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[RP] Une vie

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NAC
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07/02 ETU 19:31
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La naissance d'une vengeance


Le jour se lève sur la plaine du Narda, voici comment commence cette histoire, l’histoire d’une vie, l’histoire de ma vie. La planète d’où je viens s’appelle Alfarac, les habitants d’ici ignorent que la vie existe ailleurs et encore moins qu’il existe d’autres Galaxies. Le jour se lève sur la plaine aride du désert du Narda, ce jour aurait du être comme tout les autres, mais les Dieux en ont décidés autrement. Mais revenons en arrière pour que vous compreniez mieux ce qui c’est produit ce jour là.
Quatorze ans plus tôt, alors que je n’étais pas encore né, mon père, Narathorg, et ma mère, Célina, mon père avait les cheveux noirs et de très forte carrure, mam mère était la plus belle femme que je n’ai jamais rencontré. Ils étaient marchands, enfin, en apparence, car en réalité mes parents étaient Hadoracs. Les Hadoracs étaient experts en la maîtrise du sabre à longue lame, ils avaient aussi le pouvoir de se métamorphosés. Les Hadoracs étaient répartis en clan, avec chacun un chef. Ils voyageaient beaucoup, dans tout l’Empire, pour traquer les ennemis. Un jour qu’ils s’arrêtaient dans une auberge pour manger, ils entendirent une conversation. C’étaient deux hommes, l’un avait les cheveux gris en bataille et l’autre avait une cicatrice sur la joue gauche, l’homme aux cheveux gris semblait apeuré :
« ...sa tête ainsi que son corps était caché par un manteau noir, je ne voyait que ses mains, si on peut appeler ça des mains car il de longues avait des griffes semblables à celles d’une panthère à la place des doigts. Il possédait un sabre taché de sang.
-Il t’a vus ? demanda l’homme à la cicatrice, effrayé.
-Bien sûr que non, s’il m’avait vu je ne serais plus de ce monde à l’heure qu’il est. »
« Tu pense à la même chose que moi ? demanda Célina à Narathorg.
-J’en ai bien peur. »
Puis se tournant vers les deux hommes il demanda :
« Où l’avez-vous vus ?
- C’était dans les montagnes de Cénon au nord-ouest d’ici de l’autre côté du fleuve Eriul, à environ un mois de cheval. »
Dès le lendemain, me parents partirent, en cheval vers les hautes montagnes de Cénon à la recherche de l’homme au griffes de panthère.
A l’aube du deuxième jour, mes parents, après n’avoir dormis qu’une heure, c’était une autre des facultés des Hadoracs, il pouvait tenir un mois sans boire ni manger et trois semaines sans dormir, ils avaient aussi la facultés de sentirent les présences,ils remontèrent sur leurs chevaux.
A la mi-journée, ils sentirent une présence, ils firent stopper les chevaux, quelques secondes plus tard, des brigands sortirent des fougères et les attaquèrent. Mes parents descendirent de leurs chevaux, sortirent leurs sabres et firent fassent à leurs assaillants, ils étaient dix, armés de sabres et de haches, ils semblèrent hésiter un cour instant puis chargèrent. Alors qu’un des brigands tentait de couper la tête de ma mère, elle stoppa l’arme à l’aide du pommeau puis tourna autour de la lame de son adversaire et frappa du plat de la lame sur le poignet de l’homme qui lâcha son arme en étouffant un juron. Mon père combattait sans jamais accorder un regard à l’adversaire car il disait que le regard montre où l’on va frapper. Après avoir découvert qui étaient le chef de la bande, mes parents le prirent en otage et l’emmenèrent avec eux afin que les bandits ne tentent rien. Ils le relâchèrent quelques lieues plus loin au milieu d’une immense plaine. Trois jours plus tard, ils étaient au bord du fleuve Eriul. Après avoir trouver un gué, il traversèrent le fleuve et s’arrêtèrent pour que les chevaux puissent manger et se reposer.
Quand le soleil eut fait place à la lune, ils entendirent un cri qui déchira la nuit, une nuée d’oiseaux s’envolèrent d’un arbre. Le cri venait des montagnes de Cénon. Ils se levèrent précipitamment et laissant les chevaux au campement, ils déployèrent leurs ailes et s’envolèrent vers les auteurs.
En quelques minutes ils arrivèrent en haut de la montagne, alors qu’ils auraient dû mettre plusieurs jours à la gravir. Le spectacle qui s’offrait à leurs yeux les glaça d’effroi. Le sol était jonché de cadavres, le corps écartelé. Ils l’avaient trouvé, l’homme aux griffes de panthère était ici, quelque part, cet homme avait, comme eux, un pouvoir mais ce n’était pas un Hadoracs, c’était un Barkuenken, les Barkuenken était les pires ennemis des Hadoracs. Un pacte avait été signé afin que la paix puisse régné mais personne ne respectait ce pacte, à chaque fois qu’un Hadoracs et qu’un Barkuenken se rencontraient, ils se livraient un combat à mort.
