qui enserre notre famille. Mais si aujourd’hui nous nous quittons pour toujours physiquement, ton père, ta sœur et moi, nous serons toujours présents dans ton coeur et nos âmes pour t’aider dans ta futur vie de dirigeant d’Euphor. Tu seras un grand Roi, mon fils. Pars, maintenant... Mais mère, et Alcor.? Son précepteur, Calud Gatignia va l’emmener dans ma famille sur Ysocras. Là bas, et son destin....” | ||
Denior Respect diplomatique : 3266 29/01 ETU 18:15 | Score : 5 Détails Denior ne pouvait se résoudre à les abandonner et sa mère, Nic Amelina, le regardant fixmeent dans les yeux lui dit d'un ton n'appelant nulle réplique
"Mon fils, tu n'as pas le droit d'être faible. Tu dois assumer ta naissance et ton Devoir. Celui de sauver ton peuple et de détruire Véga, définitivement. Seul, tu seras et je t'ai formé pour cela. Oui, tu connaîtras toute ta vie la douleur de la perte des êtres aimés mais tu es né pour souffrir en évitant ainsi aux autres de souffrir. Car tel est ton Destin. Tu feras de grandes rencontres et tu apprendras beaucoup d'elles. De vos unions intellectuelles et pour certaines physiques naitra l'équilibre de cette galaxie. Pars en gardant le souvenir de l'amour de ta mère, mais obéis à celle qui est encore ta Reine." Au dela de ce message, Amelina lui décocha une onde psionnique ultime qui ramena Denior à son Destin? Il prit la route du spatioport souterrain. Les 4 étaient là, prêts au combat, à coté de lourds vaisseaux guerriers. "Bienvenu votre altesse, l'escadrille des peace figther est à votre disposition..." | ||
Rosa L. Respect diplomatique : 1595 30/01 ETU 11:27 | Score : 5 Détails J’avais 16 ans, au temps de mes débuts en Politique, dans la mouvance du courant révolutionnaire, initié par mon ascendante.
Et, si le 21 est synonyme de Libération pour le peuple de Cyrène, il est pour moi, le jour de la disparition de nombre de mes amis. Je n’oublierai jamais cette commémoration, noble évocation de la passionnée et respectée Rosa, mon illustre tante ! A ce moment précis, l’idée de don de soi, l’idée d’aider les opprimés dans leurs justes luttes ne fut que récurrente dans mon esprit. Et, pendant mes études, rien ne pouvait me laisser penser que je serais propulsée au plus haut de la scène politique par le peuple. "C’est la révolution ? Non, c’est seulement le début de la Révolution !" Je me plais à le croire….. D’un point de vue plus personnel, je suis fille unique. Mes parents étaient des commerçants aguerris, ayant un don qu’ils m’ont transmis très tôt. C’est pour cela que mon peuple est heureux…..il ne manque de rien et je l’écoute toujours. Puis, mes parents sont décédés dans une explosion hyperatomique, j’avais 17 ans. Un période de solitude m’a envahi autour de mes 20 ans. Plus de Famille, sauf ma famille politique. Vous me direz, c’est mieux que rien ! Et vous avez raison. Puis, et arrivé Emilio dans ma vie, mon ami de toujours, mon frère désormais. Mon soutien inéluctable, mon conseiller, mon fidèle. Rien ne pourra jamais nous séparer. De 5 ans mon aîné, il est attentif à mes rencontres. Effectivement, il lui a fallu un moment avant d’accepter mon mariage avec Rendillion. Puis, j’ai obtenu sa bénédiction, à 25 ans. Vaut mieux tard que jamais ! Puis voilà, le divorce, Et Aristippe est entré dans ma vie. Le gouverneur l’a plutôt égayé ma Vie ! D’un côté, il me rassure. Et derrière son air sérieux et rigide, il s’avère être un Homme tendre et amusant. Quelques instants de mon passé…mon avenir reste à écrire. | ||
