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| Araskel Respect diplomatique : 396  26/01 ETU 23:10 | Score : 8 Détails Plaine de sable, planete Ex'Machnae.
Le sable a perte de vue donnait a Araskel des reves de folies. La planete Ex'Machnae, ancienne place forte d'un commandant des temps oubliés, autrefois boule de metal, avait était entierement rasé, jusqu'a devenir une sphere de sable quasi pur, servant de prison, peloton d'execution, et Tribunal a la Nation des Steppes Galactiques. Araskel regarda ses mains qui depuis quelques jours, semblait dures...dures comme de l'acier. Il essuya cette foutue sueur qui perlait sur son front, et contempla l'assemblée composé de Naibs et de Shamans , masse de Tribale perché surune gigantesque plate forme de metal surchauffé. A sa droite se tenait Druss, vétu de son armure complete et armé de Snaga, une gigantesque Hache terrifiante capable de tranché un homme en armure lourde en deux. Putain de reunion. Faut dire que son peuple s'inquietait. Il s'inquietait des hordes de Notas qui attendaient, silencieuses, aux portes des campements et des rares villes des Steppes. Il s'inquietait de voir le Khan prendre des decisions aussi grave que la guerre totale contre la machine la plus puissante de l'Univers Connus sans l'aval du conseil des Naibs... Il s'inquietait des rumeurs, parlant de crises de folies et d'acces de violence de plus en plus frequent... Le representant élu par les Naibs se leva. A'dja, le Naib du clan mineur des crocs de feu, une bande de degeneré minable et mal degrossis d'apres Araskel ... "Leve toi Araskel!" Une chape de silence quasi palpable s'abbatit sur les bancs remplit de Naibs deja discret. Il allait se passé quelques choses, Le Khan le savait, le sentait. A'Dja s'approcha du Khan, qui se tenait raide comme une lance. Il s'arreta a la distance la plus proche qu'autorisait la tradition, et lanca a Araskel: "Leve toi et marche Khan! Car pour toi est venu l'heure du Jugement! | ||
| Araskel Respect diplomatique : 396 28/01 ETU 22:19 | Score : 0 Détails EDIT
(cliquez sur le triangle jaune svp) | ||
| Araskel Respect diplomatique : 396 29/01 ETU 20:48 | Score : 3 Détails Desert profond de Ex Machnae.
Bizarrement, il n'avait pas mal. Pourtant, n'importe quelle personne aurait pu voir les cicatrices qui lezardaient son corps, et les plaques de brulures...N'importe quelle personne aurait pu aussi voir son visage etrangement figé en un regard plus las que torturé. En parlant de torture, Araskel se dit que les trois bourreaux au service du conseil de Naibs, nouveau gouvernement auto-proclamé des Steppes, avait fait du bon travail. Apres une serie de décharge ioniques purs, le trio infernal s'était evertué a lui envoyé des rafales massives de laser en continue, jusqu'a ce qu'il finissent par abandonné, preferant le largué dans ce desert brulant, perdu au millieu de nul part. Il chuta, pour la énième fois, et se releva encore une fis, comme animé d'une force inconnue. Il essuya son front, et regarda ses mains. Elles étaient durcis, lisse, et totalement argentées. Ses pieds eux aussi étaient en train de subir les memes modifications. Un instant, il oublia son calvaire, et se concentra sur l'etrange phenomene. A sa connaissance, aucun homme a ce jour ne s'était transformé en statue de metal...pourquoi lui ? "Pourquoi?? Rien, pas même un echo, ne lui repondit. Il se laissa tombé au sol, et se mit a pleuré... Lui, le dirigeant des Steppes, lui, un guerrier accomplit, venait d'etre humilié par trois desaxés cautionné par ses anciens amis, et en plus, il était victime d'un phenomene totalement inexplicable... C'était trop pour cet homme pourtant habitué a la douleur. C'est alors que les ténèbres l'engloutirent. A suivre... | ||
| Araskel Respect diplomatique : 396 04/02 ETU 21:54 | Score : 7 Détails ???
