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Mirade Réputation à la taverne : 57 02/02 ETU 17:16 | Score : 0 Détails Laisse place au printemps
Tu as duré si longtemps La neige doit s'en aller Il faut aller se coucher. Le vert remplacera le blanc Le soleil redeviendra chaud S'allonger dans l'eau du torrent Admirer la nature, les animaux. Ne soit pas triste, bel hiver Tu nous rapportera bientôt la douceur Réserve nous tous tes mystères Bientôt de beauté tu rempliras nos coeurs. La neige réaparaitra La fraicheur nous envahira Le bien-être nous reprendra Quand dan un an, tu reviendras. | ||
Darkangels Réputation à la taverne : 7 02/02 ETU 17:57 | Score : 1 Détails On c’est croiser, rencontre programmer mais encore un peu gêné
Deux amants qui se sont séparé… Moi le teint grisonnant Toi tu continues en souriant Notre séparation que j’ai mal vécu, toi sa t’a détendu « Le malheur des un fait le bonheur des autres » Ce proverbe je ne le comprend que trop bien Dans le silence s’instaurant, chacun écoute les discutions environnant Puis quelques mots sont échangés, la conversation est engagée. Mais très vite le silence est retomber…c’est fous ce que l’amour détruit l’amitié Le temps à passer, et bien le moment de se séparer Je repart comme je suis venu…les yeux river au trottoir nue En rentrant chez moi je revêtis mon masque, celui du souriant un peu insouciant Puis je reçois ton message, et m’effondre devant son contenu de rage Le soit dans mon lit je me suis écrouler, et me met a pleurer Puis me viennent toute sorte de penser, dont celle de te détester, que j’ai décidé de refouler Je me lève pour écrire, c’est se que vous êtes en train de lire Je finis ce poème pour toi…à 2h23 By me | ||
andeman Réputation à la taverne : 1393 05/02 ETU 09:12 | Score : 2 Détails
Des ombres je ne me reléve que rarement De la peine je renais sans cesse et Pourtant je ressens encore l'air vicié La pourriture me gagne suis je vraiment Ainsi? Suis je tant repoussant? j'exhale l'odeur de la mort et je respire Toujours la misére et le désespoir, moi qui me debat comme un dmané juqu'a m'en sortir A jamais je suis condamné, plus de choix Mourrir et me sentir dépérir dans les limbes Je finis par apprivoiser la noirceur de mon ame Elle est partie intégrante de mon esprit Une fatale dualité que je ne tiendrais bientot plus L'un tente de frayer un chemin , l'autre se complait Dans la peine et la mort, la destruction est son bon plaisir L'amour est le noble sacerdoce de l'autre pourtant en mon for, je ne sens plus battre mon coeur, il s'est consummé il y'a peu emportant la derniére trace de joie Que je portais. Plus rien n'est vivant, tout se fige j'attend ma délivrance avec impatience, je la forcerais Je n'ai plus de choix. | ||
Darkangels Réputation à la taverne : 7 05/02 ETU 16:32 | Score : 1 Détails Je t'ai jeté...et d'une pierre deux coups j'ai fait...
