Forums galactiques > Assemblée Galactique : diplomatie officielle > Concours de Poésie.
Lizaka Respect diplomatique : 2723 10/12 ETU 21:11 | Score : 16 Détails Ami poètes, ou simples spectateurs, bonsoir !
Vous voici venu au Concours de Poésie. Certains me reprocheront peut-être qu’un art si noble ne doit pas être utilisé dans un but pécuniaire, mais c’est aussi un moyen pour les auteurs de connaître l’opinion sur leurs œuvres, et de les partager. Ainsi se déroulera-t-il : - Pas d’inscription préalable, transmettre un poème vous inscrit d’office. - Deux poèmes maximum par inscrit. (HRP : deux posts différents) - Aucune exigence esthétique, pas de limites concernant la forme. - Ils seront évalués par les spectateurs mêmes, en fonction de leur enthousiasme. (HRP : Somme des points de RD récoltés par les deux messages, ou les points du seul message le cas échéant. Celui en récoltant le plus étant vainqueur. Merci d’éviter des votes basés sur l’auteur et non le texte.) - Le vainqueur remportera la somme de 20 milliards de leems, ainsi que la gloire. - Le concours se terminera dans une semaine à partir de ce message, les résultats seront proclamés au moins deux jours après le dernier poème. Les textes publiés ici pourront influencer évidemment la sélection des Prix Aurore, ils pourront servir d’une source parmi d’autres au jury. Des œuvres écrites par un poète de votre peuple sont acceptées. HRP : Si votre commandant n’est pas très poète, vous pouvez tout de même en poster, mais il faut évidemment qu’ils soient de vous. Sensibles, romantiques, dépressifs, laisser s’exprimer la rose qui est en vous, qu’elle se pâme devant nous et que ses mille et une fragrances nous inondent l’esprit. Que les émotions deviennent mots exquis, que les vers se déchaînent, que les esprits se confient. Epancher vos douleurs comme vos joies, laisser s’écouler vos passions et dépressions. De la prose poétique au sonnet, tout à sa place. Que vous le chantiez, récitiez ou laissiez par écrit, comme il vous plaira. Initiative inspirée en partie des Jeux Olympiques de Poésie organisés en G2. | ||
Sandor Darhan Respect diplomatique : 1019 10/12 ETU 22:15 | Score : 16 Détails LEEMS
O frégate O desespoir O viellesse tu m'as trahit que n'ai je point vécu pour que cette félonie, soit en effet issu de ma propre mémoire! Des Cla, avais-je acheter pour cent millions de leems et a un prix minime m'en serait débarrasser. Hélas part un oubli ou un gin-galaxie de trop, ai je tout confondu et mon argent perdu Chassé de ma coalition faute a la spéculation comme quoi punis sont les méchants qui ont trop plein d'argent! | ||
Chef de Meute Respect diplomatique : 249 10/12 ETU 22:34 | Score : 12 Détails LES LOUPS
Les loups existent depuis toujours Leur trace se perd dans le temps On en voit parfois qui courent Solitaires mais jamais seuls pourtant Animaux loyaux, animaux courageux Compagnons fidèles, compagnons preux Ils ont un clan, un groupe Une famille, une troupe C’est la Meute, leur société Ce sont des êtres civilisés Animaux loyaux, animaux courageux Compagnons fidèles, compagnons preux Les hommes les craignent Les traquent, les maltraitent Mais les hommes sont des teignes Et les loups sont moins bètes Animaux loyaux, animaux courageux Compagnons fidèles, compagnons preux Si les hommes apprenaient à apprécier Ces grands et sauvages compagnons Que sont les loups de nos contrées Vivre en ce Monde serait fort bon Animaux loyaux, animaux courageux Compagnons fidèles, compagnons preux. | ||
Mansfeld Respect diplomatique : 4380 10/12 ETU 23:12 | Score : 15 Détails Il en était arrivé là. Redd Bonnett, le célèbre animateur de téléstarGalactica, avait dû fermer boutique. Et il était condamné à participer à un concours de poésie pour maintenir son train de vie extravagant et lizakaesque. Il avait bien retenu son copion : un poème préhistorique que tout le monde avait à coup sûr oublié depuis longtemps...
