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Combat pour un natal

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Gaston Lagaffe
Respect diplomatique : 401


17/09 ETU 23:34
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... TENTION !!
BOUM
- Et ben, elle n’est pas passée loin celle-là.
- Non, commandant. Commandant, je vous signale que votre vaisseau d’évacuation est prêt à part…
- Cette planète n’est pas encore perdue, et ce ne sont ni les quelques croiseurs de Chiana, ni les fanatiques d’Eigenjo qui vont la faire tomber. SUIS-JE CLAIR ?
- Oui, commandant.


Lagaffe recentra son attention sur le combat. Un kamikaze avait lancé son avion sur l’un des bunkers de la Rédaction, mais celui-ci riposta et, d’une longue salve de tir laser, détruisit la menace. Ce qui préoccupait le plus Gaston, c’était les troupes régulières de Chiana qui avaient débarquées sur le sol même de la Rédaction. Une armée entière avançait sur la capitale. Pourtant, Lagaffe savait que ses 6 bataillons bien armés, bien entrainés et commandés par des officiers compétents étaient parfaitement capables d’éliminer la menace terrestre. Le problème venait également des petits escadrons de parachutistes qui se posaient un peu partout, comme celui qui était parvenu à quelques dizaine de mètres de Gaston et de son groupe.

- Ils tentent un assaut !!

Lagaffe leva son arme, déplaça le réticule du viseur jusqu’au centre de la poitrine de la cible et pressa la détente avec une étonnante délicatesse. Le bruit de l’air qui se dilatait, transformé en plasma, retentit à ses oreilles. Puis, Lagaffe put voir sa cible s’abattre sans bruit sur le sol. Gaston n’était pas un très bon soldat, mais il savait remarquablement tirer. Modifiant la position de son arme, il abattit encore trois soldats avant qu’une voie résonne.

- C’est bon, la menace est éliminée.
- Qu’en est t-il des troupes ennemis en orbite ?
- Les spat bunkers contiennent l’ennemi, mais ils auraient besoin de l’aide d’un appui aérien…
- Que nous n’avons, je sais.


Soudain Lagaffe aperçut un kamikaze foncer sur sur lui. Dans un automatisme du à une longue expérience de soldat, l’un de ses hommes leva son arme, sélectionna du pouce le mode « tir en une fois » de son arme et vida ainsi son chargeur en un seul coup dans le réacteur droit de l’avion kamikaze qui s’en trouva déséquilibré et qui, perdant le contrôle, alla s’écraser dans un champ, sans faire de dégâts matériels ou humain.

- Bravo soldat ! Mais maintenant, nous allons sur le champ de bataille principal.
- Mais commandant, c’est extrêmement dangereux.
- Je ne peux pas laisser mes hommes.
- Votre métier c’est de les amener à la victoire, pas de mourir à coté d’eux.
- Merci lieutenant, je suppose que j’en avais besoin. Bon, repliez vous vers le bunker de commandement.


Mais en chemin, Lagaffe et ses hommes tombèrent nez-à-nez avec un groupe de Red T. Aussitôt, les soldats de Lagaffe, se mirent en position défensive, se disposant en V et s’accroupissant. Le choc fut violent. Les Red T, bien que plus nombreux, restaient des hommes amollis par le plaisir que leur offraient leurs commandants. Et ce fut ainsi, que mal préparé ils se brisèrent sur la ligne de feu. Mais, fort de leur nombres, ils s’approchèrent encore. L’un d’eux s’élança vers Lagaffe en sortant une épée.

Lagaffe n’avait jamais compris la fascination que la plupart des commandants avaient pour les armes blanches, au point d’en munir leurs troupes. Souvent Lagaffe avait vu sur les champs de batailles des milliers de soldats se battre à l’épée. Même si les résultats de ces combats étaient souvent très bons, les hommes étant souvent bien entrainés, cela lui semblait complètement archaïque. Pour Lagaffe, la stratégie était : zéro mort de son coté (Gaston prenait la peine d’écrire des lettres de condoléance aux familles de ses soldats morts sur le front, et cet exercice lui déchirait le cœur) et toucher l’ennemi de loin.

Ainsi quand le Red T sortit son épée, Lagaffe était plus attristé qu’effrayé. Il leva son arme et tira. L’homme stoppa net sa course et s’écroula, son épée tombant sur le sol dans un bruit métallique. Pendant ce temps, tous les autres Red T avaient été abattus. Quand Gaston et son groupe arrivèrent au pc de commandement, les armées de l’ennemi avaient été en grande partie repoussées.