Deux amis j'ai perdu dans ma stupidité accru Par la haine et le désir de vengeance J'ai détruit une amitié intense Je me haï encore plus aujourd'hui Que j'ai perdu ceux pourquoi je vie Et que ma confidente Est hors d'entente... Si vous saviez comme je regrette D'avoir écrit ces paroles connes Mais tu a le droit de m'en vouloir Et je pleur ton quasi devoir... by me | ||
Yoh Réputation à la taverne : 390 13/02 ETU 00:47 | Score : 1 Détails C'est mon sang lentement dans le soir qui s'égoutte
et la terre pâmée en frissonne à son tour une douce agonie avec la mort du jour achève la blessure où ma joie s'est dissoute Il semble que je vais m'endormir à toujours de notre sommeil si loin déjà de nos déroutes et c'est mon propre coeur qu'à ce souffle j'écoute apaisé enfin en ce funeste jour. à peine un frisson blanc de lune sur les ombres éclat bref de l'âme aux mailles de la nuit parmis le noir repos où mon songe poursuit le naufrage divin de la joie qui sombre | ||
Darkangels Réputation à la taverne : 7 13/02 ETU 08:42 | Score : 1 Détails C'est dans le silence de la nuit que j'écris
Que je réfléchi a ma journée, sans un bruit A tout ces mots entendus, a tous ces sentiments rendus Je me meurs devant tes accusations sans réponse Attendant inlassablement une explication a ces ronces Me piquant, me déchirant, je me débats Mais malheureusement, il n'y a que toi, qui pourrai me sortir de la Par de simple mot, quelque explication qui me sauverai malgré moi Mais tu laisses ces choses me tourmenter, ignorant dans quoi tu m'as plongé Alors je désespère, et tombe toujours plus bas, dans ma dépression loin de toi Un moustique viens me déranger, je lui file un grosse racler, Et coupe le fil de sa vie, mais qui m'a donné le droit d'en faire ainsi ? Pourquoi ne peut il pas me copier, pour ainsi se venger ? Pourquoi ai-je peur de la mort que je désire tant ? Pour m'a tu rejeter sans rien m'expliquer ? Pourquoi a tu sauté sans un mot de laisser ? Pourquoi la vie n'est elle que souffrance ? POURQUOI !? by me | ||
Herma Phrodite Réputation à la taverne : 106 13/02 ETU 20:19 | Score : 2 Détails On lui demanda souvent
Ce qu'il voulu faire Quand il sera grand "Me foutre en l'air" Il choquait, s'en foutait Il ne suivait pas le troupeau Ca aurait eut été trop laid "Chui libre comme l'eau" Il n'avait pas d'ambitions Juste, ne pas suivre tous ces cons Il criait "liberté" à qui voulait l'entendre Et dans la colère, "va te pendre" C’était un mec cool wai Fallait pas le faire chier Et si par hasard tu lui déplaisait Il te cuttait | ||
Darkangels Réputation à la taverne : 7 13/02 ETU 20:43 | Score : 1 Détails Au milieu de la nuit
Un être seul reste debout à son chevet Dans le silence de minuit sonnant La plume gratte sur un papier Eclairé par une la flamme d'une bougie Au lueur jaunâtre de cette éclairage primitif Le poète compose Et l'insomniaque passe ces nuits by me | ||
Mistermore Réputation à la taverne : 550 08/03 ETU 22:17 | Score : 1 Détails Point sur la situation :
Dans sa robe grise d’un hiver infini D’où tombe toujours de fines gouttes Lentement glisse sur une longue route La si belle et triste dame de l’ennui Elle flotte tout prêt de nos petits empires Et vient tout doucement ici se poser Echangeant, sans scrupules, nos plus belles pensées Contre des souffles légers ou de profonds soupirs. Mais qu’on y prenne garde, la belle dame souvent se cache dans l’ombre Ayant sans doute peur de fondre En s’approchant du feu de la passion des âmes. Car une fille aux jupes chaudes et colorées Tourbillonne, et ses cheveux libres dans l’air Viennent fouetter nos empires éphémères De ce goût de la passion démesurée Elle attire sur elle toutes les passions Etant elle même la mère de toutes Ecartant pour nous les peurs et les doutes Pour nous laisser vivre de violentes pulsions Mais qu’on y prenne garde, la fille jolie Que l’on sait jeune et forte à la fois Se trouve bien souvent poussé du doigt Dans l’abîme intime de la mélancolie. Allez donc comprendre, pour quelles raisons Les empereurs du bonheur que nous sommes Choisissons nous de n’être que des hommes Préférant la dame d’ennui à la fille de passion. | ||
Mansfeld Réputation à la taverne : 4380 09/03 ETU 00:52 | Score : 7 Détails Pour découvrir les voix qui habitent l'esprit de Redd Bonnett, écoutez ça :
http://radioblogclub.com/open/135501/01%20Julie%20la%20Petite%20Olive ______________________________________________ Redd Bonnett bavait sur son pupitre... "...pff... ils remettent ça... ils se prennent tous pour des pouets... c'est pas mal, mais le mélange transgénique entre Baudelaire, Rutebeuf et Lorie, ça le fait pas au bout d'un moment..." SBAFFFF Dieu venait de coller une magnifique droite à Redd Bonnett. C'est que le vaillant démiurge était un protecteur de la poésie. " Et puis, j'aime Lorie, moi ! " | ||
Dayel Réputation à la taverne : 57 11/05 ETU 20:44 | Score : 2 Détails Rivage
Laisse monter le souvenir d'une falaise ou d'une plage, laisse doucement t'envahir la chanson verte d'un rivage ! Peu importe le continent, l'océan, le jour ou l'année, il suffit d'écouter le chant d'une sensation retrouvée ! Laisse ton corps sur le rivage : que ton rêve nage au tombant, sirénien candide et sans âge ! Et, qu'importent flot ou jusant, sois le libre poisson qui nage dans les eaux violettes du Temps. ! | ||
tekerak Réputation à la taverne : 0 11/05 ETU 21:21 | Score : 4 Détails Ce qui suit est de la poésie fragmentée et quelque peu surréaliste. C'est un style proche du poème en prose, et de fait c'est spécial.
