Forums galactiques > Assemblée Galactique : diplomatie officielle > [RP] APOCALYPSE
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Ankou Respect diplomatique : 88 01/04 ETU 14:12 | Score : 8 Détails "Un personnage étrange vennait de faire son apparition au sein de la galaxie d'espérance. Il état ideux et sentait la mort. C'est homme, non!!! cette chose entra dans l'assemblée galactique, au beau milieu d'une importante réunion du gouvernement et il se mit à parler :"
Je m'appelle Ankou. (la mort dans un language Celtes aujourd'hui perdu) Je suis venu sur espérance afin d'apporter la mort équitable. C'est quoi la mort équitable? Et bien, c'est simple : la mort pour tous! La vague magnétique va tous nous emporter avec violence et souffrance dans 1 mois. Avant que la vague nous emporte la prophétie dit : "la vague magnétique vous emportera tous mais avant l'apocalypse aura eu raison de plusieurs milliards d'ames" Et je suis l'APOCALYPSE!!!! A suivre... Merçi de ne pas poster, ceci est un RP privé pour le moment | ||
Ankou Respect diplomatique : 88 05/04 ETU 23:55 | Score : 8 Détails La Fin d’espérance :
Après quelques minutes de vol dans son croiseur lourd Amiral, il avait déjà oublié pourquoi il était là, concentré, sur la sensation grisante qu’il vivait un moment « enharmonique» (néologisme personnel) de sa vie. C’était une simple intuition, à laquelle il croyait par expérience, accoutumé aux irruptions de ces états seconds qui, fondant sa personnalité, avaient induit la structure chaotique de son chemin de vie .Si on devait d’un mot le décrire, on dirait : observateur (mais, passif et curieux faudrait il ajouter). Ainsi, il avait certes voulu ce temps d’isolement et d’éloignement en un lieu qui a lui seul symbolise le recul existentiel, mais, cette décision s’était imposée à lui et l’endroit n’avait été qu’un rêve dans le rêve, une image flottant en son esprit et s’agglutinant à ses pensées les plus quotidienne devenant si prégnante qu’il ne pouvait que l’accomplir. Finalement le motif de sa présence sur Espérance , n’avait plus aucun intérêt , il était là c’est tout .Quand on arrive sur Espérance c’est simple il n’y a qu’un chemin il suffit de suivre : genre de situation qu’il adore c’est simple on ne se pose pas de question . Il n’y avait donc que cette petite route signalisée par des bougies qui menait à la Capitale là où il savait pouvoir planter sa tente.(le ZERO) En arrivant on traverse un groupe de planètes plus qu’un PC (on appelle çà l’avant garde ) , souffrant déjà des stigmates d’une rébellion émergeante, Il ne voulait pas s’arrêter et poursuivi ,courant presque malgré les nombreux astéroïdes pour enfin découvrir le chemin qui prolonge la route s’engageant dans l’étroite bande d’étoile, si fragile , qui tranche le ciel , comme une plaie aux deux berges égales , la CAPITALE aux couleurs et à la sérénité rappelant les îles paradisiaques. Rp privé merçi de ne pas poster pour le moment | ||
Ankou Respect diplomatique : 88 10/04 ETU 21:14 | Score : 9 Détails Il découvrit l’endroit qu’il avait vu en rêve et planta sa tente solidement afin qu’elle ne s’envole pas avec le vent qui est celui de l’apocalypse, rien ne l’arrêtant.
Il faisait vite n’ayant qu’une idée en tête. S’assoire, en tailleur, et face à la galaxie entière, s’immerger dans son rêve pour le méditer, le vivre, l’accomplir et peut être l’espérait- il comprendre, voire enfin cette pulsion terrible qui l’avait tiré ici, cesser son insoutenable attraction. Il se dirigea vers une plage au vent et plongea dans les rouleaux se laissant masser par les frappes glacées des vagues, savourant cette eau primordiale et baptismale. Il sortit assez vite, la température de la mer d’espérance ne se prête pas à de longues baignades. Sur la grève il s’amusa à laisser couler le sable entre ses doigts, car quoi de plus symbolique pour visualiser la vie, quand on aspire à méditer. Enfin assis devant sa tente il se prépare un frugal repas et observe l’horizon infini que rien de limite, il a l’impression de pouvoir observer la galaxie entière, il est l’homme observant la destruction. La question fondamentale en forme de réponse qui voudrait que l’homme ait été crée pour rendre compte de l’univers, que le divin est dans l’improbabilité totale de cette occurrence consciente qu’est l’humain. Puis il reprit, il reprit le cours de ses pensées en essayant de se rappeler la raison de sa présence ici. En réalité il avait voulu cette solitude totale, précisément pour l’éprouver, car il ne la connaissait pas, sa personnalité faisant qu’il ne pouvait quoi qu’il fasse être seul. Cette capacité à affronter et accepter la solitude était la condition nécessaire à la résolution de sa problématique personnelle , sa relation à l’autre mais aussi à son cheminement spirituel car comment revenir à l’essentiel , comment revenir chez soi comme dit le proverbe zen , si