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Forums galactiques > Taverne galactique : lieu de discussion informel > RP - Histoires à 3 leems
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| Sarah Réputation à la taverne : 162  21/08 ETU 11:12 | Score : 8 Détails Sarah s'installa dans la rue des Tavernes, là où les commandants de cette Galaxie passaient, flânaient, titubaient pour certains….
Elle monta sur une caisse où était inscrit « Histoires à 3 leems » et s’éclaircit la voix. Que ceux qui aiment les histoires s’approchent… Que ceux qui ont un moment tendent l’oreille… et que ceux qui ne rêvent plus passent leur chemin. Aujourd’hui, je vais vous raconter pourquoi Zorba s’est mis à aboyer… C’est une petite fable de mon natal que je dédie au Commandant Astronore pour le remercier publiquement de sa générosité de coeur… Sarah s’interrompit pour avaler sa salive. Elle regarda les quelques passants matinaux, interloqués par cette fille maigre qui osait parler en pleine rue. Et elle commença son histoire. Zorba était un commandant déchu, vivant dans la bordure de la Galaxie. Il n’avait plus de toit, plus d’amis depuis longtemps, seulement quelques leems en poche qu’il avait demandés du bout des lèvres dans des rues telles que celle-ci. Comment en était il arrivé là ? Ce sera une autre histoire si vous le souhaitez… Un jour pluvieux, il vit un chien en piteux état. Pauvre bête, pensa-t-il, ne se rendant pas compte qu’il était aussi mouillé et affamé que l’animal ! Et il prit le chien sous son manteau, savourant du même coup la chaleur de la bête contre son flanc. Il partagea sa maigre pitance et renfloua son c½ur dans les yeux débordants de gratitude du canidé. Se faisant, les passants s’arrêtèrent plus souvent… non pour parler à Zorba, mais pour caresser le chien. Certains même, sans aucune gêne, portaient régulièrement, aux dernières lueurs du soir, quelques morceaux de viande au batard, pensant que cela faisait plaisir au maître… Il faut dire que le chien, reconnaissant ses bienfaiteurs du plus loin que lui permettait son flair, les accueillait toujours d’un aboiement sonore et joyeux. Le temps passa ainsi et le chien, qui devait être vieux, mourut. Zorba se retrouva seul à nouveau, quémandant sa pitance avec un doux sourire. Mais les passants se firent à nouveau rares et indifférents. Jusqu’au jour où….. Zorba se mit à aboyer. Sarah se tut. Elle descendit de sa caisse et tendit à son auditoire un petit carton : « Si mon histoire vous a plu, envoyez vos dons à cette adresse. » Puis elle partit à la recherche d’une autre rue où raconter une autre histoire. Vous pouvez tous réagir, si vous le souhaitez, et même raconter vos histoires ! Cet espace est fait pour être partagé. Je vous demanderais simplement de respecter le décor... la rue ! | ||
| Sarah Réputation à la taverne : 162 22/08 ETU 10:31 | Score : 7 Détails Sarah arriva de bon matin. Elle savait que ses histoires devaient être racontées tôt dans la journée pour que tout le monde en profite. Elle monta donc sur sa caisse et commença.
