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[RP] Dans la loge de Lizaka

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John Quick
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04/12 ETU 14:06
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HRP : Ce topic reprend la suite de l'action qui a commencé dans un autre sujet "Les prix Aurore".
Le caractère outrageusement sexuel, sale et dégradant du RP intimiste qui a débuté entre Lizaka et Julie Modesty n'avait pas pour but (unique) de tempérer la libido extravertie des deux auteurs, mais bien d'amener à la situation qui va suivre...
C'est donc laborieusement que nous allons continuer à décrire (sans trop de détails quand même) ce que pourrait être une relation homme-machine...
............................................................................


... et refermèrent violemment la porte derrière eux. Lizaka bloqua la porte en pianotant un code sur la console.

Le plus dur était fait. Le reste de la mission serait du gâteau...

La loge était des plus luxueuses, à l'image de la folie de son occupant.
Draperies d'or, plafonds voutés incrustés de pierres précieuses, bar, jacuzzi, installation cybernétique dernier cri, et surtout (ce qui intéressait dans l'immédiat nos protagonistes) un immense lit à eau, recouvert de draps de soie.

Julie arracha les vêtements du jeune homme, ainsi que son petit maillot rose (à Julie, pas à Lizaka...), et le poussa violemment sur le lit (Lizaka, pas le maillot).
Il tomba sur le dos, rebondissant sur le matelas moelleux.

Sans attendre, elle lui grimpa dessus, l'enserrant de ses cuisses musclées, et commenca à donner de furieux coups de reins.
Lizaka entra directement en lévitation, la gynoïde enlacée à son corps. Elle l'aggripait fermement.
Ils montèrent de plusieurs mètres dans les airs, le rythme des va et vient de Julie s'accélérant.
Elle commença à gémir...

Sa mission allait bientôt être couronnée de succès.

Le chef de la coalition Aurora avait maintenant le visage tout rouge et les yeux qui roulaient.

Si l'assemblée pouvait voir ca, se dit Julie... Et elle ne put réprimer un petit sourire.

Tout en continuant ses mouvements de hanches, elle lui caressait le corps.
Elle se pencha vers lui et commenca à lui embrasser le torse, remontant lentement vers son cou.

De grosses gouttes de sueur coulaient à présent sur le front de Lizaka. Il émettait de petits couinements étouffés.
Tous ses sens étaient en éveil. Il sentait le corps de Modesty qui s'acharnait sur son sexe, ainsi que ses baisers langoureux.

...

Et soudainement, quelque chose le piqua dans le cou. Il émit un petit cri de douleur et repoussa violemment la tête de Julie.
Il fut pris d'effroi. Au coin de la bouche de sa cavalière avait surgit une aiguille, d'où coulait encore une goutte.

Il se prit la gorge, pendant qu'une douleur l'envahissait et que sa vue se troublait.
Il sombra presque immédiatement dans l'inconscience.

Leurs deux corps nus retombèrent lourdement sur le matelas.
Julie se retira.

Son jeune amant respirait faiblement sur le lit, immobile comme un mort.
Une goutte de sang perla là où l'aiguille l'avait piqué.

Sans prendre la peine de se rhabiller, Julie se dirigea vers l'immense console qui tronait sur le bureau.

Le vrai travail allait commencé...
Lizaka
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04/12 ETU 20:45
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Pas à redire, Julie savait ce qu’elle faisait. Lizaka imagina même qu’elle put n’avoir été créée que dans ce but. C’était sa première fois avec un corps robotique, et cette expérience n’avait rien à envier aux précédentes. Il se laissait dominer par elle, elle avait pris le contrôle de son esprit qui était obnubilé par son image et l’onde de plaisir qui déferlait en lui en vagues successives comme une mer déchaînée.

Mais ce manque de vigilance se révéla dangereux. Très. Les robots avaient cette formidable faculté de concentration, alors que l’humain qu’il était devenait le joujou de ses sens, son esprit engourdis par les sensations merveilleuses qui l’inondaient.

C’est dans cet état que la piqûre lui fit l’effet d’une douche froide. La détresse chassa d’abord toute autre pensée que celle-ci, fruit du désespoir face à une brusque stupeur : « je vais mourir ». Ensuite : Ha les femmes, faut toujours qu’elles utilisent des armes sournoises. Incapable de faire face et de combattre avec honneur, elles préféraient les lames et autres armes traîtres. Chaque femme porte un assassin fourbe en elle. Les assassins ne méritent pas le titre de guerrier, leur technique est lâche et ils n’osent combattre à armes égales, comme de vrais hommes. Pfff. Mais bon, il avait d’autres occupations que ces réflexions sur la différence des habitudes martiales entre les sexes.
On dit que dans ces moments, on voit notre vie défiler devant nos yeux. Ce ne fut pas le cas, peut-être un effet inconscient de son anti-conformisme.
Il analysa rapidement la situation, boostées qu’étaient ses capacités intellectuelles par l’adrénaline. Un corps humanoïde d’une nation étrangère (pas ennemie, d’après lui) avait exploité sa faiblesse humaine pour l’isoler et ensuite le frapper sans qu’il ne s’y attende. La porte était fermée par digicode. « Elle ne pourra pas sortir ». Il s’inquiéta de la nature de la substance injectée, mais opta vite pour un somnifère, c’était la solution la plus logique, en tout cas celle que lui dictait l’espoir fou de la vie. Mais qu’était-elle venue chercher, en prenant de tels risques, et mettant ainsi sa nation entière en danger ?

Puis, douleur.
Puis, noir.
John Quick
Respect diplomatique : 536


04/12 ETU 22:54
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... La gynoïde s'assit devant le bureau. Le clavier de la console était recouvert d'une fine couche de poussière.

Mauvais signe.

Effectivement, la console ne fonctionnait pas. Peut-être n'avait elle jamais été branchée. Encore un luxe inutile.
Tantpis, ils se contenteraient de son X-com portatif. Elle ne pouvait pas perdre de temps.

