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Une homme parmis tant d'autres...

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Corad
Respect diplomatique : 90


10/08 ETU 14:05
Ce commandant soutient la galaxie
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[i]Le monde s’était effondré. Tout ce qui jadis avait pu faire la gloire de l’empire avait péri en même temps que la flamme d’espérance qui animait autrefois le cœur de Corad. Dans les flammes du palais impérial de Zion, le Commander menait ses troupes au combat.

Voilà dix lunes que la guerre contre son ancienne amie avait commencé. Tandis que des planètes étaient perdus lors d’impressionnants assauts, d’autres étaient pris. Les ressources de l’empire étaient encore grande et la guerre ne s’arrêterait pas là, la commandante serait repoussée hors du système il en faisait le serment.
Depuis longtemps, Corad admirait cette femme. Malgré une apparente douceur et ce côté inoffensif qu’elle avait, elle s’était avéré être une adversaire tenace et surprenante. Même si une partie de son cœur la haïssait, une autre ne pouvait s’empêcher d’éprouver de l’admiration, voire de la fierté de combattre contre une si grande commandante.

Mais l’heure était à la guerre. Zion était sur le point d’être envahie et toutes les troupes étaient sur le pied de guerre. Un jeune officier arriva alors en courant dans le palais. [/i]

"Monsieur, mauvaise nouvelle. Le commandant Kalah du système Thaliman a refusé votre offre. C’est un de nos anciens alliés mais il a envoyé deux émissaires qui seront là dans deux heures."

[i]Corad soupira et lâcha un juron d’exaspération. Il finit par dire. [/i]
" Très bien, je les retrouverait ici même dans mon bureau. En attendant, nous avons une bataille à gagner ! "

[i]Déjà le pilonnage de la flotte ennemie se faisait entendre. Les frégates ennemies fusaient par centaines dans le ciel de Zion. Les croiseurs au loin échangeaient des tirs avec les défenses terrestres de la planète qui semblaient tenir bon. Corad ordonna alors à sa flotte de venir se replier sur celle de ses assaillants. Quand aux troupes terrestres, elle devraient se tenir prêtes à l’attaque au sol.

Pendant plus de deux heures, les flottes combattirent pour empêcher le débarquement qui eut finalement lieu. S’ils prenaient le centre-ville, le palais était perdu et la planète avec.

Corad, vêtu dans une armure de combat noire identique à celle de ses hommes, monta sur un tas de décombre et harangua ses troupes.[/i]

"Messieurs, voici venue l’heure d’honorer votre serment ! Vous tiendrez cette cité ! Battez-vous pour l’idéal que vous souhaiterez ! Que ce soit pour l’honneur, pour la vie, pour l’empire ou votre liberté, vous combattrez pour votre monde et pour sauver vos frères !

Vous êtes les gardes de Zion, de l’empire ! Nous combattrons pour eux !"

[i]Sous un tonnerre de rugissement barbares, les troupes levèrent leurs armes vers le ciel.
Quelques minutes plus tard, les troupes ennemies approchaient de la citadelle. Les hommes dégainèrent leurs blasters, d’autres prenaient position dans les tourelles et Corad sortit sa vibrolame.

Le combat fut d’une rare violence. Les deux factions se lancèrent l’une contre l’autre sans états d’âmes. Au bout d’une heure de combat intense, Corad, qui se trouvait au milieu du champ de bataille en train d’achever un soldat ennemi, vit un officier accourir avec un drapeau blanc. Il était jeune et inexpérimenté pas sa mission était sans doute de venir parlementer.[/i]

"Commander Corad, nous demandons une trêve pour compter les blesser. La bataille pourrait reprendre plus tard de façon plus conventionnelle."

[i]Corad hésita. Les conventions de la guerres était une des conneries les plus énorme inventé par l’homme. Une guerre est une guerre… Mais il finit par s’y résigner pour ses homems qui s'étaient bien battus et accepta le contrat. Les deux camps quittèrent la bataille, emportant avec eux leur lot de blessés et de désespoir.
Autrefois, il avait pu dire à un de ses pilotes : l’espoir s’est embrasé… Il en était bien loin à présent.

