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| andeman Respect diplomatique : 1393  29/01 ETU 18:10 | Score : 6 Détails Colonie beta Alpha.
360 parsecs de baphodys, Colonie vaarlag de recherche, et de paléo Achéologie. Andeman marchait de long en large sur la passerelle du croiseur amiral, le "fierté d'Amenoa". Il avait fait une visite rapide du complexe de recherche qu'avait ouvert les Vaarlags sur cette planété aux ressources minérales et aux ruines mystérieuses... L'atmosphére était lugubre et il s"était empressé de quitter cette planéte aprés avoir félicité ces scientifiques. Ils semblaient entouthiastes, car il y'avait possibilité d'étudier les derniers mouvements de dévastations dans l'histoire de l'humanité et de la galaxie... A la bonne heure, cela dit, cette planéte degageait quelque chose de malsain... une entité, impalpable criait sa souffrance et sa colére la plus grondante... Le croiseur repartait doucement vers baphodys, petite escale agréable sans doute. Le vaarlag eut un sourire charmé. Au bout de 48 minutes de manoeuvres et de voyage le vaisseau s'appretait enfin à partir dans l'hyperspace. Mais un des enseignes chargé de la détection héla Andeman paniqué. Contact à 25 cliks de notre position, c'est gros, c'est apparu juste à l'instant, pourtant les scans n'avaient rien indiqué auparavant. Quand auront nous le contact visu? Dans 30 secondes monsieur. Annulez la procédure d'hyperespace. redirigez le vaisseau sur cette chose. Sur le pont d'observation ce qui semblait etre une tache sombre, se révéla peu à peu comme un immense vaisseau d'une taille importante en mauvais etat. Avancant lentement, le croiseur Vaarlag ralentit sa course et orienta ses batteries sur l'immense antiquité. Malgré plusieurs sommations rien ne fit écho si ce n'est qu'un grésillement... L'agent de communication cherchait un canal pour lancer à nouveau un signal, mais soudain lacha son casque terrifié. Andeman alla voir, le Varlag était livide. Des voix torturées, chargées de douleurs hurlaient de facon complétement inaudible. Une fois en arriére fond mumurait quelque chose... Malgré les tentatives de clarification rien ne put etre dégagé. Andeman perplexe et soucieux ordonna une mission de sauvetage sur le croiseur. 2 navettes allaient etre dépéchés sur la vieille batisse. Il en ferait partie. S'équipant rapidement d'un fusil bolter, et de son armure et son épée, il monta a bord des petites navettes. Le croiseur aait de quoi se défendre et un équipage, en cas de pépin... Du croiseur vaarlag sortit deux petits vaisseaux véloces, bougeant vers l'enorme chose. Les pilotes faisaient un scan de la coque a la recherche d'un sas d'amarrage, en vain. Il fallut se résoudre à percer la coque. S'arrimant comme une ventouse sur la coque du croiseur les deux navettes s'aggripérent. A l'interieur les ingénieurs s'activaient à tailler une porte suffisamment grande pour le passage des commandos de sécurité. Quelques minutes passérent finalement la porte avait été faite, il n'attendait plus qu'un coup de pied bien senti pour entrer. Un Vaarlag s'empressa de le faire, la porte fut mis à bas, soudain tout les Vaarlags se mirent à mettre la main sur la bouche, une odeur de puanteur insoutenable se dégageait de l'entrée, une odeur de chair morte depuis longtemps, en décomposition... Et on pouvait entendre un frottement lugubre de metal le vaisseau semblait se moquer des nouveaux arrivants. Andeman impressioné mais nullement effrayé se dressa et entra arme à la main. Allumez vos projos, mettez vos masques, nous entrons, navette 2 faites en de meme,nous retrouverons à l'interieur. LA vingtaine de Vaarlags entraient dans cette.... chose... | ||
| andeman Respect diplomatique : 1393 31/01 ETU 09:55 | Score : 4 Détails Quelque part...