Imaginez. On dit que chaque homme a un jardin secret, un lieu privilegié, bref, un endroit ou il aime se ressourcé. Vous saisissez? Bien, continuons. Imaginez maintenant que vous avez eu une journée atroce, peut etre même la pire, une journée qui vous en a fait bavée a chaque seconde, sans trêve, sans aucun bons momments. Ca va, vous suivez toujours? Bien. Et a la fin de cette journée, vous decidez d'allé dans ce fameux lieu, pour vous reposez ne serais ce qu'un temps, et que ce lieu soit devenut la somme de toutes vos douleurs et peur, que ce lieu synonyme de sureté et de reconfort soit devenut votre Enfer personnel... Voila ce que en ce momment meme vivait celui qui fut Araskel . Figé dans une posture aussi terrifiante qu'impossible, sa tete tournée en un angle impossible, la statue de metal qu'était devenut le Khan Tribale contemplait le tapis de rituel de sa tente personnelle. Les couleurs chaudes et douce de la lampe a huile avait prit des reflets aggressif et froid, halo bleu rappelant les hopitaux préhistoriques. La tente elle meme semblait pulsée, comme animée d'une vie propre... Des veines luisante striaient ci et la l'espece de peau qui avait remplacée le tissus et des gouttes d'un liquide chaud et suintant tombé sur Araskel . Si il aurait pu, il aurait crié. Il n'avait maintenant plus aucune notion du temps, seul la pulsation de la "tente" bougait, a part ce gonflement malsain, tout n'était que violence sourde et immobile... Les rares meubles avait prit des angles bizarres, accentués, ainsi que les objets que le Khan appreciait particulierement... Sa plume d'albatros des montagnes nacrée de la planete Ash'erah semblait affuté comme une lame, et son sac de voyage en chanvre tressé ressemblait a un amas de barbelé. Sa tete semblait sur le point d'explosé, melange de chaos et de douleur teinté de desespoir, quand soudain, il sentit quelques choses dans sa colonne vertebrale. Des piqures, a des endroits bien precis. Un bruit atroce retentie dans ce simulacre de tente. Son dos de metal se dechirait, percé par ce qui devait etre des epieux d'une taille consequente. Il aurait voulu s'effondré par terre et pleuré, hurlé, et battre le sol, il aurait voulu pouvoir en finir... La douleur s'amplifia, atteignit desdegres inimaginable, charque parcelle de sa peau semblait acceuillir un genocide, sous ses yeux defilait des imagesde guerre, et dans sa tete ne resonnait qu'un seul mot, celui qui avait mit fin au chaos cerebral: "DEVIANCE." | ||
| Araskel Respect diplomatique : 396 06/02 ETU 21:01 | Score : 9 Détails Depuis quand marchait-il sous le soleil de plomb?
Depuis quand était-il comme ça? Rien n'était moins important pour celui sur qui le temps n'avait plus de prise. Le flux temporel lui semblait lâche et mou, comme un élastique usé sur lequel on avait trop tiré. La statue de métal martelait le sable avec ses deux gigantesque pieds griffus inlassablement, la fatigue semblait avoir était bannit de son métabolisme. Désormais, une seule chose avait de l'importance, un seul mot résonnait dans son subconscient ravagé par un océan de douleur. A chaque seconde, il brillait un peu plus dans son crane, la seule voie a suivre, le seul futur possible... DEVIANCE Araskel avait été renvoyé au néant, désormais, la statue de métal n'avait plus grand chose d'humain. Haute de trois mètres et bardée de pointes qui semblaient capables de vous déchiqueter, la "monstre" semblait animée d'une volonté inébranlable, inhumaine, mécanique, voire même surnaturelle... Il avançait donc, inlassablement, à travers ce désert aussi morne que stérile. Quand il "huma" l'agitation. Ses pensées étaient aussi complexes qu'incompréhensibles, mais une certaine part de primitivité semblait avoir reprit le dessus sur ce qui fut humain. Au loin, il le savait, il y avait une ville. La statue eu une vision, comme a chaque fois que quelques choses d'important arrivaient. A vrai dire, elle n'avait jamais eu de vision auparavant, mais elle savait qu'elle en aurait avant chaque événement marquant de ce qu'un naïf aurait pu nommé "sa vie". Elle observa les étranges créatures flasques, bardées de vêtements et stressées. Partout, des fumées, des cris, des bruits... La vie suintait de chaque personne, de chaque action. Le monstre savait que rien ne suintait de ses actions. Il se dirigea vers la ville. Il le savait désormais. Rien de bon ne ressortait de la vie. Il arriva le lendemain, au petit matin. Une haute muraille entourait l'immense cité, et des canons gigantesques apparaissaient à des intervalles réguliers. Il resta immobile un long moment, le "regard" tourné vers l'unique porte d'entrée, flanquée de quatre de ces canons. Les systèmes de détections Tribaux ne tardèrent pas a le repéré, ainsi que les gardes de faction. Un haut parleur lui demanda de s'avancer lentement vers la porte, après que les détecteurs eurent indiqué