Forums galactiques > Assemblée Galactique : diplomatie officielle > Le sang, les larmes, la fureur...
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andeman Respect diplomatique : 1393 18/02 ETU 21:37 | Score : 5 Détails Suite, fin du Rp "etat d'urgence"
Alors commandeur... ca y'est nous y sommes enfin, la derniére bataille, comment vous sentez vous? Las...Extrémement las mon ami Ashiir, les combats de ces derniers jours m'ont littéralement éreinté, j'ai le morale en berne, Amenoa notre douce capitale est tombé. Il ne nous reste plus qu' à les battre ici! Baal Ashiir eut presque envide de sourire, "il ne nous reste plus" Les deux grands officiers regardaient l'horizon, des panaches de fumées s'élevant du sol, le ciel rougeoyant des flammes qui ravageaient la capitale Amenoa, ils avaient tout évacué et ramassé le plus de civils possible, la marine militaire les avait couvert, et ils étaient là, sur les monts verdoyant d'Ashapern là ou le destin des Vaarlags se scéllerait. Les deux hommes étaient comme résignés à la mort. Andeman était loin trés loin, et aurait été bien incapable de les aider, lui aussi avait de sérieux problémes, il fallait montrer au monde qu'il y avait d'autres leaders que lui. De toute facon si tout était perdu ici, il disparaitrait lui aussi. Général Ashiir comment va le morale des hommes? Chancelant commandeur, ils combattront jusqu'au bout, mais ils sont persuadés d'etre maudit il y'a une forme d'abandon. Nous avons réuni tout ce que nous pouvions en armée, jamais je n'aurais cru cela possible, la mélée va etre furieuse. Sans parler des chars et de la chasse... Nous renouerons avec nos ancêtres....ou pas Le commandeur avait eu un sourire mélancolique, il était d'un certains age mais ses cheveux courts ses yeux gris, son visage buriné par le temps faisait de lui un homme charismatique et respecté de tout ses soldats, lorsque la bataille viendrait il irait au combat. Baal Ashiir acquiesa en silence, tout deux firent demi-tour, et le spectacle qui s'offrait à eux etait tout aussi ahurissant que la capitale en flamme, à perte de vue des drapeaux, des oriflammes, des hommes en armure marchant en rang serré, fusil en bandouillére, épée à la main, lance prés du corps. Le vrombissement régulier des chars et des transporteurs de troupes couvraient difficilement le cliqueti des armures et les bruits de pas cadencés. De ce de là passaient des cavaliers aussi élégant que dangereux, mais surtout, crevant le ciel, les fameux dragons d'Amenoa. Terriblement beau à regarder, ces couleurs variées, ces teints d'armures. Et cela s'étendait loin trés loin. La bataille serait épique, epique et tragique, car leur ennemi ne ferait pas de pitié. Commandeur, Message du flanc droit, les corps d'armée ont pris position sur les collines et l'artillerie établit déjà ses piéces. Par ailleurs la flotte signale des mouvements importants autour de la capitale sans doute... Je sais...ils arrivent aussi | ||
andeman Respect diplomatique : 1393 19/02 ETU 17:12 | Score : 6 Détails "L'humanité devra mettre un terme à la guerre, ou la guerre mettra un terme à l'humanité"
