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Forums galactiques > Assemblée Galactique : diplomatie officielle > Herbert et les ombres noirs (RP)
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| Herbert Von Panzer Respect diplomatique : 502  25/06 ETU 04:19 | Score : 10 Détails La suite de ce récit n'aurait pas de sens si le petit retour en arrière qui va suivre n'était pas fait..
Nous voici donc il y a trente ans. Alors qu'Origine était en pleine ébullition, la petite planète de Cerbera, alors coupée du reste de la galaxie, fut prise d'assaut par un homme, le dictateur Cornius, qui, aidé de sa milice, instaura un régime digne de l'enfer pour les peuplades de la planète. Très tôt, les habitants refusèrent de se plier au pouvoir et des révoltes éclatèrent. Elles furent réprimées dans des bains de sang, et Cornius renforca peu à peu son emprise sur le peuple. L'ancien roi, Bartatos, qui avait donné son nom à la capitale, s'était caché dans les montagnes après avoir été destitué. Il s'était entouré d'hommes qu'il considérait beaucoup, et en avait fait sa garde personnelle. Parmis eux, un jeune fils de paysans, orphelin depuis maintenant quelques années : Herbert. Herbert était allé à l'academie scientifique et avait été un des premiers à travailler sur les implants musculaires et nerveux, afin d'augmenter les capacités de combat des soldats de Cerbera, une fois que la planète serait capable de s'ouvrir. Herbert avait beau être un grand scientifique, il n'avait aucun moyens, son laboratoire se trouvait dans un grotte miteuse dans les montagnes, et il n'avait pas de quoi se payer des cobayes. Il testa donc ses inventions sur lui-même. Il s'était d'abord placé des implants dans les jambes, pour courir plus vite. Puis dans les bras, pour être plus fort. Il avait ensuite testé sur son coeur et ses poumons, afin d'augmenter ses capacités musculaires, déja augmentées auparavant. Il changea ensuite ses yeux, pour installer à la place des télémètres capables d'évaluer les distances rapidement. Il se rendit capable d'entendre les ultrasons. Puis, un jour, il mit un de ses circuits dans son cerveau, pour pouvoir améliorer ses capacités de reflexion. Il était devenu alors moitié homme, moitié machine, le temps n'avait presque plus d'emprise sur lui. Il travailla alors à un autre projet : le projet Fléau. Cette arme de guerre biologique était, selon ses collègues, la meilleur solution pour chasser Cornius du pouvoir, et rendre son trône au roi Bartatos. Mais celui-ci n'eut pas le temps d'en profiter : il mourut alors que le projet n'en était qu'à son prototype. Pour venger la mort de leur roi, ses gardes fondèrent la Resistance, organisée en réseaux, qui provoquait des attentats, en attendant que le fléeau n°1 soit prêt. Une fois qu'il fut fini, on préleva sur lui un bout de peau qu'on clona à huit exemplaires. Ces armes pourraient être utiles dans le futur. Lors de la bataille, les troupes de la résistance larguèrent une caisse métallique contenant le fléau. Ils regardèrent alors les troupes ennemeies se faire déchiqueter, mais au bout d'un moment, le fléau partit tuer les soldats de la résistance. Personne ne pouvait le tuer. Tout le monde alla alors se réfugier dans la capitale, en essayant de trouver une solution. Personne n'avait réfléchi à "quoi faire de cette chose une fois qu'elle serait morte". C'est Cornius qui trouva la solution : il se fit barder de plusieurs ceintures d'explosifs, et fonça sur la bête. Il se fit exploser quand il fut assez proche. L'année suivante, un vote fut organisé pour savoir qui prendrait le pouvoir. C'est Herbert qui remporta ces élections. Mais, il n'avait pas de nom. Il était juste surnommé Panzer, à cause de sa nature mi-mécanique. Il prit alors le nom d'Herbert Von Panzer. Comme il était un bon dirigeant, le peuple le réélisait à chaque fois. Il fit couler dans du béton toutes les recherches et tous les embryons qui restaient concernant les fléaux. Personne ne devrai plus jamais en produire. Il fit