"Les sanglots longs Des violons De l'automne Blessent mon cœur D'une langueur monotone. Tout suffocant Et blême, quand Sonne l'heure, Je me souviens Des jours anciens Et je pleure; Et je m'en vais Au vent mauvais Qui m'emporte Deçà, delà, Pareil à la Feuille morte." Silence dans la salle. Redd Bonnett fit alors tomber son copion. "Hem." Le service d'ordre approchait. "Je vous assure que c'est ce PD de Verlaine qui m'a blousé ! Au plagiaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaa" Sa voix se perdit dans les couloirs, tandis que le service d'ordre jetait l'ancienne gloire des ondes galactiques à la rue. "Et merde..." | ||
smileyoyo4 Respect diplomatique : 664 11/12 ETU 10:47 | Score : 10 Détails Ô galaxie
mon amie Tu est en ce moment maltraité Par des commandants sans pitié Tu as longtemps résisté Aux vaisseaux qui t'on ionisé Mais aujourd'hui tu es fatigué Par tout ces dictateurs mal intentionné Tous les justes veulent la paix Et empecher ces mefaits qui continuent de te pourrir et qui finirons par te faire mourrir! Tu mérite bien mieux Que tout ces contentieux Tu mérite la prosperité Et la vérité Dans ce monde fait de haine et de faux messenes Tu auras bientôt une belle fin Car nous sommes tes enfants Crées de tes mains Qui des maintenant Deviennent tes assassins | ||
Celidan Respect diplomatique : 31 11/12 ETU 11:44 | Score : 5 Détails Le secret du Prince Vermeil
Au palais d’Emerveil, Vermeil veille la mer. La mère sa reine, Pourpre, porte un secret. Au soleil enlevé se leva du sommeil, et surprit le secret au creux de la Reine. Cœur sanglant, battant tempes à tue-tête et tue-temps, le tire-larme perdait déjà corps. Eclate musique répercute le roc, chute d’airain sur la couche, et, sonore ultime, travaille au corps violemment. Le Roi Rouge vit : sanglante vérité. Le Roi Rouge et père vit toujours et la guerre au gris tambour égrenait le cri des mille retours. Vermeil à la tête de troupes bien fournies en armes et en haines dégaina de Nonymes hontes et d’horribles secrets. Or Rouge , roi sardonique, roi ricanant, rire charognard et profond comme le Styx méprise la vertu comme le sévère Charon méprise les spectres obséquieux qui s’enchaînent aux bancs de sa galère pour fuir le sol douloureux et atteindre ailleurs. Rouge, à bord de son cheval nègre, domine et piétine les regrets, seul engrais des morts sols du Tartare où ne pousse que la mousse du remord. Chaque lourd sabot d’ébène s’abat comme s’abattent les rames en cadence des âmes en partance, enchaînées, la galère avance en broyant les fantômes empêtrés dans les flots d’or noir du fleuve. Vermeil banda son arc et perdit dans l’air dernières paroles. Alors, les cadavres de son père vidés de leurs placards, les secrets exhumés de leurs tombes hypocrites, Vermeil s’arma du silence et ficha son secret à lui au fond de sa poitrine qu’arrachée seule il cracherait. Le héraut de Vermeil, Gratenplute, s’avança à grands pas écrasant les cailloux sous sa masse. Il trompeta haut les cœurs hardie la mort glo-ri-a glo-ri-a et tous levèrent lances et allèrent au combat. Dans les rangs des deux seigneurs, des héros mémorables s’entretuaient. Agatoclès, le fils de Scolopendre, recevait d’Agapé, le fils de Démotendre, la lame d’hache en trachée entachée de chairs, recevait à pleine bouche. Il avala sa langue, un grand froid le saisit et sa cervelle à l’air tremblota gélatine. Vermeil fit son affaire à Grommele’ch, le petit fils du Celte, en lui esboursifflant l’entreboule. Rouge le Roi écrasait un héros par sabot de sa bête. Il cherchait son fils en la mêlée. Deux terribles traînaient cadavres sur cadavres et traçaient sanglant sillage. Enfin vinrent face à face au corps à corps sur le front. Chacun plus une plaie purulait l’un d’injures l’autre du secret rentré. Les cœurs