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Forums galactiques > Assemblée Galactique : diplomatie officielle > Un bout de chemin avec elle.[RP]
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| Cignia Respect diplomatique : 125  03/06 ETU 17:54 | Score : 6 Détails
Les nuages noirs formaient sur la lune des ombres,qui laissaient apparaître des formes,des visages au grés des yeux qui y jetaient un regard. Cette lune se detachait distinctement du ciel que la nuit formait ,grace au tons dorés et à l'étrange blondeur qui la composait. On retrouvait cette blondeur dans les yeux miroitants,diaphanes,vides de Cignia. L'attention que ce regard portait sur l'imensitée celeste;celle ci en tout point semblable malgrés le temps mais toujours differente,n'etait pas habituelle. C'etait même rare. Quelque chose,ou peut-etre quelqun,qui sait,hantait son regard prenait toue son attention,si bien que le vide,arraignée silencieuse,tisait sa toile au fil du temp. Ce temp,passant si vite,et si lentement à la fois... La contemplation de ces si beaux yeux,de ce regard,réveur et doux à la fois,laissait finalement place à la contemplation du reste. Ce reste,si simple d'interet mais si captivant à la vue... La tenue elle même etait simple; Une longue robe blancheornée de dentelle au bout des manches. Celle ci s'accordait aussi parfaitement avec les bijoux qui ornaient son cou et ses poignets,peu nombreux certes mais jolis cependant.Sa peau semblait douce ,satinée,presque brillante. Il y avait cependant une paleur nouvelle,etrange,qui occupait son regard en lui donnant un air malade. Assise devant la petite demeurre,Cignia pensait. Elle avait un air,un comportement,une facon d'être inhabituels,qui demandait reflexion. Sa vie passait et pourtant,tout avait changé.. Des souvenirs,des visions,des paroles... Des souvenirs marquants, des souvenirs atroces, des souvenirs inoubliables, elle ne pouvait pas oublier, elle ne devait pas oublier, elle n'avait pas oublier. | ||
| Cignia Respect diplomatique : 125 05/06 ETU 20:06 | Score : 4 Détails Se servant de la foret comme protection, sa famille, elle et son village, ou du moins ce qu’il en restait, s’était déplacés, menacés par des fous, c’était le cas de le dire, au service d’un régime tyrannique en place, qui se faisait respecter par la force et la terreur.
Parce qu’il était différents, Parce qu’il n’avaient pas les même idées, Parce qu’il rêvaient d’autres choses, Parce qu’il osaient contester, Ils devaient mourir. Ces fous, ces « sauvages » car on pouvait les qualifier de cette manière, été de vraies brutes. Ils pillaient les villages, les brûlaient par la suite .Ils pratiquaient la torture et étaient sans pitié ni état d’âme. Le village avait été brûlé et tous les rescapés avaient du se réfugier dans la forêt. Un soir, un de ces soirs où la nuit tombe sans crier gare, Cignia, comme à son habitude, se promenait dehors. Elle n’était pas néophyte pour cela et c’est justement ce qui inquiétait sa famille. Le pire pouvait arriver. Et le pire arriva. Tandis qu’elle explorait l’univers ou elle avait appris depuis peu a vivre, une sensation étrange lui traversa le corps, l’esprit, d’une façon brutale qui la bouleversa. Cette sensation ne mentait pas. Ils l’avaient prise en embuscade. Ils n’étaient pas réputés pour être doux mais plutôt pour être violents et sans merci. Cignia le savait mais elle savait aussi quoi faire dans cette situation. Ne pas parler, Ne pas avouer, Ne pas dénoncer, Tels étaient ses devoirs et elle ne manqua pas de les appliquer à la lettre. Malgré le chantage, les menaces, la torture... Elle résistait. A moitié morte, a moitié vivante, terrassée par la douleur qu’elle avait subit et qu’elle subissait encore, elle essaya tant bien que mal de se relever pour regagner son village. Ou du moins ce qu’il en restait... Parce qu’elle savait qu’il n’en restait pas grand-chose... Voyageant comme elle pouvait, se cachant ou elle pouvait, n’importe ou, ou on acceptait de la cacher, durant des années,Cignia ne cessait pas de rêver. Elle vivait sa vie par procuration. Maintenant que tout ce qu’elle avait au monde avait disparu... Pour toujours. Toujours. Elle n’aimait pas ce mot. Elle le détestait. Dans ce contexte là. Elle poussa un soupir. Un long soupir. Aussi long que ses années de souffrances, Aussi long que sa vie, C’était long mais court à la fois... | ||