- On a résisté à un assaut, mais gare au prochain.
Eiganjo
Respect diplomatique : 289


18/09 ETU 07:45
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Cela faisait plusieurs jours qu'eiganjo et ses troupes
kamikazes se trouvaient sur une des planetes proches de la redaction.

Eiganjo:Alors ce dernier assaut, coment s'est il passé?
LQSAR*:Desole chef, les kamikazes ont encore échoués.
Eiganjo:Et les CLA de chiana?
LQSAR:on vient de recevoir un message, ils ont pas fait mieux.
Eiganjo:On a deja lancés de quoi prendre plusieurs systemes sur cette
foutue planete,il ne nous reste presque plus de kamikazes.
LQSAR:je crois qu'on devrait s'en aller et la laisser tranquille, chef!
Eiganjo:Si il n'y a pas un miracle dans les 10mn qui nous permet de
prendre cette planete, tu pars avec le prochain assaut.

***8,25631mn plus tard***

LQSAR: Message de thanatos, elle vous envoie un nouveau stock
de kamikaze
Eiganjo:Cool on va ptete reussi r a la prendre cette %!/$*,
de planete.
LQSAR: Alors je peux rester la? :D
Eiganjo: non tu pars quand meme, c'est rigolo de voir ses lieutenant
se faire niquer la gueule^^
LQSAr: ...


*LQSAR->Lieutenant Qui Sert A Rien
Chiana
Respect diplomatique : 1345


18/09 ETU 14:28
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Sur le Croiseur Lourd Amiral (très amoché d'ailleurs ! Merci Arès !) "The Pelvic Thrust", Chiana conversait avec le capitaine de la flottille chargée de la pacification du système xx, celui-ci, Ernest "Fou à Lier", dirigeait sa première campagne. A l'écran, on sentait, à sa voix empruntée, que l'importance de la situation ne lui échappait guère. Il rendait compte des derniers événements et l'on sentait la crainte dans ses paroles.

" Dame Chiana, les défenses au sol sont très puissantes. Elles ont repoussé plusieurs de nos assauts lancés pourtant en coordination avec les escadres d'assaut kamikazes du Commandant Eiganjo. Les pertes sont lourdes et j'ai replié notre escadre pour permettre un tir de barrage ionique sur le Point de Coordonnées 4. Je suis en communication constante avec les généraux d'Eiganjo et nous faisons le maximum pour que La Rédaction tombe rapidement, je le jure sur la tête de ..."

" Vous m'offrez une tête si le prochain assaut rate, Ernest "Fou à Lier" ? Sachez que je n'accepterai que la vôtre dans ce cas ..."

" Belle Pirate, c'était juste une expression, je tiens à la garder sur mes épaules ... Vous avez vu mes rapports sur les derniers assauts ?"

" Oui, des renforts vous ont été attribués. Ils se mettront en route d'ici une bonne journée ..."

" Pas avant ?"

" Non, la couleur des coques ne me plaisaient pas alors j'ai renvoyé les vaisseaux à la Maintenance des Armateurs pour un lifting complet et une nouvelle couleur."

" Ah ! Une nouvelle couleur ? Ce sera seyant ?"

" Oui, un pur rouge de la victoire. Trêve de plaisanterie : pas de pillages à la tombée de la planète, pas de vente d'esclaves non plus, vous incarcérez les soldats, vous éliminez les officiers supérieurs, rien de plus. Et je veux Gaston Lagaffe vivant sur la capitale galactique dans les 36 heures qui suivront notre victoire ... Oubliez une seule consigne et je vous envoie servir sur les derniers navires du Psychopate Eyes of Fire, capicce ?"

" Oui, Belle Pirate, je contacte aussitôt le Commandant Eiganjo pour coordonner nos efforts. Nous vaincrons, Belle Pirate, nous vaincrons."

" Je transmets votre promesse de victoire à Janus-Jana pour qu'elle prenne le contrôle des probabilités lors de votre attaque. Ramenez-moi une victoire où je vous colle dans les champs de riz pour les 10 prochaines années !"

Chiana coupe la conversation. La guerre contre Gaston Lagaffe était tellement inutile maintenant... Elle espérait pouvoir s'emparer de Gaston Lagaffe pour lui parler de vive voix.

Et commander aussi un bon stock de ses espadrilles ... Elles étaient si agréables à porter le soir devant l'écran de l'Assemblée Galactique en sirotant une Guiness.
Gaston Lagaffe
Respect diplomatique : 401


20/09 ETU 16:58
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- Commandant, je reçois un signal, une flotte est en approche.