A bord du croiseur mystérieux... __________________________________ Commandant, meme avec les masques ca shlingue encore...l'odeur est tres forte... Andeman sourit interieurement, on entendait le bruit des respirateurs des masques intégrés dans les combinaisons. la troupe commencait à inspecter les lieux avec attention et prudence, car l'endroit ne semblait pas sur du tout. Tout semblait avoir pris des années de vieux. Le plafond avait été eventré en plusieurs endroits. Le sol était jonché d'ossements metalliques du vaisseaux. Et toujours ces plaintes venant des entrailles du vaisseaux, le craquement metallique de la bete. sans s'attarder la troupe entama un couloir, Avec Andeman a leur tete, ils n'étaient éclairés que par leur mince rayon lumineux de leurs lampes intégrées. l'obscurité régnait en maitre ici. Soudain l'un des Vaarlags hurla j'ai des contacts partout autour de nous, des milliers!! Mais nous n'avons rien en visu... Attendez, non c'est bon, la machine a du s'emballer, je n'ai plus rien. Tout est ok. Ses camarades sur le qui-vive le traitérent de tout les noms, Andeman n'y preta pas attention, il venait de débouler dans ce qu'il semblait etre la salle de commandement. Vide, dans le meme état que les couloirs. Balafré par les affres du temps et de l'abandon. La troupe commenca une fouille systématique de l'endroit, avec un assistant il tentérent d'allumer un des écrans de controle. Aprés divers bidouillages il réussirent à lancer le programme de l'un d'entre eux. Tandis que les autres regardaient par l'immense baie vitrée, Andeman s'affairait à chercher des infos, mais la console ne disait mot, rien toujours rien.... Puis soudain, le detecteur de mouvement s'emballa en poussant un bip strident d'alarme. Toujours ces milliers de présences. C'est a ce meme moment qu'un des pc s'alluma, au fond, l'écran était noir, et quelque chose de rouge clignotait frénétiquement. Andeman s'approchant fut saisi d'effroi. ........Vous allez tous mourrir...... A cet instant précis le comlink du Vaarlag bippa. L'agent des communications, il avait l'air paniqué et en sueur. "Commandant, le message, nous l'avons décrypté....écoutez donc... Andeman entendit en boucle la meme parole, la peur commencait à l'envahir... "fuyez...ou vous mourrez, fuyez, ou vous mourrez, c'est notre vaisseau...." Andeman leva le poing et rassembla ses hommes, il allait partir quand quelque chose attira son regard, le croiseur Vaarlag semblait s'illuminer de l'intérieur. On tirait dans le vaisseau Vaarlag!!!! S'agenouillant il alluma son comlink et hurla, il n'eut en réponse que des coups de feu et des cris de panique, 5 minutes plus tard c'était le silence le plus total.... l'un des gardes regardant le croiseur arma sa mitrailleuse et fila vers les navettes sans l'ordre de son supérieur, la troupe désorganisé partit dans tout les sens, Andeman réussit a retenir sous la menace la plupart de ses hommes. c'est alors que commenca l'horreur. Shhhhhhh....Bordel qu'est ce que... AAAAAAAAAAAAARhhhhh Contact!!contact! c'est quoi ces trucs! Mais on peut...shhhhhhhhhhhhhhhhhh -Hernaan attention!! mais tire bordel!! - t'es marrant! je sais pas ou faut tirer!! la b.... La troupe resté sur le pont fixa Andeman ave attention, lui écoutait glacé de terreur, les derniers fuyards mourrir, ou rompre le contact radio. La moitié du commando avait disparu. sans plus attendre, sur son armure il activa à distance la balise de détresse du vaisseau Vaarlag. peut finirait on par s'en apercevoir. N'écoutant que le peu de courage qui lui restait Andeman prit un couloir avec ses hommes, avancant prudemment. Le bip d'alarme du détecteur s'alluma de nouveau, montrant des milliers de points. Ce que vit Andeman était inimaginable, il ouvrit le feu emporté par la panique devant...ce..ces... Tirs.... cris... ordres.... | ||
| andeman Respect diplomatique : 1393 03/02 ETU 11:28 | Score : 6 Détails théme qui colle vachement bien avec l'ambiance de ce rp....http://www.radioblogclub.com/open/30154//Aliens%20%28James%20Horner%29%20-%20Main%20Theme
