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Nos chemins se croiseront

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N'Tyrr
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20/02 ETU 22:59
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Quelque part, au sommet d’une immense tour de verre. N’Tyr n’avait plus de nouvelle du commandant Actéon. Ce dernier était parti à la recherche de la Vérité, la veille de la dernière apocalypse. L’Ouroboros avait englouti la civilisation précédente. Cependant la Vie continua, chose que ses compagnons n’avaient pas envisagée. Le destin escompté par Mère n’était pas le même que celui qu’ils auraient crue.

Mère, Somme nous tromper de destin? ,pensât elle.

Ainsi les carcans de la Vie étaient insondables à l’esprit humain, inenvisageable de les comprendre.
Cependant elle était persuadée que la Vérité était quelque part, attendant patiemment son heure. Le chemin qu’elle avait pris pour La toucher était la première étape, mais il fallait changer de direction pour l’atteindre. S’ouvrir à de nouveaux horizons, pour mieux s’approcher de la Colombe. Ce qu’elle allait entreprendre.
N'Tyrr
Respect diplomatique : 299


21/02 ETU 21:48
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Loin de là, à l’autre bout de l’univers, un corps gisait sur l’autel de la connaissance. La frêle enveloppe mortelle du commandant Actéon n’avait pas résistée à la terrible colère de l’Oroboros. Seul les vestiges de l’antique civilisation subsistaient encore et toujours au perpétuel renouveau. Attendant une fois de plus l’être qui saura transmette leurs témoignages…

Il était heureux. De son passage éphémère sur ce monde, il n’en garda que des instants de bonheurs, instants passés en compagnie de sa Dame.

Ils s’étaient connus bien avant qu’elle ne dirige le royaume. Il se souvient ; quand la première fois il l’a rencontré, lors d’une de ces belles fins de journées printanières.
Rentrant de l’école il l’aperçut.
Elle était en pleurs.
S’approchant d’elle, timidement, pour connaître la raison de ces maux.
La jeune fille, voulant remettre un oisillon dans son nid, glissa dés la première branche.
Bravant la timidité légendaire des garçons, il tenta de la consoler. Depuis cette rencontre, plus jamais ils ne se sont quittés.

Le souffle de plus en plus court, le voile se dressait devant ses yeux. Le combat pour la vie était dorénavant inutile.
Etendu. Seul. Il n’avait plus mal.

Rudrig Del Fortuna
Respect diplomatique : 23


21/02 ETU 23:38
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A de nombreuses années lumières de là, dans un garage d’une banlieue minable de Génèse, un jeune garçon nettoyai avec conviction le moteur d’un vieux spatio-jet, pendant ce temps là le patron fumait tranquillement un cigare à son bureau. Il faisait mine de se concentrer sur son travail mais tout le quartier étant au courant qu’il cachait dans ses livres de compte des images de jeunes demoiselles dénudées, lui qui s'imaginait pourtant etre discret.

Le jeune Rudrig trimait ici depuis de nombreuses années, et d’aussi loin qu’il se souvienne, il avait toujours vécut avec cet homme, son père adoptif, propriétaire du garage, melée à de nombreux trafics dont il gardait le secret.

Cet homme, plus tirant que bon père, se taisait toujours quand il s’agissait de parler des origines du jeune homme, détourant sans cesse la conversation, comme si cela le gênait terriblement, peut être même en avait t’il avait peur.

Rudrig s’imaginait souvent un autre avenir que celui qui lui était apparemment destiné, il voulait voyager, partir ailleurs. L’univers connu était si grand et il ne se refusait à l’idée de moisir dans cette ville, pourris par la corruption.

L’heure de sa libération sonna un beau jour où il survécut à l’explosion d’un moteur de frégate mal réglé. Le garage fut détruit et son père tué sur le coup, sans qu’il ne lui ai jamais rien laissé savoir de ses origines ni de qui il était…

N’hésitant pas plus longtemps, il se trafiqua un Jet de fortune et s’empressa d’aller chercher fortune ailleur.
N'Tyrr
Respect diplomatique : 299


22/02 ETU 21:17
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De retour sur Uraeus.

-Dame ! Vous etes sur de vouloir le faire ?

-Oui, je le souhaite…N’insistez pas, je vous prit.

-Mais… Le peuple… ! Qu’allons nous devenir après votre départ ?!

-L’ai-je déjà chaperonné ? Il n’a pas besoin d’être gouverné, j’ai confiance en lui.

-Certes, mais vous etes leur guide aujourd’hui.

-Un guide ? Je ne pense pas, nous avons marché cote à cote, jusqu'à notre émancipation, il est dorénavant assez réfléchi pour s’autogérer.

