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| Dayel Respect diplomatique : 57  10/05 ETU 20:54 | Score : 15 Détails Planète S Planète Sokaris
Une matinée comme les autre sur la planète d'émeraude. La rosée perle au bout des feuilles telle des millions de lucioles. L'aube pointe et le soleil apparaît derrière l'océan de plantes. Sur l'île de mermidon, nuance de verdure au milieu d'une immensité saphir, discutent Dayel et son adjoint. Les deux collaborateurs se tiennent devant un immense bâtiment de bois et de terre, la structure bien qu'impressionnante s'accorde complètement avec son environnement. Les bruits sourds saccadés des turbines s'échappent des entrailles de la centrale d'énergie. - Durin, quelles sont les nouvelles? - Elles sont bonnes mon seigneur. Nos exploitations de matière première comme le diamant ou le métal tournent à plein régime, les centrales d'énergies tirent de notre terre une importante quantité de chaleur, et nos panneau solaire sont en place. De plus, les premiers contacts avec nos voisins systémique sont effectués. Malgré des relation de prime abord houleuses, le problème s'est très vite arrangée et une collaboration à long terme est à espérer. - Excellent mon ami, cela à été dur, mais nous voilà enfin une planète dynamique et dont l'opinion compte dans cette fabuleuse galaxie. - Ce n'est pas tout mon seigneur. - Qu'y a t-il? - Il est revenu. Dayel devint livide, peu à peu un éclatant sourire se fendit sur son visage. | ||
| Dayel Respect diplomatique : 57 11/05 ETU 19:32 | Score : 10 Détails Il y a quinze siècles...
Il neige sur la colline de Keirn. Le blanc immaculé du manteaux neigeux recouvre les feuilles mortes de l'automne. Au dessus de Keirn, la forteresse de glace, les cieux crachent des éclairs dont le feu est absorbé par l'humidité du sol. Derrière les murailles de la place forte, des milliers de soldats sokars attendent le début de la fin... Les bruits saccadé de la marche macabre résonnent dans le crépuscule. L'horizon est à présent couverte de la masse bruyante des ennemi de la lumière. Les barbares approchent, les fils de la vie sont en grand danger... Commandés par Ryuk le dieu maudit par les siens, les enfant de la mort avance toujours plus loin dans les terres sacrée de sokaris, pillant, ravageant, violant les femmes, tuant les enfants. seule la cité de glace leur résiste...il n'auront pas de pitié. La nuit avance et l'armée des ténèbres est au porte de Keirn, les milliers de feu de camps rend pâle la lumière de la lune. On ne peut apercevoir la terre au delà de l'armada gigantesque. Sur des lieux et des lieux la noirceur étend ses ailes et obscurcit le visage des défenseurs. Cinq cent mille, peut être plus...combien de temps une forteresse défendu par seulement quelques milliers de valeureux guerriers pourrait survivre. Comment la minorité apeurée pourrait l'emporter face à la noirceur démesurément grande... L'aube arrivée, le branle bas de combats fut levé. Sur son destrier sombre, le maléfique dieu déchu Ryuk toise la muraille qui lui fait face une centaine de mètre devant son armée. Des volée de traits s'envolèrent dans sa direction et furent déviée de leur trajectoire par un simple mouvement de poignet. Le roi des morts observa avec mépris les défenseur qui malgré leur angoisse croissante se battront jusque mort s'en suive. Il s'écria soudain d'une vois gutturale qui n'eut pas de mal à arrivé jusqu'au rang des sokars. - Montre toi Kaldra, vient regarder la mort et son souverain. Observe mon armada et scrute la tienne. Abandonne déesse, ou tes soldats seront décimés jusqu'au dernier. Toi qui dit avoir de la compassion, observe leurs yeux et lis y la terreur que je leur inspire. Un femme apparut soudain derrière les crénaux, habillée d'un longue robe blanche, une étrange aura flottait autour de sa silhouette. Elle était la plus belle femme qu'il puisse exister, ses cheveux blancs cascadant abs dans son dos, son visage enfantin, ses yeux bleu d'une infinie pureté. Elle répondit à son adversaire de sa voix claire. - Ressaisie toi fou! Le vice a-t-il envahi l'entièreté de ton être? une once de logique illumine encore ton crâne difforme. Les ténèbres ne peuvent l'emporter, ne fais pas l'erreur de penser le contraire. Mes hommes sont vaillants et massacreront ta masse de lâche. Pille, ravage, les champs seront replantés, les richesse seront retrouvées...mais toi immonde crapule, tu croupira en enfer le restant de ton existence. Un cri de guerre monta des rangs sokars, le courage leur était revenu et ils ne doutaient plus. La lumière vaincrais. La suite prochainement. |
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