en colères palpitaient plus que tonnerre et un soudain silence abattit les deux armées. Rouge hurla d’écraser son fils à crever. Vermeil se tut. Un arc à la main décocha son secret, entré par une oreille il saccagea la cervelle et ressortit par l’autre. L’armée du foudroyé gémit et débanda. Les vainqueurs achevèrent les blessés, tuèrent les fuyards, réduisirent en esclavage les rendus. Au rivage d’Emerveil Vermeil la mer veille. Les accords amers de la vieille vielle de sa mère viole l’air de merveilles et dispense au silence des secrets une leçon de son. Soleil cou coupé, Vermeil rêvant s’endort. | ||
Heise Respect diplomatique : 25 11/12 ETU 12:07 | Score : 3 Détails La rivière du désespoir
Elle reste la, Elle me suit, Elle me piste, Elle me rappelle Le passé que j’ai tant Essayé de fuir… Une larme vint accompagné sa vague Et je continu à la contemplé Chaque chagrin, Chaque larme La fait grandir Peut à peut Elle m’engloutit Je ne peux plus respiré C’est la fin… Heise. | ||
Larry Winthorpe Respect diplomatique : 2277 11/12 ETU 14:15 | Score : 29 Détails Larry se glissa discrétement dans la salle où se déroulait le concours de poésie.
La poésie n'était pas vraiment sa spécialité. Mais en revanche il avait beaucoup lu. En effet, l'année de ses sept ans, on estimait à 2 environ le nombre de livres de la bibliothèque de son école qu'il n'avait pas lu, à savoir : "Bibiflette et Rapinou au pays des Lombrics" et "Même pas vrai !", la célèbre auto-biographie du commandant Jafnhar. Aussi avait-il acquis une certaine culture littéraire, et s'était-il décidé à participer à ce concours. Sa timidité l'empêcha toutefois de se décider à déclamer ses vers devant tous ces commandants qui le regardaient bizarrement et qui n'écoutaient pas, ou pire, qui écoutaient. Aussi placarda-t-il son poème au mur prévu à cet effet, et préféra ne pas passer avant cela en public comme les commandants qui l'avaient précédé. "J'espère que vous verrez en ce poème un S.A.R.A. (Spécimen Artistique aux Rimes Admirables) et ne me considérerez pas comme un S.A.R.A. (Sous-Artiste Relativement Arrieré). Merci d'avance. Le pré où je suis mort C'était il y a longtemps, durant la Grande Guerre. La Guerre contre les Ours, les Nounours gentils. Celle qui, pendant un temps, déchira l'univers Et décima des peuples, et effaça des vies. Je n'étais qu'un gamin, je n'avais pas sept ans. Je vivais de candeur, débordais d'énergie. Et bien qu'alors en tort, je l'avoue à présent : L'idée de mort elle-même n'entrait pas dans ma vie. Un après-midi d'août, lorsqu'au-delà du ciel Dans l'espace infini, en plein coeur des combats, Les vaisseaux s'affrontaient, les Ours battaient de l'aile, Je jouais dans des hautes herbes que je n'dépassais pas. Je tenais à la main un long fusil de bois Qu'avait taillé mon père dans une branche de noyer. Rampant dans les fourrés, j'avais tout d'un soldat Et je jouais à une guerre que je n'comprenais pas. A l'autre bout du pré paressaient deux bidasses Censées sécuriser les campagnes voisines Mais qui, en conséquence d'un excès de vinasse Ne pensaient à présent qu'avec leur carabine. Apercevant, là-bas, un quidam se relever, Le plus crétin des deux, épaulant son fusil, Visa, tira et rit : il n'avait pas raté Ce "bâtard qui croyait qu'il nous avait surpris !" C'est ainsi que victime de la bêtise des brutes Je fus touché au front, je fus tué à tort. Je tombais à genoux, puis achevais ma chute La face contre la terre du pré où je suis mort." | ||
rakeem Respect diplomatique : 56 11/12 ETU 15:16 | Score : 5 Détails "style haiku"
Aucune goutte d'eau Ne reste dans le ciel, je pleure ce souvenir. | ||
Corum Respect diplomatique : 1323 11/12 ETU 16:03 | Score : 12 Détails Prométheus se pencha vers la jeune Irénée et lui sussura quelques mots à l'oreille..