Julie retourna vers le lit ou gisait le corps inerte de Lizaka. Elle commenca à défaire les cordelettes d'or qui pendaient au baldaquin.
Elle attacha sa victime aux quatres coins du lit, sur le dos, bras et jambes écartées, nu comme un vers.
Ensuite, elle déchira une partie des draps de soie et elle le bâillonna fermement, en prenant soin qu'il sache encore respirer.
Ses mains et ses pieds commencaient déjà à bleuir. Sa respiration était toujours aussi lente.

Elle s'écarta du lit de quelques pas. Avec sa caméra integrée dans son oeil gauche, elle prit une série de cliché de son hôte. Cela pourra surement servir un jour ou l'autre.

Elle revint vers le lit et s'allongea à ses côtés.
Elle l'embrassa à nouveau dans le cou, pendant qu'une nouvelle aiguille jaillissait de l'autre coin de sa bouche et se plantait dans la gorge tendre de Lizaka.
Il tressaillit. Le liquide s'écoulait dans ses veines.
Modesty attendit que le produit fasse effet. Elle lova sa tête dans le creux de son épaule et passa un bras autour de sa taille.

Quelques minutes d'attente...

Les doigts de Lizaka commencèrent à bouger faiblement...

Sa respiration reprit un rythme normal... Les battements de son coeur aussi...

Il ouvrit faiblement les yeux...

Elle patienta encore quelques instants en lui caressant les cheveux.
Il fallait qu'il reprenne ses esprits et qu'il comprenne bien ce qu'elle allait lui dire.
Il essaya de parler ou de crier, mais le baillon étouffa sa voix.
Il était bien réveillé.

Elle se remit à califourchon sur lui.

Soudainement, des bruits de pas et des voix se firent entendre dans le couloir... Ils se rapprochaient... Elle simula un orgasme.

Les pas s'arrêtèrent devant la porte. Julie criait de plaisir... Lizaka gémissait derrière son baillon...

- Hé ben s'emmerde pas le cochon, dit l'un.
- C'est sûr, c'est toujours les mêmes qui prennent du bon temps,, dit l'autre.
Et ils continuèrent leur route...

Toute son attention retourna à sa victime.

Shwinkkk
Une lame de scalpel surgit de son poignet gauche.
Les yeux de Lizaka s'aggrandirent.

Elle la passa le long des cuisses du jeune homme, remontant lentement. En même temps, de la main droite, elle entreprit de défaire une de ses mains.

- Bon, écoutes mon trésor. Tu te doutes bien que je ne suis pas venue ici dans l'unique but de m'envoyer en l'air avec toi.
Je vais être brève, parce qu'on a pas l'éternité devant nous.
Tu vas faire trois choses pour moi. Et je peux t'assurer que tu vas les faire. Car, crois moi, en toute modestie (ha ha ha), je suis encore plus douée pour faire mal que je ne le suis déjà pour le plaisir...
Si tu me refuses quoi que ce soit, je vais te saigner comme un porc, et tu me supplieras de mettre fin à ton existence misérable.


Sa lame remontait encore le long de la cuisse de Lizaka.

- Alors écoutes moi bien.
Premièrement, je veux le démantelement complet de la coalition Aurora. Et ne me dis pas que tu ne sais pas le faire. Cela nous ferait juste perdre du temps.
Deuxièmement, je veux que tu lègues immédiatement la capitale galactique au commandant Andeman, du peuple Vaarlag. Cela aussi, je sais que tu sais le faire.


Le scalpel vint buter contre un de ses testicules. Julie commenca à appuyer doucement...

- Troisièmement, une fois que nous en aurons terminé avec ces petites formalités, nous finirons ce que nous avions commencé avant que tu ne t'endormes.
Je termine toujours ce que j''entreprend. Et je ne voudrais pas que tu gardes un mauvais souvenir de notre relation naissante.

A ce moment là, j'aurai amplement méritée le prix de l'Aurore des plaisirs. Et tu verseras sur mon compte les 100 000 000 000 leems qui me reviendront de droit.
Après, je te laisserai te reposer. Car tu en auras fortement besoin.

Est ce assez clair mon petit lapin ?


Elle termina de défaire la main de Lizaka.
La pression sur son testicule se fit plus forte.
Une goutte de sang perla.
Julie sourit.

Shwinkkk
Un petit écran surgit du ventre de la gynoïde. En dessous se trouvait un clavier de la même taille.
L'écran s'illumina.

- A toi de jouer chéri. Et ne t'avises pas de faire des mauvaises manipulations, ou tu pourras dire adieu à tes futurs enfants...
Lizaka
Respect diplomatique : 2723


05/12 ETU 20:51
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Emergence.

Lizaka se réveilla dans la position peu gracieuse dans laquelle l’avait mis Julie. Immobilisé comme un bleu, et nu comme un vert. Il eut quand même le soulagement que son hypothèse sur l’« inoffensif » somnifère de la seringue soit confirmée. Pour compenser ses quelques désagréments, il avait au moins le plaisir du contact pesant avec le corps du robot qui l’enjambait. Les quelques mouvements dangereux de la lame (comme par hasard) le mit légèrement mal à l’aise. Et elle avait dû l’endormir pour l’attacher…
Il ne risquait rien, il en était sûr, elle n’avait certainement même pas imaginé le scénario où il refuserait, c’est l’erreur classique des preneurs d’otages. Mais il n’était pas comme ces hommes que la mort terrorisait. Comme il le disait souvent, on ne vit vraiment que quand on ne craint plus la mort. Etrangement, il trouvait que la braver l’éloignait justement.
Après quelques vaines tentatives pour enlever le bâillon par des mouvements des muscles faciaux, il renonça. Au lieu de ça, il dirigea sa main vers l’écran et le clavier. Mais il ouvrit un fichier texte.


