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Hitman Corp Respect diplomatique : 167 16/09 ETU 10:30 | Score : 13 Détails Mon système est le siège d'une lutte âpre.
4 civilisations s'y sont développées. Chacune possède des technologies avancées, une flotte conséquente, des ressources à foison. Toutes sauf moi... PS (point stratégique un pc quoi ) après PS, les combats s'étendent entre les 4. Le vicomte de Morcerf a acquis les services du mercenaire linkab, et le duo a eut comme premier objectif de me faire passer de cette univers à un autre... Le capitaine Kurk, quant à lui, est un opportuniste né. Pendant que mes flottes répondant à une menace LV (Linkab-Vicomte), cette engeance de goret me prenait par derrière. Ma planète-capitale tiens pourtant bon face à la LV et au capitaine. L'heure de la contre-offensive a sonnée. Et il n'y aura pas de quartier !!!! (suivront les rapports au jour le jour de cette contre-offensive) | ||
Hitman Corp Respect diplomatique : 167 16/09 ETU 11:34 | Score : 11 Détails Jour J:
La LV a essayé une nouvelle fois de prendre le pouvoir par des attaques terroristes. Quand comprendront-ils que ce n'est pas des kamikazes qui feront flancher mes citoyens dévoués ? Dans le plus grand secret, dans l'ombre de la plus grande lune de la capitale, une flotte a été rassemblée. Le secret de ce rassemblement à couté de nombreuses vies, dans divers attaques de diversions surtout, espérons que le résultat sera là... Le commandant Skrillbarg, second lieutenant de linkab, se versa un nouveau verre de vin millémisé. Il s'occupait de la pacification de la planète Darwin5, le dernier bastion d'Hitman à être tombé. Il avait établi des défenses basiques. La victoire n'était-elle pas assurée ? Son périmètre de défense comprenait une flotte de défense de 10 escadrilles de chasseurs, 20 frégates de combats et son croiseur "amiral" (il n'est que lieutenant, mais l'appelation reste là même) Deux-trois bunker souterrains abritaient son QG. Et l'équivalent d'un régiment standard s'occupait de "convaincre" la population de coopérer. Il avait maintenant quasi fini la bouteille. Il se traina en râlant vers le buffet, à côté du panneau de commande. Il jeta à peine un regard au panneau. Mais ça lui suffit. -Putain de merde ! Alerte générale ! -kékya mon lieutenant . -Ta gueule et à ton poste, fait passer le mot ! -Hey hey, sir -Et appelle le boss, on a un problème... | ||
Hitman Corp Respect diplomatique : 167 17/09 ETU 15:03 | Score : 11 Détails Jour J+2
Une première colonie est tombée facilement entre nos mains. Un deuxième demanda plus d'efforts. Mais dans l'ensemble le plan initial fonctionna. Un manque de coordination flagrant entre les membres de la LV fit dégénérer la situation. Une contre-attaque d'éléments rapides du Vicomte reprenant la première planète libérée, mais une seconde vague, de linkab cette fois, la reprend par après. Ce qui donna lieu à un entre-tuage des plus plaisant. Une nouvelle attaque avec quelques escadrilles de chasseurs me permis de détruire les derniers éléments adverses et de reprendre une nouvelle fois la planète. Pour de bon cette fois. Une pierre deux coups. Phase 1 du plan terminée. | ||
Hitman Corp Respect diplomatique : 167 19/09 ETU 20:12 | Score : 6 Détails Mais mon centre de communication fut pris dans un bombardement en basse altitude, ce qui entraîna la destruction de l’antenne émettrice.
Après plusieurs jours de travail, la communication avec l’extérieur a pût être rétablie. Voici la situation en J+5 : Le massacre de Libertad63 (linkad VS Vicomte) a fait exploser l’alliance LV. Une lutte entre ses deux membres faut particulièrement satisfaisante. Pendant que deux de mes ennemis se chamaillaient, je pouvais me tourner vers la 3e menace. La Capitaine s’était retranché dans ses terres depuis le début de l’opération Bulldozer. Mais je ne comptais pas le laisser s’en sortir aussi facilement… Deux colonies furent bientôt entre nos mains, elles ne donnèrent qu’une faible résistance. La raison m’apparu le jour suivant, lorsque j’arrivais en orbite de sa capitale. Cette engeance de gorets boueux a rassemblée toute sa flotte pour la défense de la planète. Qui est, soi dit en passant, recouvert de bunker de toute taille. Ma flotte réussie à se frayer un passage dans la flotte ennemie, bien que la flotte et les défenses planétaires m’infligèrent des pertes non-négligeables. L’envoi de troupe au sol fut quasiment suicidaire dans les flammes de la DCA, mais plusieurs modules réussirent à atterrir. Le mien fut rudement touché au moteur, et il dévia de sa trajectoire initiale. Une chance incroyable nous ne fit pas dévié en plein sur le palais du Capitaine, mais en plus j’ai atterri sans encombre dans une grande cours. Mon commando et moi-même prirent immédiatement d’assaut le bâtiment, ne tentons pas la chance…survivre à une attaque quasi suicide, un atterrissage forcé et à traversé une place sans aucun couvert vivant est déjà une assez grande dette envers Elle… Les défenseurs n’étaient pas nombreux, le gros des forces devaient essayez de repousser ma flotte en orbite, à éliminer mes commandos ou encore à se terrer dans les bunkers. Je me trouvais bientôt en face du Capitaine, dans sa salle du trône. Et avant de tirer, j’attendis de voir, dans les yeux de mon ennemi, cet éclair d’épouvante qui précède la mort… | ||
Hitman Corp Respect diplomatique : 167 22/09 ETU 19:43 | Score : 11 Détails J+7
Ceci est la fin de mon histoire. Enfin la fin... Quand est-ce commencé ? Si on ne sait pas quand une guerre a débutée, on ne saurait dire quand elle s'est terminée ? Aussi incroyable que cela paresse, dès que j'en eut fini avec une des menaces, les deux autres se ... volatilisèrent. Aucune trace. Mes éclaireurs ne trouvèrent que des planètes vides. Les capitaines de ces vaisseaux ont tout de suite crû à une piège. Mais rien ne vint. Plus âme qui vive. Aucun vaisseau flottant dans le vide. Rien. Et c'en était effrayant. Mes amiraux suppose qu'ils se sont réfugiés dans le champ d'asteroïdes en bordure du système. Une peur venait de s'installer pour longtemps dans le coeur de mon peuple. Celle du retour des Ennemis. Mais peut-être se sont-ils simplement entre-tués. Espérons-le... Mais la victoire était mienne. Et l'opération Bulldozer était terminé. L'avenir m'ouvrait ses bras. |
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