La jeune fille lui fit non de la tête. "Non maître je ne peux pas..Je n'oserais pas, cela ne ressemble à rien..je.. Le vieil homme lui sourit "Lequel donc recèle assez d'audace pour créer, à lui seul, un genre dans l'imagination?" La jeune fille lui rendit son sourire, s'avança devant l'assemblée et commença à réciter: Voyageur du Temps Il en est qui croient que Rien ne sert de parler Si personne n'entend Rien ne sert d'écouter Si personne ne chante Rien ne sert d'appeler Si personne ne répond Il en est qui croient que Rien ne sert de marcher S'il n'y à rien au bout Rien ne sert de courir Si il n'y à pas d'arrivée Rien ne sert d'avancer Si l'on à pas de but Il en est qui croient que Rien ne sert de sourire Si personne ne regarde Rien ne sert d'être heureux Si personne ne le sait Rien ne sert de s'aimer Si le futur est contre Il en est qui croient que Rien ne sert de partir Si tout est derrière toi Rien ne sert de vivre Si les autres n'aident pas Rien ne sert d'exister Si c'est pour être seul Il en est qui croient que Rien ne sert d'avoir vécu Si le passé est sombre Rien ne sert d'être Si le présent et ton ennemi Rien ne sert de devenir Si l'avenir est indécis Il en est qui croient que Rien ne sert de regarder Si c'est pour ne rien voir Rien ne sert de te voir Si tu ne regardes pas Rien ne sert d'aimer Si personne ne voit Il en est qui croient que Rien ne sert d'attendre Si rien ne vient... Ce sont eux, les simples d'esprit. Pour avoir pu sentir Comme cette erreur est dure Sans bruit je m'apprête à partir Oublie cela je t'en conjure Rappelle toi seulement Que rien ne sert de pleurer Il faut être gaiement Un voyageur du temps Seule Pense à la chance que tu as Vie. Aime. Meurs. | ||
andeman Respect diplomatique : 1393 11/12 ETU 16:17 | Score : 10 Détails Valkyr.
De ma lame je le vois Mon ennemi est aux abois Bientot,oui,bientot Ses yeux seront clos. La vie n'est que recommencement Ou la mélée pour moi est amusement La fureur, la rage, la colére Sur ces sentiments j'erre. Ma vie n'est elle que mort? Oter la vie sans remord? Mais je sens en mon for Qu'un jour le tord Que je cause, me reviendra Je deviendrais alors paria Et qu'un autre me regardera De sa lame me liberera Alors reposé, détendu, viendra La déesse que je chéris, aura Pour moi mille tendresses et baisers Aupres d'elle je dormirais O Ma valkyr aux cheveux d'eben, De mon ame retire ma peine. Je t'aime | ||
Belzebot Respect diplomatique : 1499 11/12 ETU 16:18 | Score : 10 Détails Quand j'etait bébé,
il y eu un ras de marré dans les ecumes d'une mer déchainé sa sainteté naquis. SAns carapace et l'air bouffis sur le trone il s'assit. C'est d'une pince de fer et avec morale d'acier que ce drole de mamiphere imposa l'ordre aux crustacés. Vorace comme dix felins jamais ne raterai un festin Meme si la mer reste son univers craigner le dans l'air comme sur terre ! ps: qu'est ce qu'il faut pas basarder comme connerie pour quelques milliards.... | ||
