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Grabeuh Réputation à la taverne : 1675 01/08 ETU 23:35 | Score : 0 Détails "Bien le bonjour, les amis !
J'ai eu l'idée, suite à un histoire que je viens de conteusement conter, d'ouvrir une taverne où l'on pourrait raconter des histoires. Des histoires n'ayant aucun impact sur les commandants, des histoires servant juste à faire rêver et à prendre du plaisir, autre que du plaisir tantriquement tantrique. Je me propose donc pour mettre à votre disposition des contes, une fois ou deux fois par semaine, afin que vous profitiez un peu de ces moments d'évasion. Si l'un d'entre vous trouve une génialement géniale idée qui pourrait faire l'objet d'un conte, qu'il me la transmette par Com-X, je serai ravi de raconter les récits imaginnaires de commandants valeureusement valeureux." | ||
Grabeuh Réputation à la taverne : 1675 07/08 ETU 00:09 | Score : 0 Détails "Il était une fois, sur une lointainement lointaine planète, naquit un bébé. Ses parents, les barons de Von Panzer le nommèrent Herbert, et ils organisèrent une grande fête pour célébrer sa naissance.
Ils invitèrent presque toute la galaxie. Même Dieu fut convié, mais il ne put venir en personne. Il délégua alors trois de ses anges. Ces trois là arrivèrent à la fête et furent conduits au berceau d'Herbert. Ils se posèrent dessus et commencenrent à chanter : "Tu seras béni des Hommes : ta force sera sans limite. Ainsi soit-il !" dit le premier. "Tu seras béni des Déesses : ta beauté sera sans fin. Ainsi soit-il !" déclara le second. "Tu seras béni des Dieux : tu connaitras le bonheur ! ainsi soit-il !" récita le troisième. Alors que la fête allait plusbellement de plus belle, un coup de tonnère monstrueusement monstrueux fit trembler même les plus téméraires. Machine Guns, le plus grandissimement grand de tous les boulets, n'avait pas été invité (on se demande pourquoi...) Il s'élança, courru, s'arrêta devant le berceau et se mit à chanter lui aussi sa chansonnette : "non tu sera pa béni mé tu sera modi dé dieus et mem tu dormira pour léternitai si jamé tu rencontre kelk1 !" (transcription la plus fidèle possible des paroles de l'intéressé) Puis, en bon boulet, il s'en alla directement rejoindre son holo-télé pour regarder le match d'astro-football du soir. Les trois anges vinrent alors se poser sur le berceau de l'enfant et firent une prière pour conjurer le mauvais sort : "Maudit des dieux tu ne seras pas : ton sommeil éternellement ne durera pas. Pendant cent ans tu dormiras à moins que le baiser d'une belle princesse te réveillât. Ainsi soit il !" Bien des années passèrent, et Herbert avait bien grandit. Il avait été envoyé dans un système fermé, gardé par les angelots, pour assurer sa sécurité. Mais Herbert avait envie d'aventure, de voir des gens, de faire des rencontres, de découvrir de quoi cette si grande était faite. Les anges le sermonaient à longueur de journée : "Tu vas t'avilir si tu rencontres des gens !" disait le premier. "Tu vas dormir si tu rencontres des gens !" ajoutait le second. "Tu vas mourir si tu rencontres des gens !" surencherissait le dernier. Et malgrès toutes ces recommandations, il demanda en cachette à ses scientifiques