-On se dégage!! Allez allez! Le petit commando de survivants venaient de perdre encore des hommes, mais le pire c'est qu'ils ne savaient sur quoi tirer, ca bougeait, ca tournait autour d'eux, mais dans l'obscurité ca restait. Les tirs n'avaient semblait il pas fait grand chose, juste ralentir ce...ces trucs! Andeman avait vidé son chargeur en vain et s'apprétait à reculer avec ses hommes vers le pont. Mais c'était sans compter sur ce vaisseau, comme si il jouait avec eux... La porte se referma avec violence. Bloquant l'accés. Les vaarlags étaient acculés. Regardant à droite et à gauche ils virent deux accés. ca n'était pas le moment de se séparer... c'est alors qu'Andeman vit une horreur sans nom, surgissant de nulle part une main démesurémment longue prit le visage d'un des commandos et l'emporta avec facilité le malheureux, il entendit le bruit de la chair dévorée et le craquement d'os, de meme que les cris de douleurs inhumains du guerrier. Andeman réarmant son bolter lacha plusieurs rafales en face de lui. Se rapprochant d'une porte il la défonca et fit signe aux survivants de le suivre. Une fois tous entré, ils reférmérent avec difficulté la porte, derriére quelque chose poussait avec détermination. Avec la force du désespoir ils parvinrent à bloquer l'entrée. On frappa lourdement derriére, à plusieurs reprises, puis le silence totale. Aprés s'etre pendant un long moment assuré que ca ne recommencerait plus, La petite troupe vit qu'ils étaient dans une salle fermé avec un autre issu a l'opposé de là ou ils étaient entrés. Les vaarlags s'empréssérent de barricader l'endroit du moins le temps d'évaluer la situation et de se reprendre leurs esprits. Par chance ils avaient emporté de l'éclairage de fortune, des barres d'allumines. Ils en craquérent plusieurs. Il s'agissait d'une salle de repos pour le personnel, rien de bien excellent, toujours rien, aucune trace de sang... Avec sa lampe Andeman éclaira une partie de la salle il y'avait de quoi s'allonger. Messieurs, prenons un peu de repos, je veux deux hommes pour le tour de garde, les cinq autes prendront leur tour plus tard toute les heures. attendons un peu ici avant de retenter quoique ce soit. Ce....c'était quoi!!!??? d'ou c'est venu, j'ai rien vu, ca sortait de nulle part, pourtant le scan montrait des milliers de contacts...On va faire quoi commandant? je l'ignore, j'ai eu le temps d'activer la balise de détresse, c'est tout ce que je pouvais faire... reposons nous un peu, avec les idées moins abruptes nous trouverons une solution... Mais vous avez vu comme nous qu'on peut pas les tuer...J'ai vidé trois chargeurs sur un une chose qui bougeait, elle a failli m'arracher les trippes.... Andeman imposa le silence et commenca le tour de garde. Il prit du repos plus tard, les Vaarlags de faction discutant de choses et d'autres tant bien que mal.... Soudain... Un bruit de pas lourd. BOM ... ... ... ... ... BOM Tous se réveillérent, chacun scrutant avec inquiétude le moindre interstice, porte, les bruits de pas recommencérent, plus insistant, plus rapide, plus fort, plus terrifiant. BOM ... ... ... BOM ... BOM ... BOM ... BOM ca se promenait juste a coté de ce mur...Là a à peine trois métres de distance, ce truc faisait son petit tour, les bruits de pas s'arrétérent devant la porte par laquelle ils étaient entrés. Ils l'avaient barricadées du mieux qu'ils pouvaient. chacun des hommes armérent en silence leurs armes et s'approchérent de la porte avec silence et peur. Silence totale... Un Bruit de respiration lourd derriére pouvait se faire entendre. ANdeman avait le souffle coupé, tentant de se calmer du mieux qu'il pouvait. Puis soudain comme voulant rompre ce silence pesant, la chose derriére frappa une premiére fois avec violence la porte, ses gonds cédérent en partie. Andeman comme possédé, hurla. FEUUUUU!! A l'unisson les hommes ouvrirent et lachérent des salves intenses sur le pas de la porte, mais ils ne voyaient rien, aucune reaction de l'ennemi... chacun à leur tour les vaarlags cessérent le feu. A nouveau un pesant silence. Andeman ordonna le rechargement des armes. Puis... Un énorme respiration se fit entendre, lente, plaignante, comme douloureuse. Puis un cri suraigu ne venant certainement pas d'un homme rugit, trois immenses bras surgirent de l'obscurité, prenant encore tois malheureux, ce fut le chacun pour soi, l'un tirant sur ces bras, l'autre se débattant frénétiquement avant d'etre emporté, ANdeman transpirant d'impuissance et d'horreur, sortit son sabre et tapa avec violence sur ces trucs.... A sa surprise il trancha l'un des appendices de cet ennemi invisible... Avec une energie retrouvé il se rapprocha de la porte d'entrée et frappa de toute ses forces sur ces choses... Tant et si bien que "ca" du se replier poussant le meme cri, comme aspiré par on ne sait quoi... Andeman tomba a genou, il n'était plus que quatre.... Avec empressement il réparérent la porte et discutérent serieusement d'un plan de sortie..... | ||
| andeman Respect diplomatique : 1393 06/02 ETU 17:55 | Score : 3 Détails Nous devons repartir vers les navettes, tout du moins quitter cette place au plus vite avant que ca ne revienne à la charge, nous y passerons tous à ce train là.