Amenoa, ville de mon coeur, cité de lumiére et de sagesse, berceau de notre peuple, là ou nos ancétres avec le sang, les larmes, t'ont bati. Je ne te laisserais jamais tomber, je te donnerais volontier mon dernier souffle si mes yeux se posent une derniére fois sur tes jardins et ses tours blanches. Amenoa lieu de notre renaissance, de nos ancêtres je te chéris Il régnait sur les collines d'Ashapern un tumulte terrible, les machines hurlaient à tout va leurs coléres dévastatrices sur les hordes noires. Bombardant sans répit cet odieux ennemi. Les hommes étaient là, perchés sur les collines dominant pour une fois l'ennemi, attendant, piaffant d'impatience de fondre sur lui. L'inquiétude se lisait sur tout les visages, l'épuisement aussi, mais cette fierté cet orgeuil qui caractérisait ce peuple se sentait tout autant que la peur. Les Vaarlags voulaient en découdre une fois pour toute, car cette fois ci, ils ne feraient aucun pitié et montreraient aussi toute la sauvagerie dont ils étaient capables... La cavalerie attendait dérriére les premiéres lignes, monteur de reptiles et de quelques dragons, ces cavaliers avaient d'entre tous l'allure la plus noble qui soit. Leurs armures étaient noires et blanches, brillant de mille feux, leurs oriflammes montraient de facon stylisé des dragons légendaires qui jadis peuplaient Amenoa. Puis juste à coté les blindés aussi massifs que bruyants. Faisant vrombir leurs moteurs, ces derniers n'enteraient dans la bataille que pour créer un déséquilibre. Des francs tireurs s'étaient posté tout autour du champ de bataille immense, s'étendant a perte de vue... Le commandeur tapa sur l'epaule de Baal Ashiir Tout va bien se passer, ils vont tous périr, Rien n'est fini, nous triompherons, ce n'est pas notre destin de périr de la sorte, pas notre peuple... Je ne sais pas commandeur, je ne partage pas votre fougue... Pourtant au fond de moi, je veux revoir Amenoa tout autant que vous. Nous ne pouvons abandonner, je crois que la peur m'aveugle... Nous avons tous peur mon ami Ashiir, tous nous craignons ce qui va suivre, le courage c'est savoir passer au dessus et de l'affronter bravement... Vous y arriverez.... l'intercom resonna Commandeur, ils sont à moins d'un kilométre de notre positions, devons nous continuer les tirs? Oui.... Donnez l'ordre aux premiéres lignes de se mettre en place Quelques secondes plus tard des ordres lointains qu'hurlaient des officiers se fit entendre, l'immense bloc Vaarlag commenca à se mouvoir avec un bruit de pas terrible. En face un vacarnaum du diable était de plus en plus perceptible, les hordes noires hurlaient leurs coléres et leur haines. Un bloc noir informe avancait de plus en plus vite vers les Vaarlags... Les troupes montrérent fiérement les étendards, les officiers gueulaient des ordres et contre ordre. Puis les trois premiéres lignes posérent un genou à terre. Pendant ce temps, l'artillerie tapis dans les bosquets pillonnaient les positions ennemis... La mêlée aurait lieu bientot. Baal Ashiir tremblait de terreur. | ||
andeman Respect diplomatique : 1393 20/02 ETU 22:44 | Score : 6 Détails Les troupes se faisaient face à face, en ce matin pâle, timide, le soleil pointait difficilement son nez, et la verdure s'éveillait, cela aurait pu etre une matinée comme tout les autres, d'un bel été...