Saphire : Bleu, bleu du ciel et bleu dans l'eau, bleu vermeille qui ne dit mot. Parfois mon corps est ainsi, bleu, ma tete soucieuse ressent le spleen, étrange. les visions s'entassent peu à peu, poison de morphine, un ange. Une ode languissante et plaintive, Une prose enjouée, légère et vive, Derrière ce charme une couleur profonde, un azur de ciel, bleu. | ||
Artimiandre Réputation à la taverne : 900 11/05 ETU 21:26 | Score : 3 Détails (Même style)
Allégorie Sable blanc pour marée verte elle n'a pas compté les cheveux du vent elle s'est fait une robe changeante de l'eau amère qui nous ressemble de pierres de linges et de vaisseaux d'appels de charmes et de défaites et jusqu'au faîte d'un arbre changeant comme sa robe d'années elle monte elle monte de toute éternité Paul Nougé, extrait de Fragments | ||
Hog le Fou Réputation à la taverne : 289 12/05 ETU 03:39 | Score : 3 Détails (dans un registre différent, certes moins bucolique...)
Remords posthume Lorsque tu dormiras, ma belle ténébreuse, Au fond d'un monument construit de marbre noir, Et lorsque tu n'auras pour alcôve et manoir Qu'un caveau pluvieux et qu'une fosse creuse; Quand la pierre, opprimant ta poitrine peureuse Et tes flancs qu'assouplit un charmant nonchaloir, Empêchera ton coeur de battre et de vouloir, Et tes pieds de courir leur course aventureuse, Le tombeau, confident de mon rêve infini (Car le tombeau toujours comprendra le poète), Durant ces longues nuits d'où le somme est banni, Te dira: "Que vous sert, courtisane imparfaite, De n'avoir pas connu ce que pleurent les morts?" - Et le ver rongera ta peau comme un remords. (Extrait des "Fleurs du Mal", de C.Baudelaire) (ça m'inspire d'aller sous peu pousser la chansonnette chez ce pauvre Requiem, qui a l'air fort seul dans sa Taverne de la Belle Parole; histoire de lui remonter les br..., le moral) | ||
Alyanon. Réputation à la taverne : 58 12/05 ETU 17:58 | Score : 3 Détails Haricot,paysage du marigot
Union d'une désillusions Mains fines est secrète Ont ne sait quand te les prendre Usurpé,Beaucoup te détourne Reviens,je serait t'apprivoisé AH que tu est belle dans ta bouteille L'eau de vie,Qui pour un instant nous met en veille Comme tu nous met bien, dans cet état second OH ma belle oh ma gazelle, Ton odeur vaut monts et merveilles On te touche, Dans ma bouche,fait ton doux sommeil La tu verra, Que dans mon coeur tu trouvera...TOUS TES AMIES | ||
Socrates Réputation à la taverne : 15 13/05 ETU 23:08 | Score : 1 Détails Oeuvre censurée:
Ce samedi La pluie En trombes Tombe En gerbes Sur l'... Le gazon Du jardin Des voisins | ||
Diaoul Réputation à la taverne : 137 13/05 ETU 23:59 | Score : 1 Détails Mon pays natal
Pays de granit et de landes Aux confins de l’antique Brocéliande ! Pittoresque terroir nos ajoncs, nos bruyères, Où chaque pierre à son histoire ! Séjour des fées et des enchanteurs ; Que de souvenirs plein de douceurs, N’évoques-tu pas ? A chacun de nos pas ! Ici c’est un cimetière druidique Avec sa table de prières Le vivant portrait du passé Des Celtes nos pères ! Là, une seigneurie médiévale Nous fait revivre l’époque féodale : De vénérés sanctuaires Résidence des grands saints Venus de nos aïeux d’Angleterre Retracent notre fier destin ! Nos coteaux, nos bois Nos moulins à vent, nos croix Nos genêts d’or, nos rivières : La vaste lande que hantaient ; Jadis, korrigans et poulpiquets Les chênes séculaires Dont les druidesses coupaient le gui Les ifs de nos cimetières Les carrières de granit : Témoin de la religion antique font de notre sol Qu’égaie le chant du rossignol Dans les verts châtaigniers ! | ||