Cesco Imperator Respect diplomatique : 3122 30/01 ETU 12:22 | Score : 4 Détails L’Empereur dormait d’un sommeil profond, dans les bras de Llor…la paix retrouvée de son âme lui avait permis de s’endormir sans trop tarder, pour une fois…et il rêvait…non plus aux pertes qui avaient endeuillées sa vie, mais à lui…comment l’orphelin était devenu l’Empereur…sans doute son sub-conscient avait-il décidé qu’il était temps de dresser un bilan…
…………………………………………………………………………………………………... Quelques vagues images…une femme penchée sur lui, qui le regarde avec des grands yeux larmoyants…elle l’aime, il le sent, il est bien avec elle, il a confiance en elle…et cet homme, là, à ses côtés…il est grand, fort…le bébé ressent sa fatigue, sa peur…des cris, des hurlements, le nourrisson crie, la femme tombe près de lui, il perçoit sa douleur, et reçoit ses larmes sur son corps allongé…il hurle, il pleure, ne voit plus l’homme dont la voix vient de s’éteindre…une ombre gigantesque passe sur lui, et une masse de fer et de chair, puante, dégoulinante de sang, s’interpose devant ses yeux embrumés. Il hurle de plus belle. Et se sent soulevé… …………………………………………………………………………………………………... « DEBOUT ! » L’enfant sursaute sur sa paillasse, et ouvre très vite ses yeux, tombant nez à nez avec la brute repoussante qui est perchée sur lui. Instinctivement il recule, rampe vers le coin de la pièce froide, se protège, prêt à recevoir les coups. « Tu es sûr de toi ? il me semble faible, trouillard… » « Oui. Il a déjà réussi à survivre 5 ans ici…ce qui montre son potentiel. Et s’il est vrai qu’il a l’air effrayé, je le suis depuis plus d’an. Et sa peur est raisonnée. Regarde le bien, Julius. » « Tu vas t’lever devant ces gens, morveux !? » Le Gardien de la geôle lève son bras, faisant claquer le fouet. Et l’enfant baisse les bras qui cachaient son visage, regarde l’homme avec une lueur de défi, se jette entre ses jambes et lui mord violemment le mollet ! Le bras de la brute s’abaisse tandis qu’il lâche son arme, hurle de douleur, et ramène ses bras pour se saisir de l’enfant qui s’accroche comme un pitbull. Julius fait un mouvement, mais son confrère l’arrête d’un geste. Le gardien a réussi à saisir le gamin, mais il a beau le secouer, celui-ci ne cesse pas de mordre, le sang dégoulinant de sa bouche et se répandant sur le sol. Finalement l’homme l’arrache d’un coup, emmenant par là une large part de sa chair, et dans un cri de rage et de douleur, le jette de l’autre côté de la pièce putride. « Alors, Julius, que t’avais-je dit ? ce gamin est parfait pour nous…tenace, malin… » « …Tu t’en doutais ? qu’il allait l’attaquer ? » « Je n’en suis pas surpris, c’est tout… » La brute boitillante s’est rapproché du gamin sonné, et le tabasse maintenant avec rage, ne retenant pas ses coups. « J’VAIS T’CREVER, P’TIT SALAUD ! » « ASSEZ ! Je t’interdis de le tuer, manant ! Tu n’arrives pas à la cheville de cet enfant ! » « Mais votre seigneurie, ce petit salaud m’a… » « Le Préfet s’en moque, scélérat. Cet enfant vient d’être choisi pour être éduqué chez les candidats Imperator. Tu ne le touches plus. Et la prochaine fois que tu lui réponds, le vent t’agitera en haut d’une croix…suis-je assez clair ? » La brute recule, et arrivé à quelques mètres des deux hommes, s’incline sans mot dire. Son sang coule le long de sa jambe. En face, dans le coin, le gamin prostré se redresse difficilement, marqué pas les coups. Lui aussi saigne de plusieurs plaies au visage. « Vas le chercher, et emmène-le. Nous partons. » Il