Aujourd’hui, je vais vous raconter l’histoire de la Commandante Rayla ou comment la plus petite vie peut devenir une grande richesse… et je dédie cette histoire au Commandant Orgin. Imaginez une planète où tout le monde est beau et intelligent, où la technologie est à ce point évoluée que les machines suppléent les humains depuis très longtemps. Imaginez que, sur cette planète, les habitants n’ont plus d’effort à faire puisque les machines archivent tous les événements depuis la nuit des temps… et tout le monde sait se servir de ces machines et de la mémoire colossale qu’elles contiennent !. Rayla est née sur cette planète mais c’est une erreur ! Elle est belle, certes, mais pas du tout intelligente : un bug des machines qui triaient les enfants à naître. Rayla grandit et sa bêtise était visible de tous : elle passait ses journées à courir dans la nature, à parler aux animaux, à goûter à toutes les baies ; elle s’endormait au soleil et furetait la nuit ; elle ne savait ni lire, ni écrire, ni même se servir des machines… Un jour, un typhon galactique sévit sur la planète. Rayla, qui dormait , comme à son habitude dans un terrier de grans renard gris, fut réveillée par les craquements sinistres de la nature. Quand tout fut calme, elle sortit de sa cachette et constata que tout avait été dévasté autour d’elle. Elle courut à la ville pour s’apercevoir que c’était encore pire : les beaux bâtiments étaient détruits, les machines étaient éventrées, des fils pendaient lamentablement partout et les habitants … les habitants étaient de vrais zombies… Ils ne se souvenaient de rien, pas même de qui ils étaient. Rayla, patiemment, leur raconta. Pendant des années, elle raconta. Devenue la seule mémoire disponible de la planète, elle devint une commandante très recherchée et respectée… Jusqu’à sa mort, elle raconta. Mais savez-vous ce qu’elle racontait ? Elle racontait les arbres et les rivières, la tiédeur des terriers de renard gris, le goût sucré des baies sauvages et la chanson de la pluie… Ainsi, plus personne ne sut plus jamais ce qu’était une guerre ! Sarah descendit de sa caisse et s'éloigna lentement. Demain, elle reviendrait. | ||
| Necromanger's return Réputation à la taverne : 57  23/08 ETU 04:05 | Score : 5 Détails Necromanger avait depuis le début observer la jeune conteuse. Ses talents étaient incroyables, et le commandant eut une idée lumineuse. Il grimpa sur la petite caisse disposée au milieux de la rue et commença à raconter...
"...l'histoire de Sarah, ou le talent fou d'une jeune conteuse: Humm humm, messieurs et mesdemoiselles, approchaient vous donc! Il était une fois, dans une galaxie portant le doux nom d'Espérance, une jeune commandante nommée Sarah. Arrivée depuis peu, elle se fit très vite une place parmi les autres commandants. Les jours passèrent, et voyant son royaume se développer rapidement, elle décida d'aller à la rencontre des habitants d'Espérance. Elle passa par différents lieux, et notamment vers le quatiers des plaisirs, c'est ainsi que l'ont pourrait le nommer, mais tout le monde le connait sous le nom de Taverne Galactique. Cette partie d'Espérance était son poumon, elle lui permettai de respirer et prendre un bon bol d'air frais. L'arrivée de la commandante Sarah fut pour tout le monde une source de bonheur incroyable. Par sa gentillesse, son humour et sa simplicité, elle redonna le sourire à bon nombre de personnes. Puis, un jour, alors qu'elle prenait un café dans une taverne, elle eut une idée lumineuse, qui éclaira beaucoup de vocation. Elle sortit en trombe dans la rue, et commença à fouiller les environs à la recherche d'ont ne sait quoi exactement. Puis on l'a vit réapparaître, portant une caisse en bois, mais assez solide en apparence. Elle grimpa dessus et de sa voix cristaline, charma tous les passants honnêtes et autres amoureux des bancs publiques, jetant d'un regard esthète, quelques petits yeux bien sympathiques sur la jeune conteuse, narrant avec poésie ses douces histoires rythmées de déboires et de magie." Necromanger n'en revenait pas lui même, lui qui avait une certaine crainte de la foule avait vaincu sa peur. Il descendit de la caisse et tout heureux s'en alla prendre un café... Je remercie Brassens George, pour m'avoir permi de lui emprunter quelques paroles, et de les avoir modifiées quelque peu. J'espère qu'il ne m'en voudra pas. | ||
| Leia la sanguinaire Réputation à la taverne : 46  23/08 ETU 17:45 | Score : 4 Détails Leia, assis sur un des nombreux bancs publiques, avait attentivement observé les deux conteurs et impressionné par leurs talents respectifs s'était décidé à "tenter le coup" et à se montrer à elle même qu'elle pouvait en être capable.