Baal Ashiir regardait tout autour de lui, les canons de l'artillerie Vaarlag s'étaient tus, les Pélaguirs et les cavaliers se tenaient fiers devant la massa informe et grouillante de l'ennemi, vociférant des cris de haine à l'encontre des Vaarlags. Les trois premiéres lignes tenaient déjà en joue. Les drapeaux flottaient avec véhémence dans le ciel comme s'ils voulaient survivre, les dragons stylisées tronaient parmi les troupes. Le commandeur toisait les hordes noires, il avait fait un discours vibrant, tentant au cas ou de ranimer la foi et la rage guérriére, mais en réalité il suffisait de fixer droit devant et voir la capitale pour que chaque soldat se regonfle de haine... Baal Ashiir sortit de son observation, l'ennemi du moins ses leaders semblaient emerger des rangs, regardant vers les vaarlags, l'un des gros capitaines aussi terrifiant que laid leva son énorme sabre et se mit à rugir.Cela n'avait rien d'humain..... Puis les choses s'accélérerent, les troopers noirs se mirent à courir au pas de charge réduisant de facon impressionante l'ecart entre les deux armées. L'ordre de tirer tomba immédiatement chez les Vaarlags, un son tonitruant, roulant explosa une fumée grise et âcre se dégagea des prémieres lignes, les déflagrations avaient été puissantes. L'ennemi vit ses premiers rangs tomber comme des mouches sous les impacts des tirs nourris. FEU A VOLONTE!!!!RAFALES COURTES, VISEZ LES JAMBES Les tirs reprirent cette fois ci de facon moins ordonnée mais tout aussi mortels. Les hordes noires d'abord désorganisé par la violence du barrage chancelérent et par endroit commencaient à refluer, cependant la réplique ne tarda pas, à leur tour et tout en maintenant leurs courses les soldats ennemis déclenchérent des tirs nourris. Baal Ashiir allait de long en large maintenant ses troupes en alerte, de temps à autres un Vaarlag s'écroulait, foudroyé par un tir, sous la violence de l'impact. Il fallait à tout prix garder l'ennemi en contre bas des collines, du moins le temps de les affaiblir. Plus loin, Le commandeur affichait un sourire ironique, jusque là tout allait bien, les premiéres lignes fauchaient implaccablement leurs proies. Le vacarme plus qu'assourdissant devenait de plus en plus pesant, les flashs et déflagrations des tirs faisaient presque penser à un ballet. Baal Ashiir regardait ses hommes parler entre eux, hurlant, les officiers pointant du doigt des cibles, tous dans leurs armures, imperturbables. Comment avaient ils jusque là perdre... C'était sans compter la volonté destructrice de l'ennemi. Ils relancérent une charge, puis presqu'en ignorant les tirs Vaarlags s'élancérent a l'assaut de la colline, s'acharnant à revenir encore et encore, puis c'est alors que surgirent d'immenses créatures, armées de massues mais aussi de canons, armées heteroclytes s'il en fut. Baal Ashiir s'arreta net. Ils n'étaient pas au bout de leurs peines. Appuyant sur son comlink il appela le commandeur Commandant!!!, vous avez vu.... Continuez le feu roulant, et relevez les trois premieres lignes par les suivantes. Je donne l'ordre aux chars de soutenir nos hommes. LLa cavalerie interviendra quand ils seront a mi-hauteur de la colline. Terminé Les tirs redoublérent d'intensité, mais du coté Vaarlag, les hommes tombaient plus réguliérement hélas. Le jeune général fit un signe du bras faisant relayer son ordre. Gardant un feu continu et de facon progressive les trois premiéres lignes se retirérent, faisant place à des hommes plus frais, ces derniers lachérent une salve. Et frappérent mortellement des rangs ennemis. Les pertes en face étaient absolument terribles et pourtant rien ne les faisaient reculer. Bien au contraire! Les officiers se montraient plus pressant dans les ordres, ils avaient atteient presque la moitie de la colline, et les Vaarlags perdaient de plus en plus d'hommes. C'est alors qu'un corps puissant émergea derriére les vastes lignes Pélaguirs, suivis ensuite par des cris reptiliens et hénissements. Le sol trembla, un grondement sourd, de plus en plus insistant se fit entendre, émergeant des collines avoisinantes, les monteurs de reptiles et chevaux montraient leurs fiers allures aux yeux de