regarde le gardien honteux qui vibre de colère. « Pries les Dieux que cet enfant ne soit pas trop touché… » Le soldat de la Garde Prétorienne quitte le Préfet, et s’approche de l’enfant qui le regarde sans fuir, malgré les hématomes naissants sur ses traits fins. L’homme se baisse, et soulève son petit corps, et se dirige vers la sortie. Ils passent devant le chef, qui cesse de fixer le gardien et passe après eux la porte. « Qui est ce gamin ? d’où le connais-tu, Préfet ? » « C’est le dernier-né d’une famille de paysans qui avait hébergé des esclaves rebelles. Et qui ont été punis. Mais les légionnaires n’ont pas eu le cœur de tuer ce bébé…ils l’ont donc ramené ici, dans l’orphelinat. Il a vécu sa courte vie ici, et a survécu…contrairement aux pronostics… » Le Garde dévisage l’enfant maintenant reconnaissable, et comprend mieux son envie de vivre au fur et à mesure qu’il découvre les couloirs insalubres… « D’accord…et cela suffira peut-être à le faire tenir aux cours des longues années qui s’annoncent…devenir Imperator est si dur…mais cela ne pourra pas être pire que ce mouroir, de toute façon… » « Oh, ça, je ne sais pas…mais au moins, il aura sa chance…plus qu’ici… » Le Préfet regarde l’enfant qui sombre peu à peu, la douleur prenant le pas sur sa volonté. Il lui ôte une mèche qui colle sur son front ensanglanté, et ajoute, tout bas : « Ton destin est entre tes mains, petit…mais moi, Hadrian, Préfet du Prétoire de Nova-Roma, je t’aurais donné une possibilité de vivre…sois en digne, petit Cesco… » A suivre, bien sûr… | ||
Denior Respect diplomatique : 3266 30/01 ETU 13:56 | Score : 3 Détails Ainsi, la rumeur était vraie. Le vieux Roi Hunrior avait armé Euphor.
Procyon expliqua à la petite escadrille les données techniques des peace figther. Le terme figther n'était nullement usurpé. L'arsenal était impréssionant. Cumulant les atouts des Cla et des, des Cli et des Clh, les peaces figthers avaient également d'autres surprises comme celle d'utiliser la foudre, les rétro lasers, ou encore de pouvoir moduler les métaux pour scinder les vaisseaux ennemis. Procyon " ces armes sont tous simplement les plus puissantes existant dans la galaxie. Cela ne sera pas inutiles car vous devez non seulement endiguer l'attaque ennemi mais éradiquer la totalité de la flotte ennemie." Denior: "Mais la flotte ennemi représente tout le peuple veghienne, ce sont des nomades. Si nous détruisons toute la flotte nous commetons un génocide. Ce n'est aps concevable..." Procyon: "Ils n'arreteront qu'une fois installer ici et après notre mort à tous. Nous n'avons donc choix que de vaincre ou mourir" Denior ne pouvait se résoudre à combattre aussi extrêmement. Le choix ne pouvait être aussi manichéen. On entendait le retentissement des bombardements ennemis. Soudain, l'un fut plus grand que les autres. Les capteurs sensoriels permirent de voir les images extérieurs. La porte du bunker royal avait cédé. Les bléssés étaient exterminés sans pitié, la Reine Nic Amelina fut tuée à bout portant par le propre fils du stratégère. Le corps de la Reine s'affaissa dignement, sa longue chevelure blonde s'étalant au sol comme un soleil d'été. Horos, le fils du stratégère lui rendit un dernier hommage en lui crachant dessus. Denior vécu cet outrage avec une rage croissante. La colère laissa place à la haine et il s'élança vers le Peace figther 1, bientot suivi de ses coéquipiers... | ||
Le Clan Yzocras Respect diplomatique : 969 02/02 ETU 20:10 | Score : 2 Détails Communiqué du Kart Alcor.