| Cignia Respect diplomatique : 125 05/06 ETU 20:31 | Score : 3 Détails
Cignia ne contemplait plus la blondeur de la lune, ni même les nuages noirs qui couvrait celle-ci. Elle était seule. Elle rentra. Toujours avec son air doux et son regard rêveur, elle alla devant le miroir. Sa peau était la même, son regard était le même, ses cheveux étaient les mêmes. Elle n’avait pas changé. Mais elle avait vécut. Pas comme elle l’aurait voulu. Pas comme dans son rêve. Ce rêve qu’elle vivait nuit après nuit, sans jamais pouvoir l’atteindre la journée. Il était tard. Elle décida d’aller se coucher. En rentrant dans la chambre, en éteignant la lumière, elle se rappela qu’elle n’avait pas éteint les bougies qui se consumaient depuis longtemps. Même que l’une d’elle était tombée et qu’elle n’avait pas pris le temps de la ramasser. Tout cela était très net dans sa mémoire à présent, elle ne se trompait pas. Et que se passerait –il si la maison prenait feu ? Tout cela n’avait plus aucune importance maintenant. Elle garderait son air doux et son regard rêveur pour l’éternité. Et le calme et la tranquillité s’emparèrent d’elle des la fermeture de ses paupières. Qui sait, peut-être que son rêve se réalisera dans un monde meilleur. Tout recommencera. Elle pourra enfin pour la première fois vivre une vie heureuse sans malheurs et sans chagrins. Pour toujours. Elle aimait ce mot. Cignia était endormie. La maison brûlait... | ||
| Cignia Respect diplomatique : 125 07/06 ETU 19:42 | Score : 2 Détails Elle se réveilla enfin.
Un souffle d'air pur caressa doucement son visage lui donnant une impression de fraîcheur nouvelle. Une impression nouvelle. Elle avait dormit pendant longtemps d'après les médecins. Il était presque impossible qu'elle se réveille. Et pourtant si. Cignia ne rêvait plus. Sa vie, elle la connaissait par cœur et elle était bien réelle. Dommage. Elle qui croyait pouvoir tout oublier. Elle se rappelait avoir souffert comme jamais. Le feu... Les rideaux... Les bougies par terre... Tout était clair. La maison avait pris feu alors que Cignia dormait. Elle avait voulu oublier toute sa peine, tout son passé, toute sa famille... Tout... Elle avait tout perdu. | ||
| Cignia Respect diplomatique : 125 07/06 ETU 20:02 | Score : 1 Détails Elle avait décidé de revenir en arrière.
De repasser un peu de temps dans son univers, celui où elle avait vécut, ou elle avait grandit, ou elle avait souffert, ou la réalité faisait peur. La forêt s’était imposée avec le temps, et, malgré cela, Cignia avait réussit a reconnaître les lieux. Ici l’endroit ou elle avait pris place avec sa famille. La, la place du vieux sage du village... Et petit à petit Cignia se replongeait dans son ancienne vie. Cette vie qu’elle avait essayer de renier. Cette vie dont elle avait honte. La mort de son village la hantait et la culpabilité, telle une araignée, avait tissé sa toile au coin de son cœur. Elle avait honte d’avoir laisser tout ces gens mourir par sa faute. Car c’était sa faute. Si elle n’avait pas traîné dans la forêt à une heure tardive, les serviteurs du roi ne l’auraient pas attaquée. Et puis elle aurait pas eu a souffrir la torture sachant que avec des réponses ou pas,ils auraient brûler le village aussi. Sa faute. C’était de sa faute. Elle aurait du mourir aussi. Mourir avec les siens. Mourir pour toutes les libertés qu’ils rêvaient tous d’obtenir. Pour leurs liberté. Pour leurs rêves. Pour leurs idées. Contre eux. Contre la tyrannie. Contre tous les régimes qui refusent toutes formes de libertés pour le peuple. Rien n'avait changé. Le régime était le même. Toujours tyrannique. Et personne ni faisait rien. Cignia ne pouvait pas laisser son peuple dans une telle situation. Réduire a néant tout le combat des siens. Laisser se coté tout ce qu’il ont conquis, tout ce qu’ils avaient accomplis, tout ce qui avait suffit à donner du fil a retordre a ces cinglés. | ||
| Cignia Respect diplomatique : 125 07/06 ETU 20:15 | Score : 2 Détails Cignia pensait a voix haute.