Nous avons encore perdu des camarades, il faut tenter quelque chose... Les trois guerriers restant du commando se regardérent en silence, aquiesant en secouant la tete. Chacun se relevant et fixant la porte inusitée avec espoir. Andeman prit un morceau de papier et fit de facon grossiére le parcours du commando. En théorie s'ils prenaient cette porte, ils rattrapperaient le couloir par lequel tout avait commencé et donc les navettes, mieux valait etre dans un endroit familier que dans cette....ce vaisseau venu de nulle part. Andeman plus entouthiaste se dirigea vers le fond de la salle pour ouvrir cette fameuse porte. Il appuya et rien ne répondit. Il ressaya avec plus d'insistance toujours rien. le Vaarlag commencait à s'agiter. Le stress monta d'un cran, voir meme la panique. BOM! Merde! aIdez moi bon dieu plutot que de me regarder avec vos yeux de merlants fris! BOM! Putain de saleté tu vas t'ouvrir oui!! BOM! Essayons de la crocheter! BOM! l'un des gardes se retourna et allumant le détecteur, à nouveau des milliers de points assaillant l'écran. Pendant ce temps un des commandos tenant d'introduire dans la serrure rudimentaire un fil de fer et un crochet. En faisait divers cliquetis BOM!! Allez...Allez.... Rha! je fais ce que je peux! merde! BOM! Puis silence, à l'intérieur les Vaarlags savaient ce que cela voulait dire. Andeman et les deux commandos non occupés sortirent leurs coutelas et épées. Mais le cris de hourra du crocheteur relanca l'espoir général. sans s'attarder il ouvrit la porte. c'est alors qu'avec une violence inoui, l'ennemi derriére l'autre porte poussa et projetta toute la barricad contre le mur. La troupe s'engouffra sans demander son reste. refermant avec soin la porte et placant chaise et tables derriére, Andeman jeta un coup d'oeil dans la nouvelle piéce. "merde...le couloir n'est pas là..." Il devait s'agir d'un réfectoire, les Vaarlags se mirent à courir traversant la salle le plus vite possible, déjà ces trucs frappaient à la porte. Andeman avait un sal préssentiment il tourna d'instinct son projo vers un mur latérale, il vit des ombres rampaient et s'accrochaient au mur avec célérité et rapidité. Allez courrez!!Courrez courr... Le sol se déroba sous le pied des commandos et d'ANdeman, la chute les fit glisser toujours plus bas et avec l'espoir de regagner les navettes rapidement... Noir. l'armure bippa Sujet en cours d'analyse . .. ... .... ..... Nom: Andeman. Blessure légére a l'abdomen et a la jambe droite, traitement en cours. Adrénaline injecté, remise en activité du sujet. Andeman rouvrit les yeux avec sursaut, les cheveux imbibés de sang et de transpiration se melaient sur son visage, allumant sa lampe il regarda la piéce. Rien si ce n'est que des débris toujours des débris. Ou étaient passés les autres? | ||
| andeman Respect diplomatique : 1393 08/02 ETU 18:18 | Score : 10 Détails Je sais c'est long a lire...
