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Licenciement

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Ekalar
Respect diplomatique : 18

04/01 ETU 22:27

Score : 3 Détails

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Cela faisait quelques temps qu'il n'était pas rentré chez lui... Et sur le chemin l'y menant Ekalar repensait aux grandes étendues verdoyantes dans lesquels il s'allongeait pour regarder le ciel, un joint a la main. Au vieux silo a missiles nucléaire qui leur paraissait être un fort rempli de milliers de secrets Aux ruelles de Oaxaca,la capitale, empli d'odeurs d'épices et de fruits.
Ils allait enfin pouvoir se retrouver chez lui, retrouver les siens...
Quand le véhicule, un vieux prototype de voitures sur coussin d'air qui volettait a peine, s'aretta devant le palais Ekalar resta coi.
Le batiment s'elevait de toute sa splendeur au milieu d'un jardin ou deux grand palmiers millénaires donnait de l'ombre a ce petit havre de paix. Il traversa le chemin le séparant de la grille a la porte d'un pas rapide puis ouvra la porte sur un hall au carrelage luisant.
Il se dirigea rapidement vers le QG des armées ou l'ambiance était tout autre. La lumière inexistante, l'ambiance enfumé, les tasses de café vides remplis de mégots et surtout le grand écran representant les univers connus, clignotant face aux cinq majors en permanence discutant devant lui donnait un air louche a cette salle.
Mais Ekalar s'y sentait chez lui. Il jeta son vieux manteau sur la première chaise vide qu'il trouva puis regarda ses hommes concentré a surveiller LEUR empire... Quand un petit homme, chauve a lunettes, Monsieur Lim vint lui tirer le bras.

"Commandant Ekalar, venez vite, il faut que je vous montre quelque chose..."

Le petit homme le tira jusqu'a une minuscule salle ou une lumière jaunatre eclairait une petite machine aux milliers du boutons et une chaise, sur laquelle etait posé un casque.
La salle des communications

"Sire, vous n'avez pas répondu a mes nombreux X-com mais la situation devient gravissime. Il se passe des choses dans l'univers et je sais que vous êtes déja au courant... Mais nous ne pouvons nous permettre de faire route seul !!! Comprenez bien que quitter la coalition O.R.I.G.I.N.E maintenant était une fol...!"

L'homme ne put terminer sa phrase, sa tête venait d'exploser, repeignant la machine qu'il l'avait vu déperir, cigarette a la bouche, anxyolitiques dans la poche et si peu de sommeil dans les bagages. Ce vieil homme n'était pas mauvais, mais on ne pouvait le laisser continuer a occuper ce poste important qu'est celui des communications.
Il trouvera un autre representant, un jeune aux dents longues. Il faudrait aussi qu'il se dégotte un autre économiste...

A cette pensée il rechargea son revolver et se dirigea vers la section économie du palais...

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