qu'il n'était pas armé. Il ne bougea pas d'un poil. Le haut parleur répéta l'injonction. Il ne sembla pas réagir. L'homme derrière le micro semblait énervé. Il lui dit que si il ne s'avançait pas, le clan du Naib de la cité allez lui tombé dessus, et que milles morts l'attendaient. Un ange passa, et le monstre n'était plus la. ----------------------------------------------------------- Au même moment... "Meute dent de sabre! code rouge! je répète code rouge! La base spatiale a été victime d'un attentat, veuillez vous dirigez vers la zone en formation delta. A peine trois minutes après, la meute arriva devant le cratère fumant. Le temps de cligné des yeux, ils purent apercevoir une grande statue de métal se diriger vers eux. Et ce fut leur dernière vision. Une heure après, le clan au complet se dirigea vers la zone. Ils purent voir leurs deux cents confrères atrocement mutilés, empalés sur de gigantesques pieux en argent tous reliés à un cratère. Le secteur était apparemment redevenu calme, aussi une estafette se dirigea vers le centre des pieux. Le cratère était profond, très profond. Ils essayèrent a l'aide de leurs lampe à pile atomique de percer le nuage de fumées noires, sans résultat. Au même instant, le sol se mit à vibrer. Les soldats près du cratère se replièrent, sentant que l'épicentre du séisme se trouvait près d'eux. Le sol sembla se lever de lui même, apocalypse tellurique incompréhensible. Les pieux se tordirent en un bruit atroce, suraigu, encore et encore, exécutant une danse macabre et saccadée. La plupart des soldats présent fermèrent les yeux, par réflexe ou par peur. Quand le bruit cessa, tous purent voir un arbre de métal gigantesque, grand comme une montagne. Tous purent voir le ciel noir au dessus d'eux, tous sentirent malgré leurs combinaison intégrale le froid surnaturelle, et tous, tous sans exceptions, tous se sentirent épiés, surveillés, comme une bête chassée. Deux yeux de rubis, deux yeux ou dansait une flamme. La flamme de la DEVIANCE . | ||
| Archevèque Respect diplomatique : 275  07/02 ETU 20:46  | Score : 7 Détails L’Archevèque se tenait derrière son bureau dans le QG clergien de son empire. Quelqu’un frappa à la porte :
C’était frère thomas, son secrétaire. « Sir massidot, ministre de l’éducation vient d’appeler, monseigneur. » « Qu’a-t-il dit ? » « Il dit…qu’ils ont voté et qu’ils ont décidé de supprimer les cours religieux dans les écoles… » Il n’eut pas le temps de finir sa phrase, l’Archevèque pris son coupe papier et l’envoya dans la gorge de frère thomas… L’Archevèque ne savait pourquoi il avait agit comme ça, il tomba a genou à coté du corps encore animé de soubresauts… L’Archevèque était en sueur… Ses yeux devinrent blanc nacre, il se mit a rouler par terre et eut une vision : Il vit une petite fille, courant avec son chien sur un champ de fleur, en direction d’une citée, poursuivi par une onde de choc balayant tout sur son passage. Cette fille il l’a connaissait… « Leïla, ma fille… pourquoi ?! » hurla t’il toujours en tremblant par terre… Puis la vue changea et toujours sur ce même champ, mais dès années plus tard, il vit deux armées se fonçant dedans au rythme des tirs ioniques qui fusaient dans le ciel, ciel parsemait de débris de vaisseaux et de corps de personnels navigants, explosant sous le choc de tir de super blaster. L’image se brouilla, un cri déchirant retentit… Une pyramide, au loin, qui s’approche rapidement, le cri augmente, jusqu'à en devenir insupportable, puis plus rien, sur le sommet de la pyramide, un homme courbé, tenant un « objet » flasque, rouge sang dans sa main gauche et une dague, gravée en rune antique et démoniaque, dans la main droite. Il est entouré d’une lueur. Sur un autel, une femme, le cœur arraché, le cri provenait d’elle, elle était belle, sa chevelure blonde tombant sur ses yeux d’un bleu profond, dans lequel Archevèque tomba… Se perdant dans l’infini bleuté, oubliant toute notion du haut et du bas, tombant, tombant, tombant jusqu'à atterrir sur une esplanade d’un bleu identique. Il était entouré de « monstres » réunis en assemblé, un homme avança, dans un premier temps on pu croire qu’il allait prendre la parole, mais il ne fit que passer à coté du pupitre, pour rejoindre son maître, lui apportant un verre d’eau… Le « monstre » l’enchaîna au cou et le força à se coucher et à lécher ses bottes pleine de boue… Les autres éclatèrent d’un rire, qui se répéta tel un échos dans l’infini du temps, tout devint noir, le rire persistait, se transformant un plainte bizarre. L’Archevèque revint à lui… il s’aperçut que les plaintes venaient en fait de sa bouche. Il se leva, les yeux toujours clos, allât jusqu'à un miroir, ouvrit les yeux : ses yeux, gardant toujours cette teinte blanc nacre, était maintenant allumé d’une flamme, la flamme de la déviance… |
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