stériliser les derniers spécimens et les fit cryogeniser afin d'éviter de nouvelles catastrophes. Lorsque la tempete magnétique ravagea Origine, les caissons s'arrêtèrent et les fléaux se réveillèrent. Herbert les fit placer dans des caisses blindées, afin de les empecher de faire des dégats. A côté de ça, il était un bon dirigeant. Il fit baisser les impots, créa un centre de nutrition pour les pauvres, créa des emplois sur Cerbera. Il rendit à son monde natal tout l'éclat qu'il avait perdu depuis que Cornius avait pris le pouvoir. Voia, les débuts d'Herbert Von Panzer vous ont été narrés. Dans peu de temps, l'histoire qui nous concerne sera mise à votre disposition, afin que vous puissiez connaitre les sombres évennements qui ne vont pas tarder à ronger la galaxie entière. | ||
| Herbert Von Panzer Respect diplomatique : 502 25/06 ETU 20:55 | Score : 8 Détails Nous voici donc de nos jours, il y a quelques heures seulement pour être précis.
Herbert venait de se lever de sa sieste, moment presque sacré, et reçu un message de la part du centre scientifique. "Commandant, nous avons un problème ! -Que se passe-t-il ? -Nous venons de trouver le corps d'un des fléaux, mort dans sa cage. -Mort ? Vous avez vérifié qu'il n'était pas seulement dans le coma, à cause de la faim ou de la soif ? -Non, il est bel et bien mort. Son sang a été réduit en poussière. Nous avons retrouvé une petite cicatrice, de la taille d'une aiguille à injection intra-veineuse. Il y avait aussi un holopad à côté de la cage. Le message qu'il contient vous semble destiné... Nous vous attendons pour l'analyser. -J'arrive tout de suite !" Un fléau, mort... Comment cela avait-il pu se produire ? Qui avait bien pu faire une injection intra-veineuse à cette bête, et surtout qu'est-ce qui avait bien pu être injecté pour pouvoir tuer l'animal aussi vite... Lorsqu'il arriva au complexe scientifique de Cerbera, Herbert Von Panzer se dirigea directement vers l'aile réservée à l'étude des fléaux. A peine fut il entré que tout le monde s'attroupa autours de lui, proposant des hypothèses, des statistiques, des probabilités, tout ce qu'un scientifique pouvait trouver pour essayer de conforter une idée. "Plutot que de me parasiter le cerveau, montrez moi plutôt ce qu'il y a sur cet holopad ! On découvrira peut-être plus vite ce qui s'est passé qu'avec vos statistiques à la manque !" L'équipe d'analyse des holopads s'intalla devant ses pupitres, puis projeta l'hologramme au centre de la pièce. On y voyait un homme, encapuchonné dans une robe à capuche noire, tenant un pistolet injections à la main. Il s'adressait à Herbert : "Herbert Von Panzer ! Vois ce qui va arriver à tes armes ! Dis toi que tu seras le suivant sur ma liste. Tu ne me connais peut-etre pas, mais moi je te suis depuis vingt-sept ans... Te rends tu comptes ? Deja vingt-sept ans que Cornius, mon maitre, est mort ! PAR TA FAUTE ! Par TA faute, la planète est en pleine décadence ! Par TA faute, la lignée pure des Cornius est presque éteinte ! Je vais te faire payer ton acte impardonnable ! Je vais tuer un de tes fléaux, pour te montrer la puissance du poison que je vais utiliser, et je t'annonce dès maintenant que les Ombres Noires, mon ordre, te pourchassera pour te tuer, peu importe les conséquences... Herbert, tu mourras !" A peine l'Holopad s'était-il éteint qu'Herbert regarda autours de lui, cherchant du regard cet homme. Il avait peur, pour une fois. Il avait peur de mourir à cause d'un fou, persuadé que Cornius était un dieu vivant. Von Panzer se retira, très troublé, dans ses appartements et fit mettre un nombre important de gardes pour assurer sa sécurité. | ||
| Herbert Von Panzer Respect diplomatique : 502 25/06 ETU 22:14 | Score : 4 Détails Herbert venait de se faire menacer de mort. Cela avait déja été plusieurs fois le cas, mais personne n'avait jamais mis en avant de telles menaces : L'homme à la capuche avait montré la puissance de son poison, et avait prévenu qu'il n'était pas seul à vouloir la mort de Von Panzer...
