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Le Grand Respect diplomatique : -48 17/05 ETU 10:36 | Score : 7 Détails Rp privé merci de ne pas poster.
Comment un jeune voyou du nom d'Alex est-il devenu un commandant. Comment le plus bas étage de notre société est-il devenu le plus au grade de l'armée ? C'est ce que cette histoire va vous raconter. La traversé héroique d'un mauvais qui s'arrache des griffes de l'enfer. L'histoire commence un hivers, on ne sait plus quelle année de la préhistoire. Le jeune Alex est dehors, ses parents l'ont chassé de chez lui ; il est seul. Tout un coup, une lumière aveuglante envahit la terre. Qu'est-ce ? c'est l'apocalypse ; c'est l'instant ou le monde s'arrêta, ou les humains et les animaux courait à leur fin. Alex ne se laissa pas impressioner. Il avait vécu l'horreur et pouvait la retrouver. Mais cette fois si ce n'était pas lui qui la faisait subir, mais bien lui qui la subirai. Ses yeux devenaient blanc, ses pupilles disparaissait. Il courut ; aussi vite qu'il le put. Dans les ténèbres de cette nuit d'hiver. Il arriva près d'un laboratoire scientifique ; celui-ci était délabré ; la porte n'offrit aucune résistence à être défoncé. L'interieur était sombre, l'humidité et la moisissure étaient plus présente que jamais. Soudain, la lumière s'alluma. Dans un coin sombre se tenait un vieille homme vétu de blanc. Il avait grise mine. Il faisait même pitié. Il se leva et s'approcha doucement d'Alex qui était dépassé par les évenements. -L'apocalipse !! Hurla l'homme en levant la tête brusquement en direction d'Alex. Oui!! Ca y est! C'est fini! -Qu'est-ce qui est fini mon frère ? demanda Alex ressaisis. -Notre terre est perdu!!!! rétorqua l'homme. C'est à cause des petit merdeux dans votre genre! vous ne vous êtes pas rendu compte que notre mère nature souffrait ? -Si elle souffre nous n'avons qu'à la soigner, mon très cher frère. Alex avait prix son ton ironique, vicieux. Il avait compris l'homme et se fichait éperdument de la mort. -ëtes vous catholique ? Demanda Alex. Moi je le suis, et j'ai appris un passage qui convient parfaitement à notre situation. C'est dans ezeckiel 25 verset 10 : La marche des vertueux est semé d'obstacle qui sont les entreprises égoïstes que fait sans fin surgir l'oeuvre du malin. Bénit soit-il l'homme de bonne volonté, qui au nom de la charitée se fait le berger des faibles qu'il guide dans la valée d'ombre de la mort et des larmes ; car il est le gardien de son frère et la providence des enfants égarés. J'abattrai alors le bras d'une terrible colère, d'une vengeance furieuse et effrayante sur les hordes impis qui pourchassent et réduise à néant les brebis de dieu. Et tu connaitra pourquoi mon nom est l'eternel quand s'abattera sur toi la vengeance du tout puissant. Sous ces mots, Alex se jeta sur l'homme et lui balanca des coups de poing et de cannes dans le visage et dans le ventre. Puis, après lui avoir cassé toutes ses dents, le nez, des côtes et un bras, et après l'avoir saigner de partout, Alex tira son couteaux caché dans sa canne et le planta plusieurs fois dans l'homme qui était recrovillé sur lui même. Il devait déjà être mort, mais alex était plus détendu après les coup de poignard. -Bon, on va bientôt crever ? Alors faisons une petit viré nocturne. Alex, seul courra voler une voiture et roula j'usqu'au moment où... a suivre... | ||
Le Grand Respect diplomatique : -48 19/05 ETU 11:42 | Score : 5 Détails RP privé merci de ne pas poster.