Ils étaient dans le pc de combat de Lagaffe, et chacun attendait patiemment, à son poste. La tension était palpable, l’air était lourd et même les ordinateurs semblaient fonctionner avec plus de difficulté que d’habitude. Mais cette phrase, prononcée par l’un des hommes surveillant les écrans de contrôle, mit les nerfs de tout le monde à vif. Gaston fut le premier à réagir.

- Combien sont-ils sergent ?
- Difficile à préciser, il semblerait qu’il y ait au moins 10 000 kamikazes, et un très grand nombre de croiseurs… Nous avons une confirmation, ce sont des vaisseaux appartenant à Chiana et Eigenjo.
- Combien de bunkers sont encore opérationnels ?
- Presque tous, mais il est peu probable qu’ils soient en nombre suffisant.


Lagaffe le savait déjà. Et il savait que tous ses officiers le savaient. Le combat qui allait être mené, quelle que soit la bravoure de ses soldats, finirait par la perte de sa planète natale. Il n’y avait plus assez de soldats encore valides et Lagaffe ne se résoudrait pas à envoyer des civils non entrainé à un combat dont l’issue était certaine. Cependant Lagaffe avait une terrible décision à prendre, devait-il ou non accepter un combat perdu d’avance ? Avait-il le droit de sacrifier ses soldats, d’envoyer à la mort ceux qui lui avaient fait confiance, d’endeuiller des milliers de familles ? Mais en même temps, il avait le devoir de résister, depuis que la population de son empire tout entier avait exprimé le souhait de le voir se battre contre le tantrisme.
« Donnez-moi la force de faire mon devoir » pensait Gaston
Puis, finalement, le cœur brisé, il donna l’ordre fatidique :

- Chacun à son poste de combat.

D’un seul coup, la tension tomba, les hommes, libérés du poids de la décision et de l’incertitude de l’avenir, se préparèrent comme pour simuler un combat durant un exercice. Tous les officiers supérieurs donnèrent leurs ordres. Dans les bunkers, les hommes chargèrent leurs armes et activèrent les viseurs et les troupes au sol se mirent en formation défensive. Ce que Lagaffe ignorait c’est que ses officiers avaient également donné l’ordre de préparer sa frégate d’évacuation.

Et le temps passa.

Les écrans des capteurs automatiques donnaient des précisions sur la nature des envahisseurs : nombre, position, nature, état des vaisseaux ennemis. Et les officiers en prenait compte pour placer leurs troupes, décider de l’ordre de tir des batteries d’artillerie. Dans la foulée, plusieurs fusées partirent lancer des satellites d’observation avancée, afin que l’on puisse suivre en direct l’évolution des combats depuis le pc de combat.
Soudain les cartes, parsemées de points bleus (représentants les troupes de Lagaffe) furent quasi instantanément grêlées de taches rouges. Les trop nombreux kamikazes avaient été lancés. Dans les bunkers, ce fut l’effervescence, les hommes tiraient à une cadence infernale, les ordinateurs de tirs étaient dépassés par le rythme incroyable qu’on leurs imposait. Mais tous les efforts furent insuffisants, et les positions défensives furent anéanties tour à tour par les fanatiques d’Eigenjo et les troupes de Chiana. Le combat au sol fut extraordinairement intense, les hommes de Lagaffe se défendaient avec courage infligeant des pertes terribles à l’ennemi. Mais dans le poste de combat, un haut-parleur choisissait aléatoirement l’une des conversations radio échangée entre les soldats et il crachait plus souvent des cris de mort, que des exclamations de joie.
Et Lagaffe restait là, donnant des ordres et déplaçant des troupes, non pas pour gagner la bataille, mais seulement pour donner la plus forte morsure possible à l’ennemi. Et il ne voulait pas entendre parler de son évacuation. Quand soudain, la voie lointaine d’un soldat anonyme voyagea par les ondes et parvint, choisie par hasard par les ordinateurs, jusqu’au pc.

- Je suis fini… mon Dieu, faite que notre commandant s’en sorte…

Et Lagaffe comprit, il comprit que ses troupes ne se battaient pas pour une cause idéologique, mais pour lui. Des milliers d’hommes mouraient pour lui donner du répit. Et le devoir de Lagaffe était de survivre pour honorer leur mémoire. Mais il était presque trop tard. Gaston écouta enfin son lieutenant qui l’exhortait d’évacuer au plus vite.