Elle s' approcha de la caisse en bois et d' un grand coup de pied grimpa dessus, puis elle commença à parler: -Je vais vous raconter une histoire qui se passa sur l' ancienne Terre, notre endroit de partance à tous. C'est l' histoire d' un vieil homme, un ermite, qui avait accueilli chez lui un jeune enfant orphelin de père et de mère. Dans sa cabane retiré au fond des bois l' ermite et son fils adoptif vivait à l' abri des atrocités humaines. Mais malheureusement cet homme devait de temps à autre aller en ville pour se procurer ce qu'il leurs était indispensable. Un jour ou le temps était propice l' ermite se résigna à partir pour acheter les biens essentielles ou bien les troquer contre les articles qu'il fabriquait grâce au bois de la forêt. Leia fit une légère pause le temps de reprendre son souffle et de donner un peu de suspense à l' histoire. Les gens retenaient leur respiration en attendant la suite. Elle prit une inspiration et recommença le conte. Mais il était inquiet pour ses maigres biens car des poules avaient été dérobés dans le poulailler et que ce n'était visiblement pas l' oeuvre ni d' un renard, ni d'une fouine. Il demanda donc au jeune homme de rester pour protéger la maisonnette d' éventuels pillards. Il lui dit: -Mon cher petit, tu sais que des poules ont été volé. Je te demande de garder la maison jusqu' à mon retour. Le jeune homme lui répondit d' un air interrogateur car il ne comprenait pas certaines choses, il était un peu...naïf.Le vieil homme découragé précisa donc: -Alors...tu vas surveiller la porte de la maison et si quelqu'un veux l' ouvrir tu l' en empêche sauf si c'est moi, d' accord? -Ah...d' accord, articula le jeune garçon avec une dificulté assez grande. Le vieillard, rassuré prit la route du marché avec ses objets et des oeufs frais qu'il comptait vendre. Arrivé au marché il s' installa sur un étal inocuppé et commença sa vente. Une ou deux heures après son arrivée il vit approché le jeune garçon qu'il avait laissé pour garder leur cabane. Il portait la porte sur son dos. -Mais qu'est ce que tu fais là?!? lui cria le vieil homme. -Je m'ennuyai Alors je suis venu te rejoindre et je garde toujours la porte, personne ne l'a ouverte, lui répondit il d'un air fier. Le vieil homme reconnut sa défaite et dit au jeune: -Que je suis bête encore une fois j' oubliai tout ce que je savais déjà! En te confiant cette tâche j' aurai dû me douter que par un moyen quelquonque si tu voulais venir tu pouvais venir... Et c'est ainsi que ce termine mon histoire braves gens. Car, que pouvait donc reprocher au jeune le vieux si le jeune n' avait fait que suivre ses ordres. Leia descendit de sa caisse d' un bond leste et s'éloigna d' un bon pas, n' attendant pas la réaction du public et éspérant qu'un autre aurait vite l'idée de revenir sur la caisse pour qu'elle puisse recommencer à savourer d' autres bonnes histoires. | ||
| Sarah Réputation à la taverne : 162 24/08 ETU 01:33 | Score : 4 Détails Sarah sourit… Elle était heureuse que la caisse ait servi à d'autres commandants. Cela lui avait permis un jour de répit : il fallait que les histoires aient le temps de vivre et de se dissoudre dans l’air !
Elle espérait que d’autres viendraient raconter mais elle savait que ce n’était pas toujours facile ! Ce jour-là, elle étala quelques tapis et s’assit sur la caisse : l’histoire qu’elle avait en tête ne se criait pas, elle se chuchotait… Thyen est un grand commandant. Je dis « est » parce qu’il existe toujours… mais vous ne le connaitrez jamais si je ne vous en parle pas. Il fut un temps où Thyen régnait sur un empire prospère, ouvert sur l’extérieur. Il était suffisamment puissant pour que son peuple connaisse la paix. Et l’histoire pourrait s’arrêter là… Mais Thyen avait un idéal et un noble cœur. Il voulait la Liberté pour tous. Alors, il surveillait d’un œil attentif les jeunes nations pour qu’elles puissent se développer, mais il n’intervenait jamais avant qu’on l’en priât. Il partait souvent en guerre contre les spoliations et les injustices. Il ne revenait chez lui que lorsque tout était à nouveau calme dans la Galaxie. Cela ne durait d’ailleurs pas longtemps ! Jusqu’au jour où son peuple en eut assez et le lui fit savoir. Thyen, qui avait l’habitude d’écouter, comprit que les guerres incessantes, même pour un idéal aussi louable, avaient miné le moral de ses troupes. Il donna donc la liberté à son propre peuple et ne garda qu’un système pour lui et ceux qui souhaitaient toujours le suivre (il y en avait !). Puis, après une ultime concertation, il saborda sa flotte et détruisit toutes ses technologies… Ce qui devait arriver arriva : le système se ferma au monde. Et si vous cherchez ce commandant, on vous répondra « Ce commandant ne fait plus partie de la Galaxie ». Je suis la seule à savoir que son système est entre le 326 et le 327 car aucun cartographe ne le verra jamais. Comment je le sais ? Je suis sa fille… mais lui ne me connaît pas. Sarah ferma les yeux et ne bougea plus. Elle attendit, la tête baissée, que les badauds se dispersent. Cette histoire était si proche de la sienne qu’elle ne pouvait pas empêcher l’émotion de la submerger. Quand elle releva la tête, elle souriait à nouveau. | ||
| Sarah Réputation à la taverne : 162 27/08 ETU 08:11 | Score : 4 Détails Sarah avançait dans la rue des Tavernes avec un paquet d’affiches sous le bras. Pas d’histoire, aujourd’hui… Mieux ! Une nouvelle aventure.