Chef de Meute Respect diplomatique : 249 11/12 ETU 16:20 | Score : 16 Détails HYMNE APOCALYPSIEN
Aux armes, la G1 ! Tenez vos positions ! Tirons, tirons ! Qu’un feu mortel … Carbonise ces p’tits cons ! Allons ! Fils de la galaxie § Le moment d’se battre est arrivé ! Contre-nous toute cette anarchie ! Armez vos chasseur bombardiers (bis) Entendez-vous dans vos natals Tomber dru les BHA ? Elles viennent d’ici ou de là Avec un BOUM phénoménal ! Aux armes, la G1 ! Tenez vos positions ! Tirons, tirons ! Qu’un feu mortel … Carbonise ces p’tits cons ! Que nous veut cette bande d’idiots ! De critiques, de vils couards ? Pour qui un régime si beau Plait autant qu’à des gros canards (bis) G1 ! Pour nous, ah, quelle chierie ! Quels transports, il doit exciter C’est nous qu’on ose bombarder De BHA et CLI ! Aux armes, la G1 ! Tenez vos positions ! Tirons, tirons ! Qu’un feu mortel … Carbonise ces p’tits cons ! Quoi ! Ces puissances éphémères... Feraient la loi même au marché... Quoi ! Ces gros comptes bancaires Nous empêcheraient d’acheter... [bis] Et Dieu, de coussins entouré... Son cul jamais ne bougerait ! Car toujours il contemplerait... Sa Création tant adorée ! Aux armes, la G1 ! Tenez vos positions ! Tirons, tirons ! Qu’un feu mortel… Carbonise ces p’tits cons ! Tremblez, guildiens et vous fédés... Les alliantistes vous aussi... Tremblez ! Vos complots outranciers Vont enfin recevoir leurs prix ! [bis] Tout est vaisseau pour vous combattre... S'ils explosent, nos beaux croiseurs Le métal en produit à toute heure... Contre vous tout prêts à se battre Aux armes, la G1 ! Tenez vos positions ! Tirons, tirons ! Qu’un feu mortel… Carbonise ces p’tits cons ! G1, en commandants fidèles... Portez ou retenez vos coups... Epargnez ces chastes donzelles A regret s'armant contre nous... [bis] Mais c’est avec une joie sans nom... Mais c’est si intolérable Que tous ces tigres, incroyables... Sous-estiment nos pelotons Aux armes, la G1 ! Tenez vos positions ! Tirons, tirons ! Qu’un feu mortel… Carbonise ces p’tits cons ! Amour sacré d’la Galaxie... Conduis, soutiens nos fiers croiseurs... Liberté, Liberté chérie Combats avec tes défenseurs... [bis] Sous nos assauts que la victoire... Accoure à tes mâles accents Que tes ennemis en crevant... Voient ton triomphe et notre espoir Aux armes, la G1 ! Tenez vos positions ! Tirons, tirons ! Qu’un feu mortel… Carbonise ces p’tits cons ! Nous entrerons dans la carrière... Quand nos aînés n'y seront plus... Nous y trouverons leur poussière Et la trace de leurs vertus... [bis] Bien moins jaloux de leur survivre... Que de partager leur cercueil Nous aurons le sublime orgueil... De les venger ou de les suivre Aux armes, la G1 ! Tenez vos positions ! Tirons, tirons ! Qu’un feu mortel… Carbonise ces p’tits cons ! HRP : Je n’ai pas changé le dernier couplet, c’est trop poignant… Et ce n’est pas un appel à la guerre, c’est juste un trip pour le fun… Si quelqu’un peut m’expliquer pourquoi certaines personnes (comme le président) n’aiment pas cette chanson, qu’il m’envoie un MP, ça m’arrangerait ^^ | ||