Mais ca devrait vous plaire, la fin arrive bientot! "Toutes les couleurs s'accordent dans l'obscurité." "L'oubli est fait du silence des morts et du mutisme des vivants." Il se releva avec difficulté, sa jambe endolori lui faisait trainer un peu sa marche. Il regardait avec inquiétude tout autour de lui, la noirceur de cette salle était bien plus forte que ce qu'il avait eu auparavant. Nul doute que, tapi dans l'ombre les choses devaient l'observer avec sadisme, attendant le bon moment de le chopper. Et toujours aucune trace de ses compagnons, ils n'avaient tout de meme pas pu l'abandonner comme ca... Il avait traversé une bonne partie de la piéce qu'il trouva une réponse aux questions du moment. Les trois commandos étaient là, tous mort, les lentilles de leur casques n'avaient plus cette lueur montrant qu'ils étaient en vie... pourtant rien ne les avaient transpercé, dévoré, ou meme déchiqueté... Il se pencha un peu plus pour voir, en effet rien ne laissait croire qu'ils étaient mort, comme si ils avaient été figé... Sans s'attarder il prit leurs munitions et leurs armes, se chargeant un peu plus, mais se prémunissant de toutes éventualités. Il prit avec une moue perplexe le détecteur de mouvement. "A quoi ca me servira, c'est toujours le meme bordel...." Il reprit sa marche à la recherche d'une porte de sortie, il ne tarda pas à la trouver se dirigeant vers cette derniére il s'arreta de suite pour observer quelque chose de surréaliste. La porte gondolait, et se déformais a volonté, comme si elle était organique. Se rapprochant animé par une curiosité morbide il eut un geste de recul quand cette meme porte prit la forme d'un visage. En fait c'était comme si elle s'était ramoli comme une patte et qu'un passant derriére s'appuyait contre... C'était une fille, son visage enfantin y était clairement dessiné, la bouche grande ouverte, figé dans la meme expression de douleur et de colére indescriptible, ses mains apparurent peu à peu, comme cherchant à ouvrir la porte ou s'en sortir. Puis elle poussa une plainte etouffé avant de disparaitre... Aprés quelques minutes à réspirer profondémment, il se décica d'ouvrir et d'en avoir le coeur net. Il n'y eut rien derriére. cela ne le surpris presque meme pas. Il arriva dans une série de coursive protégé par des rembardes, au milieu un gouffre énorme, il s'agissait des ponts de transitions, par lequel le personnel circulaient d'étages en étages grace a ces passerelles et escaliers. Une seule chose à faire, Monter. Il grimpa quatre a quatre les escalier menant vers le haut, menant vers la libération de cet effroyable cauchemar. Pourtant c'était trop facile... des bruits mettaliques se firent entendre Andeman s'arreta pour écouter attentivement le moindre mouvement. regardant le sol il vit encore ces choses emergeant du noir... des doigts... une main atrocement laide, ensanglanté, noircie par endroit, puis une ombre se détachant lentement.Poussant un geignement plaintif etouffé. Andeman fut averti d'un bip encore par le détecteur que les taches revenaient pour sa plus grande joie. Armant son bolter avec emportement, des ces humanoides, il n'en avaient que la forme, Andeman eut une moue de dégout. quand ca avait une tete elle n'avait aucun trait, juste une face neutre, sans rien dessus. Sinon cela ressemblait un immense tas de chair informe gargouillant et se déplacant de facon gauche. Sans réfléchir plus d'une seconde il ouvrit le feu et lacha des rafales intenses. Surprise cette fois ci ces ennemis semblaient ne pas apprécier les balles, d'ailleurs cela les mit en piéce. Mais de l'obscurité renait toujours l'horreur, il fallut pour Andeman se rendre à l"évidence, elles reviendraient toujours à la charge. Il se dégagea rapidement et continua sa course vers le haut, pourtant les créatures a premiére vue lente, montrérent une déconcertante rapidité.. certaines rampaient et se relevaient juste derriére ou devant le Vaarlag, il leur explosa la tete ou le corps... se démenant pour échapper a leur etreinte il hurla de rage, criant sa colére guerriére... Mais il était un point dans cet immense vaisseau, dans cette galaxie... Allant dans la mélée et sabrant joyeusement, il finit par trouver une issu, et s'y réfugia. Fermant la porte avec soulagement le probléme qui l'attendait le fit désesperer et hurler de terreur. deux filletes le regardait en gargouillant et poussant des cris suraigus, elles n'avaient pas le meme physique que les autres, elles avaient quelque chose d'humain, mais c'etait tout... Leurs pupilles étaient blanches, le visage figé et inexpressif au possible, la peu bruni et les cheveux longs mais epars... Une jambe de ces filles avaient était comme machouillé comme une pomme on voyait le coup de dents, pour l'autre elle se baladait avec les cotes a vifs et la jambe avait une fracture ouverte que meme un droide médecin n'aurait pu expliquer... Andeman transpirait... Il arma son bolter... Clic... Quoi clic??? Clic... clic... | ||
| andeman Respect diplomatique : 1393 10/02 ETU 11:20 | Score : 7 Détails Fin de ce rp, j'espére qu'il n'a pas été trop saoulant et merci à ceux qui l'ont lu!