Cignia Réputation à la taverne : 125 16/05 ETU 11:37 | Score : 2 Détails Pourquoi tant de larmes
Tu n'a pas su retenir, Son coeur ou l'eau de tes yeux, On ne sais pas quoi dire, Quand il faut dire adieux. Et tous ces mots qui te viennent, Petits bouts de bouts de laine, Il deviennent sanglots, Et coulent comme l'eau. Aquoi nous sert d'aimer, A quoi nous sert d'offrir, Si c'est pour tant souffrir, Quand c'a n'est pas assez. Pourquoi tant de larmes, Oh oui tant de larmes, Et ton coeur si lourd, De si peu d'amour. Oublier le charme, Oh bel oriflamme, Les serments d'un jours, Et le vide autour. Tu n'a pas su ne t'en veux pas, Ceux qui le croie ne savent pas, Y a des ronces parfois, Que le desir ne voit pas. On se cogne oon se debat, On n'oublie meme parfois, Le comment le pourquoi, De l'ammour de ses lois. Pourquoi tant de larmes, Oh oui tant de larmes, Et ton coeur si lourd, De si peu d'amour. Oublier le charme, Oh bel oriflamme, Les serment d'un jour, Et le vide autour. | ||
Cignia Réputation à la taverne : 125 17/05 ETU 12:48 | Score : 2 Détails Etre d'accord n'est pas tout,
Il faut de l'or en dessous, Decouvrir et traverser, Passer de l'autre coté. On peux d'accord etre fou, Et mentir lorsqu'on avoue, Mais un matin s'etonner, De devoir recommencer! On peux tout essayer, Et se bruler les ailes, Aforce de tomber, On oublie l'essentiel. On peux tout essayer, Pour provoquer le duel, L'amour a volonté, Oui mais lequel,mais lequel. Les promesses de l'inconnu, Parfumment toutes les rues, On croie pouvoir les voler, Elles ne feront que passer. Les causes et les conséquences, La peur et l'etat d'absence, Et puis un soir s'arreter, Pour ne plus recomencer! On peux tout essayer, Et se bruler les ailes, A force de tomber, On oublie l'essentiel. On peux tout essayer, Pour provoquer le duel, L'amour a volonté, Oui mais lequel,mais lequel. | ||
Cignia Réputation à la taverne : 125 17/05 ETU 16:28 | Score : 0 Détails Tous les aurevoirs se ressemblent
Mais pas tous les adieux, Si c'est pour rester ensemble, Et fermer les yeux. Et-il plus facile d'avoir la preuve de s'aimer, Ou bien le courage de se quitter... Un avion s'envole, Un autre s'en vient, Ceux qui reste au sol, Ne vont jammais trés loin. Un bateau s'en va, Un autre s'en vient, Quelque soit l'endroit, On ne voit jammais,jammais plus loin. Tous les aurevoirs restent laches, Mais pas tous les adieux, Des aveux que l'on s'arrache, Qui souffre des deux?. Est-ce qu'on devrait ne rien faire ni se dire pour rester, Ou bien laisser le pire arriver? Un avion s'envole, Un autre s'en vient, Ceux qui reste au sol, Ne vont jammais trés loin. Un bateau s'en va, Un autre s'en vient, Quelque soit l'endroit, On ne voit jammais,jammais plus loin. |
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