Devant ses paroles, l’homme n’insista pas.

-Il est tant pour moi de partir, je dois continuer la voie qu’elle nous a enseignée. Nous ne pouvons rester sur des préceptes figés. La nature est mouvante, nous nous devons de faire de même. Suivre l’évolution à laquelle elle nous a initié.
-N’est ce pas pour Actéon que vous partez ?

A ces mots, N’Tyr tressaillie. Il était maintenant partis depuis bien longtemps, elle n’avait plus de nouvelles de lui.

Où est tu ? Mère où l’a tu emmener ? Qu’elle est cette épreuve à laquelle tu me soumets ?

-Madame, vous allez bien ?

-Oui…

Après un bref moment de silence, N’Tyr répondit :

-Dit aux hommes d’affréter l’Espérance, je part dés qu’il sera prêt !

Le crépuscule commençait à venir quand L’Espérance fut terminé.

-Mes compagnons, l’heure est pour nous de partir. Nous ne savons pas encore le jour de notre retour, mais sachez qu’avec la fin de ce voyage, viendra la compréhension d’une étape de plus au destin qui nous est donner.

Mère, aide moi à suivre ton chemin
Je le chercherai en mon âme, essayant de le sentir.
Je t’en prit, envoie moi un signe
Pour ceux qui ne voient pas tes Signes, aide nous.
Que ton Soleil puisse éclairer nos Lunes quand s'ouvrira la Nuit

Rudrig Del Fortuna
Respect diplomatique : 23


22/02 ETU 23:45
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Cela faisait un long moment que je trainais mes guêtres dans la campagne de la Silina’s planet. A vrais dire, ce n’était plus a proprement parler une campagne, les ondes ioniques ayant été usées à de trop fortes doses non loin de là avaient rendue ces terres infertiles et transformées en de grandes plaines sèches et désertiques, comme à de nombreux endroits de la galaxie. Cette planète habitait uniquement un ordre d’illuminés, pacifiques et bon vivant, loin des centres d’intérêts de la galaxie, et j’espérais y trouver du repos pour quelques temps.

A la tombé de la nuit, j’approchais d’un ancien temple, apparemment bien entretenue par ses habitants.
J’avançai sur l’allée de pierres rouge y menant, et avant même que je n’ai atteint l’entré, les portes du temple s’ouvrirent. Un grand homme se tenait derrière, mesurant dans les deux mètres, d’une carrure imposante et vêtu d’une longue toge rouge et noir. Avant que je n’ai pu dire un mot, il m’annonça d’une voit rauque :
« Jeune homme, ne dites rien ! Sans ne jamais vous avoir vue, je vous connais déjà, et sachez que même vous, vous méprenez sur votre véritable identité. Voila quelques jours que les vents parlent de l’avènement de la prophétie… »
Un autre homme plus petit et bedonnant arrivât soudainement derrière lui, le coupant dans son élant: « c’est bon Kilik, tu ne vas pas importuner notre hôte avec tes vieux racontars » Il s’imposa entre nous et s’adressa à moi « bonsoir, cher voyageur. Je suis Nirliac, le cuisinier. Excusez mon confrére, la solitude en a rendut fou plus d'un. Mais entrez donc, nous nous feront un plaisir de vous accueillir »...
Rudrig Del Fortuna
Respect diplomatique : 23


07/03 ETU 16:49
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« La scène se passait dans un village, fait des huttes de bois, au milieu d’une forêt aux arbres millénaires, atteignant pour la plupart plusieurs centaines de mètres.
Un homme apparut soudainement et tout devint flou autour de nous. Il s’accroupit et plongeât ses mains dans la terre sableuse, et je vis que des larmes coulaient le long de ses joues tandis qu’il murmurait une sorte de récital.
Je ne comprenais pas ce qu’il disait mais sa langue ma paraissais étrangement familière, et sa ressemblance avec moi m’intriguai au plus au point.
Il se redressa, le vent se leva, emportant le sable qui s’échappai des ses mains.
Un nouveau né apparut face à lui. Il lui posa le pouce sur le front, puis sur chacune des joues, y laissant trois traces noires. L’homme se retourna soudainement, des échos de cris de guerre se faisant entendre au loin. Il prit l’enfant dans ses bras et le déposa dans une spacio-nacelle, les portes se refermèrent et le vaisseau décolla.
Au fin fond de l’espace, un cris retentit »


Je me réveillai soudainement, trempé de sueur.
J’étais allongé dans le lit d’une des chambres du temple. Etait ce moi qui avais crié ? Si c’était le cas, cela n’avait pas due passer inaperçu.
Je me redormis, plus apaisé que cela ne soit qu’un rêve, mais ça avait été si réelle.

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