"Garde ! Allez me chercher le lieutenant Molotov ! -Il est sur Tombeau de Calomu, en pleine bataille avec les golzios ! -Eh bien allez me chercher le sergent Kalachnikov ! -Il est en reoute depuis Newdeun, où la situation s'est normalisée... Il ne sera là que dans 48 heures... -Allez me chercher un GAF dans ma réserve presonnelle ! -Tout de suite Commandant ! -Et au passage, essayez de me trouver quelqu'un qui puisse assurer ma sécurité ! -A mon humble avis, vous avez autant de chances de survivre que face à ue armée de fléaux... Mais bon, je veux bien aller vous chercher quelqu'un..." A peine avait-il fini de prononcer sa phrase qu'il se jetta sur Von Panzer, tout en sortant un blaster de son étui, et il tira. Herbert, sous le choc, ne comprit pas ce qui se passait et cru sa dernière heure arrivée. Mais lorsque qu'il vit un corps inanimé tomber d'une pourtre, une sarbacane à la main, il percuta. "Merci, mon ami... Vous venez de me sauver la vie." Aucune réponse de la part du garde. Herbert le mis alors sur le ventre et vit une fléchette plantée au niveau de son poumon droit. Le garde avait intercepté le projectile avant qu'il n'atteingne Herbert, et, sacrifiant ainsi sa vie, il venait de sauver son chef. "Ces êtres odieux paieront cet acte au prix fort ! Ils ont tué un innocent, qui n'avait rien demandé à personne... Ils vont le regretter." Il s'approcha du corps qui venait de tomber. Il le tourna lui aussi et remarqua qu'il possédait un petit holopad, similaire à celui trouvé près du fléau mort. Il l'apporta au complexe scientifique afin qu'il y soit étudié. "Herbet, si tu peux voir cet hologramme, c'est que mon homme de main a échoué. Mais sache qu'il n'est pas le seul, et que tant que tu seras en vie, des innocents continueront à mourir en essayant de te protéger. Nous finieront bien par t'avoir un jour ou l'autre." Von Panzer fit alors mettre en place une cellule de crise. Cet individu devait être identifié au plus vite, et devait être mis hors d'étant de nuire. | ||
| Herbert Von Panzer Respect diplomatique : 502 26/06 ETU 21:59 | Score : 1 Détails Après plusieurs dizaines d'heures de recherches intensives, rien ne fut trouvé. Le code d'identification de l'Holopad avait été falsifié, la voix n'était répertoriée dans aucune base de données, rien ne permettait d'identifier cet homme.
Von Panzer décidé alors de chercher par lui-même. Il fit déguiser quelqu'un qui prendrait sa place pendant quelques temps, et il mènerait lui-même l'enquête, pour regler cette histoire une fois pour toutes. Il fit appeller son majordome. C'était un homme plutot jeune, mais qui avait chosi de rester auprès de Von Panzer, depuis que son père était mort. "Toi, j'ai confiance en toi. Prends ceci, c'est une de mes dernières inventions : un holo-déguisement. Il te permettra de prendre l'apparence de n'importe qui, tu pourras ainsi prendre ma place pendant que j'essayerai de trouver qui est cet assassin et qui sont ses complices. Fais moi un rapport tous les jours, par com-link en communication privée cryptée. Bonne chance. Et fais attention à toi, ils risquent de s'en prendre à toi. Reste bien enfermé dans mes appartements." | ||
| Herbert Von Panzer Respect diplomatique : 502 29/06 ETU 14:28 | Score : 7 Détails Herbert, incognito, était depuis quelques jours à la recherche de cette mystérieuse caste des Ombres noires et n'avait pour le moment rien découvert.