Beethoven, voila à quoi penssait Alex, à ce cher Ludwig Van. IL voulait écouter de sa musique. Il alluma l'autoradio et chercha, chercha sur tout les postes, mais rien ; pas de Ludwig Van. Seulement des musique pour appater les petit rappeurs des cités. Alex roulait de plus en plus vite, il aimait la vitesse, il aimait se mettre en danger, fleurter avec le diable et son pouvoir de retirer la vie. Alex n'était pas croyant, il pensait que si un dieu existait, il l'aurait punis de ses crimes, de ces affreux meurtres, violes, voles ou autre. Ila aimait profondement faire le mal, detruire, retirer la vie, il se prenait pour dieu. Alex continua sur la route, derrière lui se trouvait toujours la lumière blanches qui aveuglait notre monde. A la radio il avait annoncé que Los angeles serai detruit dans 6 heures, largement de quoi faire une virée. Autour de lui, les voitures étaient détruites, en feu ou même abandonné. Des personnes se trouvaient sur le bord de la route, completement défoncé ou simplement saoul. -Ils ne veulent pas voir la véritée en face, pensa Alex. Se mettre dans des etats comme çe juste pour un apocalips. Pffffffffffff. Si j'avais su je les aurais frappés avant. La voiture continuait de rouler, jusqu'au moment ou une belle maison lui apparut, c'était celle de son ancien droogie, Pete. Il avait arrêté de trainer avec lui pour se ranger dans les affaires, et maintenant il était patron de banque. -La vache, pensa Alex, si j'avais su... Alex sorti de la voiture et sonna : Personne. Il sonna encore une fois : repersonne. Il ne se laissa pas abattre et defonca la porte. Il entra, n'entendit rien, puis un cri, un cri de plaisir. Ce bon vieux Pete était en train de s'envoyer en l'air avec sa femme. Alex monta doucement les escalier, puis, étant arrivé en haut, se dirigea du côté des cris. Il y avait un porte entrouverte, il entra et vit un spectacle non déplaisant. -Hum, hum, lanca t-il. Le couple se retourna, Pete étaiteffrayé tout comme sa femme. -he bien, he bien, continua Alex, je suppose que tu vas m'en laisser. (A suivre...) | ||
Le Grand Respect diplomatique : -48 20/05 ETU 17:34 | Score : 0 Détails rp privé merci de ne pas poster.
-Que... que fais tu là ? demanda Pete. -Je suis venu te dire aurevoir mon petit Pete, à toi et à ta femme. -Me... me dire au revoir ? -Mais oui, tu croyais que je t'avais oublé? On a un petit compte à regler, non ? -Vire cet individu cheri, il nous voit nu. Le femme de pete s'adressait à son mari. Pui Alex repliqua : -Ben oui, Pete, jarte moi, tu ne vois pas que je vous dérange! Alex envoya un coup de canne dans le visage à Pete. -He ben dites donc! Tu t'es ramoli mon p'tit pete. Ta échangé tes muscles avec ton Rassoudiak (cerveau) ? Pete était par terre, il gémissait. Sa femme avait les yeux ecarquillés et la bouche grande ouverte. Alex aimait les voir comme ça, effrayés, terrifiés, impressionés. Il aimait leur souffrance, il voulait les voir en train de lui lecher les bottes avant de les achever. Cette haine envers le monde, ou était elle ? Alex ne faisait pas ça par haine, mais par plaisir. Le plaisir du viol, du meurtre, de la violence ; ce plaisir qui allait le suivre jusqu'au fin fond de sa vie. Pete se releva : -Pourquoi, frère ? Pourquoi tu as fait ça ? Je ne t'ai rien fait, je ne te faisait pas de mal. -Tu n'es plus mon frère. Et tu m'as fait souffrir, le jour où tu m'as quitté avec dim et georgie. Pete était en pleur. La femme seleva et dit : -Vous n'avez pas fait assez de mal comme ça ? Laissez nous maintenant! -Non, je n'ai pas fait assez de mal, d'ailleurs la prochaine c'est toi ! Alex l'attrape et commence à la frapper, puis il lui fait d'autre chose pas catholique. oui mes frère, le commandant Alex était à la prehistoire quelqu'un comme ça, quelqu'un de regrettable, qui n'aurait pas du naître. Pete ne disait rien, sa femme hurlait puis, Alex se retira, attrapa sa canne, en sorti un couteau, pui recita son passage de la bible préféré : La marche des vertueux est semé d'obstacle qui sont les entreprises égoïstes que fait sans fin surgir l'oeuvre du malin. Bénit soit-il l'homme de bonne volonté, qui au nom de la charitée se fait le berger des faibles qu'il guide dans la valée d'ombre de la mort et des larmes ; car il est le gardien de son frère et la providence des enfants égarés. J'abattrai alors le bras d'une terrible colère, d'une vengeance furieuse et effrayante sur les hordes impis qui pourchassent et réduise à néant les brebis de dieu. Et tu connaitra pourquoi mon nom est l'eternel quand s'abattera sur toi la vengeance du tout puissant. Puis, il taillada la femme à Pete. Pour tuer Pete, il mit plus de temps, il le découpa tous doucement et le tua pour finir. Alex pris sa voiture puis parti vers la ville; il voulait se saouler, et s'amuser avant la fin de sa vie. (à suivre...) HRP// ce que j'écrit m'écoeur moi-même, mais il faut bien inventer une histoire digne d'orange mécanique à mon personnage//HRP |
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