tous, la colére de l'ennemi se fit entendre, et les gros colosses portant des canons et autres armes, ouvrirent le feu avec violence. Sans plus attendre, le son d'un autre cor résonna, la charge. Violente tel une tempéte, déferla en direction de l'ennemi, qui n'attendait qu'une chose le premiers corps a corps, sans montrer quelquonque signe d'hésitation la cavalerie plongea parmi les hordes noires, sabrant fauchant, piétinnant, le fer contre le fer, la chair contre la pourriture, les corps s'entremelaient avec fureur, le choc des armes fut lourds, les premiers rangs ennemis malgré une résistance âpre furent en peu de temps broyés sous les vivas de l'infanterie, mais ce n'était que le commencement... | ||
andeman Respect diplomatique : 1393 22/02 ETU 20:30 | Score : 3 Détails Je termine toute l'histoire ce soir, j'espére que vous m'excuserez pour la lourdeur et la longueur, j'en suis désolé, merci d'avance a ceux qui prendront la peine de me lire
http://www.radioblogclub.com/open/78035//02-Gladiator%20-%20The%20Battle ou "the fields of pelennor" Les cannoniers Vaarlags torses nus, lunettes de protection sur le visage se donnaient à coeur joie sur la piétaille ennemie en contre bas. Les flashs bleutés illuminaient l'aube, les déflagrations sourdes avaient pour echos que de longues plaintes de douleurs. Plus loin la cavalerie continuait sa charge dévastatrice, bien que l'ennemi surpris dans un premier temps avait été largement piétinné, il avait trés et trop rapidement pris la mesure de l'adversaire, et les contre attaques furent sauvages, désarconnant implacablement tout cavaliers imprudent ou trop fougueux, le plongeant irrémédiablement vers une mort cruelle et douloureuse. Les hordes noires n'hésitaient pas à brandir les restes des morts tombés en trophée, la stupeur gagna au sommet les rangs de l'infanterie. Baal Ashiir eut toute les peines du monde à contenir la rage et la haine indiscible qui secouait les rangs Vaarlags Les monteurs de reptiles n'étaient pas sans ressources, leurs montures tout aussi bestiales n'hésitaient pas à taillader avec une certaine gourmandises les membres ennemis rejettant avec violence l'ennemi dépecée. Peu à peu les fiers guerriers et monteurs reptiles coupérent en deux l'armée des hordes noires. C'est alors que des tréfons d'un bois d'immenses cris et rugissement guturaux se firent entendre. Les abominations qui emergérent alors n'avaient pas de noms dans l'horreur et la corruption de l'esprit, des croisements douteux de betes et d'hommes en tout genre, donnant un résultat hétéroclyte. Plusieurs gueules, bras... Armés lourdement, cuirasses terrifiantes, si les "ogres avec leurs canons avaient causé du dégats, ceux là allaient etre diablement dur à abbattre. Sans se départir de leur courage les cavaliers comencérent un mouvement de regroupement, cependant, ils furent trop rapidement débordé, l'ennemi déboulait sur leur flanc droit. A nouveau la stupeur, les Infortunés Vaarlag se firent tailler en piéce un à un, les reptiles ne faisant pas toujours le poids, se faisant couper d'un seul trait par les immenses haches et autres armes tranchantes. Baal Ashiir prit son intercom Repli général, l'infanterie et les blindés vous couvriront les gars!! Lieutenant d'artillerie concentrez votre feu sur les nouveaux arrivants!!! Le jeune Vaarlag vit les survivants louvoyer a travers la masse grouillante et pullulante de l'ennemi, pour repartir parmi les rangs Vaarlag plus en hauteur. Les blindés prirent alors en remplacement les cavaliers défait, la curée recommenca, cependant l'infanterie aurait a entrer dans la danse, les soldats ennemis regagnaient les flancs des collines. Les mitrailleurs gatling et canons plasmiques donnaient la mesure, les cratéres et les cadavres balafraient la nature verdoyantes. Les tirs de barrages redoublaient de fureur et d'intensité. Mais les hordes noires avaient aussi du répondant, les pertes atteignaient encore un stade préoccupant, le commandeur appela Baal Ashiir Ashiir, l'infanterie doit désormais lancer la charge, nos hommes n'attendent que cela, ils sont affaiblis mon ami! ils lancent les derniéres forces, courage!! baal Ashiir ne discuta pas, il ferma les yeux, sa fin approchait. A quoi bon retarder l'ineluctable, mais il savait aussi que la victoire était possible, il voulait vaincre et terrasser ces abominations sans nom. Levant sont immense épée recourbée, casque apprété, il rugit en langue natale à l'adresse de ses hommes Zaan Athaarn Amenoalava!!!! Instantanémment, les guerriers dans un mouvement quasiment synchronisé baissérent leurs armes et soulevérent leurs lames dans un grand bruissement metallique, quelques secondes aprés, ils chargeaient tous, avec célérité, fondant sur l'ennemi avec une haine rarement atteind, ayant hate d'en découdre... | ||