Ma belle,
Je croyais les intelligences artificielles largement supérieures à celles des êtres humains, mais tu me donnes la preuve évidente que ce n’est pas toujours le cas. A mon avis, tu t’es fait royalement entubée (et je ne parle pas de notre séance, royalement est trop faible pour ça).
Qu’espères-tu ?
Si je démantèle Aurora, je claque des doigts et elle est recréée.
Si je donne la capitale, je claque des doigts et je la récupère. (Et puis, andeman, t’aurais pu trouver mieux)
Si je claque des doigts, ta nation est détruite.
Alors, malgré ma position désagréable (je ne parle pas de ton corps sur moi évidemment), tu es dans de beaux draps. Et tu sais que me supprimer ne changerait rien, nous avons eu un grand public qui a observé notre départ de la scène et ta culpabilité ne ferait aucun doute. Et j’ai donné quelques mesures précises concernant la vengeance à appliquer si un événement aussi regrettable arrivait.
Désolé ma jolie, tu as beau jouer avec mes couilles, je joue avec ta vie et celle des tiens.
Mais je dois te dire que si ton peuple contient beaucoup de « femmes » de ton genre, cela me ferait mal au cœur de l’exterminer. Tu n’as encore rien accompli qui ne puisse être oublié, retourner en arrière t’es possible. Avec les endorphines qu’il me reste encore, je me sens généreux. Comprends que tu es dans l’erreur et que c’est une mission aussi inutile que suicidaire qu’on t’a confiée.
Dépêche-toi de te décider.

PS : Je suis toujours partant pour terminer notre gymnastique. Pour le prix, je verrai ce que je pourrai faire.


Il plia le majeur de sa main libre et pressa d’un coup sec le bas du pouce. Une légère lueur rouge ainsi qu’un léger sifflement sortit à travers la peau. La technologie avait quand même du bon… L’homme le plus riche au monde ne pouvait se laisser avoir si facilement.
Il fit une petite mimique à celle qui le séquestrait qui voulait dire « Désolé ».

S’il n’y avait pas le bâillon, Julie aurait pu voir un sourire.
John Quick
Respect diplomatique : 536


06/12 ETU 22:57
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Il venait de tout gâcher.
Il ne le savait sans doute pas encore, mais son geste les avait vraisemblablement condamnés tous les deux.
Tantpis. Que la sécurité se joigne seulement à la partie. L'explosion emporterait un plus grand nombre de salopards.

Julie pesait toujours de tout son poids sur le corps de Lizaka. Elle avait lu calmement le texte qu'il venait de rédiger.
Elle ne fut pas étonnée par le contenu. Elle avait l'habitude. Ils commencaient toujours pas tenir ce genre de discours.

Les hommes et leur fierté...

Mais ils changeaient vite d'avis. Quelques minutes de douleur, et ils devenaient beaucoup plus conciliants... Ils suppliaient, pleuraient, promettaient le double.
Qu'il en soit ainsi. C'était son boulot après tout.

Elle l'embrassa sur le front et lui sourit.
C'était fort dommage de devoir l'abimer. Ce Lizaka commencait à lui plaire. Il semblait n'éprouver aucune peur. Finalement, ils se ressemblaient tous les deux.

Elle écarta la lame du corps de sa victime. Elle espérait que ses couilles pourraient encore lui servir...
Lizaka, sous son baillon, soupira.

Shwinkkk
Un compartiment s'ouvrit sur une de ses cuisses. Julie en retira un petit objet métallique, de forme circulaire, et le déposa sur l'une des tables de chevet.
Elle appuya sur un bouton en son sommet et un petit témoin lumineux se mit à clignoter.

Elle se remit en position. Leurs corps nus frottant l'un contre l'autre...
Apparemment, le jeune homme n'avait rien perdu de sa fougue. Malgrès la situation, son sexe était toujours raide.
(Il lui plaisait vraiment de plus en plus...)

Shwinkkk
La lame de scalpel se retracta.
Shwinkkk
Une pince apparut à sa place.

Elle commencait toujours pas cela. Car la plupart des gens abdiquaient après deux ou trois ongles.

Elle coinca fermement la main libre de Lizaka entre ses deux cuisses, lui tordant le poignet.
Il grimaça.
Elle lui prit l'index et approcha la pince. Elle avait une force incroyable.

- Bon, mon trésor, avant de continuer, mettons certaines choses au point.

Premièrement, ce qu'il se passera après que tu ais réalisé mes souhaits est une autre histoire. On aura surement le temps d'en discuter un autre jour. Mais à ta place, je ne m'inquièterais pas de cela pour l'instant.
Deuxièmement, tu ne connais rien de l'identité de mon employeur. Tu serais bien étonné de connaitre le commanditaire de notre petite sauterie. Si tu es sage, je pourrai peut-être t'aider à comprendre...
Et pour finir, je ne vais pas te faire l'affront de t'expliquer ce qu'est ce charmant petit objet qui trône sur ta table de nuit, mais sache que si un de tes hommes pose le moindre orteil dans cette pièce, tu pourras vraiment raconter à tes potes que tu t'es envoyé en l'air avec Julie Modesty...
Est ce assez clair mon bichon ?


Julie lui fit un clin d'oeil.

- Que la fête continue !

Sans hésiter une seule seconde, elle lui arracha l'ongle de l'index avec sa pince.
Lizaka ne put réprimer un petit cri étouffé.
L'ongle se détacha sans difficulté, accompagné d'un désagréable bruit de succion.
Un jet de sang gicla sur le torse de la gynoïde.

Il essaya de se débattre. Mais il était solidement attaché. Et Julie lui tordit le poignet de plus belle. Il se calma.

Julie patienta quelques instants. Mais Lizaka semblait vouloir continuer.
(... mais vraiment de plus en plus...)