« Où est-il ? demanda Célina à l’intention de mon père.
-Je ne sait pas peut être est-il déjà... Il y eut un craquement
-Attention ! » Cria ma mère.
Une ombre sortit de nulle part et attaqua Narathorg. Ma mère sortit son sabre du fourreau et attaqua afin que l’homme ne puisse blessé son mari. La lame fut arrêtée dans un crissement de métal par une autre lame, qu’avait sortis le Barkuenken. L’homme était encapuchonné dans un manteau noir. Mon père chargea en visant le flanc de son adversaire en même temps, ma mère essaya de lui trancher la gorge. Les deux lames furent arrêtées sans peine, mes parents surent alors qui était l’homme au capuchon, car ce qu’ils prenait pour une illusion dût au manque de lumière était en fait un sabre à deux lames. Une seule personne dans tout l’Empire possédait un tel sabre, il s’appelait Araguen, le pire ennemi de mes parents car il avait tué leur ami, Thagaro. Une force nouvelle les habitaient à présent, mon père fit un magnifique saut périlleux et atterri juste derrière l’homme et attaqua, ma mère sauta en l’air et plongea le sabre en avant. Araguen réussit à arrêté la lame de mon père et en plongeant, à esquivé celle de ma mère. Célina et Narathorg continuèrent d’attaquer multipliant parades sur parades, bientôt Araguen fut recouvert de centaines de petites blessures, il savait que bientôt il n’aura plus assez de force pour combattre. Mais mes parents commirent une erreur, ils eurent un moment d’inattention, à peine une seconde, mais c’était largement suffisant pour un Barakuenken, il s’élança et en quelques bons fut hors de porté de mes parents :
« Le lâche ! Cria mon père
- Ce n’est pas grave, l’important c’est qu’il ne commettra plus de crime pendant un long moment, n’est-ce pas ? répondit ma mère
- Peut être mais que ce passera-t’il lorsqu’il se sera remis de ses blessures ? Il recommencera à tuer des centaines de personnes ! Le seul moyen c’est de le tuer une fois pour toute !
- Comment peux-tu dire ça ?! Tu es comme eux finalement !
- Non, je ne suis pas comme eux mais on ne peut pas laisser quelqu’un comme lui en vie, il tuera encor et encor tant que l’on ne l’aura pas tué !
- Si tu combats ceux qui n’ont aucun respect en la vie, tu te dois, toi, de conserver ce respect !
- Combien de fois m’as–tu répéter cette phrase ?
- Pas assez de fois, j’ai l’impression.
- Tu as raison, je me suis conduis comme un idiot.
- Je t’aime.
-Moi aussi. Répondit ma mère.
- Allez partons ! »
Ils se remirent en route et aux bouts de plusieurs jours ils trouvèrent une immense plaine, c’était la plaine du Narda. Mon père construisit notre maison de ses propres mains et un an plus tard je naquis, moi, NAC, bien sûr NAC n’est pas mon vrai nom, je ne me souvient plus de mon vrai nom, NAC n’est qu’un pseudonyme que j’ai pris mais je vous raconterais cette histoire un autre jour. A l’âge de cinq ans, mes parents m’apprirent qui ils étaient vraiment même si il ne combattait plus depuis qu’ils c’étaient installés ici, avec mon accord, ils m’enseignèrent l’art des Hadoracs ainsi que tout ce que je devais savoir sur les coutumes et histoire qui pourrait me servir si je devait me présenter à leur chef. Je fus instruit pendant sept ans, jusqu’à ce jour funeste, le jour de mon treizième anniversaire. Le jour se lève sur la plaine du Narda, ce jour aurait du être comme tout les autres, mais les Dieux en ont décidés autrement. Je me lève comme chaque matin, puis en hâte je réveille mes parents afin que je puissent progresser et devenir aussi puissants qu’eux. Au bout de dix minutes ils se levèrent. Je l’ai poussait vers la porte quand mon père m’arrêta :
« Ne dis plus un mot !
- Que ce passe-t’il ? Demandais-je.
- Il y a quelqu’un dehors ! Répondis ma mère.
- Cache toi ! Cria mon père.
- Mais je sais me battre !
- Ce n’est pas la question, vas te cacher ! »
J’obéis à contrecœur. Mes parents sortirent.
Plusieurs minutes passaient puis une heure, enfin je me décida sortir de ma cachette, une male que j’avais laissé entrouverte grâce à un couteau pour laisser passer l’air. Il n’y avait plus aucun bruit, j’ouvris la porte, dehors était étendus le corps de mes parents, je courus vers eux :
« Papa, maman !
-Je suis là. Me répondis mon père d’une voix rauque.
-Qu’est ce qu’il c’est passé ?
-Il…est revenu.
-Qui ?
-A...Araguen. »
Puis mon père mourut, ainsi que ma mère.

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