Forums galactiques > Taverne galactique : lieu de discussion informel > les poëtes.....
Trop! | 7 | |
Ouais! | 7 | |
je n'en sais rien! | 4 | |
Boof boof! | 6 | |
Trop nul! | 12 | |
Total : 36 vote(s) |
Mendax Réputation à la taverne : 201 04/03 ETU 16:41 | Score : 5 Détails Il existe les peintres, les musiciens, les sculpteurs...et les poëtes
Ces être sensibles qui ont pour don de savoir jouer sur les mots il y en a t-il parmis vous, tel est la question ? ____________________________________________________________ On aime, que ce que l’on a. Moi je t'aime et pourtant je ne t'ai pas. J'en vois 100 J'en connais 10 J'en aime 1 (une) Registre de drague du Commandant Mendax | ||
Mendax Réputation à la taverne : 201 04/03 ETU 17:12 | Score : 0 Détails Ceci est un topic ou tout commandants peut nous dire(ecrir)un poème.
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Mendax Réputation à la taverne : 201 04/03 ETU 19:23 | Score : 0 Détails Laissez couler!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!
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Grabeuh Réputation à la taverne : 1675 04/03 ETU 20:56 | Score : 2 Détails Pouet
vu le niveau, je ne pouvais pas mieux... | ||
FLAMUS NIARK Réputation à la taverne : 25 04/03 ETU 21:03 | Score : 0 Détails Un cri d'espoir d'un poéte...
Au d'espoir ... Cette idée de poète va finir dans l'infini noir Ne là jeter pas à la corbeille car celle ci est peut être une idée qui sera une merveille. Alors prenez un stylo Et au milieu de jeter cette idée à l'eau Écrivez ,écrivez Autant que vous le pouvez... hrp/ Je suis l'auteur du musée des poèmes en g2,donc vous comprendrez que je suis d'accord pour cette idée de poéme... /hrp | ||
Estrielle Réputation à la taverne : 157 04/03 ETU 21:04 | Score : 5 Détails L'Ombre
Comme prise au piège De la Glace, Je ne peux plus Refaire surface... L'ombre où je rêve D'étoiles N'est jamais que nuit. L'ombre où je crève Dévoile Pour voler le cri. Comme mise En chaînes Dans ce gouffre, Je ne peux plus Reprendre mon souffle... L'ombre où je rêve D'étoiles N'est jamais que nuit. L'ombre où je crève Dévoile Pour voler le cri. Prison de verre, Sombre et froide, Où mon pan de rêve Vole en éclats. L'ombre où je rêve D'étoiles N'est jamais que nuit. L'ombre où je crève Dévoile Pour voler le cri. Profitez de cet endroit pour vos poèsies. | ||
Araskel Réputation à la taverne : 396 04/03 ETU 21:12 | Score : 0 Détails "Autorisation aux paroles de chansons? (de notre creation evidemment)
Merveilleuse idée que cette salle! bonne continuation!" | ||
FOU Réputation à la taverne : 70 04/03 ETU 21:15 | Score : 4 Détails poètes, pas poëtes...
Et pour les points de suspensions, trois suffisent amplement... les services du FOU vous souhaitent une agréable journée | ||
Mendax Réputation à la taverne : 201 05/03 ETU 19:03 | Score : 1 Détails Merci à vous Commandants et Commandantes de préserver ce topic.
J’en suis touché. ____________________________________________________________ Je pense à toi, où que tu sois. Que nos soucis s’envolent et que nos cœurs fusionnent. Le moment est venu de réaliser ce vœu. Et qui sait ? L’aventure ne sera peut-être pas si périlleuse. Sans doute a-t-elle déjà commencé. Nous ne vivons pas dans le même monde, Mais nous sommes sous le même ciel. Un seul ciel, une seule destinée. ____________________________________________________________ MENDAX...................... | ||
Deepsnow Réputation à la taverne : 62 25/03 ETU 19:59 | Score : 0 Détails Un Homme ...
Il ne faut pas grand chose pour faire un être humain, quelques kilos de viande, quelques litres de sang, une pompe et des tuyaux, des trucs et des machins, une âme et une conscience, même pour les plus méchants. Il ne faut pas grand chose pour faire un être humain, carbone et oxygène, hydrogène et azote, malgré ce qu'on prétend, ça n'a rien de divin, ce sont les éléments qui constituent la crotte ! Il ne faut pas grand chose pour faire un être humain, quelques gouttes de feu de deux corps qui se donnent, mais le plus difficile, est heureux qui parvient à trouver toutes ces choses qui en feront un Homme ! Il n'est bien entendu pas de moi...mais je le trouve magnifique donc... | ||
ash Réputation à la taverne : 165 25/03 ETU 21:07 | Score : 0 Détails Je dis : océan.