Mon frère me propose de vous raconteur mon passé. Je vais donc vous raconter ma vie jusqu'à aujourd’hui même si mes chers Karts pensent profondément que vous vous moquez de savoir qui je suis et pourquoi je suis, aujourd’hui, devant vous (3/6). Mon frere vous a déjà raconté le pourquoi du comment de notre séparation, pourquoi lui est resté sur Euphor pendant que l’on m’a forcé a m’exiler sur Yzocras. Je vais être franc avec vous. Au moment des faits j’aurai mille fois préféré rester sur Euphor pour combattre au coté des miens, et même surement en mourir du haut de ma dizaine d’années. Enfin, cessons de parler de mes sentiments personnels. Concentrons nous plutôt sur mon arrivé sur Yzocras avec Calud Gatinola. Il était un homme d’une stature impressionnante mais il avait surtout un cœur énorme. Il était un homme accueillant, toujours la pour me venir en aide et quand il ne pouvait a cause de son rôle de politicien sur Esperance, sa fille Laurentia qui avait plusieurs années de plus que moi m’accueillait a bras ouvert comme un frere. Bon je reviens a mon arrivée sur Yzocras a bord d’un vaisseau de transport Euphorien nommé ClioPace avec Calud, Lorentia et moi-même, ainsi que quelques autres personnes. Le voyage dura seulement quelques heures. Arrivés sur Yzocras, Calud m’emmena directement chez un de ces amis accompagné de Lorentia. Je rencontrai alors Ariel Goddanne, pour la première fois. Une Echarpe Rouge était posé sur sa table, ayant pour symbole un arbre fruitier. Il était un homme droit avec son uniforme militaire. Des qu’il me vu il s’approcha a pas tonitruant et me sera la main d’une manière forte mais diplomatique. Calud me demanda d’aller faire un peu de thé avec Lorentia dans la x-teillere qui était au fond de la table, et âpres avoir dévoré tout les x-chocolat avec Lorentia petite dédicace.. , nous amenâmes les tasses de thés vers les adultes. C’est à ce moment que Calud m’annonça que j’allais vivre chez Ariel Goddanne. Calud et Lorentia partirent donc en me laissant en pleur chez un inconnu chez lequel j’allais vivre. C’est ainsi que j’arrivai dans la famille Goddanne, une famille stricte, politicard et militaire. Pendant de multiples années j’allai au Collège Politique d’ Evargraw et a la fin de mes études Scolaire, mon père m’inscrive au Lycée Militaire de Follet sur Marne sous bois. J’étais plutôt bon élève que ce soit au niveau sportif qu’ Educatif. C’est dans cette école que j’acquis mes connaissances dans l’art militaire, ainsi que politico-militaire. Mais le jour de mes 18 ans la guerre éclata sur Yzocras entre les Ebariens et nous les « humains » avec au milieu bon père, mon ami, Calud en tant que Négociateur de la Paix. Chaque jour des centaines de soldats, mourait. J’avais intégré le 809 eme Bataillon de x-centurions en tant que Lieutenant. La guerre dura de nombreux mois et couta la vie de milliers de personnes des deux camps. C’est au bout de 9 mois de combat que Calud tenta d’intervenir personnellement dans une des batailles. Il fut écrasé et tué par les Ebariens. C’est à ce moment que nous décidâmes de finir la guerre. Nous lancions une dizaine de missile Etas VIII sur leurs territoire tuant des milliers de civiles mais terminant cette guerre. D’un point de vue personnel je finis cette guerre en tant que Héro gagnant plusieurs grandes batailles et en obtenant le titre honorifique de Notwal en Chef des Armées Yzocrazien du PC1 du système. Depuis ce moment, plusieurs années se sont écoulé, j’ai quitté l’armée et me suis de nouveau exilé dans ma Ferme des Sycomores avec ma femme et mes enfants. Apres plusieurs mois de solitude familial je reçus un x-com me prévenant que je me rappelant que j’ inscris au poste de Kart d’Yzocras pour quartes postes et qu’il fallait que j’aille sur Necti pour les Elections. Je décidai d’y aller et je gagnai par grande surprise le poste de Kart dans trois partis. Pour être honnête je ne sais point pourquoi j’ai accepté ce job. Peut être cela était il mon destin. Toujours est il qu’aujourd’hui j’ai découvert qui m’a inscrit et qui m’a, disons, aidé pour obtenir ces postes. Sachez que je lui en veux toujours, non pas pour m’avoir inscrit, mais pour m’avoir exilé sur Yzocras, et j’aurai ma revanche, bientôt, bientôt, bientôt… Voila c’est tout ce que j’ai à dire qui n’est pas trop personnel. Non je ne vous en dirai pas plus, surtout à toi Wyatt. Denior petit coquin tu devras avoir honte de demander ca à quelqu’un de la famille. Non je ne vous le dirai pas qui c’est ma femme. Encore moins si elle a une grosse poitrine. Non mais arrêtez. Bon puisque c’est comme ca je monte dans mon x-Helipopter et je m’en vais. Tant pis pour vous. Pop pop pop pop pop pop pop pop pop pop… Fin du communiqué. | ||
Denior Respect diplomatique : 3266 08/02 ETU 18:09 | Score : 4 Détails L'envol de l'escadrille des peace figther fut comme un rayon de soleil dans une nuit sans éclat. Bientôt chaque vaisseau décocha son lot de ioniques et autres missiles, atomisant les flottes veghiennes éberluées de découvrir une armée euphorienne.