Toujours dans la forêt, elle remarqua, un peu tard, que tout pouvait changer et qu’elle devait accomplir son devoir. Elle devait continuer le combat de tout son peuple. Elle n’aurait jamais du essayer d’oublier. Elle rentra dans sa nouvelle maison et commença à élaborer un plan pour rallier tous ceux qu’elle pouvait pour mettre en place le plus grand combat de tous les temps. | ||
| Cignia Respect diplomatique : 125 17/06 ETU 20:57 | Score : 3 Détails Il est né un 14 décembre 22888 a 8 heures du matin par 15° 30’ de latitude nord et 65° de longitude ouest, ce qui situait son berceau sur une petite île au large des cotes Perisienne.
Personne n’avait prêté attention à cette naissance, la 134° dans le registre. Les deux premiers jours de sa vie, il se développa dans la plus grande indifférence. Ses paramètres vitaux était stables et ne justifiaient pas une attention particulière sur le cours de son évolution .Il subit le même traitement que tous les nouveaux nés de son genre ;ses constantes étaient relevées toutes les 6 heures selon la procédure en usage. Mais le 16 décembre à 14 heures les résultats des analyses attirèrent l’attention d’une équipe de scientifiques Perisienne .On s’interrogea sur sa croissance qui pourrait sortir de la norme. Dans la soirée, le responsable de l’équipe chargé de sa surveillance ne pu masquer son inquiétude et contacta aussitôt ses confrères. Quelque chose d’important était en train de se produire, la métamorphose de se bébé nécessitait que l’humanité entière s’en préoccupe. Fruit du froid et du chaud, son dangereux caractère commençait a se manifester. Si sa petite sœur Elia née en avril de la même année ,n’avait vécut que onze jours ne réussissant pas a acquérir assez de force pour se développer,lui grandissait au contraire de vitesse alarmante et atteignait déjà une taille inquiétante. Au 3eme jours de sa vie,il chercha a se mouvoir dans tous les sens. Il se tournait sur lui-même montrant de plus de vitalité ne semblant pas se décider à prendre une direction précise. C’est a 2 heures du matin dans la nuit du 16 au 17 décembre, alors qu’ils surveillait son berceau a la seule lumière d’un néon qui grésillait, penché sur une table recouverte de feuilles d’examens, de colonnes de chiffres et de tracés qui ressemblait à s’y méprendre à des électrocardiogrammes, que le professeur Hucary décida que son évolution exigeait qu’on le baptise au plus vite, comme pour chasser le mal qui se préparait. Compte tenu de ses mutations stupéfiantes, il y avait très peu de chance qu’il en reste là. Son prénom avait été choisi avant même sa conception . Il s’appellerait FIFI. Il entra dans l’histoire le 17 décembre 22888 à 8 heures du matin en franchisant la vitesse de 160 Km/h. Il était alors officiellement qualifié par les scientifiques chargés de sa surveillance d’ouragan de classe 2 selon l’échelle de A.Perisia .Au cours des jours qui suivirent, il du changer de classe, passant très rapidement a la classe supérieure au grand désarroi de tous les scientifiques qui l’étudiait. A 14 heures FIFI développait des vents de 200km/h, le soir même ils frisaient les 280km/h. Mais la plus grande inquiétude provenait de sa position qui avait dangereusement changé,il se situait désormais par 16°30’ de latitude nord et 81°70’ de longitude ouest. L’avis d’alerte maximum fut alors lancé. Le 18 décembre à 2 heures du matin, il s’approchait des rivages du grand regroupement des îles protégées . Les rafales soufflaient à plus de 280km/h. Le gouvernement ne prenait pas conscience du danger qui pesait sur le peuple. Non loin de la les îles protégées pour leurs trésor étaient la seule préoccupation du tyran qui régnait toujours. Toujours avec la terreur et la force. Le danger qu’encourait son peuple ne lui faisait rien. Il s’en foutait. Royalement. | ||
| Cignia Respect diplomatique : 125 17/06 ETU 21:33 | Score : 2 Détails Le vaisseau venait de la déposer le long du trottoir, et s’enfuit dans le tumulte de ses semblables.
