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Comme un souffle de vie...

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Hagal Thorn
Respect diplomatique : 118

19/05 ETU 14:54

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Isis s'occupait de Féokhan, elle attendait la nourrice avec impatience, celle-ci aurait du arriver depuis plus d'une heure. Isis enrageait, elle adorait son fils, certes, mais depuis la mort de son mari elle était seule pour s'occuper de l'Empire et ce n'était pas chose aisée. Elle reposa Féokhan dans son berceau et se dirigea vers la fenêtre qu'elle ouvrit en grand, elle pu sentir l'air caresser son visage, cette senstion lui rappela le souffle d'Hagal lorsqu'il lui baisait le front, ce fut la dernière vision de lui qu'il lui restait, c'était en effet la dernière chose qu'il avait fait avant de partir pour ne plus jamais revenir. Une larme coula sur sa joue, elle semblait brûlante. Soudain, une sensation famillière lui donna des frisson, ces même frissons qui parcouraient son corps quand Hagal lui baisait le front, ceux-ci lui firent ouvrir les yeux, elle vit quelque chose qui lui fit faire un pas de recul.

Hagal?

Il se tenait là, devant elle, il semblait fatigué mais heureux, elle le regardait, apeurée et fascinée. Il se osa devant elle et lui sourit.

Isis, tu n'as pas changé, tu es toujours aussi ravissante, jamais je n'aurais cru que je reviendrais, les dieux du Grand Berceau ont préféré me renvoyer auprès de miens, je sais ce que tu as fait de mon corps et je t'en suis reconnaissant, je n'ai plus besoin de cette enveloppe qui m'embarasse, je t'aime Isis, je ne t'abandonnerais plus jamais.

Hagal, je... je ne mérite pas ta reconnaissance, j'ai offert ton corps à des scientifque, tout ça parce que je voulais oublier mon chagrin, tu ne peux m'accorder ceci.

Regarde ce que tu as fait de l'Empire, jamais je n'aurais cru qu'il puisse arriver à une telle puissance, vois comme ton fils, ton peuple t'aime, crois-tu que je puisse t'en vouloir pour ce que tu as fait? Isis, jamais quelqu'un d'autre que moi ne pourra t'aimer autant.

Il s'approcha d'elle et lui baisa le front.

Ainsi, le gran Hagal Thorn 1er était revenu, l'histoire reprenais son court, la nouvelle mettrait peu de temps à se répendre.

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