Elle arracha l'ongle du majeur. Celui là était plus résistant. Elle du s'y reprendre à plusieurs fois.
Sous elle, le corps de son amant bondissait dans tous les sens. Mais elle avait déjà monté des étalons bien plus fougueux...
Finalement, l'ongle céda. Elle le déposa sur la table de nuit, à côté du premier.
Du sang couliat sur les beaux draps de soie.

Son patient semblait tourner de l'oeil. Elle le giffla plusieurs fois. Il revint à lui.

- Je pense que tu as compris le concept maintenant. Je sais, c'est beaucoup moins gai qu'au début, mais au plus vite tu feras ce que je t'ai demandé, au plus vite on pourra continuer à se grimper dessus.

Elle se rapprocha de lui, lui mettant le ventre et le clavier sous le nez.

- Et ne t'avises pas de salir les touches!
Lizaka
Respect diplomatique : 2723


09/12 ETU 21:55
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La salope !
Ouch… Sa séance avec cette putain commençait à lui coûter cher. Jusque là, il s’amusait bien, mais la douleur le disputait au plaisir. Il faudra qu’il fasse réinstaller de nouveaux ongles, produit par une technologie onéreuse mais efficace.
La garce. Qu’est-ce qu’elle attendait ? Il serait facile pour lui de découvrir quelle nation l’a envoyée au banquet. Son geste était inutile et n’entrainerait que des problèmes pour son commanditaire. Peut-être est-ce le but, de le mener vers une fausse piste et faire retomber les conséquences sur un innocent… Il ne se laissera jamais manipulé, c’était bon pour les autres de tomber dans le panneau.
Mais bordel, ça fait mal !
Ca brûlait, ça piquait affreusement, il n’avait jamais imaginé que ces petits trucs inutiles tout blancs pouvaient faire aussi mal quand ils devenaient absents. Du sang coulait sur son corps nu et soumis au caprice d’une machine teigneuse. Il se sentait misérable, et détestait ça.

Qu’est-ce qu’ils foutaient ?

+++++++++++++++++++++++++++++++++

Le signal de détresse.
Le Weiger Franco était soulagé. Enfin une occasion pour agir. Le corps d’élite chargé des interventions éclairs musclées en cas de grand danger menaçant leur boss, avec le titre plus glorieux de Crush, s’ennuyait. Les hommes d’action n’étaient pas faits pour l’attente. Même si la paie est fameuse, plusieurs avaient déjà pensé à partir, la frustration devenant trop difficile à supporter, même comparée à l’argent reçu pour cela. Leur patron n’était pas un des leurs, assez étranger au monde militaire, ils se comparaient souvent à des mercenaires de luxe, mais l’argent et les conditions de travail étaient une bonne compensation. Et on ne pouvait pas dire que Lizaka était un abruti incapable, ils avaient tout de même la fierté d’être dans les rangs de la plus riche et prépondérante des nations. De plus, Franco avait bien remarqué que cela ne s’était pas fait tout seul, Lizaka est un vrai stratège, même si dans une autre dimension.

Recrutés parmi les meilleurs, ils réagirent au quart de tour, malgré l’étonnement joyeux (qui n’aurait peut-être pas plu à leur chef, vu sa position désagréable) que la signification du signal leur provoquait. Enfin. Mais cela signifiait aussi qu’ils pourraient perdre leur poule aux œufs d’or s’ils échouaient. On y va les gars.

Arrivés devant la porte de la loge, les 10 membres du Crush s’établirent stratégiquement tout autour. Appuyé sur le mur de gauche, Franco sortit son VPod d’une large poche de sa veste de militaire. Après quelques manipulations sur le clavier, l’image transmise depuis la caméra présente dans la chambre s’afficha. Caméra dont on ne pouvait avoir accès que lorsque de signal de détresse était activé. Il aperçut Julie au moment où elle arrachait le deuxième ongle. « Pauvre petit, ça doit être sa première expérience avec la vraie douleur. » Il n’empêche qu’il devait le secourir. Analysant la pièce, il repéra le disque noir trônant de manière visible sur la table de chevet. « Elle veut qu’on le voit ». Sacrée femme, mais son expérience lui avait fait connaître des femmes bien pires.

L’effet de surprise, tout se trouve dans l’effet de surprise. Lizaka devait l’avoir appris à ses dépends. Elle devait être convaincue de l’avoir eu dans son camp. Erreur prétentieuse. Il s’imagina la suite des événements, vue selon leur ennemie : ils entrent bien gentiment, n’osant prendre le risque de blesser sa victime, elle les menace et ils se retrouvent obligés d’abandonner leurs armes et de la laisser partir. Bref, un coup pour rien.
Être imprévisible, voilà la plus grande vertu d’un combattant. Il établi ses objectifs : neutraliser le disque et la femme. Le tout, avant qu’elle puisse réagir. Tant pis si Lizaka ne s’en sort pas indemne, les résultats seront de toutes façons meilleurs qu’une autre solution.
Interpellant la meilleure tireuse du groupe, Angela, il lui indiqua l’emplacement exact du disque. La force du tir devait être juste suffisante pour envoyer le disque par la fenêtre, sans le briser. La fenêtre était mal mise, l’angle n’était pas évident, mais elle en serait capable. Elle le battait au billard.
Il informa ensuite les autres du reste : dés que la porte serait ouverte, il tirerait avec un gros calibre sur le dos de l’adversaire pris par surprise, avec pour but d’exterminer son torse sans abîmer le petit gars qui se trouve en dessous (« Et en essayant d’éviter sa bite qui se trouve encore dedans… Je doute qu’il me le pardonnerait. »). Les autres rentreront à toute vitesse et se positionneront au cas où tout ne se passe pas comme prévu.

3, 2, 1.
Franco inséra le passe-partout que lui seul possédait dans le boitier de la serrure électronique.
Et ils passèrent à l’attaque.
annarion
Respect diplomatique : 268


12/12 ETU 15:53
Ce commandant soutient la galaxie
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Les sicaires morialori parvenus depuis des mois dans la capitale impériale infiltraient, les administrations, les bases militaires pour dérober des secrets utiles à l’empire des glorieux eldars. Depuis des temps immémoriaux l’ordre de l’Ombre, oeuvrait dans l’ombre pour le maintien de la gloire impériale.