Yug avait souhaité une grande participation des jeunes commandants à la vie politique de la Galaxie… Le temps était venu pour elle. Elle placarda donc son affiche à tous les coins de rue. Nom de la coalition : BROCELIANDE Forêt protectrice et magique où le meilleur de chacun sera révélé... Garante des lois et de l'exécutif : Sarah Objectifs :Réhabiliter l’esprit de solidarité et participer à l’effort de paix dans la Galaxie Espérance. Transmettre les valeurs ancestrales. ART1 Les coalisés s'engagent à publier leur classement (et l'état de leurs ressources). Ils doivent être francs, honnêtes et transparents à l'égard de leurs partenaires. ART2 Chaque membre de la coalition sera libre de ses actes et de ses paroles dans les forums publics et il en portera seul l'entière responsabilité. Toutefois, il est exclu qu'un membre de la coalition parle ou agisse au nom de celle-ci sans en être dûment mandaté par la majorité. La sanction sera l'exclusion pure et simple de la coalition. ART3 Tout acte ou parole qui engagerait la coalition entière devra subir un vote et ne sera accepté qu'à la majorité des voix. ART4 Les Guildéens s'engagent à fournir des ressources gratuitement à leurs partenaires, dans la limite de leurs possibilités. Les fédérés s'engagent à accepter toute mission défensive relative à leurs partenaires et toute mission quelle qu'elle soit sur décision majoritaire. Les Alliantistes s'engagent à tenir leurs renseignements à jour pour répondre à toute demande de leurs partenaires dans les meilleurs délais. La Commandante Sarah se réserve le droit de nommer un coordonnateur pour les missions de grande envergure. ART5 Les demandes d'adhésion seront enregistrées et traitées d'une manière collégiale. Les adhérants devront prendre connaissance de la charte et en accepter les contraintes. ART6 Les coalisés absents sans motif recevable seront exclus dans un délai de 7 jours. ART7 Toutes les informations circulant dans les salles de la coalition sont soumises à confidentialité. ART8 La Commandante Sarah se réserve le droit d’exclusion temporaire d’un membre de la coalition en cas de doute sur sa moralité. | ||
| Sarah Réputation à la taverne : 162 09/09 ETU 10:30 | Score : 3 Détails Sarah avait repris ses habitudes. Après plusieurs mois d’absence, elle retrouvait la rue et son anonymat avec soulagement…
La vie m’aura offert de grandes choses, mais je ne suis pas faite pour les grandes choses… J’ai vécu dans un palais, puis dans une communauté et ces belles illusions ont été éphémères. Je suis mieux ici. Elle respira goulument le grand air, apprécia de regarder les gens qu’elle ne connaissait pas et qui s’affairaient sans faire attention à elle… Après quelques heures de déambulation au hasard, elle se retrouva dans sa rue et vit la caisse du conteur, délaissée dans un recoin… Elle la ramassa et s’y installa avec un frisson de plaisir. Oyez, Commandants, l’histoire d’un destin comme il en existe beaucoup ! Celui d’un grand homme qui a toujours su regarder devant… Mon frère, en quelque sorte. Son métier, les grimaces et les rires des enfants Le feu des projecteurs, la piste, la sciure, Entre les trapézistes et les phoques savants, Il joue du saxophone, se casse la figure. Arborant un nez rouge, un costume safran, Tantôt comme un drapeau, tantôt comme une armure, Il aime les remous de la foule, les gens Qui passent près de lui sans voir ses déchirures. Il fait son numéro comme un roi décadent Qui s’illusionne et croit avoir fière allure Caresse les petits et sourit aux plus grands Le cœur rempli de joie, belle caricature ! De retour dans sa loge, il rêve du vieux temps Où il lançait