de développer l'Hyperfusion. Sitôt dit, sitôt fait, l'Hyperfusion fut activée. Et le système enhavit par des commandants avides de sang frais. Herbert ne fit pas long feu, et ni une ni deux, il finit poignardé. Mais la malchance fut conjurée, Herbert put être sauvé, mais dans le coma il fut plongé. Les médecins confirmèrent ce qu'vait dit les angelots, pendant cent ans durerait ce gros dodo. Pour faire en sorte que ce sommeil soit moins dur à supporter, dans une grande cuve de vodka il fut placé. Ce ne fut que dix ans plus tard que la délivrance arriva. Une jeune princesse nommée... euh... Cunégonde (!) avec son croiseur sur cette planète s'écrasa. A l'astro-garage, elle entendit parler d'un jeune homme endormis dans sa tour, elle décida donc d'aller lui passer le bonjour. Mais en chemin, elle rencontra le vil Machine Guns qui voulait la corrompre. Il prit sa plus belle voix, son correcteur d'orthographe et lui récita ces quelques vers : "Ma jeune demoiselle, comme vous êtes belle ! N'allez pas voir cet énergumène là-haut, il est dans le coma. Venez plutôt avec moi, nous gambaderons dans les prés, nous ferons des fêtes, nous nous aimerons, nous auront des enfants, un fils : on l'appellera Bertrande, il sentira la viande !" Mais Cunégonde resta de marbre devant de telles "avances" (à sa place, j'aurais fait de même...) et continua sa course folle. Machine Guns, de rage, se transforma en Hydre à 125 têtes, une pour chaque compte qu'il avait sur Apocalypsis. Il essaya de la retarder, de la manger, de la tuer, mais alors qu'il allait l'attraper, Dieu intervint, aidé de Big Brother, et supprima tous les multicomptes. On peut lire sur la tombe de Machine Guns "Ce commandant ne fait plus partie de la galaxie." Cunégonde monta tout en haut de la tour (226 étages sans asccenceur, elle en a de sacrées cuisses, la donzelle...) et embrassa Herbert. Celui-ci avait les yeux qui piquaient (10 ans passés dans la vodka, ils devaient être bien imprégnés les pauvres...) et ne remarqua pas que Cunégonde était pleine d'acnée. Ils eurent vécurent heureux et eurent beaucoup d'enfants, jusqu'au jour où Herbert retrouva la vue. Moralité : Quand vous faites une fête, invitez Machine Guns quitte à ce qu'il pourrisse la fête, ce sera toujours mieux que de devoir divorcer 30 ans plus tard à cause de la cataracte..." Grabeuh le Protoss, conteur de son état. | ||
Grabeuh Réputation à la taverne : 1675 09/08 ETU 03:40 | Score : 0 Détails "Archt zo ! Il était une fois tans ein bedit maisson tans la Chermanie (Deutschland) brofonde, ein kleine petite kommandante nommée la "betide Mata-Haron Rouche", ou Mata Hari bour les indimes. Za maman lui afait (archt !) temanté d'aller border chez zon Grossvater le maitre Yoda ein banier mit Bredzel, choukroût unt bier. Ja. Za mutter lui tit: "Achtung au Her Chevrozer tans la forêt, il aime pien les bedites klein envant komme toi. Zo arbeit, unt raus ".