Ils étaient rompus à toutes les techniques de l’espionnage et de l’assassinat et ils étaient maîtres dans les arcanes de l’ombre. Les elfes-ombres menaient à bien des opérations d’espionnage et rarement ils avaient faillis. Aucune forteresse ne leur était inaccessible et nul système de sécurité n’était pour eux inviolable, et peu de leurs cibles survécurent à leurs assauts. Ils étaient impitoyables, furtifs, imprévisibles et d’une extrême rapidité, cette fois encore ils allaient le prouver. Inflexibles comme l’acier, rusés comme un serpent selasien*, un groupe de sicaires morialori firent des opérations d’infiltration de l’empire de Lizaka, et ils avaient déjà rassemblé nombre d’informations fort utiles.

Depuis quelques semaines ils étudiaient la configuration de tous les lieux de résidence du commandant Lizaka et des autres hommes clé du régime de l’empire. Le goût du luxe était leur point commun le plus flagrant, l’abondance des moyens financiers était omniprésente et étourdissante. Mais depuis quelque temps le puissant et richissime maître de cette planète avait élu domicile dans une sorte de grand palais, à la mesure de sa fortune colossale, outrageusement luxueux.

Cette résidence ne lui servait que pour lors du prix de l’Aurore. L’empreinte psychique de leur cible avait été proprement mémorisée par tous les membres du groupe, ce qui leur permettait de le suivre à la trace. Parvenu au pied de sa résidence actuelle, ils surent exactement où il se trouvait. Ils avaient d’ors et déjà visité cet édifice et ils en connaissaient par cœur les issues et les points d’accès.

Afin de pouvoir pénétrer au cœur même du sanctuaire où résidait le commandant Lizaka. Telles des ombres ils parcouraient la nuit les rues, repéraient les patrouilles, les faiblesses du dispositif de sécurité de la zone. Recueillaient des renseignements en les écoutant les conversations en copiant des documents, ne laissant jamais trace de leur passage ou même de leur simple présence. L’une de leurs maxime était : « Le vent n’est pas une ombre ». Ce qui signifiait que le vent que l’on ne peut voir, mais que l’on peut encore sentir n’était pas assez discret pour accomplir l’œuvre d’un elfe-ombre.

Des renseignements recueillis par le groupe d’Ilnien tendaient à prouver qu’une action allait être tentée contre le commandant Lizaka, de nature indéterminée. Cela devait être suivi de près, car les conséquences pouvaient en être désastreuses. Les derniers rapports signalaient qu’une action allait être entreprise à l’encontre du commandant Lizaka, risquant de déstabiliser encore un peu plus la galaxie, cette affaire exigeait de plus amples renseignements.Il fallait connaître le fin mot de cette affaire. Après avoir reçu leurs instructions, les morialori, se mirent en action.

Ils traversèrent la ville tentaculaire, tandis que la lumière du jour baissait. Couverts du manteau de la nuit ils parcouraient les rues bien éclairées, invisibles aux yeux des hommes telle la mort frôlant ses victimes.

La nuit était tombée, les morialori, se retrouvèrent dans un bosquet non loin de l’immeuble où se trouvait leur cible. Les elfes-ombres vêtus de leurs sairins** noirs avaient réussi sans peine à déjouer les systèmes de sécurité primitifs confiés à des mortels et à des machines. L’art subtil et plurimillénaire des sicaires morialori leur permis de passer tous les points de contrôle et aucun des systèmes d’alarme n’était en mesure de les détecter.

Ils étaient enfin parvenus au pied de l’immeuble où se trouvait leur cible et tout se passait conformément au plan. L’immeuble était un immense bâtiment en pierre de marbre d’une hauteur imposante une sorte de tour imprenable. Les morialori approchèrent furtivement, évitant toutes les patrouilles avec soin.

annarion
Respect diplomatique : 268


12/12 ETU 16:05
Ce commandant soutient la galaxie
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Emeneon caché dans un bosquet touffu de conifères à proximité, camouflé par un sortilège, observait depuis un long moment les patrouilles. Ces soldats étaient sans aucun doute excellents mais ce n’étaient que des soldats et ne seraient en aucune manière un obstacle. Il demeura tapis dans le bois en se concentrant en attendant de pouvoir passer à l’action pour cela il fallait que soit en place Seorn et son groupe.

Il entendit résonner en son esprit la voix de son disciple :

« Maître, nous sommes à l’étage. Nous attendons vos ordres.»
« Pénétrez à l’intérieur, en approche brume. »

Répondit Emeneon par télépathie à son disciple.

Seorn, Mondis et Meondril étaient parvenus à se hisser jusqu’à l’étage où se trouvait la loge de Lizaka. S’étant changés en brume ils se retrouvèrent à l’intérieur sans difficulté aucune. Pouvant entendre et voir sans pouvoir agir, sous cette forme vaporeuse. Seorn fit appel à son pouvoir psychique pour faire entendre Emeneon ce qui se disait à l’intérieur de la pièce, tous écoutèrent en silence:

« Je veux le démantèlement complet de la coalition Aurora. Et ne me dis pas que tu ne sais pas le faire. Cela nous ferait juste perdre du temps.
Deuxièmement, je veux que tu lègues immédiatement la capitale galactique au commandant Andeman, du peuple Vaarlag. Cela aussi, je sais que tu sais le faire…»


Ils étaient arrivés au bon moment, apparemment les informations recueillies ce jour-ci seraient sans doute capitales. Ils attendirent les ordres. Emeneon était plongé dans une intense concentration, afin de mémoriser la conversation qu’il pouvait écouter au travers de ses disciples.