Yoh Respect diplomatique : 390 11/12 ETU 16:30 | Score : 6 Détails Quand la porte de la vie s'ouvrira à toi
Prend une arme avec toi,avance dans la lumière C'est ta vie ton destin à toi Expose-toi au grand air Quand la force te fera défaut, Pense que ton avenir est écrit et tout ira bien Plonge-toi dans l'eau Plonge et prend ton destin en main Quand la faim t'affaiblira demande de l'aide à notre mère la terre des fruits tu obtiendras Nous sommes tous frères. Quand l'acier deviendra rugueux, Quand ta lame se brisera, Trempe la dans le feu ainsi tu te releveras Destinée | ||
Yoh Respect diplomatique : 390 11/12 ETU 16:36 | Score : 6 Détails Apocalypse
Sous la lune encore bleue, je fais la moue. marchant sur le sentier de la vie, je souffre sans répit. sous la lune rouge de sang, la vie décline. combien d'innocents faudra-t-il encore que la Mort élimine? Sous le soleil rougeoyant le démons rit. les âmes errantes emportent jours après jours tous mes amis. sous le ciel pourpre les innocent perdent la vie. satan a tort,j'erre et le monde crie. Dans les tréfonds de mon esprit Envahi par les ténèbres Dans ma tête résonne un cri Autours de moi s'envolent les cendres Labyrinthe de mes pensées Dédales obscurs et sans fin Où marche mon âme étherée Qui cherche son chemin... | ||
Mansfeld Respect diplomatique : 4380 11/12 ETU 16:58 | Score : 12 Détails Red Bonnett était furax. Non seulement on avait voté négatif à son message, on l'avait foutu dehors, mais en plus, certains étaient en train de gagner.
"J'étais un homme, Un sacré bonhomme, Au béret rouge de gloire certi, Derrière les écrans d'une belle galaxie, A animer les foules Et autres fayots nantis, A coup d'applause Et d'rires nourris, Téléstar c'était ma vie Mais ce foutu Mansfeld Y m'a tout pris Ma vie c'est plus pareille, J'ai perdu mon siège rose Ma gloire en sommeille Mon avenir sent pas la rose, Et j'ai besoin d'oseille. Je n'aime pas la poésie, C'est débile et pourri, Je suis l'homme des médias, Le meilleur, et même le Roi, Le Redd Bonnet's show c'était moi Souvenez-vous, de ces premiers émois, On s'en fout des vers et de la prose, C'est quand même lizaka qui trinque et qui pose, A défaut de lire Santa Claus Qui aurait gagné haut la main, On se contentera de textes nuls et moroses, Sauf si vous changez mon destin ! Je vous promet des programmes d'enfers Avec du sexe et des affaires, Julie Modesty et Scorbut en duo, J'vous garantis que ce s'ra chaud ! Pour le retour de TéléstarGalactica De la vraie culture, Et de tout l'tralala, Soyez sympa, j'vous en conjure, Ayez pitié, votez pour moi !" Redd Bonnett observa le public. Il remarqua quelques commandants en train de rire. Et me dîtes pas que c'est Verlaine qui a pondu ça hein ! C'est pas un PD qui aurait...hé, lâchez-moi ! Vous savez pas qui je suiiiiiiiiiisBAM | ||
Corum Respect diplomatique : 1323 11/12 ETU 17:07 | Score : 12 Détails Une Holoprojection débuta..