En cheumin, der kleine Mataharon Rouche vaillit ze faire ékraser bar ein kollozal tank de la Panzerdivizion qui tépoulait d'un puisson! Der kleine fille z'égria: "Achtung, stubid schweinhund, zauzisson polonais,bolchewik, döner kebab, aufschwellung, salzig erdschnecke ! ". Elle kontinua zon cheumin en freutonnant un aire pien gonnus de par làs-pas (Zans doutes tu Rammstein, musique nazionale drès pobulaire en Chermanie) Nodre Mataharon kroissa za petite jugendfreund, Gretel mit son bedit ami Hansel. Ils lui dirent gu'il vallait gu'elle vasse achtung, parzeque Her Chevrozer ( gui était dienstgrad von der verkraftetes heer, vierzehn verwaltungsbezirk Panzerdivision.) ze pallatait tans le koin. Le klein Mataharon leur tit: Danke-schön, et bardit. Un bedit beu blus tard, der Rouche Mataharon ze fit arrêter bar ein Chèvre habillée avec ein gross imberméaple noir, une kazkette et des bottes noires montantes. Chevrozer afait été bromu chef de la Gestapo. Il hurla:_ Stop, waffeleisen, papier bitte, gegenregister unt vorbei-lassen ! _ Nein! _Was, scheisse Ich bin her Chevrozer ! Schnell ! _Arr zo, che ne zavais pas. tènez... Herr Chevrozer inzpecda les papiers et fis que alles édait en rèkle. Il lui temanta ce gu'elle fezait doute zeule in der forst. Le klein Mataharon Rot lui tit gu'elle allait chez zon grand-Vateter barzegu'il était mallate. Le Chevrozer lui tit enfin: "Gu'est-ce gu'il y a in ton banier?" Das Mataharon lui tit gue z'était de ponne choügroute mit ein bier für son Grosser-père. Her Chevrozer lui tit te condinuer zon cheumin... Le grand méchant Chevrozer brit za Mercedes à kompressor et gonsultat zon G.P.S. bour zafoir ou édait la haus tu Grobervater. Il fonza auf der autobanh pour aller le blus fite pozible chez la Vatergrober. Der petit Rot Mataharon arrifa unt tira zur la bobinette (was ist das ?) et la borte s'oufrit. Elle monda in der kamer unt troufa zon grosservater in son lit. Ach zo, was ist das ? Ar ja... Der kleine Mataharon Rot temanta à zon gaztor lapon de vatergrosser bourquoi il afait te la parpe, ein imberméaple noir unt un bafoir péliquant. Le Chevrozer lui dit: " Fien kinder, n'aie bas beur, abroche, zi chai ze tablier z'est barzegue je fais te mancher, mein klein kind!" Der chèvre ze jeta zur le bedit Mataharon Rouge unt l'afalla en endier. Pour faire basser le dout, Chevro but ein gross Bittburgerbier et mancha la jougroüte. Mais il affala un bretzel te drafer z'étrangla. Il fômit der Kleine Rotkäppechen gui bartit à doute videsse mit der Mercedes von Herr Chevrozer. Her Chevrozer mourut édranglé bar zon bretzel unt der Kleine Rotkäppechen ze tua mit der Mercedes qui afait un graffe bropleme de gonstruction. Ze qui n'arrife chamais en demps normal." Grabeuh le protoss, conteur de son état, qui semble avoir été faire un tour dans le stock de joints de Gig'iman. (betde prézizion : l'histoire en elle même n'est pas de moi, je n'ai fait que la modifier un peu pour rajouter des détails, mais je me suis tellement marré en la lisant que je ne pouvais que vous en faire profiter, revisitée à la sauce Origine) | ||
Mata Hari Réputation à la taverne : 577 09/08 ETU 11:23 | Score : 0 Détails Pliée, je suis ;)
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Grabeuh Réputation à la taverne : 1675 05/09 ETU 17:21 | Score : 5 Détails Grabeuh entre dans sa pièce réservée aux contes. Elle est pleine de poussière et de toiles d'araignées depuis le temps qu'il n'y a pas mis les pieds, trop occupé par d'autres affaires.