« Maître nous sommes en place, nous attendons vos ordres. »

« Fort bien, tenez-vous prêts, je crains qu’il ne nous faille intervenir. Celui qui a imaginé cette opération l’a fort mal préparée.» dit mentalement le maître sicaire.

La gynoide assise sur le torse de Lizaka se délectait d’être en position de… force :

« A ce moment là, j'aurai amplement méritée le prix de l'Aurore des plaisirs. Et tu verseras sur mon compte les 100.000.000.000 leems qui me reviendront de droit.
Après, je te laisserai te reposer. Car tu en auras fortement besoin… »


Tandis qu’il mémorisait ces précieuses informations. Une vision prémonitoire du proche avenir lui fit voir ce qui allait se produire, dans les prochaines minutes. En langue hermétique drune***, il intima l’ordre à tous les morialori présents de pénétrer l’immeuble :

« Seldereon cos eon enpellen sin deodril.»
annarion
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12/12 ETU 16:11
Ce commandant soutient la galaxie
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Les morialori dans une chorégraphie millimétrée se mirent en mouvement, silencieux et feutrés, même les animaux ne perçurent pas leur approche, ils pénétrèrent sans bruit par une porte de service qu’il n’eurent aucune peine à ouvrir. De là ils pouvaient sans peine accéder aux escaliers, invisibles aux yeux de tous, ils s’y engagèrent prudemment néanmoins. Soudain Dir, le plus jeune du groupe, un jeune elfe de petite stature se figea devant les escaliers et s’aperçut des capteurs de mouvement avaient été installés depuis leur dernière visite des lieux. Ils sourirent alors… comment capter le mouvement de la brume ?

Le petit groupe de cinq sicaires, s’introduisit au nez et à la barbe des gardes, des caméras et autres capteurs au cœur même de la demeure passagère de Lizaka. La sorcellerie eldar était plus ancienne et plus subtile que les technologies des mortels. Ne pas laisser de traces, et même effacer leur présence leur était possible.

La tournure de l’interrogatoire et la séquestration de Lizaka risquaient de se transformer en cauchemar pour ce dernier, entre les mains de la gynoide. Mais cela allait bientôt finir car les gardes étaient en marche pour intervenir. Emeneon avait eut la prémonition de cette arrivée. Il fallait à tout prix empêcher leur intervention, ces idiots de soldats allaient tuer leur propre dirigeant sans le faire exprès. Les sicaires parvenus à l’étage en empruntant les ascenseurs avec des serviteurs devancèrent de peu les forces de sécurité, qui manifestement était de vraies brutes. Les sicaires prirent position en demeurant invisibles.

Après un instant ils placèrent chacun un glyphe tout du long du couloir. Les pas résonnaient déjà dans les couloirs menant à la loge. Les sicaires savaient que les très obéissants gardes de la sécurité allaient arriver dans quelques instants et tomber dans leur embuscade. Ils eurent à peine le temps de s’écarter pou laisser passer le groupe d’élite, qui fit soudainement irruption tel un troupeau de lourds olifants patauds. Les gardes arrivèrent devant la loge de leur maître, ils préparèrent leur assaut devant la porte même.
A l’écoute du plan de ces braves hommes de guerre, Emeneon su immédiatement ce qu’il devait faire, ces braves et courageux allaient poursuivre leurs « exploits militaires » dans les mondes oniriques. Ils ne lui donnaient pas d’autre choix, sinon tout allait exploser.

Il adressa un ordre télépathique à ses hommes :


« Il faut intervenir, pour leur sauver la vie à tous deux. A vos masques. Position de la tortue. »

Les ombres se mirent à l’abri, à l’autre bout du couloir, Enel, le sicaire défenseur, lança un sort de champs de force au cas où l’explosion se déclenchait malgré tout. Les trois sicaires à l’intérieur se changèrent en brume.

Tandis que les explications du chef du groupe du Crush arrivaient à leur terme, maître Emeneon enclencha les glyphes, le poison mis en réserve, le fréneol**** se répandit alors. C’était un gaz magique inodore incolore, et indécelable, et qu’un enchantement rendait irrésistible en quelques secondes il fit effet. Le gaz imperceptiblement pénétra les poumons des gardes qui ne s’aperçurent de rien.


3,2,1….

Le passe avait été introduit dans la serrure électronique, au moment même où les soldats allaient entrer un profond sommeil envahit leur esprit et ils s’effondrèrent tous soudainement, endormis sur le sol. La porte s’ouvrit dans un bruit de glissement, laissant voir les courageux hommes d’élite tomber endormis comme des enfants d’un sommeil paisible, toute trace du gaz enchanté ayant totalement disparu…


[HRP définitions:*Le serpent selasien est un serpent caméléon qui peut se camoufler, mais aussi prendre la forme d’une créature inoffensive.

**sairin : ce sont des habits spéciaux conférant une protection à leur porteur, mais aussi un sort d’invisibilité permanent. Ces habits sont adaptés à tous les milieux, et peuvent servir de combinaison en maintes situations critiques ou extrêmes. Un masque complète cet ensemble. Le sairin permet aussi le port de nombres d’armes en les rendant très légères, mais aussi permettant de les faire apparaître.

***drune : langue secrète des sicaires morialori.

**** fréneol : gaz soporifique très puissant d’origine magique.]
John Quick
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29/01 ETU 22:44
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HRP : Il est tellement rare de voir Lizaka en position de faiblesse, que quand ca arrive, il faut en profiter. Ce serait donc dommage de ne pas terminer ce topic.
Il a un goût désagréable d'inachevé... Désolé pour le temps qui s'est écoulé depuis le dernier post. Nous allons donc continuer à le jouer, mais à titre d'archive.
A savoir donc que ce qui se passera ici est à classer dans les histoires anciennes.