Alors nous on se décarcasse pour chercher de l’inspiration et puis on nous dit pas quand ça commence..Merde quoi !! Scorbut ??! Mon petit Scorbut ?! Viens vite ça a commencé !! La vieille philosophe vacilla et se rattrapa de justesse à la manche du commandant Caleb qui trainait prés du buffet.. Elle se redressa et pris l’air digne avant de déclamer : Délicieuse envie d’une rocambolesque recherche Se vidant en début d’assemblée Liquide saumâtre et récipients dissimulés Je sens l’arrivée d’une jouissance, Ô Astro-bière fraiche !! J’accumule les verres puis les bouteilles Et la jouissance devient merveille Je continue encore instamment Et ce, plus péniblement.. La montée du verre d’alcool Commence à se faire pénible Alors que celle de l’alcool Se rend des plus dociles. La raison renaît incertaines Dans ma lucidité lointaine Sortie de mes tripes et boyaux, Dans les cendres de mes maux. Je bois pour oublier mais, J’aimerai oublier de boire, Je bois et je veux pardonner Le mal que j’ai pu avoir.. Scorbut mon comparse de vertige Je te dédicace ces quelques lignes Et demande expressément que l’on érige Un mausolée aux bienfaits de la vigne.. Melpomène sembla un instant chercher quelqu’un autour d’elle, son regard virevolta, monta au ciel, puis elle s’écroula de tout son long sur un buffet derrière elle.. | ||
Nicanor de Rokha Respect diplomatique : 2498 11/12 ETU 18:39 | Score : 18 Détails Il était de tradition en U.R.S.S. d'être foncièrement hostile à toutes formes de commerces capitalistes. Quelques fois par siècles néanmoins, un grand commerçant arrivait de par ses actions méritantes à attirer la sympathie et le respect des camarades sovietiques. Cela avait inspiré au camarade Raspoutine un sonnet, forme reine en poésie classique s'il en, dont la teneur s'avéra bien vite moins académique que le style ...
Vlavv ou les Infortunes de la Vertu Enfanté par l'Envie, son père fut le Vice Regorgeant de Désirs, démon lié de Malice Pratique immodérée des doux plaisirs du corps Ainsi s'ouvrit la Vie du petit Nicanor Fouettant allégrement pudeur et soeur vertu Aux délices s'adonnant, à ses instants perdus, Camarade Nicanor au verbe passionné La raison défaillante il faillit provoquer D'un couic il vit mourir l'innocence d'un marchand Qu'en une très haute estime il portait tendrement A ses yeux horrifiés terrassé par ces mots Vlavv noble parmi tous révéré sans défaut Ta virginale candeur en cet éclat brisée J'en laude les bienfaits sur ma vertu fanée. Sortant de la salle, le camarade Raspoutine se faufilla vers Red Bonnett et lui asséna un coup de canne que nous dirons bien placé. Le regardant droit dans les yeux il lui dit avec un petit rictus facétieux : De la part de Verlaine ! | ||
Beth le cerf blanc Respect diplomatique : 112 11/12 ETU 20:28 | Score : 3 Détails Combien ai-je bu de verres,
Pour me retrouver à terre ? Pourquoi ai-je commencé à boire, Pour combler mon désespoir ? Je tremble, j’ai froid, J’ai mal que tu ne sois pas là, Le Martini a envahi mon corps, Violente sensation que j’adore. Mon mal de tête empire, Mon être se perd, transpire, Mon âme se vide complètement, Les ennuis restent, évidemment. | ||
Lizaka Respect diplomatique : 2723 11/12 ETU 20:33 | Score : 13 Détails Mon combat.
Fais place Raison, fais place, A l’amoureuse qui dort, Car même si ta parole est d’or, Ta froideur d’effroi la glace. J’ai peur, j’ai peur que tu restes ma seule et blanche maîtresse, Et que, du haut de ton austère indifférence, une fois atteinte vieillesse, Je me retourne et chute, dans la plus grande détresse, De voir que j’ai préféré le discernement à l’allégresse, lui sacrifiant ma jeunesse, Que ma première sensation soit les regrets amers de la tristesse. Ô Chaude Passion, je veux être ton servile esclave, Belle prison, délicieuse enclave, Ressentir ton onctueuse odeur, Peut bien mériter d’ardentes douleurs. Pour faire de moi un homme complètement vivant, Je me soumets à ton amour bienveillant. Rêvons, rêvons avant que la laide vie ne nous rattrape, Qu’elle ne dévore nos illusions comme une traître trappe, Jouissons, jouissons avant que la mort par derrière ne nous frappe, Et nous éloigne à jamais du mélodieux son de la harpe. De votre union naît harmonie, De votre opposition naît folie, Emboîtez-vous comme je le veux, Élevez-moi comme je le peux. |
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