Après un rapide coup de balais et d'aspirateur, la salle parait propre, il fait entrer des personnes et commencer à raconter son histoire. "Aujourd'hui, j'ai immensément immense honneur de vous présenter la nouvelle collection Automne/Hiver de contes Made In Grabeuh. Je commencerai par la tristement célèbre histoire du commandant Mablane. Il était très petit, alors tout le monde l'appellait le Petit Mablanet. Il avait six frères et était né de parents pauvres. Ceux-ci, qui croulaient sous les dettes depuis qu'ils avaient acheté un croiseur hyper-atomique neuf, à crédit à la Caïman Holding, ne pouvaient plus nourrir leur famille. Ils décidèrent donc d'aller perdre leurs enfants dans le vide cosmique, étant donné qu'ils n'avaient pas l'âge légal leur permettant d'aller travailler et de rammener un salaire, qui aurait permis aux parents de repartir, mais comme ils tournaient depuis cinq ans au RMI, c'était pas si facile. Ils en discutèrent la veille après avoir envoyé leurs enfants se coucher. Mais le Petit Mablanet ne dormait pas, et entendit tout la conversation. Le lendemain, il chargea des balises dans les soutes du vaisseau de ses parents et reprogramma les portes des soutes pour qu'elles laissent tomber une balise à intervalle régulier. Ses frères, totalement crétins, n'auraient jamais pensé à pareil statagème... Les parents les ammenèrent dans leur vaisseau et les larguèrent non loin de la bordure extérieur, là où personne ne les trouverait... Ils partirent alors et rentrèrent chez eux. Mais grâce à l'astuce de Mablane, les sept enfants purent retrouver leur chemin. Et les parents, les voyant arriver, firent une commande massive d'anxiolitiques à la pharmacie du coin pour éviter de tomber en dépression. Quelques temps plus tard, les parents retentèrent le coup. Mais Mablane n'eut pas le temps de récupérer des balises, il ne pu placer que des petits astéroïdes dans les soutes. Et comme rien ne ressemble plus à un astéroïde qu'un autre astéroïde, lorsqu'ils tentèrent de retrouver leur chemin, ils se perdirent dans l'immensité du vide spatial. C'est alors qu'ils virent une planète habitée. Ils se posèrent et demandèrent à être mené au palais du comandant. Il se nommait Eiganjo et avait Sept filles, du même age que les sept frères. Mais, Aiganjo avait un petit soucis, il était cannibale et jubilait : il venait de trouver son repas pour le lendemain : les sept jeunes hommes dans la force de l'age. Il avait aussi un appareil très rapide : le Kamikaze de sept lieues, qui lui permettait de se déplacer très vite. Il fit mettre Mablane et ses frères dans la même chambre que ses filles (des fois qu'ils fassent des petits, ca ferait les amuse gueule... hum, des foetus au vinaigre...) et ferma la porte à clé, fit mettre des barreaux aux fenètres et mit une dizaine de gardes devant la porte. Mablane eut alors une idée génialissime ! Il prit un gros gourdin et assoma les filles d'Eiganjo. Après avoir partiqué un peu de chirurgie plastique sur les sept jeunes filles et avoir greffé à ses frères les apendices mammaires qu'il venait de retirer aux jeunes filles assommées, il leur subtilisa leurs vêtements et les déguisa en hommes. L'illusion était parfaite... Le lendemain, Eignajo mangea ses propres filles, les sept fères volèrent le Kamikaze de Sept Lieues et Eiganjo prit de folie après s'être rendu compte de ce qu'il avait fait, se fracassa le crane contre un mur. On put lire le lendemain dans les journeaux de Newdeun : Faits divers : Sept transexuels mineurs retrouvés morts dans un accident de kamikaze. Le véhicule, volé, appartenait à un homme, lui aussi retrouvé mort, la tête explosée contre un mur, avec sept cadavres de jeunes filles mutilées dans son congélateur. La police tente de faire le lien entre ces affaires. Les parents des sept transsexuels ont été placés en garde à vue, pour maltraitance morale sur leurs enfants. Moralité : Y en a pas, la vie est crade, c'est tout..." | ||
Grabeuh Réputation à la taverne : 1675 09/09 ETU 03:34 | Score : 4 Détails Aujourd'hui, nous vous présentons la dernière pièce à la mode de William Shakespeare (prononcer Viliam "Cha-ke-ce-péar") : Rototo et Paulette, une fantastique histoire d'amour entre une serveuse et un ivrogne.