sa coiffe, geste de sombre augure Tombée face au soleil, tournesol triomphant Quand le taureau dansait dans les éclaboussures. Et il se démaquille tristement, en tremblant Ote déguisement et autres fioritures Et dès qu’il se regarde, pauvre être vacillant Le miroir lui renvoie image et fêlures D’un corps mince et cambré, jadis souple et vaillant. Le cirque est devenu l’arène en miniature Là où il combattait sous les bravos saoûlants Avant d’être oublié grâce à quelques blessures Et rayé des plazzas, des affiches des hauts rangs. Aux murs de sa roulotte, en guise de peinture Capa et muleta, fidèles talismans Occultent le bois nu et maintes salissures Il n’est plus rien qu’un clown au regard implorant. A las cinco y media, tous les jours, un murmure Franchit ses lèvres peintes, comme un psaume inconscient Pour ceux qui bravent encore la mort et les coulures De sang, fête païenne du courage puissant. Retraité des faenas et des corridas pures Ne craignant ni les cris, ni la pluie, ni le vent, Il sait qu’il ne possède plus que l’envergure De faire rire les enfants. En repartant, ce jour-là, Sarah eut une pensée pour son amie… Tu avais raison, j’ai encore des histoires à raconter… | ||
| Corbeau noir Réputation à la taverne : 1010  09/09 ETU 11:22  | Score : 2 Détails *Corbeau suivait depuis peu les histoires de la jeune Sarah et il devait bien avouer qu'il était... Sidéré...
Ses histoires étaient fraiches, courtes, intelligentes et surtout, elle étaient plaisantes! La dernière histoire lui avait rappelé un commandant qui aujourd'hui, subissait les foudres de ses actes... Il eut une pensée triste en pensant encore à une guerre faite au nom du "Bien" et se dit que plus le temps avancait, moins les gens comprenaient leurs erreurs... Cela lui rappelat les souvenirs de ses amis et il s'approchat de la caisse dans sa grande cape noire avec son sabre Fleur de Lune au flanc gauche. Il montat sur la caisse et d'une voix puissante et profonde commencat à parler :* "Badauds, je viens ici sur ce promontoire pour vous parler de ce que tout le monde a connut ou connait encore, l'amitié... Oui, je vais vous raconter l'histoire d'un de mes amis qui aujourd'hui nous a quitté... Il y a bien longtemps vivait un jeune homme à l'idéal pur. Son rève était simple à dire mais beaucoup moins facile à réaliser, il voulait unifier Espérance... Rève si souvent espéré mais combien de fois réalisé? Pour cela, il s'était fait des amis avec lesquels il fit des recherches dans l'ombre pour trouver quelque chose capable de fédérer une Galaxie entière. Comme le lui avait démontré l'Histoire, la Paix n'arrivait jamais à fédérer les commandants... Seul la guerre y arrivait... Ils firent donc des recherches dans l'obscurité des laboratoires et libérèrent sans le vouloir un monstre d'un age bien longtemps éteint. Ce monstre, cette créature hideuse leur a valut le titre de tueurs, de tyrans, de meurtriers et meme, de chiens... Ils n'avaient qu'un rève, fédérer Espérance... Ils réussirent. Mais ce fut eux qui ne virent pas la fin de leur rève... Aujourd'hui, Ils sont à cotés de mes autres amis dans leur Miraana. Et je pense que de là-haut, il pleure Espérance... A mes amis disparus pour leur rève... A tout ceux que j'ai connut et qui aujourd'hui ne sont plus là... A tout ces grands qu'ils soient de l'ombre ou de la lumière... A tout ceux qui n'avait qu'un rève, la Paix entre les peuples..." *Corbeau descendit de la caisse et personne ne remarquat sa vois enroués sur sa dernière phrase... Personne... Car sa solitude était le fardeau de l'avenir et du destin...* |
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