Je dis vaste étendue d'eau Royalement, rayonnant le soleil Sur ce désert aquatique beau. Je dis : océan, Renfermant sous quelques lieux De magnifiques trésors Tels que poissons, coquillage dans ce milieu Où règne la loi du plus fort. Je dis : océan, Sable bleu à perte de vue Où aucune maison, aucun bâtiment N'est là pour vous gâcher la vue Etendue de liberté, de tranquilité absolue. Je dis : océan, Et par delà votre toit Vous verrez toujours un petit bout de ça. L'océan, où beau temps et tempêtes se disputent Pour avoir la place du roi régnant sur cette vaste étendue d'eau. | ||
Lotto Réputation à la taverne : 46 27/03 ETU 02:09 | Score : 1 Détails mes pieds se sont blessés au fil de chaque pierre
du chemin qui n'allait nulle part sous mon pas en vain j'aurai porté la croix du quotidien humain calvaire qu'importent désormais les saisons sans pavois Printemps,Eté,Automne,Hiver l'abîme suspendu sur notre heure plénière? Tout s'efface sans un mot,sans une voix pour laisser place à nos âmes solitaires des couleurs et des mots du décor d'autrefois? Voici luire déjà l'éternelle lumière. Mes yeux n'ont retenu ni le ciel ni la plage ni la plaine où sont ancrés comme au repos les blancs villages ni les chemins qui vont au loin du paysage ni les fleurs ni les fruits le sons et les images. Il ne me reste que ce corps dépourvu que ces mains vides,que ces yeux dépouillés de tout ce qu'ils ont vu Nos regards encore une fois s'entrecroiseront en vain nous referons alors la terre et la mer et le ciel pour pouvoir être nous-mêmes enfin du reflet de nos rêves éternels. | ||
lara Réputation à la taverne : 87 27/03 ETU 10:45 | Score : 4 Détails Une odeur de souffre me brûle les narines
Tandis que pas à pas j’avance dans la grotte ; Tapie dans sa tanière attend, bête maligne, Le Dragon noir ardent. Personne ne s’y frotte. Bête immonde oubliée par la Mère Nature De l’époque où, sauvage, elle avait enfanté Le règne monstrueux pour se débarrasser De l’ancien Cauchemar, pour que sa vie future Soit ainsi purifiée, au Rêve consacrée. Pourquoi suis-je un héros ? Pourquoi donc mon courage M’oblige à supporter cette si lourde charge De voler au secours de tous les opprimés ? Je ne dois pas faiblir, je ne dois pas penser Au doute qui en moi voudrait s’insinuer. Fixant mon attention sur l’idée de victoire, Je brandis mon épée qui reluit dans le noir, Car avançant toujours, je m’éloigne du jour, La pénombre m’entoure effaçant les contours De la grotte, des murs, des pierres à mes pieds ; Je fais bien attention de ne pas trébucher. Le souffle rauque augmente en volume et en force, Je perçois, martelant, un bruit qui retentit : Ce sont les battements d’un cœur qui se réjouit. Je ne peux pas dire s’il résonne en mon torse Ou si c’est le dragon, qui malgré ma prudence, Se prépare à contrer mon entrée dans son antre. Je vois une lueur, me guidant dans l’errance. Devant moi, une masse arrondie comme un ventre M’empêche d’avancer ; en suivant son contour Je rejoins la lueur. Amplifié par l’écho, Le souffle du dragon semble venir d’en haut, D’en bas et des côtés, de tout ce qui m’entoure. Je commence à suer, cerné par la chaleur. La bête serait-elle en train de s’approcher ? Un frisson me parcourt. La lueur a bougé ! Jusque-là négligé par mes yeux fureteurs, Par un regard discret, j’essaie d’analyser Ce qui luit dans le noir : une sorte de globe, De perle laiteuse qui un onyx englobe. Cette pierre est dotée d’une telle beauté Qu’elle semble animée d’une sorte de vie. Comment ? Quoi ? Impossible ! Est-ce donc la folie Qui suinte dans ce lieu qui me trouble la vue ? Mes incertitudes maintenant ne sont plus. Cette perle noire m’observe sans émoi, Ce n’est pas un caillou ! Du dragon voici l’œil ! S’est-il donc aperçu, sorti de son sommeil, Que je l’ai découvert prêt à bondir sur moi ? Me tournant lentement, je