"Sire, le commandement général des forces veghiennes gèrent la majeure partie de la flotte; constituée de droïdes. Le détruire, c'est éradiquer leur armée. -Alors concentrons nos tirs sur lui. - la quasi totalité de la population civile y est regroupée. Le détruire c'est la tuer. - Il ne doit pas en rester un seul !" La voix de Denior ne laissait trahir aucune émotion. Sa colère était à son paroxysme et son intelligence appuyait sa détermination. Un véghien vivant pourrait reprendre la lutte et cela Denior ne le permettrait pas. Son coeur était aux abonnées absents. Les caractéristiques techniques des peace figther firent rapidement merveille. Ils traversèrent sans dommages les escadrilles ennemies pour atteindre le vaisseau amiral. Denior poussa sa machine à pleine puissance et concentra son tir sur le générateur principal. Un énorme éclair doré envahit le ciel. Plusieurs centaines de milliers, sans doute des millions de vies venaient de disparaître. Les veghiens n’étaient plus “Nous avons gagné sire, dit bientôt Tanguy Seltov Oui mais à quel prix, répondit Dav Vasselina. Ils n’en reste pas un de vivant Si, il en reste un, et je le tuerai de mes mains, répondit Denior” | ||
Denior Respect diplomatique : 3266 09/02 ETU 10:21 | Score : 4 Détails L'escadrille de peace figther se posa prèsdu bunker royal. Au sol, les maigres troupes euphoriennes achevaient de détruire les droïdes véghiens et les quelques soldats mercenaires de la garde rouge et brune du prince Horos.
Denior pénétra dans le bunker ou reposait cote à cote les corps de la Reine Amelina, du Roi Hunrior, du Roi Denior XIII et de la jeune princesse Thibaudia. Malgré la mort, ils étaient tous d'une beauté radieuse qui ne parvint pourtant pas à apaiser Denior, désormais Roi sous le nom de Denior XIV. Il lui manquait un mort pour assouvir sa haine et sa soif de vengeance. Le prince Horos Végha. Euphor était à reconstruire, les morts à honorer. Pourtant, Euphor comme Denior ne pourrait travailler ce travail de deuil avant que celui qui était l'initiateur decette attaque mais aussi qui avait osé profaner le corps de la reine Amélina ne périsse. Denior le savait, il devait le retrouver... Se tournant vers ses quatres fidèles, Dav Vasselina le sage, Brupilota l'astucieux, Tanguy Seltov au don inné pour le commerce et enfin Hela Coulandia au coeur immense, il dit: "Mes amis, vous l'avez compris, je dois partir pôur retrouver celui qui a outré notre sol. Notre peuple en a besoin pour réapprendre à vivre. Mais en attendant, il doit survivre et il faut redonner à notre planète les infratructures nécessaire à son développement. Vous en aurez la charge jusqu'à mon retour. Rigueltosa vous assistera et je serai en liaison permanente avec vous par ondes psionniques. Je ne sais pas encore où je retrouverai cette assasin que notre peuple a d'ors et déjà condamné mais je le retrouverai et le tuerai. Croyez en moi comme je crois en vous." La traque dura des semaines, des mois pour finalement atteindre 3 ans. Denior visita de nombreuses planètes, trouvant quelques traces. Il développa de plus en plus ses capacités psionniques jusqu'au stade paroxismique. Enfin, il eut la certitude de la présnece d'Horos sur une planète nommé Gien, celle des dragons dorés, dirigée par la dragonne Llor..... | ||
Llor Respect diplomatique : 599 09/02 ETU 12:24 | Score : 3 Détails Llor vivait depuis plus de mille ans sur Gien en compagnie des siens. La planète restait isolée des autres systèmes de la galaxie et permettait ainsi la coexistence pacifique entre les dragons et les hommes.