- Lieutenant, préparez l’évacuation du poste de combat et la destruction des archives.
- A vos ordres commandant !!

Gaston Lagaffe
Respect diplomatique : 401


20/09 ETU 17:00
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Suivant une procédure préétablie, des soldats se précipitèrent vers un rangement blindé, l’ouvrirent et en sortirent les charges de sabordage. Pendant ce temps, l’officier chargé des archives entreprit de transférer toute la mémoire des ordinateurs vers un support d’information plus léger. En trois minutes, toutes les archives informatiques, les MPs, les rapports d’espionnages, les archives scientifiques, les traités d’alliances, les conversations secrètes… tout avait été déplacées numériquement dans une carte mémoire qui fut reproduite en deux exemplaires. L’une fut donnée à Lagaffe et l’autre conservée par l’officier des transmissions. Lorsque les charges explosives furent placées aux endroits stratégiques de la salle, Lagaffe et son corps d’officier partirent, escortés par un groupe d’homme en armes.
Mais les Red T avaient déjà envahi le complexe principal où se trouvait le bunker. Et Gaston et son groupe furent attaqués au-milieu d’un couloir par des soldats ennemis. Lagaffe n’avait pas d’arme, et il pu simplement voir ses gardes du corps et ses officiers se défendre comme des lions. Soudain Lagaffe sentit un grand choc et sombra dans l’inconscience.

Lorsqu’il se réveilla quelques minutes plus tard, il vit que tous ceux qui l’accompagnaient étaient morts à l’exception d’un soldat et de son lieutenant. Quand aux Red T, leurs cadavres jonchaient le sol. Une fois de plus, des hommes s’étaient sacrifiés par fidélité envers lui (l’officier des transmissions avait brisé sa carte mémoire dans son dernier souffle).

- Commandant, allons-y, nous n’avons plus que quelques mètres à parcourir.

Gaston se releva péniblement en entreprit de courir jusqu’à la piste d’envol de sa frégate d’évacuation. Alors que les trois hommes franchissaient une passerelle enjambant une quelconque installation, des tirs claquèrent derrière eux. La situation était critique, Gaston était parvenu à l’extrémité du pont quand il se retourna et vit un groupe de Red T tirer dans sa direction. Le soldat qui l’accompagnait riposta courageusement mis il se fit rapidement abattre. Mais dans un dernier geste, il dégoupilla une grenade lumineuse et la lança au milieu du pont. La grenade était un objet de haute technologie qui renfermait une quantité très importante des photons. Ceux-ci, stockés dans de minuscule cage de carbone, furent libérés et jaillirent avec force dans un flash aveuglant. Toute une partie de la passerelle avait été transformée en plasma sous l’effet de la terrible libération d’énergie. Lagaffe et son lieutenant étaient maintenant isolé des Red T. Continuant leur route, ils arrivèrent, après quelques mètres, auprès de la porte de la frégate d’évacuation. Quand soudain, Le lieutenant de Lagaffe fit un écart et s’écroula dans les bras de celui-ci. Par ce geste, il avait encaissé la balle destinée à son patron.

- Commandant
, dit-il dans un râle, survivez à cette attaque. Vos hommes vous aiment. Ils sont morts pour vous.

Lagaffe avait la gorge serrée et des larmes lui coulaient des yeux. Son plus fidèle ami était mort. Mort, mort, mort… ce mot résonnait comme une cloche dans son esprit et Gaston restait debout, incapable de bouger, sous une grêle de tirs, un cadavre dans les bras. Puis, comme parcouru par un choc électrique, il s’élança vers la porte de la frégate et la referma derrière lui. S’adressant au pilote, il donna l’ordre de décoller.

- Tout de suite commandant.

Le rapide vaisseau se souleva avec grâce et pris sa route vers l’espace. Alors que la frégate survolait une dernière fois la Rédaction, Lagaffe put voir par un hublot le terrible spectacle qui s’offrait à ses yeux : celui de deux armées en guerre, l’une déjà victorieuse, l’autre se battant par fidélité envers son chef qui s’échappait. A peine avait-elle quitté l’atmosphère que la frégate passa en vol extra systémique, hors d'atteinte des Red, T vers une planète dont les coordonnées étaient maintenues secrètes. Lagaffe pleurait.