Elle le regarda disparaître au loin. Son énorme baluchon bleu posé a ses pieds pèse presque plus lourd qu’elle ; elle le soulève, grimace et le maintient sur ses épaules. Elle franchit les portes automatiques, traverse la grande allée, et décent quelques marches. A sa droite, un autre escalier s’élève en spirale. Malgré le fardeau qui pèse sur son dos, elle grimpe les marches et s’engage d’un pas déterminé dans le long couloir. « Ils ont fait des progrès par ici ! Dire que je vivais dans une cabane alors qu’ici, on vit dans le luxe !!! » Elle s’immobilise le long de la devanture d’un bar baigné d’une lumière orangée et regarde au travers de la vitre. Accoudés au comptoir, une dizaine d’hommes sirotaient leurs alcools en commentant haut et fort les résultats de matchs qui défilent sur l’écran perché au dessus de leurs têtes. Passant la porte, elle entre et regarde bien au-delà des tables rouges et vertes. Elle le voit, assis au fond contre la paroi de verre. Un journal plié sur la table,il a poser son menton sur sa main droite,et laisse errer la gauche qui dessine au crayon un visage sur la nappe. Ses yeux qu’elle ne peut encore voir, sont perdus dans le vague d’un bitume strié de bandes rouges ou les nouveautés aériennes font leurs essais, roulent au pas et vont chercher leurs envols au loin dans les airs. Elle hésite, emprunte la travée de droite qui la conduira a lui sans qu’il s’en aperçoive. Elle dépasse l’armoire réfrigérante qui ronronne, s’approche d’un pas vif qu’elle sait garder feutré. Arrivée à sa hauteur, elle pose une main sur les cheveux du jeune homme qui l’attend, et les ébouriffe tendrement. Sur le papier nid abeille, c’est son portrait qu’il esquissait. | ||
| Cignia Respect diplomatique : 125 17/06 ETU 22:10 | Score : 1 Détails
-Je t’ai fait attendre ?demanda t’elle -Non tu es presque à l’heure, c’est maintenant que tu vas me faire attendre ! -Tu est la depuis longtemps ? -Je n’en ai pas la moindre idée, assied toi. Elle sourit et regarda l’heure -Je décolle dans une heure. -Je vais tout faire pour que tu le rates, que tu ne le prennes pas cet avion !! -Alors je décolle d’ici dans 6 minutes !!! -Bon c’est promis j’arrête. Je t’ai apporté quelque chose. Il dépose une pochette en plastique noir, qu’il pousse vers elle du bout de son index. Elle incline la tête, sa façon a elle de dire « Qu’est ce que c’est ? »Et comme il comprend la moindre expression de son visage, le seul mouvement de ses yeux répond « ouvre et tu verra. ». Dedans, une sorte de trésor. Le trésor de leurs enfances, de leurs vies. Tous leurs souvenirs. Le premier, un bijou fabriqué par l’ancien du village, offert au deux enfants qui promirent de le garder en gage de leur amitié. Les enfants ont grandit mais les souvenirs restent là. Chacun de ses souvenirs marquent un moment de leur enfance complice. -N’y a-t-il pas quelque chose qui rappelle l’enterrement de mes parents et de ma famille ? -Arrêtes avec cet humour débile Cignia. -Je ne plaisantais pas. C’est la première fois que je t’au senti plus fort que moi,ça me rassurait vraiment. Je n’oublierais jamais... -Arrête avec ça tu veux ? -...Que c’est toi qui a récupéré le collier de ma mère le soir. -Bon on peux changer de sujet la ? -Je crois que c’est toi qui me rappelles tous les ans à leur mémoire, tu as toujours été tellement attentionné, présent et prévenant, pendant la semaine, la veille de leurs enterrements. -ON PASSE À AUTRE CHOSE MAINTENANT !!! -Allez continue à nous faire vieillir, passe les souvenirs. Il la regarde immobile, il y a de l’ombre dans ses yeux. Elle le regarda avec un sourire aux lèvres et reprend ; -Je savais que c’était égoïste de ma part de te laisser m’accompagner pour mon départ ! -Cignia, pourquoi tu fais ça ? -Parce que « ça »c’est aller au bouts de mes rêves. Je les ai vu passer leur existence à souffrir, et pourquoi ? Pour finir tous brûlés vifs parce qu’ils été différents!Toute leur vie n’a été que déplacement, fuite, et ainsi de suite. Je ne juge rien ni personne mais moi je ne veux pas cette vie la, je veux autre chose et partir pour me battre contre ceux qui ont fait de leur vie un enfer. C’est ma manière a moi de me sentir utile et en vie. Il la regarde perdu, admirant sa détermination. Depuis ce jour la, elle n’était plus la même comme si les années s’étaient bousculées au portes des réveillons, telles des cartes a jouer que l’on jette par deux pour distribuer plus vite. Cignia ne paraissait déjà plus son jeune âge sauf quand elle souriait, ce qui lui arrivait très souvent en ce moment grâce a cette nouvelle vie qu’elle allait entamer. Dans moins d’une heure, elle partira deux longues années durant pour les îles du gouvernement. A quelque milliers de kilomètres d’ici, elle partira de l’autre coté du miroir du monde. | ||
| Cignia Respect diplomatique : 125 15/07 ETU 19:15 | Score : 0 Détails Cignia sursauta, une fois de plus.