Pour rafraichir les mémoires, en voici un rapide résumé :
Lors de la soirée de gala en l'honneur des prix Aurore, Lizaka a terminé la soirée, dans sa loge, en compagnie d'une splendide gynoïde du nom de Julie Modesty.
Malheureusement pour lui, la belle n'en voulait apparement pas qu'à sa virile intimité... Et le pauvre Lizaka s'est donc retrouvé attaché à son lit, certains ongles de ses doigts reposants sur sa table de nuit...
Modesty lui demandait trois choses, en échange de quoi ils pourraient continuer leurs ébats amoureux plus catholiques. Car apparemment, Lizaka n'était pas un adepte convaincu du SM...
Seulement, ce bougre était têtu. Et il réussit à alerter son service de sécurité. Ca sentait le roussi pour Julie...
Et au moment ou les soldat de Lizaka rentrait subitement dans la pièce, ceux ci s'écroulèrent sur le sol, victimes d'un gaz lacrymogène...

...................................................................................

Julie était déçue. Elle n'aimait pas quand cela se passait comme ca.

Elle se retira et sauta du lit. Elle devait agir vite. Il lui faudrait jouer serré.
Mais Julie adorait cà. C'était encore meilleur que d'abuser de ce jeune prétentieux.

Shwinkkk
La pince se rétracta dans le compartiment de son poignet.
Shwinkkk
Le scalpel ressortit pour la deuxième fois.

Elle prit la bombe qui était posée sur la table de chevet dans l'autre main.
Ensuite, elle déposa la lame éffilée du scalpel sur la gorge de l'avorton et appuya légerement.
Julie défit le baillon et les liens qui retenaient Lizaka à son lit, tout en lui sussurant à l'oreille :

- Ecoutes moi mon petit sucre d'orge. Nous allons partir en voyage, toi et moi, rien qu' à deux. Tu vas voir, cela va être très agréable.
Tu vas me suivre gentillement, car si tu cries ou fais le moindre geste sans que je ne t'ai donné la permission, je te tranche ta jolie petite gorge toute rose.
Et ensuite je me ferai exploser avec tout ton complexe de petit frimeur prépubère. Le concept de mort m'est totalement indifférent. Cela pourrait même être plutôt jouissif, je crois...

- Alors, tu vas te lever et on va se diriger vers la porte ou tes petits camarades font un gros roupillon.


Elle insista sur la gorge de Lizaka. Du sang perla à nouveau. Il était très pâle. Mais ses yeux lancaient des éclairs.

Il se leva, nu comme un ver. Tout désir avait quitté son corps.
Modesty lui emboita le pas. Elle se colla à lui dans son dos. La pression du scalpel se fit encore plus forte. L'otage grimaca.

Arrivé sur le pas de la porte, ils enjambèrent les corps des hommes de la sécurité.
Julie l'obligea à s'arrêter.

- Maintenant, mon amour, on va s'abaisser tout les deux très lentement et tu vas prendre la radio qui traîne sur cet homme.
Et pendant que nous rejoindrons la sortie, tu vas appeler le service du dôme. Tu vas leur demander gentillement de nous attendre sur l'esplanade, avec un vaisseau et un pilote.
Nous allons ensuite nous envoler vers notre lune de miel.
N'oublies pas qu'à la moindre entourloupe, la galaxie des Exilés pourra se réjouir d'avoir une raclure de moins à supporter...


Ils s'abaissèrent très lentement.
Leurs deux corps nus, collès de près, se frottèrent doucement.
Julie émit un petit gémissement de plaisir. Ses seins, pointus et durs, s'enfoncèrent dans le dos de Lizaka.

Après avoir pris la radio, ils se relevèrent tout aussi doucement.
Ils sortirent de la pièce. Le couloir était vide. Ils se dirigèrent vers la sortie.

- A toi de jouer maintenant.
Lizaka
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01/02 ETU 18:24
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Etait-elle folle ? Qu’est-ce qu’elle croyait ? Que ses hommes s’étaient évanouis par magie ? Un petit somme avant d’aller buter du robot qui menace de mort leur chef ?

Ou alors, peut-être que c’était elle qui était à l’origine de ce gaz ayant neutralisé son équipe de sauvetage. Oui, possible. Lizaka se rappela l’éphémère soulagement qui l’avait parcouru quand les portes s’étaient ouvertes. Pour voir ses meilleurs gars s’affaler lourdement sur le sol…

Il détestait devoir obéir à des ordres. C’étaient les autres qui obéissaient, pas lui. Mais face à une lame, bien des considérations passent au deuxième plan.

Qu’est-ce que cette chose inhumaine espérait ? S’enfuir avec lui ? Depuis qu’il avait activé le système d’alarme greffé dans sa main, c’était un incroyable système de sécurité qui s’était réveillé, un monstre aux yeux et oreilles infinies, d’une agilité et force suffisante pour écraser un petit robot. On ne devient pas invincible en portant juste un petit couteau sur soi. D’accord, l’équipe principale venait de se faire facilement emmenée au pays des songes, mais il restait encore tout le reste du dispositif. Actuellement, une foule de caméras et de micros épiaient la moindre information sur eux. Et des responsables de sécurité et compagnie devaient être en train de réfléchir aux actions à entreprendre. Lizaka fit une grimace en pensant qu’ils le voyaient nu, cela le dérangeait presqu’autant que le scalpel sous son menton. Une fois cet incident réglé, il ferait supprimer les bandes.

Restait encore à savoir comme régler cette affaire qui l’agaçait sérieusement.

Approchant la radio de ses lèvres, Lizaka l’actionna.


Ici le Grand Passeur des Sauvés. Il me faut un vaisseau avec pilote rapidos, la demoiselle avec moi aimerait s’envoler au 7ème ciel et on dirait que je n’ai pas suffit. Je compte sur vous pour la satisfaire. Au-delà de ses espérances.
John Quick
Respect diplomatique : 536


02/03 ETU 13:51
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" Ici le Grand Passeur des Sauvés. Il me faut un vaisseau avec pilote rapidos, la demoiselle avec moi aimerait s’envoler au 7ème ciel et on dirait que je n’ai pas suffit. Je compte sur vous pour la satisfaire. Au-delà de ses espérances."