Il était uen fois un ivrogne qui rotait tellement fort qu'on l'avait surnommé Rototo. Il passait ses journées dans un bar nommé le "Véronne", situé à quelques pas de l'Izakaya, qui proposait les plus bas prix d'alcool de tout Newdéun (ce qui lui avait valu d'être incendié plusieurs fois par les mafias locales). Dans ce bar vivait aussi une jeune serveuse, Paulette, dont le père était le barman. Rototo et elle filaient le parfait amour, mais devaient se cacher. Le père de Rototo était banquier et refusait que son fils aille passer ses journées à se torcher la gueule, et le père de Paulette en avait marre de ramasser le vomi de cet ivrogne ignoble. Mais Paulette aimait la grosse bosse dans le pantalon de Rototo, et Rototo aimait la bière que servait Paulette. Un soir, alors que la nuit tombait, Rototo vint au balcon de Paulette pour lui proposer de s'enfuir avec elle, pour vivre paisiblement leur amour dans l'alcool et la débauche sans devoir subir les attaques incessantes de leurs belles-familles respectives. Paulette parla alors "Rototo, oh Rototo, pourquoi es-tu Rototo ? Pourquoi n'es-tu pas moins alcoolique ? Mon père ne verrait alors aucune objection à notre amour !" Sur-ce, elle fait son sac (qu'elle remplis de tout pleins d'accessoires plutôt étranges destinés à de folles nuits d'amour, ainsi qu'une bouteille de champagne, pour faire plus romantique) et saute par la fenêtre. Elle atterit dans les bras de son Rototo. "Paulette, Paulette, tu es la reine des paupi... euh non, Paulette tu es si belle ! Fuyons, partons loin de cette endroit sinistre (une petite ruelle nommée "rue du coupe-gorge", c'est toujours acceuillant...) et menons une vie comme nous avons toujours eu envie de la vivre ! Burp ! -Charmant... Enfin, j'ai mon matos SM, on va pouvoir faire des folies ce soir ! Et j'ai du champagne... -Ca tombe bien, il fait soif, ce soir..." Sur ce, ils partirent dans la campagne. Le lendemain, leurs parents respectifs remarquèrent leur absence, surtout ceux de Paulette dont le fouet et le string en cuir avait disparu... Le père de Rototo intenta un procès aux parents de Paulette pour détournement de mineur, mais l'avocat du barman fit remarquer aux jurés que Rototo avait 28 ans... Avocat, qui prit bien sûr des honoraires assez gras... Pendant ce temps, Paulette regarda la retransmission en direct du procès et vit à quel point leurs parents pouvaient s'entre-déchirer pour des broutilles. "J'ai une idée ! Je vais faire croire que je suis morte, comme ça, ils vont partir en depression, et lorsque je me réveillerai, ils seront tellement content qu'ils me passeront tous mes caprices !" Elle repartit alors pour la capitale, s'installa en place publique, et goba une boite entière de somnifères. (Gloup) Rototo, inquiet de ne plus voir sa douce (et surtout parce que c'était elle qui avait la clé des menotes et de la ceinture de chasteté) partit à sa recherche, après s'être habillé tant bien que mal. Lorsqu'il arriva à la capitale, il fut accosté par des policiers. Ceux ci lui demandèrent de venir identifier un corps à la morgue. Une fois là bas, il reconnut le string en cuir de sa douce. Mais, ne la voyant pas bouger, il du plonger la main dans son soutien gorge pour aller chercher les clés... Après s'être libéré, il retourna voir le corps, et n'arrivant pas à en croire ses yeux, il prit le premier scalpel qu'il trouva et se le planta en pleine poitrine. Au moins, les médecins légistes n'eurent pas de soucis pour déterminer l'heure de la mort... Lorsqu'elle se réveilla, Paulette vit le corps ensanglanté de Rototo, prit un autre scalpel (celui de rototo avait été mis à la poubelle, pour éviter des problèmes de contamination du sang, avec le sida et tout ca, on est jamais trop prudent) et se le planta elle aussi dans la poitrine. Elle mourru quelques heures plus tard, dans d'atroces souffrances, suite à une réaction allergique au silicone qui avait coulé de sa prothèse mammaire percée par la lame du scalpel. Les parents de Paulette reçurent des primes d'assurance vie faramineuse pour la mort de leur enfant mais se virent couper les allocs. De son côté, le père de Rototo devint alcoolique et finit ses jours à boire au bar "Le Véronne", pendant que la mère de paulette servait les clients dans son string en cuir. Moralité : gardez toujours un double des clés quand vous faites de soirées SM un peu arrosées. | ||
ocean Réputation à la taverne : 708 09/09 ETU 08:44 | Score : 0 Détails Maitre Grabeuh
Je ne venais pas souvent trainer en cet antre des contes Mais bien m'en a pris Je deveindrais un de vos lecteurs assidus Et vous méritez bien le titre de Maître Franchement, c'est marrant et de bon goût | ||
Grabeuh Réputation à la taverne : 1675 10/09 ETU 01:53 | Score : 2 Détails Si vous vous marrez autant à les lire que je me marre à les faire, alors ma mission est accomplie !