Puis, au fil de ses recherches, un homme vint le trouver et lui donna un livre. Une de ces vieilles reliques que seuls les spécialistes de la préhistoire gardaient encore, dans des blocs de résine afin de les protéger. Ce livre était le premier tome d'initiation au rituel d'entrée dans l'ordre des Ombres Noires. Il fallait trouver les trois autres tomes. Le second fut trouvé chez un antiquaire et le troisième, échangé contre une forte somme à un collectionneur d'antiquités habitant sur Newwdeun. Le dernier devait être récupéré à un entretien avec un des responsables de l'Ombre Noire. Von Panzer se prépara et alla au point de rendez vous, dans une vieille cabane abandonnée dans la campagne, aux environs de Bartatos. Là bas, après avoir discuté avec l'homme encapuchoné pendant quelques heures, afin de prouver sa bonne foi, le dernier tome lui fut remis. L'homme lui expliqua aussi comment trouver l'emplacement du repère, grâce aux livres. Après avoir décollé les quatrièmes de couvertures de chaque livre et les avoir recollées l'une contre l'autre, une carte apparu lorsque Herbert la placa en pleine lumière. Il venait de trouver où se situait la cachette de ses ennemis. | ||
| Herbert Von Panzer Respect diplomatique : 502 30/06 ETU 03:05 | Score : 7 Détails Après plusieurs heures à descendre au milieu des rats et des bestioles étrangent qui peuplaient les égouts de Bartatos, Herbert Von Panzer arriva dans la cachette de l'Ordre des Ombres Noires. Il avait pour cela traversé tous les égouts, se préparant pendant toute la durée du trajet à en découdre avec ceux qui voulaient le tuer.
Il y avait cinq hommes. Tous dans des manteaux noirs, un capuchon noir sur la tête, afin de cacher leurs visages. Au milieu se trouvait un autel, avec un livre contenant une page écrite et une page vierge, une dague et un manteau, plié, attendant d'être porté. On pouvait voir une colone de lumière, juste devant l'autel. "Viens, apprenti. Nous t'attendions. Le rituel est prêt , nous pouvons commencer. Approche toi, mets toi dans la lumière." Alors que Von Panzer avança, les cinq hommes reculèrent. Comme il se situait dans la lumière, ils lui dirent de s'entailler la main, et de verser un peu de son sang sur la feuille vierge. Il s'agirait de son contrat, serment éternel le liant à l'Ordre des ombres noires. Comme il ne voulait pas casser sa couverture, il s'executa, et laissa une longue trainée de sang sur la page jaunie par le temps. Il enfila alors le manteau, et suivi les cinq hommes qui étaient sortis par une porte dérobée. Il atterrit au milieu d'une salle gigantesque, aussi grande que la salle du trône de l'ancien palais royal de Bartatos. Il y avait des statues de divinités aux visages riants, mais d'un rire à glacer le sang à un être normalment constitué. Tout dans cette salle suintait le mal et la folie. "Mes frères ! Nous avons un nouvel initié parmis nous ! Allez chercher le grand prêtre !" Von Panzer allait enfin pouvoir approcher celui qui l'avait menacé de mort, et qui avait tué un des fléaux au nez et à la barbe des gardes chargés de surveiller la pièce. Un homme avec un grand manteau rouge s'approcha alors. Il avait le visage couvert de bandages, et seuls ses yeux, jaunes, étaient toujours visibles. On pouvait aperçevoir plusieurs bagues à ses doigts, et une dizaine d'amulettes en tous genres pendaient autour de son cou. Il semblait malgrès tout jeune, la fermeté de sa poignée de main, et la finesse de ses doigts ne pouvant être attribués à une