Elle était heureuse. Depuis six mois, un jeune étranger était venu se réfugier sur Gien et il avait su apprivoiser le coeur de la Dragonne et la conduire vers le bonheur. Les dragons dorés avaient cette capacité de pouvoir aimé et jusqu’alors son coeur était resté vierge. Parfois, seulement un voile de trouble perçait en son âme comme si le bel Horos lui cachait quelque chose, mais ses caresses et le récit de ses malheurs lui faisaient vite oublier ce doute passager mais intense. Elle était dans le palais lorsqu'on annonça l'arrivée d'un nouveau vaisseau, aux caractéristiques jusqu'alors inconnues. Elle alla accueillir le nouvel arrivant et une vive inquiétude s'empara de son esprit lorsqu'elle vit apparaître son occupant, Denior. Il venait pour tuer, pour tuer Horos. “Madame, je perçois votre inquiétude. Oui je viens pour le tuer, mais celui que vous aimez n’est pas celui que vous croyez, son coeur n’est pas à vous, comme il n’est à personne. Il vous dupe pour protéger sa vie” A ce moment Horos se précipita sur Llor, se cachant derrière elle: “Sauves moi, mon amour. Cet homme a détruit mon peuple, tué toute ma famille. Défends moi mon amour” Le coeur de la Dragonne s’affola à cette idée de le perdre. Elle reprit sa forme originelle et décocha ses flammes vers Denior qui les repoussa de la main. Llor redoubla ses attaques. Denior recula sous certaines mais les repoussa unes à unes, se rapprochant de plus de plus, mais ne menant aucune attaque contre elle. A chaque instant, il lui parlait mentalement, et inscrire dans son esprit l’attaque d’Euphor. Mais elle refusait encore d’y croire. Horos: Mais ne peux tu faire plus, sombre lézard inculte, ne vois tu pas qu’il s’agit d’un être psionnique. Dardes tes propres armes si tu le veux le vaincre, méprises le autant que je te méprises, vermine” Le coeur de Llor se brisa nette à cette déclaration et sa vigilance jusqu’alors absolue se relâcha et elle ne pu éviter qu’un retour de flamme ne l’atteigne, en plein coeur. Elle s’effondra aussitôt, morte. Horos s’enfuit ou plutôt tenta de le faire, en alertant les autres dragons dorés contre Denior. Tous avaient vécu le combat entre leur reine et Denior et ils encerclèrent bientôt Horos. Urgam: Denior, nous te livrons celui qui a souillée ta planète et ta famille, et qui par sa duperie a entraînait la mort de notre douce reine naïve. Fais de lui ce qu’il convient” Denior ferma les yeux et une onde psionnique émergea de son crâne. Horos s’effondra, la tête entre les mains. En son âme défilait les tourments de ses crimes. Bientôt, il n’en puis plus et je jeta au travers d’un fenêtre. Son corps gisait sans vie. Llor elle aussi gisait sur le sol du Palais mais une gangue dorée l’enveloppait. Une forme humanoïde apparut. A sa grande surprise Denior y reconnu le visage de sa jeune soeur Thibaudia. A toute l’assemblée Réunie elle dit: “Votre reine avait le coeur pur et son heure n’est pas venue, comme la mienne. Dieu en a décidait autrement et nos deux âmes vont fusionner dans ce corps aux multiples pouvoirs. Nos peuples sont désormais frères. Il est temps que Denior le terrible fasse place à Denior le Sage, il est temps que nos valeurs communes soient celles de l’Humanisme et du pacifisme. C’est désormais à la galaxie que nous devons nous consacrer. Nos destins sont au coeur des hommes” |
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