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Grabeuh Réputation à la taverne : 1675 02/10 ETU 21:41 | Score : 2 Détails Collection automne hivers : l'histoire de Cassandrillon.
Il était une fois une jeune un beau jeune homme et une belle jeune femme. Jusque là, rien d'extraordinaire, tous les contes à quelques exeptions près commencent comme ça. La seule différence, c'est que cette fois ci, le charmant jeune homme et la belle jeune femme eurent un enfant. Une fille pous être précis. Ils l'appellèrent Cassandra. Sa mère mourrut dans d'atroces conditions, écrasée alors qu'une déesse blonde venait de rater un virage en épingle. Enfin, bon, la vie est ce qu'elle est, son père se remaria. Il épousa malheureusement une vieille femme qui avait eu deux filles lors de son premier mariage. Plus la vie allait, plus les trois femmes le ruinaient. Cassandra, quant à elle, était traitée comme une chienne. Ils l'obligeait à dormir vers la cheminée, la surnommant Cassandrillon. Un soir, le prince Eras Del Sol'Enys donna un grand bal à son chateau pour se trouver une compagne. Toutes les demoiselles du royaume étaient invitées. Les deux belles soeurs et leur mère se mirent sur leur 31, tout ce qui pouvait être fait pour aguicher l'oeil. Rien à faire du racollage passif ! Maquillage, string qui dépasse, bas résille, cuissardes, la totale quoi ! Par contre Cassandrillon fut enfermée dans le cellier, car elle était quand même sacrément plus sexy que les trois thons qui lui servaient de famille adoptive, et elle risquait de leur faire de l'ombre si jamais elle se présentait devant Eras. Mais la bonne fée Chiana, un peu bourrée mais bonne quand même apparut. "Salut ma poulette ! Hips ! T'es pas invitée à la petite sauterie de ce soir ? T'as vraiment pas pot... Burp !" Un coup, deux coups, trois coups de baguette magique et voilà que les vêtements de Cassandrillon se changent en robe de soirée dorée, avec un collier en perle que même L'Angelo il peut pas se le payer ! "Euh, bonne fée... -App... Appelles moi Chiana ! -Donc, Chiana, je n'ai pas de moyen de me rendre au bal... -Pas grave ! On va arranger ça ! Hips ! " Un coup, deux coups, trois coups de baguette magique et la citrouille que la famille gardait pour Halloween se transforme en Ferrari Enzo flambant neuve. "Fais gaffe quand même, j'ai pas fini de payer le crédit... T'as le permis au moins ? -Oui, encore heureux... Par contre... J'ai un petit soucis d'odre hygiénique. J'ai mes... et j'ai pas de... -No problemo, faut pas t'en faire pour ça." Un coup, deux coups, trois coups de baguette magique et la deuxième citrouille (celle de secours) se change en tampax. "Tiens. Par contre, attention, je suis bourrée, et ma magie n'est efficace que quand je suis vaseuse... Fais gaffe, vers minuit, j'aurais cuvé... Hips ! Sois rentrée chez toi, sinon, tu rentreras à patte, avec tes vieilles fringues, et j'ose à peine imaginer si ton tampax fait "PAF ! CITROUILLE !" Tu vas atteindre le Nirvana en quelques minutes avec ça ma petite loutre qui valait 3 milliards... -Merci ! -De rien, et vive l'eau fera... fero... l'eau ferugineuse !" Cassandrillon va au bal, drague bien le prince toute la soirée et au moment où elle se dit "je sens que j'vais conclure..." : BONG ! Premier coup de minuit. Elle lache Eras qui l'étreignait tendrement, lequel