on ne peut être seul. Ce système particulier offrait toutes les caractéristiques essentielles à une bonne introspection. Il savait en outre, à l’aube d’une décision personnelle, que seule une solitude extrême, un bout de la galaxie, une Patagonie virtuelle pouvait couper les cordons (ombilicaux) que sa mère, intrusive maintenait tendus, que seule cette traction géographique avait une chance de provoquer la rupture. Pour une fois il voulait décider seul, et accepter les conséquences de son choix qu’elles soient bonnes ou mauvaises pourvu qu’elles soient de son fait. Malgré ces bonnes résolutions, son manque d’expérience en la matière fit qu’il ne tarda pas à déprimer. Ce qui eut au moins l’avantage de révéler à ses yeux sa futilité personnelle face aux vrais enjeux de la vie. Il en était là de ses considérations existentielles, quand le soir venu et le soleil explosant dans un bain de sang sur la galaxie, la pénombre rampante, accentuant son spleen il crut percevoir un bruit de charrette tirée par un cheval, … | ||
Ankou Respect diplomatique : 88 11/04 ETU 18:24 | Score : 6 Détails Suite et fin du premier chapitre
En effet,( on appelle ça chez moi un tombereau), attelé à cette sorte de percheron particulier qu’on trouve sur NAISSANCE (ma planète d’origine) bringuebalait sur le chemin et il pensa voir un îlien venu chercher le varech, mais non c’était un vieux marin en vareuse avec une faux sur l’épaule ! Son visage moutonnait comme la mer qu’il travaillait et ses yeux étaient de ce vert qu’on perçoit quand on plonge en apnée, mais sa bouche édentée lui donnait un sourire de spectre. La charrette s’arrêta à sa hauteur et le vieux marin s’adressa à lui dans notre langue qui ne connaît pas de bonjour : Neuze eo beo ha yah an dud du – ze ? Ya! Eo, eo,! mat tre ! Curieuse salutation que de demander si les gens chez moi son en vie et en bonne santé ! Chouchen em’ bo ! chouchen ganeoc’h ? Il voulait du chouchen, l’hydromel, l’alcool des dieux, boisson insupportable aux effets imprévisibles. Par hasard ( ?) il en avait acheté deux flacons en guise de souvenir pour le retour . Il perçu qu’il ne pouvait refuser cette demande …Il lui tendit le flacon au breuvage doré, que l’autre saisi sans un mot et commença derechef à vider (en Bretagne on ne dit pas merci mais ça serait trop long à expliquer ici). Quelques rasades après, le vieux l’apostropha : Que connais tu de la mort mon gars ! Il ne se formalisa pas, dans les pays de culture celte, la dureté du climat, et historiquement de l’existence, fait le lit de cette mentalité rêveuse imaginative et méditative. J’en ai peur et parfois je la désire. Tu as tord de la désirer et tu as raison d’avoir peur c’est salutaire ! Profites de ta vie qu’elle soit bonne ou mauvaise car il n’y aura pas de seconde chance crois moi. Il t’a été fait un don précieux, sache le goûter sagement. Bon, kenavo ! Kenavo deoc’h ! a gwech arall ! Sur , s’esclaffa t –il ! Il voulu lui donner le deuxième flacon et pour cela se pencha pour le saisir, mais quand il se retourna, il avait disparu! le sang reflua de son visage, c’était l’Ankou ! La grande faucheuse qui facétieuse comme à son accoutumée lui avait donné une belle leçon. Plus de déprime, la vie est belle !!!!!!!!!!! Mais plus pour longtemps !!!!!!!!!! Merçi de ne pas poster pour le moment | ||
Ankou Respect diplomatique : 88 23/04 ETU 23:02 | Score : 8 Détails Lettre à la galaxie
« Je te donnes des vies. Transmets le savoir, que jamais ne soit oublié le temps d’ANKOU le merveilleux… ». C’est ainsi que votre dernier voyage a débuté en direction de la mort. Vous n’êtes plus que quelques individus mais vous avez encore la foi, ce que vous nommez espoir, de voir un jour de nouveaux enfants naître, de toucher cette chose qu’on appelait nature, de voir un ciel bleu. Je n’ai jamais connu ça, eux non plus. Nos ancêtres ont vécus dans les caves, les bunkers. Même là, ils ne furent pas épargnés par les querelles. Les commandants s’autodétruisaient depuis si longtemps… Même dans la reconstruction. Mes compagnons sont tous morts. Le chemin est dur. Il fallait que je déposes ce message ici, là où tout a commencé, en plein milieu de ce qu’on décrivait comme étant le système Zéro. Lisez, je vous en supplie…pour vos âmes…. « Nous n’avons pas su évoluer dans l’harmonie. Les erreurs de nos prédécesseurs nous ont condamnées. Il existait autrefois un melting-pot de marchants, diplomates et guerriers , appelée commandants, qui habitaient cette galaxie. Leurs nombreuses différences les représentaient. La plus grande source de leurs guerres. Des guerres où se sont construites de terrifiantes armes. (CLI, CLA, CLHA, BHA, …) Mais un jour, la galaxie s’est rebellée contre eux. Ils ont voulu la soumettre, une fois de plus… Une fois de trop… Ne faites pas cette erreur. » Apocalypse verset IV par ANKOU |
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