fais face à sa gueule, Du moins je le pense car le sombre est profond, Feignant de regarder un détail au plafond Car je n’ose échanger ne serait-ce un coup d’œil Par peur de déclencher l’attaque de ce monstre. Mais son simple regard fait trembler tous mes membres. “Face à cette tension, de courage fais montre !” Il me faut donc agir avant qu’il me démembre. Ce cri déchirant l’air est-il sorti de moi ? Je ne sais, mais je fonce à présent devant moi, Mon épée dans mes mains tenue bien fermement, Tandis que le dragon poussant un hurlement Déverse un ouragan de flammes déchaînées. L’espace d’un instant la salle est éclairée, Et dans son œil cruel sur lequel je me jette, J’aperçois mon reflet, mais la scène m’inquiète : Les flammes sur le mur rebondissent vers moi, La fournaise en mon dos fait fondre mon armure Alors que je transperce enfin la créature. Et le sang qui jaillit se déverse sur moi Eteignant donc le feu qui attaquait mon corps. Je me tiens cramponné à l’épée enfoncée, Plantée jusqu’à la garde en cet œil apeuré, Tandis que le dragon, dans un dernier effort, Soulève haut sa tête et la porte en tous sens, Essayant vainement de se débarrasser De moi et mon épée, de me déchiqueter Des ses puissantes dents dont la rage est l’essence. Bien perché sur son crâne, une main sur l’épée, L’autre sur la paupière essayant de fermer Cette plaie béante, je l’empêche d’agir, J’ai envie sans cesse de voir son sang jaillir. Mais d’un vif soubresaut me voici projeté Avec force au plafond, et le choc métallique Très douloureusement m’informe du tragique Etat de mon armure qui est bien esquintée. Puis lourdement je tombe assommé sur le sol, Mais la bête, elle aussi, maintenant épuisée Dans un dernier soupir se met à chanceler. Je la vois s’écrouler, vers moi, la tête molle La nuit est revenue car plus aucune flamme N’éclaire le dragon. A-t-il donc rendu l’âme ? Je me lève boitant et cherche de mes mains, Tâtonnant dans le noir, pour sortir, le chemin. Or, du bout de mes doigts, je détecte la garde De ma fidèle épée. J’essaie de la reprendre Mais elle ne vient pas, qu’est-ce donc qui la garde ? Si c’est un gros rocher, je me dois de le fendre. Les deux mains sur la garde et le pied appuyé Afin de déployer au mieux toute ma force, Voici qu’en plein effort mon geste est arrêté Par un affreux doute qu’en un instant renforce L’odeur de ce souffle qui empeste le souffre. Par sa ténacité, l’épée est demeurée Dans la chair du dragon, et par mon geste il souffre. Son instinct de survie ranime sa fierté, Et d’un coup je comprends qu’il donnera sa vie, Du moins ce qu’il en reste, afin de m’en priver Moi aussi pour toujours. Groupant ses énergies Pour un dernier assaut, il va se relever. Oui, enfin ! Sa paupière un instant se relâche. Finissant mon action, je brandis haut ma lame Décidé fermement à défendre mon âme. Aurais-je pu savoir que je combats un lâche ? Au lieu de m’attaquer en gardant sa noblesse, Il se jette sur moi, exploitant ma faiblesse. Je plante mon épée en plein dans son poitrail Mais ne peut supporter, inégale bataille, Sa masse de géant m’écrasant sans pitié. C’est encore l’épée qui me laisse un répit : Se bloquant à la garde, elle laisse, réduit, Un tout petit espace où je peux respirer. L’enfant du cauchemar rend son dernier soupir. Collé près de son cœur, j’entends les battements Dans sa poitrine exsangue allant s’amenuisant. Sous ce poids effarant vais-je aussi donc mourir ? Mes jambes sont bloquées, et mon corps tout entier Commence à s’engourdir. Mais j’ai la sensation Que le poids du dragon semble diminuer, Sinon est-ce mon corps qui perd ses perceptions Par sa résignation devant la mort si proche ? Non, je ne rêve pas, en plus de s’alléger La forme du dragon est en train de changer Et de se rétrécir jusqu’à devenir proche De celle d’un humain tandis que de son front