se retrouve le nez sur le béton, puis se met à courir en direction de sa Ferrari. Manque de pot, elle s'était garée devant une sortie de pompiers, la voiture avait été mise en fourirère. BONG ! Deuxième coup. Elle attrape le premier taxi, et arrive à rentrer chez elle. entre temps, le huitième coup vient de résonner. Elle enlève tous ses vêtements, prends une douche, appèle la fourrière pour arranger l'histoire, la croyant folle, ils lui racrochent au nez. Onzième coup de minuit. Cassandrillon réfléchit : "Je crois que j'ai oublié quelque chose, mais je sais pas quoi..." BONG ! Citrouille. | ||
Grabeuh Réputation à la taverne : 1675 05/10 ETU 16:45 | Score : 0 Détails A partir de maintenant, nouveau fonctionnement, vous me proposez les contes, et je tente une adaptation. (des contes connus SVP, mes souvenirs d'enfance sont assez lointains... Parce que là, j'ai parfois une idée de génie, mais je suis un peu à sec en ce moment)
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ocean Réputation à la taverne : 708 05/10 ETU 18:54 | Score : 0 Détails Blanche Neige et les Sept Nains pourrait devenir
Rouge Janus et les Sept Seins Rouge Janus et les Sept Mains | ||
Grabeuh Réputation à la taverne : 1675 05/10 ETU 18:57 | Score : 0 Détails Exellentissiment exellente idée ! Preparez vous, Rouge Janus et les sept seins va bientot arriver sur vos écrans !
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Grabeuh Réputation à la taverne : 1675 29/01 ETU 02:16 | Score : 1 Détails Touss Touss...
Whaou pétard ! Que c'est vieux ce truc... Jamais vu autant de poussière de toute ma vie... Grabeuh, dans son célèbre costume de spéléologue venait de retrouver sa taverne de contes. Elle n'avait pas été touchée, et telle le chateau de l'Herbert au bois dormant, le temps y avait été figé. C'est moi qui avais lancé ce truc ? Je m'en souvenais même pas, voyez vous... Alors... J'avais fait quoi comme contes ? Tout ça ? Whaou... Alzheimer a vraiment fait des dégats terribles sur mon pauvre cerveau de dégénéré mental... Je racontais des histoires ? J'ai fait ça moi ? Ben bien sur que oui ! Et je me demande encore pourquoi je n'ai pas continué ! Grabeuh le grand est de retour ! Mwhahahahahahaha ! Il était une fois... Ecriture en cours, je viens de retrouver l'inspirante inspiration ! Ca sera fini demain en début de soirée, je pense | ||
Grabeuh Réputation à la taverne : 1675 29/01 ETU 02:21 | Score : 1 Détails Touss Touss...
Whaou pétard ! Que c'est vieux ce truc... Jamais vu autant de poussière de toute ma vie... Grabeuh, dans son célèbre costume de spéléologue venait de retrouver sa taverne de contes. Elle n'avait pas été touchée, et telle le chateau de l'Herbert au bois dormant, le temps y avait été figé. C'est moi qui avais lancé ce truc ? Je m'en souvenais même pas, voyez vous... Alors... J'avais fait quoi comme contes ? Tout ça ? Whaou... Alzheimer a vraiment fait des dégats terribles sur mon pauvre cerveau de dégénéré mental... Je racontais des histoires ? J'ai fait ça moi ? Ben bien sur que oui ! Et je me demande encore pourquoi je n'ai pas continué ! Il est temps de ratraper le temps perdu ! Il était une fois... Ecriture en cours, je viens de retrouver l'inspirante inspiration ! Ca sera fini demain en début de soirée, je pense |
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