personne agée. "Tu es nouveau parmis nous, et nous nous devons de fêter ta venue, mon frère ! Commence par me dire pourquoi tu as rejoint notre ordre, et nous irons dans la salle des banquets, pour que tu puisses te remettre de ses émotions... -Je suis ici pour te tuer, fou dangereux ! -Herbert ? Je ne te pensais pas aussi rapide... Nous n'attentions ta venue que pour dans une semaine au moins... -Quoi ? C'est quoi cette histoire ? -Nous t'attendions, tu as bien entendu... Et il faudra, puisque tu es là, que tu nous débarasse de ce fléau qui commence à encombrer nos souterrains..." Herbert Von Panzer, commandant de la planète Cerbera, n'en croyait pas ses oreilles. Il était, il y a quelques jours encore l'homme à abattre, et le voilà traité comme un invité de marque. L'homme au manteau rouge se tourna alors vers une immense porte en bois, cerclée de métal, et pris Herbert par la main. Il le regarda alors et dit : "Viens avec moi, je vais tout t'expliquer..." | ||
| Herbert Von Panzer Respect diplomatique : 502 30/06 ETU 15:03 | Score : 5 Détails "Tu es celui qui va nous guider vers un avenir nouveau ! "
Certains auraient été aux anges d'entendre des telles paroles, mais Herbert était un peu coi... Il ne savait pas trop ce qui se passait, et le fait de passer de cible à ami en quelques instants le déroutait quelque peu... "Tu dois te demander pourquoi nous ne t'avons pas encore tué, alors que nous avons annoncé que nous allions le faire... Eh bien, dis toi que tout ceci n'a été qu'une grande masquarade pour t'attirer ici. -J'y comprends plus rien... Mon fléau, le garde... ils sont bien morts pourtant ! -Tu ferais mieux de renvoyer tes médecins légistes, ils ne savent même pas reconnaitre un mannequin d'un cadavre... Et quant au "poison", tu ne risquais absolument rien : c'était de l'eau avec un peu de colorant vert... -Je vais vous guider ? C'est quoi encore cette histoire ? -As tu entendu parler de la prophétie des Ombres Noires ? -Non, késako ? -Notre ordre est garant de l'accomplissment d'une prophétie : Lors de la première apocalypse, trois hommes ont eu une vision : un homme dans un manteau noir, pendant une grande période de troubles, menant une armée de vampires, devenant empereur suprème, presque l'égal d'un Dieu. Ils décidèrent de fonder l'Ordre des Ombres Noires, qui serait le moyen d'ammenner cet homme au pouvoir. -Oui, et ? -Tu n'as pas l'impression d'être à la tête d'une armée de fléaux, d'être habillé de noir, et qu'il se passe un bazar pas possible au niveau politique à l'assemblée ? -Ben, un peu, oui... -Et tu vois vraiment pas le rapport ? -Ben, non, pas vraiment... -Mon Dieu, dire qu'il va devenir empereur suprème... -AAAAAH ! Mais il fallait le dire plutot ! Mais en fait, je vois pas pourquoi vous m'avez reproché d'avoir tué Cornius... -Cornius a pris le pouvoir grâce à l'aide de trois vampires... Nous pensions que c'était lui l'élu... Mais après, tout est histoire d'interprétation des prophéties... -Enfin, en y pensant, ça colle mieux avec moi, c'est ça ? -Exactement, votre majesté... -Hein ? -Vous êtes désormais Empereurissime de l'Empire Noir... -Hihihi, ça commence à devenir interessant..." Assis sur un trône en os d'un animal ressemblant à un dragon, Von Panzer était revétu de son manteau noir. Il regarda alors tous les fidèles qu'il avait devant lui... "Commencez à rallier des peuples à notre cause, de grandes choses vont avoir lieu d'ici peu de temps !" |
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