Une fois rentré au palais, Corad alla se passer de l’eau sur son visage ensanglanté avant de rejoindre son bureau dans lequel l’attendait les émissaires de kalah.
Un seul était présent. Corad s’approcha alors pour lui serrer la main lorsqu’il fut immobilisé dans son geste. Sans même pouvoir bouger, il ressenti la douleur d’une lame froide enfoncée dans sa chair. Le commander tituba jusqu’à son bureau auquel il tenta de s’appuyer mais en vain. Corad tomba lourdement sur le sol, ravivant la douleur paralysante du poignard planté dans son dos.

Sans même pouvoir réaliser qu’il venait d’être trahi par des émissaires alliés, il cracha du sang par terre et tenta de se retourner. Les hommes en rouge disparurent et le conseiller entra en courant dans le bureau. Il retira rapidement le poignard en dépit de la douleur de son commandant et mis sa tête sur ses genoux.

Corad parvint alors à articuler : [i]

« Faites venir Cassandra… Je… je lui cède l’empire. C’est une femme d’honneur, elle a ma confiance malgré cette guerre…. »
Cassandra
Respect diplomatique : 316


10/08 ETU 19:11
Ce commandant soutient la galaxie
Score : 2 Détails
1 : orthographe insuffisante
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Corad, même cher Corad,

Je sais que peu de vous le connaissait, car il s’est montré assez discret sur tous les différents lieux assez fréquentés. Mais moi je peu le dire : oui j’ai connu cet homme, oui j’ai connu le
Commandant Corad. Vous allez me dire comment ? Tout simplement que lors de mon arrivé dans ce merveilleux univers, il était là, sur la planète voisine. Au fil du temps, nous nous sommes appris à nous connaître, furtivement. Mais tout se passait bien jusqu'à ce jour. Ce jour ou mes flottes se sont fais bombarder. Je dis mes flottes mes c’était surtout mes stations commerciales. Bref après avoir découvert se compte rendu sur mon Com-X et avoir vu en bas que le bombardement à été commandité par Corad, j’étais perdu…

Avertissant de suite mon voisin, j’ai reçu une belle baffe. En effet j’ai eu le droit à « je ne te rembourserais pas» Je lui ai donc répondu que j’exigeais être remboursé car sinon mes clients allez fuir et lui dit que moi sa allait me mettre en rogne. Il m’a dit alors qu’il prenait ça comme une déclaration de guerre et il a éteint son Com-X tous de suite après ces paroles.

Je me suis dit qu’il avait du être énervé par un de ses généraux incompétents, et que sa allait passer. Jusqu’au jour ou j’ai découvert que l’on c’était emparer d’une de mes planètes, et que Corad en avait le commandement. Donc une guerre terrible fit rage dans le système…


Mais voilà qu’il y a encore quelques heures, il m’annonça son départ. J’aurais dut être content et me dire « Chouette le système est à moi !!! » Mais il n’en fut rien, au contraire. De l’inquiétude et même de la tristesse emplie mon cœur. Car je m’étais attaché à Corad, pas un sentiment d’amour mais un sentiment d’admiration. En effet pendant notre guerre intentionnellement je lui ai arraché son natale, sa mère patrie. Je me suis proposer de le lui échanger contre une autre de ses planètes. Mais il ne fit rien de mon offre, il ma même répondu : A la guerre comme à la guerre, j’ai combattu et j’ai perdu une planète, je t ‘en reprendrais bien d’autre va. C’est pour ça que j’admirais cet homme pour son courage, sa sagesse, son sens du devoir, en lui j’ai trouvé un combattant hors paire. Après que l'on m’ai appris qu’il partais, il ma fait don de tout se qu’il lui appartenais : Les planètes tant disputées, ses flottes et sa fortune. Quel homme, quel voisin, quel adversaire…


Et c’est pour ça que je voulais lui rendre cet hommage, a toi Corad, a toi mon Ami…

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