-J’ai perdu cette guerre
, se dit-il, mais je garderais en mémoire tous ces hommes.
Tyrian
Respect diplomatique : 1334


20/09 ETU 17:12
Ce commandant soutient beaucoup la galaxie Ce commandant soutient beaucoup la galaxie
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Le commandant Tyrian ayant appris qu'une guerre dévastatrice faisait rage, demanda à ses services d'information de le renseigner sur le nombre de victimes tant directes que consécutives à des dégâts collatéraux.
Le chiffre était absolument dramatique.
Elles se comptaient par millions, voire des milliards.
A vrai dire, les tirs ioniques avaient décimé la quasi totalité de la population.
Plus un arbre n’était debout....
Il ne restait même plus de quoi fabriquer les cercueils pour l’enterrement des braves soldats, qui eux n’ont pas fui ….
Eiganjo
Respect diplomatique : 289


20/09 ETU 17:35
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***La redaction,heures apres la prise du complexe de commandament***

Eiganjo:On a reussi , on a reussi!

LQSAR: Chef, les familles des kamikazes demandent les compensations promises, on les estiments a plusieurs dizaines de milliards de leems et...

Eiganjo: zetes pas mort vous?

LQSAR: J'ai reussi a resister jusqu'au dernier moment, j'ai ai mis tout mon courage et ma...

Eiganjo: oui oui c'est tres bien , tu auras une augmentation de 50% , tu disais quoi avant?

LQSAR: (150%x0=0 ghaaa) Je disais que nous n'avions pas assez de ressources pour compenser les pertes et donenr ce que nous avions promis aux familles qui ont données leur pere, leur fils ou leur frere...

Eiganjo: c'est moi qui ai parle de compensation???

LQSAR: et bien vous aviez dit ca pour recruter de jeunes chiens pour kamikazer la redaction.

Eiganjo: a oui je me souviens... envoyez leur les corps de leurs proches,ca fera ca de moins a bruler.

LQSAR: et on les reconait coment?

Eiganjo: Vous envoyez au hasard, avec un bon de reduction pour acheter une figurine en or a mon effigie et ils ne feront pas la difference.

LQSAR:ok chef!

Eiganjo: une derniere chose...

LQSAR: oui?

Eiganjo: brulez tous les corps des troupes de lagaffe ainsi que ses palais et autres lieux personnels, desfois qu'il recupere sa planete.

Chiana
Respect diplomatique : 1345


21/09 ETU 08:04
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Ernest "Fou à Lier" faisait son rapport sur l'offensive. Chiana écoutait avec distraction car elle suivait la fin de Meline.

"Après notre dernière manoeuvre, nous avons vu passer une flottille de kamikazes canins : leur nombre était gigantesque et ils ont réussi à submerger les défenses lagaffiennes et à déposer au sol les "chiens des troupes d'assaut" ! Le Combat au sol fut invivable !"

"Comment ça ?"

" Heu ... Les officiers de liaison canins ont hurlé à la mort dans notre vaisseau pendant tout le combat : on a tous fini par se mettre du persil dans les oreilles ... A la fin, nous avons aussi dû leur filer de bons steacks pour qu'ils arrêtent de suivre le combat sur la télé de bord ! D'ailleurs, ça a marché ! Ils ont arrêté de hurler pour tout manger. Y en a même un qui a détruit sa gamelle tellement il a aimé nos steacks !"

" Et La Rédaction ?"

" Conquise, le Commandant Eiganjo a pris le contrôle des lieux comme convenu. Ses troupes quadrillent la capitale lagaffienne, ses fonctionnaires ont pris les rênes de la planète dans la foulée. Je rapatrie actuellement les derniers pirates encore remplis d'alcool pour me préparer à partir pour un nouveau système à attaquer. Le Siège de la Rédaction est terminé, Belle Chiana."

" OK, Ernest, je vous envoie de nouvelles coordonnées à "visiter". Offrez une tournée de rhum aux hommes pour moi, vous continuez à chasser le Commandant Gaston Lagaffe mais dans un nouveau système. Je suis fière de vous tous : votre conduite pendant le siège de la Rédaction fut presque exemplaire. Continuez comme cela, Ernest et je viendrai, en personne, vous embrasser devant vos hommes."

" Cet Honneur sera un témoignage de votre attention pour cette flotille, Belle Pirate ... Je ... Je tâcherai de ne pas m'évanouir lors de cette cérémonie."

Chiana coupa la transmission. "Où était parti Gaston , pensa-t-elle ?". La question serait résolue en temps et en heure. Il était l'heure maintenant de revenir sur des questions plus importantes ...

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