Le petit gars faisait le mariolle.
Mais Julie sentait bien que "Le Grand Passeur des Sauvés" était terrorisé. Son coeur battait la chamade et sa peau était moitte de sueur. Il sentait le stress et la peur.

Ils parcoururent les couloirs jusqu'à la salle de réception où ils s'étaient rencontrés tout à l'heure.
Ils ne rencontrèrent personne, mais la gynoïde sentait toutes les caméras de surveillance braqués sur eux à chaque instant.

Le dispositif de sécurité était impressionant. Ils croisèrent au détour d'un couloir deux drônes de surveillance qui détalèrent à leur arrivée.
Elle entendit aussi très faiblement des voix et des échanges radio, entrecoupés de bips sonores.
Julie se demandait quand est ce que les soldats du dôme allaient intervenir à nouveau. Car ce genre de fanjos ne pouvaient s'empêcher d'intervenir à un moment ou un autre.
Elle le saurait bien assez tôt et espèrait juste avoir assez de temps pour terminer sa besogne.

Ils débarquèrent dans la salle de réception, toujours nus comme des vers.
La grande pièce était vide et presque entièrement rangée.

...Rmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmm...

Un aspirateur dernier cri était allumé au centre de la salle et faisait un boucan monstre.
Le service de nettoyage avait apparemment quitté les lieux en toute vitesse.

Ils se rapprochèrent lentement de la grande porte de sortie. Julie tenait toujours Lizaka fermement, le scalpel sous sa gorge, la bombe dans l'autre main.

Le coeur du jeune homme s'emballa encore plus. Il jetait des regards à droite et à gauche, à l'affut du moindre détail annoncant l'arrivée de ses sauveteurs.

...Rmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmm...

Au fur et à mesure qu'ils s'approchèrent de la sortie et de l'esplanade extérieure, le bruit de l'aspirateur laissa la place à un autre son plus ou moins similaire : le ronronnement de moteurs à fusion tournant au ralenti... La navette les attendait bien dehors, prête à décoller.

Sans hésiter, Modesty sortit par la porte et entraîna son otage dehors sur l'esplanade.
Une trentaine de mètres les séparaient de la navette. C'était une minuscule frégate, prévue pour le transport rapide de troupes.

Le sas de chargement, juste derrière le pilote, était ouvert.

Ils commencèrent à avancer sur l'esplanade.

Julie aperçut des reflets et des mouvements furtifs sur un batiment annexe.
Les snipers du petit gars n'étaient pas très dicrets.

- Je te conseille de prévenir tes hommes qu'au moindre disfonctionnement de mes circuits internes, la charmante bombe que je tiens en main se déclenchera. Je suis désolée, je suis programmée comme cela mon petit lapin...
Et j'aimerais vraiment pas que tes entrailles et ta cervelle retapisse cette immense esplanade.

- T'as la radio, Tu sais comment ca fonctionne. A toi de jouer maintenant...
Lizaka
Respect diplomatique : 2723


21/03 ETU 20:46
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Dés qu’il avait vu l’aspirateur, Lizaka avait compris. Ils étaient doués, ses gars. Enfin, pas tous.

Alors qu’il se promenait nu avec la belle Julie (« Rincez-vous bien l’œil les gars, ça ne va plus durer longtemps »), avançant sous la menace d’un scalpel (« Elle aurait pu trouver mieux, ça fait minable »), son dispositif de sécurité était on ne peut plus actif. Dans une planque, des ordinateurs bourdonnaient, des messagers circulaient comme dans une fourmilière, des hauts-placés scrutaient avec attention les écrans, espérant une promotion pour bonne conduite.

Alexandre Bondut était un de ceux-ci, et était fier de son idée. Parce qu’une intelligence artificielle, ça ne se bluffe pas comme des joueurs de pokers (désolé Ginjo). Tout d’abord, mettre l’adversaire en confiance, lui faire croire qu’il a percé le plan. Les faux-snipers étaient là pour ça. Julie avait mordu à l’hameçon, trop sûre d’elle.
Ensuite, donner au piège une apparence inoffensive, un objet du quotidien qui ne soulèverait aucun soupçon, dont la présence serait facilement justifiable. L’aspirateur. Camouflé, un système offensif sophistiqué visait le groupe des deux amoureux. Objectif : neutraliser et la bombe, et Julie.
Elle avait déjà fait l’erreur de les informer du déclanchement automatique de la bombe si on lui faisait bobo, ou elle bluffait, mais ça revenait au même.

Alors que Julie était concentrée sur les mouvements sur les toits, c’est de son dos que vint l’attaque.
D’abord, une enveloppe blindé d’un matériau indestructible fut propulsé avec une précision infinie vers la main de Julie, celle qui tenait la bombe. La légèreté et l’élasticité de ce matériau lui permit d’épouser parfaitement la bombe et la main, les enserrant dans un étau incassable.
Puis, tel un tazer surpuissant, une fine plaque de métal reliée à l’aspirateur par un mince fil conductible fut violemment collé à Julie, avant d’être parcourue par un courant électrique d’une tension énorme. Secouée violement par la décharge, Julie s’effondra. Une mince nuage de fumée s’échappa de la main prisonnière.

Après avoir endossé en vitesse une toge apportée par l’équipe de sécurité, qui se félicitait de sa réussite, Lizaka s’approcha du corps inerte de Julie.


- C’était sympa cette sortie, je n’oublierai pas facilement cette aventure passionnante, tu sais. Tu auras l’honneur de faire partie des quelques unes qui m’auront marqué.
Bon allez les gars, mettez-moi ça à la poubelle.

C’est fou ce que c’est cool d’être riche.

[HRP]On l’aura quand même terminé^^

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