andeman Respect diplomatique : 1393 22/02 ETU 21:02 | Score : 5 Détails http://www.radioblogclub.com/open/59069//Enya%20-%20May%20it%20Be%20%28Lord%20of%20the%20Rings%20Soundtrack%29
chaudement recomandé pour la fin http://www.radioblogclub.com/open/49719//Gladiator%20-%20Now%20We%20Are%20Free Baal Ashiir regardait la fumée autour de lui, il semblait etre le seul encore conscient dans cette mélée. Les corps de ses fréres étaient amoncélés, entassés avec ces choses affreuses, le silence régnait, un doux silence, un calme relaxant, les oiseaux avaient repris leurs chants. Les oriflammes fichés dans le sol flottait au vent, déchirés, mais tronant fiérement encore. Il posa fébrilement un regard à coté de lui, le visage rayonnant, les yeux clos, l'armure étincellantes, le casque à la main, il était mort emportant avec lui deux ou trois ennemis, le coeur de Baal Ashiir se gonfla de fiérté. Il se rappelait maintenant de la violence du choc de la charge, de la fureur des combats, le piétinnement les corps a corps, le métal crissant contre d'autres armures, ses fréres en armure démontrant un rage de victoire, une bravoure que bien des peuples envieraient, Ashiir avait vu ce déchainement, il avait vu aussi ses compagnons se faire tailler, mais ils n'avaient pas bouger face aux gros, bien au contraire... Lui, il avait combattu a coté des plus grands héros de son temps, son peuple... Il avait malgré les blessures infligées tué et décapité sans etat d'ame le chef d'armée ennemi. Dans le tumulte des combats il avait oublié qu'il était mortel et humain, sa garde avait succombé, et lui adossé a un arbre contemplait, les larmes aux yeux Amenoa, bercé par le soleil. Ils avaient vaincu. La plupart étaient mort mais ils avaient gagné. Il regardait comme des yeux d'enfant la ville dans laquelle il avait grandi avec son presque frére Andeman. Il avait montré son courage aujourd'hui, il avait bien le droit de se reposer parmi ses fréres tombés, il voyait tout le coté tragique de ces morts, mais aussi l'infini joie de la victoire, désépér" a l'idée de mourrir mais radouci par les parfums et le calme ambiant. De la brume alors émergea 6 fiers guerriers, en armure de parade brillant de mille feux, casqué, la cape, s'approchant de lui, ils posérent alors à ses pieds le drapeau d'Amenoa. La douleur refrappa ses cotes, qu'importe il souriait, la mort n'était pas une fin, elle n'était qu'un étape, il aurait aimé revoir Andeman une derniére fois. Soudain il frémit, une main frola son visage baigné par les larmes, la douceur de cette peau il la connaissait... il posa un regard, Arminia...... Baal Ashiir eut un sourire, et un dernier long sanglot, puis ses paupiéres se refermérent une fois pour toute. C'est alors que la fumées des combats se dissipa, l'ont pu voir alors les milliers de cadavres Vaarlags mort en brave, massacrés par dizaine mais determinés a vaincre... Ils avaient réussi. Baal Ashiir reposait parmi eux. Andeman, il y'a tant de choses que j'aurais aimé te dire, mais je ne l'ai pu, le destin joue parfois des tours diaboliques, j'espére m'etre montré digne de nos ancétres, tu me manqueras beaucoup mon frére et compagnon d'enfance, nous nous reverrons , mon ami.... __________________________________ Sur Alfa Deimos, dans le bunker 51, Andeman contenait avec peine son chagrin, il savait, il l'ignorait pourquoi, mais plusieurs etres chers allaient lui etre arraché, Baal Ashiir etait le premier... j'espére que vous aurez aimé, je vous remercie beaucoup de m'avoir lu!! |
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