"La mort n'est pas une fin. C'est un commencement. Elle est à l'origine de toute chose: nous venons de la mort" "Des milliards de morts. Ils multiplient mon angoisse. Je suis leurs agonies. Ma mort est innombrable. Tant d'univers s'éteignent en moi." Andeman était dans une salle jouxtant celle ou se trouvait les deux jumelles. Assis d'épuisement, les yeux livides et désespérés, le Vaarlag croyait désormais que personne ne le sauverait. Ca faisait quoi? Une heure, peut etre deux qu'il était dans ce truc... Tout un équipage de vaisseaux, deux escouades commandos avaient disparu en un temps record. L'envie de pleurer et d'hurler sa rage le prenait, mais ca n'était diablement pas le moment, il avait réussi par on ne sait quel miracle à échapper aux deux petites filles, ca n'était pas pour les revoir juste aprés avoir exprimer son état d'âme. Il regarda rapidement son Bolter, il lui restait encore 3 chargeurs et son sabre de guerre. Il avait aussi son pistolet, mais la balle qui restait lui était spécialement réservé. La salle était assez moyenne, des débirs toujours, des cadavres de poutrelles s'entremélant, le suintement perpetuel de l'eau, et des profondeurs de la carcasse ce bruit de métal et de parois froissées. Se relevant à grande peine, le morale n'étant plus là, il marcha sans allant. Le projo commencait à faiblir d'intensité, les batteries avaient déjà bien supporté qu'à l'accotumée. Andeman avait beau étre courageux et déchainé dans les batailles, il était à deux doigts de craquer. Ce qui l'enervait par dessus tout c'est qu'aucun secours n'étaient venu à son aide. Il marcha le regard noir, ce qui le dérangeait peut etre c'est qu'il allait sans doute crever comme un rat ici. Le scanner rebipa violemment. Allons bon....tu vas encore me faire chier pour des conneries que je pourrais meme pas voir! T'ENTENDS SALOPE??? JE POURRAIS RIEN VOIR!!!!! Avec une rage terrifiante il lanca son détecteur contre un mur eet lacha une rafale dedans, puis emporté par sa folie naissante il hurla à l'encontre des "fantomes", des "ames" de ce vaisseau JE VOUS EMMERDE!!!!!!Qu'est ce que vous me voulez!!! Hein>??que me voulez vous!!! Il tira partout dans la salle, grimacant de colére. Il n'eut en réponse que ce long et pesant silence. "Ils" l'observait, Andeman fut soudain paniqué, la folie le gagnait et il perdait peu à peu controle de ses nerfs, il courut à travers la piéce il tomba à la renverse et plongea dans ce qui semblait etre une grande flaque d'eau. Il se débattit avec l'énergie du désespoir, les choses se tassaient, il allait remonter... Quelque chose l'effleura a la jambe, jetant un regard terrifié il regard vers le bas..... L'eau grouillait de cadavres en putréfaction il y'en avait beaucoup, l'eau était en partie du liquide corporelle de ces restes humains, il eut une envie de vomir, il s'empressa de remonter et fut prit de violents spasmes et de vomissements. Sans pouvoir reprendre son souffle une main surgit de l'eau, et le saisit à la gorge, sans demander son reste Andeman trancha dans le vif, il la coupa net. Ho mon dieu.... Non.... Andeman courrut a travers cette salle et il déboula dans une série de couloirs, les prenant sans réfléchir il sentait une présence dérriére lui, la panique désormais maitre en lui. Il défonca une porte avec le bolter, et arriva dans une salle complétement différente du reste du vaisseau. Tout semblait bien en place, et elle était par endroit baigné de la lumiére de la lune de la planéte colonie. Une immense baie vitrée faisait office de plafond. Cela ressemblait à une salle d'opéra, ou de spectacle, difficile à dire en vérité, cela prenait la forme de plusieurs salles... Andeman en fut hypnotisé, il entra dedans... Les ombres se révélérent alors, une à une, Andeman