Orienté vers le sol se dégage, écarlate, Une lumière vive ; en sa présence éclate Répandu au combat, le sang noir du dragon Prenant donc la teinte de notre sang humain Mais exhalant la mort, non la vitalité. Je pousse de mes bras ce cadavre allongé Libérant donc mon corps de ce monstre défunt. Sa tête retournée me montre enfin sa face. Mon regard ébloui peu à peu s’habitue A ce rayonnement, à ce rouge tenace. Ce visage est vide, de regard il n’a plus. La force de ses traits contraste violemment Avec l’obscurité de ses orbites vides. La pierre sur son front, joyaux éblouissant, Semble être pour mes mains un stimulant avide Car sans les contrôler, je les vois se saisir Du fascinant rubis qui de sa volonté Du front de son porteur tout seul s’est détaché. Un frisson me parcourt et je me sens partir Vers un obscur abîme où mon être en entier Se voit précipiter, tandis qu’en vain je lutte Contre ma propre main qui cherche à m’incruster Le rubis en plein front, mais je sais que ma chute Est inévitable, car en moi je désire Explorer l’infini, cette porte béante, Qui s’ouvre devant moi, et malgré ma méfiance Je ne peux résister à ce que veut m’offrir Cette pierre maudite altérant de son chant Et mes capacités, et mon raisonnement. Avec force, elle pénètre en ma chair, me meurtrie. Oui, mais cette douleur bientôt s’évanouit Comparée à l’ardeur de cette punition Qui réduit mon orgueil de m’être cru capable De prendre l’infini comme ma possession Et m’envoie des tourments d’une haine implacable. Me tordant de douleur sous le flot des images Et de ces sensations morbides et impies, Je comprends, mais trop tard, que la terreur sans âge, Que l’ancien Cauchemar peu à peu m’envahit, Peu à peu m’asservit et qu’il prendra mon corps Pour s’exprimer encore et transformer la vie, Que le Rêve divin en nous tous a transmis Et dans mon être aussi, en porteuse de mort. Je saisis maintenant pourquoi le corrompu Qui déjà, avant moi, s’était cru bien malin N’avait plus ses deux yeux sur son cadavre nu : Il les avait lui-même arrachés de ses mains Pour tenter d’échapper aux visions infernales Qui me poussent aussi à souhaiter la folie. J’attrape mon épée avec beaucoup de mal, Puisant dans mon esprit toutes les énergies Que le mal en mon front a encore épargnées, Mais pour si peu de temps que je les sens déjà Pour toujours me quitter. Je dois me dépêcher D’en finir avec lui, de causer mon trépas. Je ne laisserais pas mon âme être enfermée Par cette infâme vie toute l’éternité. Mieux vaut que je me tue, je ferais prisonnier En moi le cauchemar, l’empêchant de tuer Les êtres innocents. Je dois les protéger ! Je suis venu pour ça ! Je vais me sacrifier ! Mais voici que j’entends de la pierre le chant Me montrant le pouvoir que j’obtiendrais séant Quand j’aurai accepté ce cadeau ténébreux. Un tel élan en moi me pousse à accepter De jouir de ce pêché que j’en suis horrifié, Je supplie de tout cœur, demandant aide au Dieu Qui créa l’univers de son Rêve enchanté, De m’offrir la force d’en finir par l’épée, De maudire ma vie et de la sacrifier. Et d’un coup en plein cœur, me voici libéré. Je me vois tout en bas, mais ce n’est que mon corps Que je viens d’achever. Maintenant pur esprit, Je m’envole bien haut, vers un autre infini Opposé au néant que je laisse en mon corps, Priant que personne jamais ne le retrouve, Pour qu’il reste enfermé dans la grotte à jamais. Maintenant devant moi, une autre mission s’ouvre A mon regard nouveau. Emu comme jamais Par mon sacrifice, le Rêve en lui m’invite Pour que je participe à l’universel rite, Travaillant les âmes des êtres préparés, Pour qu’ainsi le Rêve continue de créer, De se réaliser pour que finalement Il soit aussi parfait que l’est le firmament. | ||
Dr.Jackail Réputation à la taverne : 3 27/03 ETU 11:03 | Score : 1 Détails Naturelle nature,