La grande église venait de faire sonner ses cloches pour la troisième fois. Il était trois heures du matin. Grand bâtiment de 60 mètres de hauteur, il dominait la ville et y imposait son ombre par tant ensoleillé. Il couvrait de la pluie par mauvais temps et prêtait appuis aux oiseaux dans les airs. Sa couleur sombre donnait un ton monotone à la ville et son type ombre donnait des frissons aux jeunes enfants qui passaient a coté. Cignia s’imprégnait du calme de l’église. Agenouillée sur le sol, les mains jointes, elle priait. Vêtue d’une robe blanche courte, des bijoux a ses poignés et autour de son cou, ses lèvres tremblaient sous l’effets des paroles qu’elle se murmurait a elle-même ou peut-être a dieu, qui sait... Une légère brise envahissait les lieux et les longs cheveux de Cignia flottaient sur ses épaules. Ses paupières étaient closes et sous l’effet du soleil qui passait a travers les vitraux, sa peau brillait. Elle semblait se dévouer entièrement a ses prières et a celui qui auxquelles elles étaient destinées. Cignia se sentait bien. Elle avait besoin de rester seule, de prier. Son esprit se doublait en deux parties distinctes et ce phénomène se développait rapidement. Peu de commandants avaient vraiment su l’aider et elle n’avait pu compter que sur elle-même. | ||
| Cignia Respect diplomatique : 125 15/07 ETU 19:16 | Score : 2 Détails Elle tenta donc de se débrouiller toute seule mais n’y parvenant pas, elle demanda de l’aide a un grand ami a elle. Michael lui devait un énorme service depuis de longues années et il accepta alors de lui donner un cou de main.
Il l’intégra dans un groupe de personnes qui avaient des buts a atteindre similaires a ce de Cignia. Elle voulait tout essayer pour retrouver la Cignia qu’elle était avant. Avec un seul esprit, une seule idée en tête a la fois... Alors elle décida de prendre tout pour se soigner. Elle suivit les enseignements de Michael et se soumit à de nombreux tests scientifiques. Elle se transformait jours après jours. Son changement brutal choquait, le résultat était celui attendu mais quand aux capacités morales de Cignia, il y avait beaucoup à dire. Elle avait suivit des cours très intensifs pour développer ses capacités intellectuelles. Elle n’avait plus la même façon de penser, de s’exprimer, et d’agir. Michael était satisfait d’elle, de ce qu’il avait fait d’elle. Cignia le suivait partout dans ses actes. Elle était a présent en possession du pouvoir entier et faisait preuve de grandeur quand à l’utilisation de celui-ci pour que seul le peuple en tire entièrement profit. Suite à la révolution qu’elle avait mis en place avec ses amis pour faire tomber le pouvoir tyrannique. Son coup avait marchait et le peuple entier avait décidé de la remercier. Il n’y avait rien ni personne qui pouvait l’empêcher de monter sur le trône et tous savaient qu’elle saurait mener son peuple à la gloire et qu’elle saurait maintenir la paix. Elle devait suivre les ordres de Michael a présent. Celui-ci lui donnait comme excuses le fait qu’elle soit malade. Et elle le croyait bien sur. Michael avait une connaissance parfaite de la religion et avait fait en sorte que Cignia s’y soumette. Voici donc la raison pour laquelle Cignia priait dés qu’elle le pouvait. Michael était donc légalement en possession du pouvoir et il pouvait a son grés prendre les décisions qu’il croyait utiles de prendre. Il les prenait tant qu’elle pouvait l’avantager lui tout seul. Le bien du peuple lui importait peu. Cignia avait du se tromper sur le compte de son « ami ». Il lui avait montré la partie sage, tranquille, calme et gentille de sa personnalité. Et elle s’était arrêter la quand a l’exploration du fond de ses intentions. Cignia n’était plus capable de penser par elle-même. Michael avançait petit à petit vers sa gloire au détriment du peuple. A présent Cignia se retrouvait seule devant un futur qui ne présageait rien de bon. //HRP ; Si vous voulez poursuivre, veuillez me contacter par MP.HRP// |
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