ressentit un chagrin terrifiant, une plainte coupée, la vie prise de facon violente, comme un fil coupée d'un seul coup. Il y'avait en face, autour de lui une masse informe, des ombres se faisant et défaisant a volonté. Andeman lacha son arme c'était sans espoir, son etait d'esprit se boulversa... "Andeman regarde nous, nous sommes tes victimes... rapelle toi Amenoa, la campagne d'Elleanor'g, le massacre de la base de Yushalain.... Nous sommes tous des innocents, et pourtant nous avons subi ta vindict, peu nous importe que tu aies changé Andeman, tu as brisé et damné nos vies à jamais, tu as tué des enfants ces jumelles tu te rapelles? Andeman arma son sabre, mais le projo brutalement s'eteignit. Noir total, Andeman hurla de panique, il sentait le souffle lourd et froid de ces ames. Il chercha son briquet, et alluma briévement, des quelques éclats de lumiéres qu'il percut, il vit des visages en colére, grimacant horriblement de douleurs, comme déformés... Il frappa deux ou trois fois, puis sombra dans les ténébres. -Navette sur le retour commandant, nous n'avons trouvé qu'un seul sujet, il est en etat de choc et a de multiples blessures. La seconde escouade n'a rien trouvé sur le croiseur vaarlag. terminé.... | ||
| andeman Respect diplomatique : 1393 11/02 ETU 11:05 | Score : 5 Détails EPILOGUE
Rapport du lieutenant A. Larrik sur l'incident du "fierté d'Amenoa" Dossier P4-hbc8 Date: Non précisé. Avons Repéré un signal d'une balise de détresse dans le secteur classé haute sécurité non loin de Baphodys, complexe scientifique de haute priorité. Trois unités de secours et d'assistances sont dépéchés sur les lieux. Les premiers rapports font état du vaisseau Amiral vaarlag "Fierté d'Amenoa" vaisseau qui était sous commandement direct d'Andeman. contre le vaisseau ci-nommé se trouvait un aeronef plus imposant et en délabrement visible. Tentatives de communications avec le vaisseau amiral, echec. Je décide dés lors de lancer une escouade militaire et sanitaire sur le croiseur. L'equipe fait état d'un vaisseau "fantome" tout semble avoir été suspendu, des tasses de café sont encore chaudes, les écans de controles bien allumé. cependant aucun sujet biologique trouvé, le sujet Andeman a disparu. Remarquons dans l'historique des coms, que le vaisseau a coté,a été arraisonné par les Vaarlags. Le reste est impossible à décrypter, la bande semble avoir subi un défaut, crissement metallique. Je décide d'envoyer plusieurs escouades militaires sur le vaisseau inconnu, car non repertorié. Le vaisseau est en piteux etat, progression difficile. Vaisseau tout aussi désert que l'autre. Nous nous appretons à repartir, lorsque Athorn seconde classe, entend un cri surgit des entrailles du vaisseau. Nous activons notre code d'alerte et armons nos bolters. Nous descendons en rappel sur ce qui semble etre le pont de transit. Les scans indiquent une présence vivante. A quelques couloirs nous retrouvons le dénommé Andeman complétement paniqué, les yeux révulsés. Etat de choc visible. nous l'emportons avec nous et quittons le vaisseau prestemment. Aucun probléme sérieux n'est à déplorer. Cependant j'aimerais attirer votre attention sur un incident récurrent sur le croiseur inconnu, le detecteur de Jhansen s'est réguliérement emballé affichant des contacts jusqu'a saturation. Par ailleurs Andeman n'a cessé de répéter une phrase, du genre: "Les ames....ce vaisseaux est fait d'ames..." Les rapport d'energie indiquaient par ailleurs une forte concentration dans le croiseur. Et certains de mes hommes ont cru voir des ombres les épier et se fondre dans les murs. SUITE DU RAPPORT CLASSE TOP SECRET Selon le décret arme biologique et phénoménes paranormaux, article b-25-59P |
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