Qu'un vent embrase, Belle anarchie de couleurs, Au milieu d'un océan de sens et de logique; Embrun sur ton visage, Grâce de l'âme, Magie de la beauté et de la nature; Quand une angélique diablesse vint a passer... Les deux yeux bleus de l'amoureux, Suivent d'un regard doucereux, La belle aux yeux verts, Qui n'en à ,biensur, que faire; Papillons bleues et colombes de flammes ne seront jamais heureux. . . | ||
Estrielle Réputation à la taverne : 157 29/03 ETU 20:57 | Score : 3 Détails Le Vide
J'ai longtemps souffert en silence Un poids trop lourd... Hantée jusqu'à mon inconscience Depuis toujours... Oublier. Me perdre. Me jeter... Dans le vide... Qui m'arrachera au côté sombre Qui tue mon être ? Qui me sauvera avant la tombe, La mort qui guette ? Me jeter... Me perdre... Oubliée... Dans le vide... | ||
Solmyr Réputation à la taverne : 88 29/03 ETU 21:34 | Score : 1 Détails
Si, dans le vide, T'y jeter tu venais Alors mon corps aussi rapide En ailes, sur ton dos, se transformerait Ô Myriade inconsolante Dont l'éclat doré Dont l'être aimé M'attire, Nymphe ennivrante Quel Génie suis-je? Tes souhaits, je veux te les exhausser Je veux mais ne puis-je veux-tu m'aier? Ô Myriade inconsolante Dont l'éclat doré Dont l'être aimé M'attire, Nymphe ennivrante Si tu veux poursuivre dans le vide, Je ne pourrais pas lutter Mais moi, je veux t'aimer, te sauver Alors laisse moi être ton guide! | ||
lara Réputation à la taverne : 87 29/03 ETU 22:18 | Score : 4 Détails Le coucher du soleil attiré par l'horizon
S'enfonce dans cet océan de trahison Des reflets d'amour tentent d'échapper A une houle obscurcie par une nuit d'été Un clair de lune vacille, nonchalant Sur cette étendue d'eau, opalescence A même mon regard, une délivrance Comme la lueur d'un phare culminant L'essence maritime à l'écume blanchâtre M'effleure le visage sans expression, avide Humecté par une brume fraîche, de plâtre Masquant une peine aussi profonde que le vide La symphonie des vagues recouvrant le sable Débusque des mélodies aux notes admirables Bercant quelques souvenirs qui dérivent Vers une âme claire qui m'enivre... | ||
Glokzy Zounourss Réputation à la taverne : 228 29/03 ETU 22:50 | Score : 2 Détails Quand, malgré le whisky
De cette après-midi, De l’inspiration je fais fi Un petit poème j’écris. L’alcool n'aide pas à raisonner Mais il donne du temps, Car à force d’aller uriner Pour réfléchir on a du temps. Au pire, le whisky et les résilles Rendent désirable Pauline Qui, malgré ses répugnantes guenilles, Mériterait que je la pine. Version revue et plus nulle d'un truc trouvé sur un blauguish elder. | ||
Valentino Falciore Réputation à la taverne : 103 29/03 ETU 22:58 | Score : 1 Détails Le poème est l'amour réalisé du désir demeuré désir.
comprenne qui pourra. Je ne m'attends pas à ce que beaucoup comprennent d'ailleurs... Et allez, pour les puristes pour qui l'aphorisme n'est pas un poème: le sang coule de tes lèvres abreuve toi douce goule de ce nectar divin essence de plaisir et de la vie maudite a jamais tu deviendra viens a moi douce enfant de mon étreinte ressent la jouissance de notre race de la nuit fait ton domaine et de la mort ta maîtresse amuse toi du temps et des époques amour sanglant partagons ma mie l'éternité qui s'offre a nous goûtons le plaisir du sang | ||
Solmyr Réputation à la taverne : 88 29/03 ETU 23:04 | Score : 2 Détails Glokzy
Rime certes avec Whisky Mais la rime Cher ami Avec Pauline Me déprime J'aurai choisi Ô la Coquine Ou pour être impudique Tu la niques Et au Zambèze Tu la baises Mais le poème Tourne en blasphème Pour évite le "ose" Et aussi la cirrhose Jamais ne compose Ou reste avec la prose En disant simplement Tel un enfant Que Paulette Qui est très coquette A vu le monde conique Ceci reste drôlistique! contrepéteurs montrez-vous!!!! |
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